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Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End.

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Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. Empty Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End.

Message par Peter Filkowski Ven 19 Aoû - 10:19

Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. 10112610
Gambino Crime Family
Organisation criminelle sous-terraine.
Pasquale aka Patsy Greco
Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. Patsy10
Agence: F.B.I. (New York - Transfert au bureau de Los Santos: 14/04/2011)
Numéro du dossier traité : 458-854286-985472
Prénom(s): Pasquale Henry Antonio
Nom: Greco
Surnom(s): Patsy.
El Greco.
Le malade.
Affilié: Famille Gambino (côte ouest)
Date de naissance: 23/08/1973
Lieu de naissance: Sheepshead, Brooklyn, New York.
Couleur de cheveux: Châtain foncé
Couleur des yeux: Marrons
Taille: 1m86
Poids: 85kg (dernières informations)
Occupation: Probablement électricien?
Captain de la Famille Gambino.

Adresse actuelle: New York, Sheepshead, Brooklyn, 8th Colombo street.
Los Santos, Ganton, 6th big street.
MO : RACKET (A GRANDE ECHELLE), MEURTRES AVEC PRÉMÉDITATION, REFUS D'OPTEMPERER, TABASSAGES (A MORT), TENTATIVE DE MEURTRE SUR DEUX AGENTS EN CHARGE DU FBI, EVASION DE LA PRISON FÉDÉRALE DES ETATS-UNIS, ASSOCIATION DE MALFAITEURS, PROXENETISME.
Etat médical: Diabète de type 1 depuis l’adolescence.
Maladie mentale : Pasquale Greco a reçu les visites d'un psychologue durant 10 ans lors de sa première incarcération (peine effectuée à New York: 17 ans) diagnostic : Souffre de troubles obsessionnels compulsifs :
- Des idées violentes
- Des doutes continuels (la porte d’entrée est-elle fermée ?...)
- Des ruminations obsessionnelles qui consistent à revenir sans arrêt sur un mot, une phrase ou un problème insoluble.
- Vérifier quelque chose à répétition
- Se laver de façon continuelle
Schizophrénie (stade 1) diagnostiquée
Amputation du gros orteil du pied gauche.
PATIENT DANGEREUX.

Notes:
1989: Associé du Soldier Angelo Ruggiero jusqu'à la mort de ce dernier. (cancer, décembre 89)
1990-1992: Made-man (?) du Captain Frank Locascio (purge une peine de prison à perpétuité)
1992-2009: Pasquale Greco purge sa peine de 20 ans de prison (réduite à 17) pour proxénétisme. Il recevra pendant 10 ans les visites d'un psychologue (voir diagnostic plus haut) et passera un diplôme d'électricien.
2009-2011 : Depart pour Los Santos où il rejoindra son ami d'enfance le Captaine Paulie "Big Paulie" Gravano. Deviens rapidement soldier, puis probable quadruple meurtre (non prouvés) sur les personnes de:
Vito Ancelotti (Captain)
Adriano Ancelotti (Captain (?))
Tony Houston (Boss (?))
Marshall Houston (Captain (?))
Il permettra à Big Paulie Gravano, alors admis à l'hopital de All Saint de Los Santos pour son cancer, de devenir le patron de la Famille Gambino et de devenir lui-même Capitaine.
8 juin 2011: Signe distinctif: Pasquale Greco est admis à All Saint pour avoir reçu une balle dans le pied (tentative de meurtre?) personne n'a entendu de coup de feux aux alentours. Il sera amputé du gros orteil du pied gauche.
6 août 2011 : Disparition de Pasquale Greco de la surface de la terre. Aucun corps n'est retrouvé. Probable cavale. (décédé?)
Courant de l'année 2011, (mois d’août ?) : Réapparition de Pasquale Greco, qui passe très probablement nouveau boss de la famille Gambino, remplaçant Paulie Gravano (en chimiothérapie)
23 août 2011 : Agression sauvage de Pasquale Greco sur Jack Crawler, 6 coups de rasoir dans le ventre dans son barbier de Gampton. Traces de luttes présentes. Suspects principaux : Joseph Roth, Pasquale Greco, Anthony Gulatieri. Jack Crawler est porté disparu et donc, recherché.
29 août 2011 : Démentellement d'une grosse partie de la branche de la "Gambino Crime Family" sur la côte ouest. Une quinzaine de suspects arrêtés, procès en cours. Pasquale Greco, Melvin Uccello, Paulie Gravano, Joseph Roth, ont sûrement fuit le pays.
4-8 septembre 2011 : Grand nombre d'assassinats internes à la famille Gambino. Une trentaine de morts probablement. Aucune bonne piste. Probable retour de Pasquale Greco à Los Santos, un mandat de perquisition est en cours de préparation dans sa demeure de Richman.

Kendell "Junior" Brooke - Mort exécuté dans son appartement à Jefferson
"Giu" - Mort assassiné à Palermino Creek
Richard "Ricky" Culiano - Disparut, supposé mort
Maxozo Giovanni - Mort exécuté au Ten Green Bottle
Luigi "Botti" Botticelli - Mort suicidé au bras de Melvin devant le San News, le corps a disparu par la suite.
Carmine "Carry" Tramuni - Mort exécuté à Las Venturas
"Uncle" Tony Rosino - Mort exécuté vers Los Flores, dans un parking (voiture piégée)
Ermal "Ermy" Zimera - Mort exécuté à El Corona
Max Fuegos - Mort exécuté à El Corona
John "Johnny Boy" Albertino - Mort exécuté près du QG du S.W.A.T.
Nemo "Nibard" Capaccio - Mort exécuté vers Inglewood
Anthony "T" Centracchio - Mort exécuté vers Gampton
Ignazio "Kyle" Luigie - Mort exécuté vers Gampton
Jack "Jacky" Crawler - Disparut depuis son hospitalisation (multiples blessures au rasoir dans le ventre faites par Pasquale Greco. Jack Crawler a été transporté à l'hopital en huntley grise par : Anthonty Gulatieri, Joseph Roth, Pasquale Greco, et un dernier inconnu).
Alfredo "Fredo" Paccinelli - Mort exécuté au abord de Willowfield
Alberto Renzo - Disparut.
Tony "Dr. Psycho" Cerreti - Disparut, supposé mort
Causi Caruso - Sauvagement assassiné au Ten Green Bottle
Carl Spencer - Mort exécuté à Willwofield
Daniel "Danny" Daccacia - Exécuté de 3 salves de fusil à pompe devant le San Center.


Proches:
John Gotti
Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. John-gotti
Ancien boss. (NY)
DÉCÉDÉ.
Affinités: • • • • •

Angelo Ruggiero
Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. M
Ancien Soldier (NY)
DÉCÉDÉ.
Affinités: • • • • •

Frank Locascio
Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. 87px-Frank_Locascio
Ancien Captain (NY)
Purge une peine à perpétuité.
Affinités: • • • • •

Paulie Gravano:
Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. Paulie10
Probable boss. (NY/LS)
Disparu.
Affinités: • • • •

Joseph Roth
Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. Joe10
Probable Advisor/Underboss. Discret.
Disparu.
Affinités: • • • • •

Melvin Uccello
Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. Ww10
/
Disparu.
Affinités : • • • • •
Carmine Tramunti
Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. Carry10
Soldier.
Décédé.
Affinités: • • • •

Ricky
Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. Ricky10
Soldier.
Décédé.
Affinités: • • • • •

Kendell "Junior"
Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. Kendel10
Associé.
Décédé.
Affinités: • • • • •


Dernière édition par "Philly" Philip Rosenberg le Mar 1 Nov - 20:41, édité 10 fois
Peter Filkowski
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Message par Peter Filkowski Ven 19 Aoû - 10:19

Pasquale "Patsy" Greco
Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. 49945_3078615183_8b92c12f59
La longue descente aux enfers de Patsy


Chapitre 1
La majorité des criminels ne sont pas en prison.


Bah moi, si.
Putain quel con vous allez m'dire pour finir en tole..
C'était vrai quand ils m'ont chopé.
New York, 1987-1992.
Ça faisait un moment que j'bossais pour eux. J'me faisais pas mal de thune. Je travaillais plus précisément pour le gros Angie, un type bien sympa que j'aimais bien, mais il avait toujours les narines remplies de poudre celui-là. Ça aurait pu lui valoir une balle en pleine tête, mais c'est le cancer qui le flingua en décembre 89. Angie, il me faisait vendre de la coke à un gang de noirs, pas loin de chez nous. J'me faisais plein de billets avec eux, mais il me prenait 70%, et après il arrosait John Gotti. Ouais, j'connais John Gotti. 'Fin, j'le connais.. façon d'parler. J'l'avais vu une fois avec Angelo, il m'avait tapoté sur la joue en souriant avec sa grosse liasse de billets à la main (que j'avais gagnée tout seul au casino, merde). A la mort du gros, j'avais plus personne pour qui bosser. J'étais dans la merde, quoi, je errais, pendant deux mois j'étais comme un con. Puis j'ai rencontré Paulie Gravano. Ouais, Gravano. C'était le neveu de cet enfoiré de balance, Sammy The Bull Gravano. J'connaissais un peu Paulie car on avait grandit dans le même quartier, tout les deux. Il m'a remis dans le circuit en me présentant à un Capo, Frank Locascio. J'ai jamais beaucoup aimé ce type là. Il prenait deux fois plus que Angie, niveau pognon ! Putain, heureusement que j'me faisais pas mal de fric, sinon, j'étais ruiné. Et dans ce milieu là, quand t'arrives plus à payer, t'es vraiment dans la merde. Bref, j'ai jamais eu ce soucis.
1992. Gros coup de filet des fédéraux. Gotti, Locascio, Sammy Gravano, tout les gros poissons se font chopper. Et puis bon, j'étais pas trop con, je savais bien que mon tour arriverait, ils avaient eu Franky alors ils allaient m'avoir. Avec Big Paulie, on s'est barrés à l'aéroport, direction Los Santos. Fallait se casser le plus vite possible de toute cette merde, avant d'y passer aussi. La côte ouest, ça m'enchantait pas plus que ça, mais bon, on fait avec, c'est pas bien grave. C'est toujours mieux que la côte est qui tombait en ruine. Donc, on arrive à l'aéroport, Paulie achète son billet, il se magne de rentrer dans l'avion, il disparaît dedans. J'arrive au guichet, j'achète le mien, au moment de partir, j'attrape ma valise, et là.. elle tombe et s'ouvre. Putain.. Quand j'y repense, si j'avais fais un peu plus gaffe.. J'ai mis au moins un quart d'heure à tout remettre bien dans des ordres de couleur, de grandeur, les fringues et tout ça, merde.. (j'aime que tout soit bien rangé, une petite manie, rien de plus). Et cet enfoiré d'avion décolle sans moi, le gros porc avec, bien entendu. Le temps d'attendre le second départ, le lendemain à 15h, j'ai du dormir sur les sièges en plastique tout pourri du hall de l'aéroport, avec des chewing-gum collés dessus et tout ça, super. Et c'est là que les fédéraux m'ont choppé. Ils m'ont foutu 20 ans pour proxénétisme (je savais même pas que ce mot existait). Pas un coup de téléphone, pas une visite pendant toute ma peine.. Ah si, le docteur Rosenberg, un psy. Il est venu me voir pendant dix ans, jusqu'à ma sortie. Il m'a diagnostiqué des merdes du style troubles obsessionnels compulsifs, j'crois que ça me donne des idées assez violentes et des envie de propretés, des manies, des trucs comme ça.. rien de grave, et aussi une schizophrénie, mais ça c'est qu'un tissu de connerie, jamais j'me suis mis à danser à poil dans ma cellule en me prenant pour le motard des village people.. mais bon, c'est un médecin, en plus juif, donc ça m'étonne pas qu'il dise des trucs à la con pareil. Donc ouais, j'suis ressorti après 17 ans, et j'suis parti vers l'aéroport, direction Los Santos. Cette fois-ci, j'ai pas loupé l'avion. Ce que j'aurais dû faire 17 ans auparavant d'ailleurs.

Chapitre 2
Arrivées et grandes émotions.


2009, Los Santos. Arrivé à LS, j'avais l'air d'un con sur le trottoir de l'aéroport, ma valise à la main. Paulie, que j'avais prévenu quelques jours avant, avait semblé m'avoir oublié.. l'enfoiré. Quand j'me suis mis à marcher pour allez je n'sais où, un gros 4x4 noir est arrivé devant moi en s'arrêtant. Pas d'la merde, un vrai 4x4, vitres teintées à l'arrière, un moteur de fou, au moins 20 plaques! Le conducteur était mince, brin, l'air fatigué et un peu "je-m'en-fous". A l'arrière, la porte s'est ouverte rapidement, puis est sortit, lentement, un gars qui levait ses bras vers moi, un sourire sur son visage gras de bulldog ; Paulie. Il faisait bien 1m90 et 120kg, il avait encore grossis. Après quelques salutations, il m'a présenté le conducteur, Ricky, un de ses gars. Il était sympa, mais il parlait pas beaucoup, il avait l'air de s'en battre les couilles de moi comme de sa première nana. Mais bon, il avait une sorte de classe qui laissait pas indifférent, on le remarquait facilement et rapidement malgré sa discrétion. Il nous a conduis vers le bar de Paulie, vers Ganton : Le Ten Green Bottles. C'était fou là bas, en permanence une quinzaine de ritals qui boivent comme des trous et balancent des blagues bidons, tous des gars du gros. De tout ces gars, tout ceux que l'ont m'a présentés ce soir là, je me rappelle que d'un. Bah ouais, les associés tout ça, on en gagnait une vingtaine par jour, donc on pouvait s'permettre de buter le surplus. Je disais, ouais, j'me rappelle que d'un : Joseph, dis Joe, Roth. Un juif, c'était le soldat de Paulie (car Paulie était déjà Capo, l'enfoiré, un avantage non négligeable pour moi) il était sympa, souriant, toujours prêt à aider et à faire des blagues de merde. J'l'aimais bien, ce type m'a marqué. On est rentrés dans le bar, avec le gros, et là, il m'a payé une pute. C'était une tradition quand un ami sors de tole. Tradition de merde, putain ! Qui s'étonnerait pas, après 17 en cabane à se branler dans sa chaussette, d'être précoce?! Ils se sont un peu foutus d'ma gueule puis on a bu jusqu'à 2-3h du matin. Ensuite, Paulie m'a prêté une vieille camionnette et j'ai été crécher dans un motel miteux de Jefferson.
Le lendemain, 18h, j'arrive au TGB, bonne humeur, j'commence à boire et à faire connaissance avec les gars de l'équipe. Arrive Paulie, déboussolé, tout rouge, l'air totalement stressé et surmené, il fonce s'asseoir sur un tabouret au bar, puis derrière lui arrive Vincenzo Gotti, le patron sur la côte ouest, Joey Mangano JR, son consigliere si j'ai bien compris, et Mickael Cotroni, son bras droit.
Ils se calent tous autours de Paulie et se mettent à parler, à voix basse. Même si j'essayais d'entendre, j'y arrivais pas. Après genre 20 minutes, Joey a dit qu'il devait aller voir sa mère, un truc du style, il est parti en vitesse. Sont entrés, 10 minutes après, 3 gars, avec des chapeaux, des lunettes, des fringues étranges, comme des déguisements. Ils avaient leurs flingues de sortis, ils marchaient rapidement en direction de Paulie, Gotti et Cotroni. Je les ai vus directement. Je sais pas pourquoi j'ai rien fais, j'avais le flingue de Paulie à la ceinture. Je les ai regardés s'avancer vers les 3 gars, puis ils ont ouvert le feu. Incroyable. J'étais à 5 mètre d'eux. Du sang partout, sur le mur, le bar, par terre, des bouts de cervelle et d'intestin, dégueulasse. Ils sont partis en courant. Vincenzo et Mickael sont tombés, tout les deux, au même instants, les visages tuméfiés par la peur, les corps totalement troués de balles. Ils baignaient dans une marre de sang. Là, la panique. Tout le monde crie, court, s'excite. Moi, non. Je regarde Paulie, debout les yeux fixés sur les deux cadavres d'un regard sans expression. A cet instant précis, il m'a vraiment fait peur. Imaginez un type totalement en sang, avec son visage de bulldog vous regarder avec deux morts à ces pieds.. un spectacle horrible, j'vous l'dis. Ensuite, il m'a pris le bras et on a courru dehors. Le TGB est resté fermé 3 semaines pour enquête, on a été interrogés, mais personne a rien dis. La vie a repris son cours, malgré qu'on aie fait la une des journaux. Forcément, le fils de John Gotti et son bras droit assassinés mystérieusement dans un lieu publique, ça fait parler..

Chapitre 3
La commission, début des affaires mais aussi des cauchemars.


Après que tout ce soit calmé, Paulie m'a donné rendez-vous dans son palace, à Mulholand, avec Joe. J'connaissais bien sa putain de grosse baraque, pour m'en être servis à baiser des gonzesses quelques fois, elles en devenaient dingues. Bref. C'est là que j'les ai tous vus, quasiment toute la Gambino au complet.. Vito Ancelotti, Adriano Ancelotti, Antonio Cotroni, John Albertino, Tony Houston, Barry Houston.. et j'en oublie, je cite surtout ceux à qui j'aurais affaire après.
Ils rentrent tous dans la maison, et t'as une cinquantaine de clampins dehors qui attendent, dont moi, au moins une heure qu'ils ressortent. Une fois leur réunion finie, j'ai ramenné Paulie et Joe au TGB. Là, il a fait de moi un Soldat.
La grande classe quoi, j'contrôlais mes gars, et j'vous dis pas comment la thune entrait, c'était dingue, j'refilais sa part à Paulie, bien sûr.
Le business de poudre, au moins ici c'était pas interdit par les "grands" (c'est-à-dire, la commission), donc on se faisait une bonne masse de thune là dessus, surtout des gars à moi et Joe, Franky Luciano, et Marzio Amaro. Ces deux enfoirés avaient toujours plein de blanche dans les narines (surtout le second) mais j'vous dis pas combien de billets ça nous faisait quand on faisait les comptes chaque dimanche. Franky a été foutu en tole à perpet' après justement pour trafic de stup', et là on s'est calmés. Les fédéraux, ils restent sympa tant qu'on se bute entre nous et qu'on vend pas de dope. Donc on a un peu arrêté et on s'est plus portés sur les rackets et tout ça, ce qui nous a permis de diriger General Motors et LSM à l'époque.
C'est aussi dans cette période que j'ai rencontré Stacey Smith, au TGB. Elle bossait pour le gouvernement, mais ça me gênait pas trop. Elle était vraiment sympa, je l'aimais beaucoup, on a appris à se connaître sans trop qu'elle voit mes activités, même si c'était pas facile. Elle avait un ami, Clay Simons, un biker noir. Il était sympa, mais complètement dingue. Un groupe de bikers énnemis, des MC j'sais pas quoi, en voulaient à sa vie, et il craignait pour son gosse de 6-7 à l'époque. Donc, moi et Stacey, on l'a pris et on l'a élevé. On se relayait pour le garder. Quand il a eu 10 ans, j'ai dû le donner à une famille, sur Jefferson.
Et c'est ce moment précis que ces enfoirés de rêve ont choisi pour venir me faire chier. Chaque nuit, à trois heures du matin, j'me réveille en sueur. En fait, je sais pas si c'est des rêves, ou une putain de réalité.. Comme je vivais seul, personne pouvait partager mon fardeau et me dire si il voyait, lui aussi, un indien venir me réveiller tout les matins, en hurlant et agitant au dessus de lui ses deux grands bras, moitié vivants, moitié morts. Il avait un truc en particulier. Sa main gauche. Au lieu de la main, on voyait un gros moignon horriblement rouge et irrité. J'sais pas ce que cet enfoiré avait fait de sa main mais j'ai pas trop envie de le savoir.. bref, chaque nuit, 3h du matin très précisément, il me réveille avec ces cris horribles.. horribles..
Je me lève, je le suis, systématiquement, une envie incroyable, irrésistible, comme si un fil invisible me tirait à lui. Jamais je n'arrives à aller dans un autre sens. C'est comme si j'avais deux esprits en moi, l'un me dicte de le suivre, et l'autre, plus timide, moins puissant, de prend mes jambes à mon coup. C'est toujours le premier qui prend le pas sur l'autre. L'indien me fait faire le tour de ma baraque pourrie, s'arrête devant les chiottes puis disparaît dans un bruit aigu dégueulasse. Et là, bizarrement, j'me réveille pas dans mon lit, mais je reste planté là, devant les chiottes, je sens quand même que j'me réveille, mais c'est différent. Pas comme quand on se réveille dans son lit à 10h du matin après une bonne nuit, non, je sens quelque chose en moi partir en même temps que mon étrange visiteur puis je suis fatigué, je ne tiens plus débout, et je retourne dormir. Et cet horrible scénario se produit chaque nuit, je sais pas ce qu'il m'arrive. Je commence à être effrayé. Tout le monde a remarquer mon changement brutal de tempérament, je suis plus agressif, morne, fatigué.. J'ai l'impression que je porterai ce fardeau jusqu'à la fin de ma putain d'vie.. C'est pire que la prison, cette fois, c'est pas moi qui suis emprisonné mais mon esprit, je sais pas comment expliquer tout ça tellement cela me dépasse..

Chapitre 4
Début de la fin pour Gravano.
Paradoxe entre le jour et la nuit.


A pars ces cauchemars à la con, ou quoi que ce soit que ça puisse être, tout allait bien. Sauf pour Big Paulie. Il avait développé un cancer, je sais pas où il était localisé. J'me suis toujours demandé si ça existait un cancer de la graisse, en tout cas, si c'était ça, il était foutu. Il a été admis à l'hôpital, en chimiothérapie. En attendant, j'ai été nommé Acting Capo, j'me faisais pas mal de thune, et j'arrosais Paulie sur son lit d'hôpital chaque semaine. Pas énormément, je gardais une bonne partie, car il était plus sur le terrain. Il avait pas à se plaindre, j'faisais tout son boulot et j'payais les frais d'hosto, donc bon. Par contre, les besoin d'un boss se sont vite fait ressentir. La commission, je le savais, Paulie aussi, ne tiendrait pas. Un jour, ça allait péter, inexorablement. On a pris des mesures. J'vais essayer d'expliquer ça facilement.
Quatre crew : Gravano's Crew, Houston's Crew, Cotroni's Crew, Ancelotti's Crew.
Gravano's Crew : On devait absolument prendre le pouvoir avant les autres.
Houston's Crew : Tony et ses frères commençaient à ne plus trop gérer leurs gars, ça partaient en couille. J'ai donc convaincu un de ses soldats, John Albertino, de se ranger à notre cause. Tony, j'avais trop de respect pour lui pour le buter. Il est parti tout seul, avec une belle somme d'argent. John est devenu Capo, en me promettant d'être favorable au fait que Paulie passe Boss.
Cotroni's Crew : Antonio Cotroni, le dernier de sa lignée, n'arrivait plus à gérer. Avec deux-trois gars à tout casser, il arrivait même pas à intimider une petite bande de bridés qui lui causaient des soucis. Je l'ai buté, puis j'ai envoyé ces gars chez Johnny Boy.
Ancelotti's Crew : Ça s'est compliqué. Vito était en vacance en Europe, à rien foutre. Adriano, ou Al, avait pris le relais en attendant. Je l'ai rapidement manipulé, et il a été d'accord pour que Paulie passe Boss, et même pour liquider une partie de son équipe ! Il a flingué son meilleur soldat, Antonio Moretti, (enfin, son meilleur..) sur mon ordre. Lorsque Vito est revenu, il lui restait deux soldats. Adriano, et Carry. Carry bossait pour moi, maintenant. Donc, on a descendu Vito. J'ai été assez sympa pour laisser Al en vie, lui laisser une chance. Il a tenté d'me buter, ce fils de pute. Alors c'est mon meilleur tueur à gage, Tony Cerreti, ou encore Docteur Psycho, qui l'a flingué. Enfoiré d'immigré italien d'mes deux.
Tout les éléments perturbateurs éliminés, Paulie est passé Boss, et moi, Capo.
C'est pas pour ça que mon visiteurs a cessé de venir me voir. Cet enfoiré venait encore me réveiller chaque nuit, j'en dormais plus. Impossible. Je sais pas comment l'expliquer.
La seule qui arrivait à calmer ses venues rien que par sa présence, c'était Stacey. Mais ça fait des semaines que je la vois plus, j'commence à m’inquiéter d'ailleurs, car au même moment Clay Simons JR est revenu à la surface de la terre. Malgré que ce soit un p'tit voyou, c'est un bon gars, il se met pas de poudre dans l'nez, ou de piqûre dans les bras, donc ça va. Je commence à m'éloigner des mes hommes, ils ont peur de moi. Je fais passer mes ordres par mes soldats. En même temps, c'est compréhensif, après avoir buté un associé en plein milieu de la route. MAIS ME PARLEZ PAS DE CETTE MALADIE MENTALE DE MES DEUX ! Cet enfoiré l'avait mérité ! Maintenant, je regarde Starsky et Hutch, tout les jours, je loupe aucun épisode. Un jour où j'en ai loupé un, un de mes gars était chez moi. Je commence à m'énerver, tout ça. Cet empaffé m'a ri au nez ! J'ai pris mon flingue sur le table basse, et j'ai tirer dans l'mur. Il s'barre en courant, moi sur ses talons. Et là, j'lai flingué, en plein milieu de la route, devant tout l'monde. Encore heureux que les autres ont fait disparaître le corps et ont fait fermer leurs gueules aux voisins. Sinon, j'sais pas où je serai là.. sûrement de nouveau en cellule. Ça m'déplairait pas, quand j'y pense. Quand j'étais en tole, y'avait aucun indien qui venait me réveiller..

Chapitre 5
Marche ou crève.


Paulie a reçu des nouvelles de l’hôpital. Son état de santé se détériore. Apparemment, il lui reste plus longtemps à vivre. Il va peut-être retourner au chimio', mais vu les effets inexistants de la dernière.. je doute. De toute manière, j'ai été nommé Street Boss en attendant qu'il se remète -ou pas- de son cancer. J'ai nommé Melvin Uccello, dit Saint, un putain d'aveugle d'mes deux couilles, pour gérer mon crew. On verra ce que ça donne dans cette configuration. Je vais bientôt allez voir John pour lui faire part du nouveau "Boss" pour l'instant. Boss par intérim on va dire.
Les médecins donnent 3 semaines à Paulie. Encore 3 semaines de tribute et je serai fixé sur mon sort et celui de la famille.D'un côté, il m'a beaucoup aidé, je l'aime beaucoup, et j'ai pas trop envie qu'il y passe. C'est quand même un gars qui m'a jamais oublié depuis New York, le seul. Mais sinon, devenir Boss.. c'est le rêve de n'importe qui, et je l'aurai réalisé si il y reste. Au moins, j'me dis qu'il a pas fini sa vie en cabane comme John Gotti.
Cette grosse promotion n'aura pas arrêté mes cauchemars. Je ne dors plus. J'essaie de dormir l'après midi, pour me remettre des nuits merdiques. Ou alors, j'passe ma nuit à boire ou à baiser au Pig Pen.J'ai hâte que Stacey revienne on verra ce que ça donne. Elle est toujours pas au courant de mes problèmes mentaux (Je commence à admettre que j'en aurais en fait peut-être avec ces rêves à la con), et personne ne l'est d'ailleurs. Ça me vaudrait une balle en pleine tête. Mon esprit est prisonnier de cette chose qui me hante, je prie Dieu tout les jours de me libérer de mon fardeau horrible. J'hésite à prendre rendez-vous chez un psy. Mais on aura jamais vu un chef de famille faire ça, putain d'merde.. j'vais pas étaler ma vie devant un arnaqueur, c'est hors de question...
Pour changer de sujet. Je commence à me demander si la côte est était vraiment favorable, comme Paulie se plait à le dire, concernant les disparitions de Gotti et Cotroni : Ils commencent à couper les ponts avec nous. On est quand même une branche maintenant importante de la Gambino, on est dans la Cosa Nostra, mais non. Je sais même pas qui est à la tête de la Gambino, à New York. Si se présente à moi l'occasion de me détacher totalement de ces enfoirés, je la saisirai. Après tout, s'ils ne veulent plus de représentants à LS, ils ont qu'à couper les ponts définitivement et nous laisser faire nos affaires tranquillement. On verra ça par rapport à Paulie, s'il survit ou pas, si je deviens l'unique patron, ou si je reste dans l'ombre.

Chapitre 6
Un jour ou l'autre, ça finit par péter.


Putain,... J'ai dû buter ce gros fouteur de merde de Clay.
Il apportait vraiment trop de soucis, et si il était pas le fils de son père, je l'aurai buter bien avant. J'savais bien qu'il avait apporter une embrouille, j'sais plus trop quoi, avec une bande de bikers totalement tarés. Au début, j'm'en branlais, comme tout les autres enfoirés qui veulent me voir tomber, un groupe de malades en plus, un en moins.. Mais quand j'ai appris que ces enfoirés de motards avaient le FBI sur le dos.. Là j'ai commencer à flipper. Surtout quand le patron du FBI, cette enflure de Kaiser, a été prendre Joe à pars dans sa caisse, pour lui parler de thunes blanchies apparemment.. Maintenant ils étaient sur nous, et leur dossier d'mes deux là, "les italiens de la nuit" un truc dans le style, ça arrangeait rien. J'sais qu'ils ont des trucs sur moi, vu qu'ils me suivent quasiment H24, dès que j'prend ma caisse, y'a un gars derrière moi. Systématique. Donc, avec Joe, on a dû régler Clay nous mêmes, avec des 9mm. Ça faisait longtemps que j'avais pas buter un type, ça m'a fait du bien sur le coup de pouvoir lâcher tout ce que j'avais sur ce pauvre môme. Et ça a eu l'effet de virer de mon esprit l'indien qui vient me réveiller chaque nuit, c'est bénéfique. Eh ouais, car maintenant, c'est pire qu'avant. J'aurai encore préféré qu'il reste. Maintenant c'est ce fils de pute de Clay qui vient chaque nuit me gueuler dessus, et c'est pire, car c'est moi qui l'a buté ! Il arrive, il est tout troué de partout, avec des bouts de visage en moins et il répète le même rituel de mes deux que son prédécesseur.. Et le pire dans tout ça, c'est que Joe a remarquer que j'perdais la boule de temps à autres, j'me souviens même plus ce qu'il s'est passé, ni pourquoi ni comment, mais il m'a glissé le numéro d'un putain de psy dans ma poche l'autre soir. J'vais quand même l'appeler, de toute façon, ça pourra rien empirer à mon état déjà critique..

Chapitre 7
Ça y est, tout a pété


C'est Ricco qui a tout amorcé.
J'étais en vacances quelques jours, genre 4 ou 5, histoire de déstresser, prendre du bon temps, me faire des nanas et tout et tout. Puis, Saint m'a appelé. Alors voilà, c'était la grosse merde, les petits tombaient un par un, les thunes rentraient plus forcément, si les associés et les made-man se faisaient chopés, qui on pouvait taxer ? On était baisés jusqu'à la moelle. Surtout moi. Street Boss, voilà la définition de ce grade à la CON : Tu ramasses plein de thunes, tu diriges tout, voilà t'es bien et en même temps t'es trop dans la rue et tu te fais niquer par les fed'. C'est ce qui m'est arrivé. J'ai écourté de deux jours mon petit voyage et j'suis rentré à LS.. Là c'était la merde, j'me sentais dix fois plus surveillé, j'voyais des fédéraux partout où j'allais et tout. J'faisais plus confiance à personne, même plus à Joe qui s'absentait assez bizarrement des fois. Quand le FBI a tenté de m'arrêté, alors ça a dégénéré, avec Melvin. On a buté une vingtaine d'associés, made-man, soldats en quelques jours. Pas le choix, mais qui pouvait ouvrir sa gueule maintenant ? N'importe lequel de ses enfoirés pouvait avoir un micro, d'ailleurs j'suis sûr qu'au moins une cinquantaine de types m'ont balancé. Donc, j'me suis fais ma petite liste de tâche à finir (En gros, des types à liquider). Déjà une vingtaine de noms barrés, me reste que des gros poissons, là. Alors j'ai demandé l'aide de Santino Calabrese pour m'aider à choper les derniers, et avec Saint, on va finir notre nettoyage de printemps. En attendant, j'me suis cassé et j'habite dans une ferme, vers le nord, loin de tout, on sait jamais. C'est Botti qui m'a trouvé ce coin tranquille, apparemment la famille de la ferme était en "vacance" pour durée indéterminée. En parlant de Botti, lui il est en vacance six pieds sous terre en dessous de la grange. Mais ça, c'est une autre histoire.
J'vais buter tout l'monde et personne pourra m'baiser, parole de napolitain.

Chapitre 8
On s'arrache


Ville de merde. Moi et Melvin on a buté tout les derniers gars qui nous connaissaient.
Maintenant que le FBI a une trentaine de corps sur les bras (on leur a mâché le travail, j'devrai recevoir une médaille bordel), ils sont de plus en plus sur mon dos. Et j'ai entendu deux-trois rumeurs qui tournent à propos de moi, c'est pas très bon.
J'dois avoir.. combien.. 200 plaques en liquide dans ma valise, planquée sous le lit de mon motel. C'est assez pour m'acheter une identité, me barrer et jamais rev'nir. J'compte sur ce fric.
Mais c'est pas énorme non plus, 200 plaques, quand j'pense qu'à l'époque j'me faisais.. 150'000 voire 250'000 la semaine. J'ai perdu pas mal aux courses, au poker, et sur quelques assassinats que j'ai dû refiler à des blacks.
Un gars d'Miami, un certain.. Philip Rosen- machin, il m'a contacté, j'connaissais un type, un cousin à lui, à New York, ça f'sait un bail. Son cousin était mort, et Miami ça puait la merde, donc là il s'est ramm'né à LS, avec son frère, mais lui j'le connais pas. J'lui ai donné quelques bonnes adresses pour bien commencer, et il m'envoie une enveloppe chaque semaine en échange de l'aide précieuse que j'lui ai refilée. C'est un juif, donc ça doit être un cousin ou un oncle à Joe, j'sais pas, mais il paraît que ces gens là se reproduisent comme des lapins, pas possib'.
Dimanche, j'prend l'enveloppe, et j'me tire à Cuba. Il m'enverra par avion ou il s'démerde j'm'en fous après tout, mais j'veux mon enveloppe de toute manière, sinon comment j'vais vivre longtemps là bas, avec seulement 200 plaques? Impossible. Aucune nouvelle de Paulie, de Joe, de Melvin même, qui que ce soit, j'me casse et j'reviens plus. Maint'nant, j'suis libre, bordel de queue.

Chapitre 9
The end.


Je suis donc parti à Cuba, par la premier avion que j'ai trouvé. Je suis resté là bas facilement... 2 ans, ouais, 2 ans. Deux putains de longues années à ruminer sur ma putain de vie de merde ! Je me suis calé avec une femme bien, tout ça, et c'était tranquille, une bonne vie, tranquille, tranquille.. TROP tranquille ! Ça m'interesse pas, ce genre de vie à la con ! Pourquoi je suis entré dans la mafia ?! Les sensations fortes, avant tout ! C'est tout !
Je suis donc retourné à Los Santos, et arrivé là bas, j'ai eu une bonne idée. J'étais fini partout, à Cuba je n'étais qu'un fantôme, et à LS, tout l'monde voulait ma peau. J'ai donc appelé Daniel Daccacia, et on a chié un livre sur ma vie, c'était ma manière de tout finir en beauté et de me venger sur cet enfoiré de Paulie. Le jour de la sortie de mon livre, il m'a appelé et m'a donné rendez-vous chez lui. Je savais très bien ce qui allait se passer, mais j'y suis allé, moi et Tony, dit Psycho. Je savais qu'il allait me buter, mais au final, c'est moi qui a gagné la partie, la partie de toute une vie contre ce gros lard. Il a pointé son fusil sur Tony, et l'a flingué comme une merde, j'avais imaginé une mort plus.. théatrale pour lui, m'enfin bref. Je suis sorti de la caisse, je l'ai regardé, et là j'ai crié : " J'VAIS POUVOIR ME BOUFFER DES PUTAINS DE BIGMAC AU PARADIS, FILS DE PUTE !" Et il m'a arraché la gueule.

Patsy finit ainsi son long monologue, puis ajoute, devant son étrange interlocuteur, resté calme et silencieux :
" Alors, Pierrot, tu m'ouvres la porte du MacDo ?"

Pasquale "Patsy" Greco | FBI FILES | - | Background : La longue descente aux enfers (?) de Patsy | The End. 99824_mafia_1_

PRÉFACE.

Comme vos le savez tous, je m'appelle Pasquale Greco, et je faisais partie de la Cosa Nostra, plus précisément au sein de la famille Gambino.
Si aujourd'hui je décide de m'exprimer à travers ce livre, c'est parce qu'une vie de marginale comme j'en ai eu une ne dure qu'un temps. Il faut parfois regarder les choses en face, on croit tout avoir lorsque l'on en fait parti, mais tout cela n'est qu'illusions. Ce n'est pas une vie qu'on peut qualifier de "normale", je veux dire par là une vie de famille sans problème. C'est un travail qui demande une attention particulière à chaque détail, chaque petite chose que n'importe qui ne remarquerait pas en temps normal, en bref, c'est un travail qui vous prend toute votre vie sans jamais ne pouvoir vous la rendre, il laisse des marques indélébiles qu'il est impossible d’effacer. C'est tout de même ce que je tente de faire par le biais de cette biographie, faire connaître à tous les secrets de ce monde sombre et à sens unique. Si j'ai choisis Daniel Daccacia afin d'exprimer mon ressenti sur le papier, ce n'est pas du au hasard non plus, puisque je le connais à présent bien et lui également, on peut se comprendre.
J’essaie, grâce à ce livre, de racheter du mieux que je peut toutes les erreurs que j'ai pu commettre dans mon passé, aussi nombreuses soient elles.
On va peut-être vouloir me mettre en prison pour tout ce qui sera raconté dans ce livre, mais sincèrement, ça n'arrivera pas.

CHAPITRE I : La famille Gambino sous le règne de Vincenzo Gotti.

Vincenzo Gotti était l'un des fils de John Gotti, le plus célèbre des parrains de la famille Gambino à New York, connu pour ses nombreuses arrestations et ses provocations incessantes. Lors de la mort de son père, en 2002, Vincenzo pris en mains pas mal d'affaires de la famille désormais affaiblie à la grosse pomme. Il fut nommé Soldat par ses oncles, qui avaient pris le pouvoir à la mort du Donc bling-bling. Lors de la mort de ceux-ci, c'est à Joey Mangano que revint la place de leader de la famille mais, lorsqu'il disparut en 2006, ce fut Vincenzo qui atteignis l'apothéose. Il prit l'initiative, risqué, de déplacer un grand nombre des business de la Gambino à Los Santos, sur la côte ouest, ce qui affaibli énormément l'organisation. Les bras-droit ne durent pas longtemps, Paul Brazzi et Albano Sindacco sont très rapidement tués, puis remplacés par Mickael Cotroni. C'est environs à cette période de transition que survinrent les tensions au sein de la famille. Alors qu'elle est seulement relancée grâce à Cotroni, les capitaines, c'est à dire ceux qui représentent les patrons dans la rue, se lient déjà contre le pouvoir en place. La famille Gambino entre donc dans une période de mutinerie silencieuse. Gotti et son bras-droit prennent peur des différents Capitaines, Vito Ancelotti, Paulie Gravano, Antonio Cotroni et Tony Houston. J'ai même entendu dire qu'à cette époque, beaucoup de capitaines et même de soldats ne payaient plus leurs tributs, ce qui représente le manque de capacité des deux boss à gérer une organisation criminelle aussi puissante. Tout le monde sentais la famille se déchirer petit à petit. J'étais à l'époque soldat dans l'équipe de l'homme qui deviendra par la suite célèbre, Paulie Gravano, dit Big Paulie.
La Gambino que se sont efforcés de forger Mickael et Vincenzo n'était en réalité qu'un écran de fumée, derrière se cachait une organisation qui n'est plus représentée dans la rue, qui n'est plus crainte et plus respectée, elle était en train de se dissocier et des plans commencèrent à se faire. Je voyais là une très bonne opportunité pour monter en grade et prouver de quoi j'étais capable, surtout que je connaissais Paulie depuis très longtemps et que lui faisait déjà partie des capitaines. En 2007, Mickael Cotroni est assassiné, tabassé sauvagement dans le Ten Green Bottles, sur le territoire de Gravano. Le meurtre fais la une des journaux californiens, pour tout les membres de la famille Gambino il s'agit d'un coup de maître et d'un futur grand retournement de situation pour Gotti. Mais celui-ci y voit, en se trompant fortement, la fin de tensions. Lorsqu'il se rendait, seul, au Ten Green Bottles encore une fois pour récupérer son tribut hebdomadaire, Vincenzo Gotti est assassiné par des alliés de Paulie, qui avait organisé son assassinat méticuleusement, les membres de l'autre grande famille mafieuse de Los Santos, la famille Ruggiero. C'est donc la fin du règne de l'homme qui avait détruit la Gambino, à sa manière.

CHAPITRE II : La Gambino déchirée.

Le chef du crime organisé de la Californie viens d'être "mystérieusement" assassiné au Ten Green Bottles, à cause de la trahison de l'un de ses quatre Capitaines : Paulie Gravano, le neveu du tristement célèbre Salvatore "Sammy the Bull" Gravano.
Peu après le meurtre de Vincenzo, son consigliere, Joey Mangano JR, pris la fuite dans on ne sait quel pays. De ce que j'avais entendu de lui dans la rue à l'époque, c'était un "sans-couille" comme tout le monde dit, et tenait sle peu de réputation qu'il avait seulement de son père, Joey Mangano, le prédécesseur de Vincenzo au pouvoir de la Gambino. Au lieu d'affronter les problèmes que rencontrait la famille en face, il a préféré quitter le pays afin de ne pas rejoindre Vincenzo, cette attitude m'a toujours amusé.
Deux semaines après le meurtre de Gotti, les quatre capitaines de la famille, Vito Ancelotti, Tony Houston, Antonio Cotroni et Paulie Gravano ont fait une réunion au manoir de ce dernier, à Richman. Je m'en souviens comme si c'était hier. C'est d'abord le crew de Big Paulie qui était là en premier, on était cinq : les trois soldiers, et des insiders. Ensuite sont arrivés l'équipe de Antonio Cotroni, ils était quatre, et semblaient pas très impressionnants, il y avait John Albertino, et Walter Lombardo, les deux seuls dont je me souvienne. Ensuite, l'équipe de Vito est arrivée, eux ils était au moins une trentaine, je crois qu'ils avaient l'intention de tuer Paulie, mais comme tout le monde s'en doute, rien ne s'est passé. Tony Houston et ses gars, eux, sont arrivés en retard, pour se donner un genre. La réunion, ensuite, a durer au moins deux heures, durant lesquelles tout les membres des crews étaient chacun de leur côté, parlant entre eux dans le froid. On sentait la tension dans l'air, personne ne savait ce qui allait se passer. Je me rappelle aujourd'hui de pratiquement tout le monde lors de cette réunion, bien qu'on était environs une cinquantaine : les tronches de cake des gars de Ancelotti, les carrures de fiotes de ceux de Cotroni, et les gars inexistants de Houston. Je me rappelle de tout leurs visages décomposés lorsque sont sortis les désormais Boss, ils se sont tu et chacun est retourné dans son quartier respectif. Paulie m'a alors expliqué, à moi, Joseph "Joe" Roth et le dernier soldat Billy Donatello qu'ils avaient formé une sorte de "commission". En gros, chaque semaine se déroulerait une réunion des différents Capos pour prendre les décisions les plus importantes pour la famille. C'est aussi ce soir là que je me suis vu donner la place de bras droit de Paulie, ainsi que le droit de récupérer la taxe de Ruggiero.
Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, je récupérais beaucoup d'argent en ce moment de tout mes associés et du business de drogue que j'avais instaurer avec l'aide de Joe, et bien sûr je donnais sa part à Paulie toutes les semaines, ça s’appelle le tribute, et faut pas oublier de le donner ou sous peser l'enveloppe, sinon, les trois quarts du temps, ça se fini au fond d'un fleuve, mais je n'ai jamais eu ce problème car j'ai toujours été sérieux dans mon boulot.
Tout à l'heure, je parlais de Ruggiero, je vais approfondir la question.
Dans Los Santos, il y a donc deux grandes "familles mafieuses". La famille Gambino, déjà connue à New York et dans le monde entier, et la famille Ruggiero, une petite famille de seconde zone de LS, dirigée par Frank Ruggiero et Salvatore Caruso. Ils possèdent deux ou trois quartiers et quelques soldats, comme Franck "Leather" Cagliani ou Joe la poisse, parmi leurs capitaines je me souviens de Rayan Galeazzi, et d'autres. Ils payaient une taxe depuis déjà l'époque de Gotti pour être tranquilles dans leurs affaires. Lorsqu'ils ont pris plus d'importance dans la ville, on les a fait entrer dans la Cosa Nostra de façon plus officielle. Que je me souvienne, c'est toujours les deux mêmes hommes qui dirigent cette organisation.
La Gambino sous la commission, c'était plus structuré que sous Gotti, c'est sûr, ça s'améliorait petit à petit, mais c'était pas encore ça. Le besoin d'un chef se faisait sentir, c'était envident. C'est comme une armée sans général, ça ne peut pas tenir. C'est alors que moi et Paulie avons décidé de prendre quelques initiatives.

CHAPITRE III : La Gambino sous le règne de Gravano.

Donc. Paulie, comme le gros manipulateur sans scrupule qu'il était,avait planifié les meurtres de Antonio Cotroni, Vito Ancelotti et Tony Houston, afin de passer Boss plus facilement et sans encombre, il fallait éliminer les obstacles. C'est moi qui m'en suis chargé. Pour Antonio, ça a été très simple et rapide. J'étais avec deux gars à moi, Franky Luciano et Richard Kuklinski, deux très bons hommes à moi, et c'est pour ça que je les ai choisis pour m'assister dans ce boulot. J'avais donc rendez-vous avec Antonio au Ten Green Bottles, il est arrivé seul, tel le pauvre Capitaine déchu de son équipe qu'il était. C'était vraiment le plus simple des trois, pas la simple et bonne raison que, comme je l'ai déjà dis, il n'avait plus aucune équipe. On l'a emmené sur le toit du TGB, avec Franky et Ricky, on a parlé cinq minutes, puis on a tout les trois sortis nos armes à silencieux, des neuf millimètres. Antonio, arrêté au beau milieu de sa phrase par cette action, s'est stoppé net, je crois qu'il a vu sa vie défiler sous ses yeux durant le quart de secondes durant lequel on a levé nos armes, puis.. j'ai ouvert le feu en premier. Je crois que c'est moi qui l'a tué, techniquement. Je lui ai mis trois balles dans le crâne, il était toujours pas par terre, bien que totalement défiguré avec de la cervelle qui lui coulait des oreilles. Ensuite, on a tous tiré dans sa poitrine, au moins cinq balles chacun, on l'a totalement troué, il était sûrement déjà mort mais il tombé à cause de la puissance de nos armes à feu combinée. Il est donc tombé, s'est éclaté le crâne déjà bien troué contre le sol, et n'a plus bougé, j'avais pas mal de sang qui avait attérit sur mon visage, ainsi que sur les habits de Franky et Ricky. Une scène pareille, c'est digne d'un film hollywoodien. C'est là qu'on comprend à quel point le milieu est violent et horrible, et c'est l'une des choses qui m'a poussé à écrire ce livre. Après cela, Paulie est venu constater les travaux, il a redonné un coup de pied dans la tête défigurée de Antonio, puis on a rangé le corps dans un tapis, avant de le jeter au fleuve.
Ensuite est venu le tour de Vito et de ses gars. Pour lui, c'était différent. Bien qu'il n'avait aucun pouvoir, il avait encore une équipe derrière lui, qui pouvait nous ralentir. Avec Paulie, on a donc décidé de lui proposer une place de sous boss, et qu'il lâche son équipe en contrepartie, pour le descendre par la suite plus facilement. Je me doutais qu'un coup bizarre allait arrivé, donc j'ai rallié à notre cause un de ses soldats, Carmine Tramunti, plus exactement son soldat le plus efficace, qui lui a ramené à son tour Alfredo Paccinelli. J'ai donc pris toute mon équipe, Joe aussi, et me suis rendu chez Vito. On était peut-être cinq, et chez Ancelotti, grosse surprise, il y avait seulement Vito, son frère Adriano, Carmine et Fredo. On a donc discuté, et je lui ai exposé le problème, puis lui ai proposé la solution qu'on avait choisie d'avance pour lui. Il a refusé, et a voulu garder son équipe. On a tous sorti nos flingues, que ce soit mes gars, ceux de Joe, ou le peu qui restait à Vito. Seuls lui et Adriano n'ont pas réagis, ensuite, on a tous ouvert le feu. Ça ressemblait un peu à la dernière scène de Scarface, c'est pas tout les jours qu'une dizaine de gars tirent sur un seul. Beaucoup de sang sur chacun d'entre nous, sur les habits, les visages, les armes, sur les murs, le sol. On voyait même ses boyaux qui ressortaient au niveau du ventre, c'est cette image qui m'a marqué toute ma vie par la suite je pense. J'ai fais comprendre à son frère Adriano que s'il se tirait de L.S., il serait épargné. Il semblait d'accord pour se barrer, mais le soir même, il a réuni les derniers gars qui lui restait, ils sont arrivés aux TGB et ont ouvert le feu. J'avais tout mes hommes sur le pont, et ils ont tous été exterminés, pour Al, je lui ai réservé une mort sympathique, après que mon homme de main, Tony Cerreti, l'ai bien achevé, on lui a écrasé la tête dans le caniveau et on est partis. On sentait vraiment le roussi au sein de la famille, avec tout ça, j'avais même oublié de récupérer la taxe des Ruggiero, grossière erreur de ma part puisque par la suite, ils ne l'ont plus payée et ont continue leur expansion alors que nous on faisait encore le ménage.
Quant au dernier de mes contrats, Tony Houston, je n'ai jamais pu le réaliser. Voyant que tout le monde tombait les uns après les autres, il avait préféré quitter la ville rapidement, lui et son frère Marshall.
Paulie est donc passé Boss facilement, moi Capitaine, et on a nommé de nouveaux soldats, et un nouveau Capitaine, qui a repris l'équipe de Antonio et de Tony Houston à la fois : John Albertino. Ce type là était pas mieux que ses prédécesseurs, mais c'est tout ce qu'on avait pour le moment.
On a par la suite pu continuer notre expansion plus tranquillement, sans problème interne ou externe. On a racheté l'Alhambra et le Pig Pen, avons crée Gravano's Event puis Gravano's Foundation, et on amassait l'argent. Mais l'état de santé de Paulie se détériorait, à cause de son cancer qui faisait à nouveau surface. Il m'a donc nommé Steet Boss, j'étais donc le patron par intérim si on veut, c'est moi qui récupérait l'argent de John et du nouveau Capo fraîchement nommé, Melvin Uccello dit "Saint". Cette situation a continué quelques mois, jusqu'à ce que moi et Paulie avions décidé de supprimer John, qui ne payait pas assez et n'arrivait pas à gérer son équipe comme il se doit. Je crois que c'est cet événement qui a déclenché la suite de l'histoire. Moi et mon homme de main le plus violent, Tony, sommes allés le voir, puis on l'a descendu, purement et simplement.
A la suite de ce meurtre, le FBI a resserrer l'étau sur nous, je crois aujourd'hui que c'est la goute d'eau qui a fait déborder le vase comme on dit. Les arrestations de tout nos associés se sont multipliées. C'était une réelle hécatombe, Paulie a disparu du jour au lendemain, sans laisser de traces, Joe aussi. J'étais encore là avec Melvin, on savait qu'il ne nous restait sûrement plus longtemps de temps libre, donc on a pensé à sauvé les meubles. Une quarantaine de personnes se sont fait liquider en une semaine, pour ne pas qu'elles parlent. Ensuite, je suis parti à Cuba où j'ai vécu assez.. tranquillement, et où j'ai surtout eu le temps de penser à mon passé houleux.

Je serai Cosa Nostra, du début à la fin je le serai.

Pasquale dit Patsy Greco, rédigé par Daniel Daccacia et Harry Davis.





Dernière édition par "Philly" Philip Rosenberg le Mar 1 Nov - 20:40, édité 7 fois
Peter Filkowski
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Message par Roscoe VIII Ven 19 Aoû - 11:33

Met ''Insider'' je suis plus associé depuis longtemps mdrr
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Message par Peter Filkowski Ven 19 Aoû - 11:54

C'est pas vu de mes yeux mais de ceux du FBI j'y peut rien
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Message par Jayden Pearson Ven 19 Aoû - 12:00

Simple et classe
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Message par Sammy-DiMaggio Ven 19 Aoû - 13:02

Pas mal.
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Message par Archibald Quincy Ven 19 Aoû - 14:07

GG sa gère
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Message par Emile Grantz Ven 19 Aoû - 17:24

Très belle image de toi et Paulie ect, et le système d'affinité, c'est perfect, le créateur de ceci doit être un sacré génie (OIM)
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Message par Gabriel Martinozzi Ven 19 Aoû - 18:02

J'aime bien héhé, mais tu écriras ton histoire vue de tes yeux aussi ou tu vas juste te limiter à la vision du FBI ?
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Message par Peter Filkowski Ven 19 Aoû - 18:09

Mon histoire, vue de mes yeux, pour ça que j'ai reservé le second post.
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Message par William_Jarvan Ven 19 Aoû - 19:47

Ouahh !!! Putain trop BG se que tu a fait ! Ta un art pour faire sa qui est incroyable ! As tu deja penser a devenir ecrivain? Se sont les seconde les plus merveilleuse que j'ai eu dans l'année quand j'ai lu se superbe background ! BRAVO
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Message par Frank Ruggiero Ven 19 Aoû - 20:03

Lol, t'as des "fans".
Enfin, je ne sais pas si "fan" serait le mot approprié?
Je rigole, hein. Laughing



Quoi que... Rolling Eyes
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Message par Peter Filkowski Ven 19 Aoû - 22:22

Mdrrrr, c'est pas un fan c'est un lèche boule.
Franky, si un jour tu deviens aussi BG que moi, toi aussi t'en aura peut-être.
C'est bien Lay
/me caresse la tête de Lay en hochant la tête
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Message par Feech Capizzano Ven 19 Aoû - 22:29

Enfoirer de Lay'.. J'suis revenu, ca devrait etre au mienne que tu devrais être pendu là. Twisted Evil
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Message par Eugene Scali Ven 19 Aoû - 22:38

Bien bien


Ca pue non je lol
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Message par Celestino Salgado Ven 19 Aoû - 22:47

Bien fais
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Message par Ace Scoliano Sam 20 Aoû - 1:02

Je poste pour ma promotion si déban et parce-que je suce Micka tout le temps.

Plus sérieusement ... C'est pas gentil de ne pas m'avoir citer.
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Message par Rendall_Evans Sam 20 Aoû - 2:49

Trop nul j'suis pas dedans pu la merde , de la grosse merde !

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Message par Peter Filkowski Sam 20 Aoû - 7:51

Si vous êtes pas dedans vous serez dans l'histoire (dans laquelle je prendrai plaisir à insulter tout le monde) donc fermez la bande d'esclaves
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Message par Frank Ruggiero Sam 20 Aoû - 9:46

"Patsy" Pasquale Greco a écrit:Mdrrrr, c'est pas un fan c'est un lèche boule.
Franky, si un jour tu deviens aussi BG que moi, toi aussi t'en aura peut-être.


"Notes:
1989: Associé du Soldier Angelo Ruggiero jusqu'à la mort de ce dernier. (cancer, décembre 89)
1990-1992: Made-man (?) du Captain Frank Locascio (purge une peine de prison à perpétuité)"



Tu disais, un fan à moi, c'est ça? Laughing
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Message par Peter Filkowski Sam 20 Aoû - 9:49

VTF
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Message par Peter Filkowski Dim 21 Aoû - 15:40

Histoire rajoutée
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Message par Walt Butchinson Dim 21 Aoû - 15:46

Lol ta foutu John Gotti dans tes affinités . Sinon j'ai lu le dernier paragraphe de l'histoire, c'est moyen .
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Message par Peter Filkowski Dim 21 Aoû - 15:49

C'est pas le meilleur. Faut tout lire, c'est le tout qui est interessant
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Message par Archibald Quincy Dim 21 Aoû - 15:54

GG le Bg
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