Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
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Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Anthony « Tony Guzzi / Tony the trigger » Guzzino - A passport to the hell.
« Quitte à pourrir au fond d'une cage ou m'prendre une balle dans la tête, j'refuse de m'lever le matin et d'me regarder dans la glace pour voir un type qu'a peur de son ombre. »
Childhood.
Anthony vit le jour en 1976, au New York Presbiteryan Hospital. Fils de Giacomo Guzzino, un nom connu à Elizabeth (New Jersey) comme étant celui du détenteur du record de bars parcourus en une soirée. Tony a toujours considéré son père comme le pire des raté, pour la bonne et unique raison qu'il ne foutait rien de ses journées et ne prenait son pied qu'en ingurgitant une demi-bouteille de whisky en acclamant les Yankees, assit dans son fauteuil "fétiche". Tant qu'à sa pauvre mère, Maria Guzzino avait été mariée un peu comme qui dirait "à l'ancienne". Contrainte à bosser comme femme de ménage dans un lycée non loin du domicile familiale, elle rentrait le soir la boule au ventre que son mari soit encore sujet à l'une de ses nombreuses poussée de colère.
Vous l'aurez compris, une vie bien modeste attendait notre protagoniste.
Très jeune il avait commencé à fumer, ignorant les méfaits du tabac, son but à lui était plus de se donner un style et de "faire comme les autres", loin d'imaginer que la cigarette deviendrait pour lui une réelle addiction. Souffrant d'une dyslexie avancée, il n'a jamais vraiment été scolarisé. D'autant plus qu'il était auteur de multiples actes de violences dans son établissement scolaire, il finit à ne plus y être accepté. Faut bien le dire, il a grandit dans la rue. Il s'y est d'ailleurs fait des relations auprès de plusieurs gamins de son quartier, au fil des années ils commencèrent à former une petite bande de rue dont Anthony était en quelques sortes le leader. Bien sûr, ce n'était rien : quelques petits larcins par-ci par-là, on était loin du grand banditisme uh'. Mais déjà à l'époque, Guzzino se donnait des airs de grand Caïd. Différent des petits voyous qu'il côtoyait, il montrait qu'il avait pas froid aux yeux. A croire que les coups de son père n'avaient fait qu'endurcir le jeune homme. Et c'est pour ça que tout au long de son existence, il ressentirait le besoin de rendre ce qu'il a reçu. C'est ce qui a forgé l'homme qu'il est devenu.
Premiers pas.
18 juillet 1994.
Anthony approchait des 18 ans. C'est cette année que sa vie qui semblait tracée prit un tournant assez particulier.
Un beau jour, un type qui se faisait appeler Sonny débarqua dans le bar qui servait de hangout à la bande de voyous et vint se poser au comptoir à côté de notre protagoniste qui était en train d'ingurgiter une bière, fumant son énième cigarette de la journée.
« - Eh', Tony, c'est ça ? Dit Sonny, assénant une tape amicale dans le dos d'Anthony qui se tourna ensuite vers lui.
- On s'connait ?
- Non... Mais on va apprendre à s'connaître héhé ! - Moi c'est Sonny.
- Tony, Tony Guzzi. »
Les deux hommes poursuivirent leur conversation un bon quart d'heure. Anthony apprit seulement quelques temps après que Sonny était un Made-Guy du clan Decavalcante. Vous vous en doutez, il en avait rien à foutre des petits manigances que la petite bande de voyous pouvait faire, ce qui l'intéressait était d'avoir une part sur ce qu'ils faisaient uh'. Au fil des mois, Tony remettait sa part à Sonny, du fric qu'il se faisait grâce aux combines que son désormais mentor organisait. C'était donc, vous le devinez, pour notre protagoniste le tout début de son entrée dans l'underworld criminel du New Jersey.
Santino Armone dit "Sonny" à droite sur la photo.
La petite bande d'Anthony n'était depuis environ 2-3 mois plus qu'un souvenir pour la bonne et unique raison que les trois autres membres en faisant partie étaient tombés dans la toxicomanie ou s'étaient faits arrêter en voulant aller trop vite. Néanmoins lui avait continuait à bosser pour Sonny. Les relations entre notre "bad boy" des temps moderne et son mentor de l'ancienne école s'étaient renforcées depuis. Alors que notre jeune wannabe comptabilisait son butin de la semaine, Armone entra à l'improviste dans le bar, vêtu d'un costard et de mocassins luisants. Il s'approchait de notre protagoniste, le sourire aux lèvres dans une démarche lui donnant un air de grand caïd, à la limite de l'arrogance.
« - Ey ! Tony-Tony-Tony comment va p'tit ?
- Eh' Sonny, on s'est mit sur son 31 ?
- Qu'est-ce que tu veux, ça arriverait bien un jour heh' ! Maintenant, va y avoir du changement.
- J'suis encore peu d'chose pour juger ça, mais si c'est c'que j'pense, tu l'mérites uh'.
- Mmh', ça faisait pas mal de temps que ça me trottait dans la tête et j'ai pris ma décision. Va falloir que tu passes à l'échelle supérieur p'tit, tu vois c'que j'veux dire ? - Mais avant, on a un truc à faire. »
Le prix à payer.
21 décembre 1995.
C'était un soir d'hiver 95, aux environs de 22 heures. Guzzino se trouvait debout au beau milieu d'Elizabeth Avenue, sur le trottoir au coin du Gentlemens Lounge. Dissimulé dans l'ombre du grand chêne au-dessus de sa tête. Vêtu d'un duffle coat noir qui lui descendait jusqu'aux genoux. Les mains profondément enfoncées dans ses poches. Ses yeux étaient rivés sur l'entrée du bar-restaurant, agitant nerveusement sa jambe droite. Ce jour-là, il avait reçu des consignes très précises de Sonny.
« Ce connard sortira du bar vers 22 heures. Tu pourras pas l'manquer, c'un gros. J'te ferais un signe de tête pour te confirmer que c'est bien lui t'façon. Tu le suivras jusque sur le parking et tu lui f'ras sa fête, surtout n'prends pas d'risque. Une pastille dans la tête. L'important c'est que tu tardes pas ! Avant de l'allumer, tu lui diras ça : "T'as l'bonjour de Sonny", capich' Tony ? »
Alors qu'Anthony acquiesçait de la tête en signe d'approbation, Sonny plongea sa main à l'intérieur d'un gros sac marron pour en extrait un Glock de petite taille, probablement de fabrication artisanale. Aucun numéro de série se trouvait dessus. Tony avait prit soin d'enfiler des gants en cuir noirs avant de dissimuler l'arme dans le fond de sa poche de veste.
Les minutes devenaient de plus en plus longues. Il se risqua à jeter un œil à sa montre : 22h05. Anthony releva sa tête en direction de Sonny, installé dans une voiture garée sur le trottoir de l'autre côté de la rue puis esquissa un léger rictus, laissant paraître son sentiment de perplexité à l'idée que le type ne sorte pas du restaurant lorsque Armone dévia un bref regard sur l'entrée du Lounge' puis adressa un signe de tête bien prononcé à Tony, lui intimant ainsi que c'était le moment. Ce dernier se retourna rapidement vers la vitre du bar, faisant mine de lire une affiche de concert qui y était exposée après avoir laissé tranquillement passer sa cible derrière lui, il adressa un dernier regard à Sonny puis commença à suivre l'homme d'un pas léger, serrant la cross de son arme qu'il dissimulait dans sa poche.
Le parking était situé derrière le bar, à l'abris des regards indiscrets ou tout autre témoin, Anthony se mit à accélérer le pas vers sa futur victime. Il sentit que les battements de son cœur se faisaient de plus en plus rapides et commença lentement à extraire son arme de sa poche pour ensuite la lever à hauteur de sa tête, pointant celle-ci vers le crâne de ce pauvre type qui se figea soudainement à la perception du cliquetis métallique du flingue. A ce moment précis, il ne put s'empêcher d'esquisser un très maigre sourire. Notre protagoniste ressentit un profond sentiment de puissance. Il ne se l'avouera que bien plus tard, mais en vérité, la simple pensée d'avoir droit de vie & de mort sur quelqu'un l'exaltait.
« T'as l'bonjour de Sonny connard ! »
Le coup de feu retentit dans le quartier. La désormais victime d'Anthony s'était effondrée sur le sol, la tête plongée dans son propre sang. Il tourna les talons afin de se retourner, ne prenant le temps d'observer le cadavre plus longtemps puis marcha jusqu'à la voiture, laissant son arme tomber le long de son grand manteau durant sa course. Jusqu'à aujourd'hui, il n'avait vu faire ça que dans les films, par des acteurs. Mais cette fois-ci, c'était bel et bien la réalité, et c'est lui qui venait d'exécuter un homme de sang froid.
Another world.
Il était mêlé au trafic de cocaïne et en avait apprit les ficelles jours après jours. Pour le simple associé qu'il était, il pouvait se dire heureux, il lui arrivait de se faire près de 15'000$ par semaines. Souvent il s'occupait de contrats dont était chargé son mentor. Dégager un mec n'était plus une épreuve, pour lui, ça devenait même parfois un petit "extra". Il n'osait se l'avouer mais quand il tuait un homme ou en tabassait un autre, il prenait réellement son pied. Au point d'avoir parfois peur de lui-même et de se demander si cela ne faisait pas de lui un monstre. Mais il ne pouvait difficilement faire autrement du haut de son rang d'associé dit "Insider", c'était le prix à payer pour être sur de réaliser ses projets, de faire en sorte qu'on ne se mette pas en travers de son chemin. L'entourage qu'il s'était au fil du temps construit en bossant pour Sonny lui donnait même parfois le surnom de "Tony the trigger", le type toujours une cigarette en main, le regard froid et le doigt jamais loin de la gâchette. Vachement stéréotypé n'est-ce pas ? Mais les apparences sont parfois trompeuses.
Etais-ce donc à ça qu'il était destinée ? Se forger une réputation de tueur afin de pouvoir consolider son néfaste pouvoir ? Rien n'est moins sûr
12 août 2001.
« - T'es sûr qu'il est là ?
- Damn, pourquoi tu stress ? Relax.
- Ey, m'parle pas comme à un gamin Tony.
- Alright - Jerry -, alors le grand garçon va arrêter de chialer. On a du boulot. »
Anthony & son acolyte avançaient vers une petite maison isolée, dans un quartier en périphérie du centre-ville d'Elizabeth. Elle appartenait à Rick Berenetto, ce type était un parfait inconnu pour eux, comme la plupart des hommes sur lesquels on leur a dit de presser le bouton depuis leurs débuts. Le quartier était plongé dans l'obscurité de la nuit, Anthony avançait d'un pas sûr en direction du domicile de sa cible, cette nuit il était spécialement déterminé à faire le job.
L'ordre venait d'en haut, notre protagoniste y voyait l'occasion de percer dans l'équipe pour y faire son trou, devenir un Soldier à son tour, peut-être.
Il se trouvait devant la porte d'entrée. Pour ce coup il avait revêtit son survêtement Adidas noir et d'une casquette qu'il avait rabaissée sur son visage afin que celui-ci soit difficilement perceptible, suivit de Jerry qui semblait essayer de se cacher par-dessus son épaule.
« Fais le tour de la maison, voir si une fenêtre est ouverte. »
Tandis que Jerry s'exécutait, Tony empoigna la clenche pour la tourner. A sa grande surprise, la porte était restée ouverte. Il resta à attendre un léger moment, fixant la poignée en plissant les yeux puis poussa la porte tout en ouvrant sa veste de jogging pour ensuite commencer à s'engager dans un long couloir. Il pouvait distinguer un son provenant d'une pièce dans le fond de la maison, probablement celui d'une télé. Il poursuivait sa marche d'un pas très léger, retroussant légèrement le pan droit de sa veste afin d'empoigner la cross de son arme qu'il plaça ensuite devant lui, le canon baissé vers le sol. Alors qu'il commençait à distinguer les rires de sa cible, affalée dans un grand sofa à regarder la télé, il se figea complètement, s'arrêtant soudainement dans sa course. Cet imbécile de Jerry qui avait rejoint l'enceinte de la maison fit au passage tomber un grand porte-manteaux qui vint à s'écrouler sur une petite table en verre, provoquant le vacarme infernal de l'éclat de la vitre. Anthony pu percevoir un léger bruit métallique, celui d'une arme dont Rick Berenetto venait de s'emparer. La voix usée, probablement celle d'un homme âgé résonna dans la tête d'Anthony qui s'était placé contre le mur de la pièce où le vieille homme se trouvait debout, pointant son arme vers l'entrée de la pièce.
« - Qui est là ?! »
Guzzino, à la fois pétrifié et envahit par un sentiment de rage adressa un regard menaçant à Jerry, affichant un léger rictus grimaçant. Dans un élan de colère, il poussa un long hurlement, brandissant son arme à deux mains vers l'avant en pivotant sur le côté afin de distinguer Berenetto, se trouvant debout au beau milieu de la pièce.
La seconde que Tony mit à réaliser cette action avait laissée le temps au vieille homme de tirer un coup de feu, par chance pour notre protagoniste, la balle ne fit pas mouche. Ce dernier tira à son tour une balle qui se venu se loger dans le thorax de sa cible. Tout ceci se passa en seulement 2 à 3 secondes, 2 à 3 secondes qui laissèrent à Jerry le temps de s'enfuir hors de la maison. Anthony resta debout dans l'entrée de la pièce où gisait le cadavre de sa victime, il pointa à nouveau son arme vers lui puis vida son chargeur dessus.
Quelques secondes après, il était déjà sortit de la maison tandis que Jerry, par je ne sais quel miracle s'était montré intelligent et avant avancé la voiture.
« - T'as failli m'faire buter espèce de sale /CONNARD/ ! ARRETE-TOI.
- Mais Tony je-..
- Arrête cette /PUTAIN/ d'bagnole ou j'te fais sauter la tête capich' ? »
Jerry, dans l'ignorance de ce qu'Anthony allait pouvoir lui faire stoppa la voiture sur le bord de la route, juste à l'entrée d'un tunnel rejoignant le centre-ville. Ce dernier se courba vers la portière du côté conducteur pour ouvrir celle-ci et pousser Jerry hors du véhicule d'un violent coup de pied. Guzzino, fou de rage descendit à son tour du véhicule pour s'avancer vers lui et commencer à le tabasser jusqu'à épuisement. Ses phalanges en étaient recouvertes du sang de son ex-acolyte. Il prit soin à échanger son arme avec celle de Jerry une fois celui-ci assomé, lui laissant celle qui avait servie à tuer le vieillard par précaution puis remonta dans la voiture pour reprendre la route jusqu'à son appartement.
Sans le savoir, cette nuit venait de sceller son destin pour les dix prochaines années à venir.
The true crime.
13 août 2001.
Le lundi 13 août 2001, à 13h45 la chaîne Fox News diffusa un flash info relatant le meurtre de Rick Berens à Elizabeth, New Jersey.
C'est cette nuit, aux alentours de une heure du matin que le corps de Rick Berenetto, présumé membre d'une organisation criminelle permanente du New Jersey fut découvert par un de ses voisin. Ce dernier témoigna avoir entendu de multiples coups de feu provenant de la maison de la victime tandis qu'un homme en sortait pour rejoindre un véhicule noir dont il n'a pu reconnaître le modèle et la marque. Quelques secondes après détonations, un deuxième homme armé serait sortit de la maison et aurait à son tour rejoint le véhicule. Les autorités sont actuellement à la recherche d'indices sur les lieux du crime. Le témoin a de suite contacté les services de police, quelques minutes après, plusieurs unités arrivèrent sur les lieux. Dans la matinée, le FBI serait à son tour intervenu. Durant les investigations, plusieurs douilles de balles auraient été retrouvées dans le domicile de monsieur Berenetto. Un agent du Federal Bureau of Investigation aurait déclaré : « Les investigations se poursuivront jusqu'à ce que les suspects soient appréhendés. Nous ne pouvons en dire plus étant donné l'état actuel des choses ».
Nous vous tiendront au courant de la suite des évènements.
Tout de suite, nous rejoignons-..
Les yeux encore plissés par la fatigue, il marchait dans la rue vêtu de sa vieille veste en cuir noire qu'il avait enfilé en quatrième vitesse. La boule au ventre, il avançait lentement jusque chez Santino sans vraiment savoir ce qui l'y attendait.
Alors qu'il approchait la porte de la maison de Sonny, s'apprêtant à y frapper, ce dernier l'ouvrit puis agrippa Tony par le col pour le tirer violemment jusque dans la maison, passant nerveusement un regard circulaire sur le quartier, adoptant un comportement de paranoïa, il se retourna vers Anthony en claquant la porte derrière lui.
« - T'as pas été suivi ?
Anthony fit un bref signe de négation de la tête, les mains plongées dans ses poches de veste, répliquant ensuite d'une voix posée :
- Qu'est-ce qu'y s'passe ?
- On est dans la merde, une grosse merde putain ! Jerry est venu m'voir ce matin, la gueule défigurée mais y a pas que ça, il s'est passé des trucs encore plus importants.
- Ah ouais, et il t'a dit quoi cet enfant d'putain ?! Il s'est plaint que je l'ai cogné ?! Cet enculé a faillit m'faire buter. Même pas foutu de trouver deux silencieux pour le coup bordel.
- C'pas tout, la caisse avec laquelle vous avez fait l'coup c'était la sienne.
- WHAT THE FUCK ?!
- T'as bien entendu, ce connard va se faire serrer. J'suis prêt à parier qu'ils ont sa plaque même ! Il fait que des conneries, trop de conneries. Bon, tu y vas, aujourd'hui et tu t'en occupes, c'est notre priorité. Notre unique priorité. Je t'attend ici.
- J'suis d'retour d'ici deux ou trois heures. »
Guzzino ressortit de la maison, restant debout devant la porte de celle-ci un petit moment en fixant un point lointain du paysage qui s'étendait devant lui. Il commença à s'avancer vers le trottoir, profitant de sa course pour s'allumer une nouvelle cigarette. Peu à peu, au long de sa marche il se perdait dans ses pensées qui convergeaient toutes vers une seule chose : la façon dont il allait tuer sa nouvelle cible.
15h45 : Les premiers grondements de tonnerre et les premières gouttes de pluie commençaient à tomber sur Elizabeth alors qu'Anthony se trouvait à bord d'un vieux van bleuâtre et rouillé à l'arrêt qu'il avait "emprunté" une heure plus tôt à un vieille ami d'Armone. Il fixait avec attention la porte d'entrée de chez Jerry, passant sa main gauche par la fenêtre du conducteur pour lâcher son mégot de cigarette sur le trottoir. Il retira la clé située dans le neiman derrière le volant puis empoigna fermement la cross de arme cachée sous son siège qu'il s'empressa de ranger entre sa ceinture et son dos, la recouvrant à l'aide de sa veste pour la dissimuler. Anthony ouvrit ensuite la portière, passant ensuite ses mains derrière sa tête afin de saisir la capuche de son sweat noir qu'il remonta sur le haut de son crâne en plus de sa casquette.
Il entamait sa marche vers le domicile de sa futur victime, les pieds pataugeant dans l'eau. Il frottait nerveusement le bout de ses doigts, passant un regard rapide sur les environs pour veiller d'être à l'abris des regards indiscrets avant de commencer à gravir rapidement les marches menant à la porte du domicile de Jerry puis cogna violemment du poing contre celle-ci. Jerry venu entre-ouvrir la porte, laissant la chaîne de sécurité du verrou ne permettant de l'ouvrir que très peu puis jeta un regard inquiet vers Anthony. Il portait un pansement sur le haut de son nez et de multiples contusions sur son visage, croisant le regard froid d'Anthony, il hésita un moment à engager la conversation.
« - To-.. Tony ?
- J'peux entrer ?
- Pou-.. Pourquoi ?
- J'ai des infos pour toi... Ton assurance santé est sur l'point d'expirer en fait ! »
A cet instant, Jerry tenta de refermer la porte qui heurta son nez lorsque notre protagoniste l'enfonça violemment d'un coup de pied, pénétrant brusquement dans l'enceinte de la maison en refermant derrière lui, ne laissant à sa proie le temps de réagir en lui assénant de multiples coups qui finirent par lui faire perdre connaissance.
Anthony avait prit soin de le ligoter et bâillonner avant de commencer à fouiller l'appartement à la recherche de l'arme qu'il lui avait laissé la veille. Ses recherches furent de courte durée, il trouva l'arme vulgairement cachée dans un placard de la cuisine dans laquelle il avait placé Jerry sur une chaise et s'en empara pour ensuite la placer sur le dessus d'un meuble, bien en évidence puis commença à s'approcher de ce dernier, agrippant sa nuque en se penchant vers son oreille pour lui murmurer quelques mots puis de se redresser, tenant l'arme dans sa main.
« T'es né con, t'as vécu con... Tu vas crever con. »
S'en suivit un long hurlement étouffé et donc presque inaudible par le scotch sur la bouche de Jerry qui se tût à la vue de l'arme que Tony avait extrait de sous l'arrière de sa veste. Ce dernier se plaça bien face à lui, le voyant se mettre à pleurer, il continuait de le fixer dans les yeux en brandissant l'arme vers son visage, esquissant un léger sourire qui laissait à ce moment paraître le profond sadisme de notre protagoniste.
Guzzino se sauvait de la maison après avoir exécuté son énième cible, une nouvelle sur combien ? 10, 20, 30, 40 peut-être ? A ce stade-là, on ne les compte plus. Une de plus à son palmarès, pour beaucoup, il ne signifiait rien, ce palmarès, ce n'est que des broutilles « T'es un presse-bouton et alors, t'es fier ? ». Pour d'autres, il illustre la monstruosité des actes de notre protagoniste et globalement de l'underworld criminel. Et pour Anthony Guzzino, il n'était que le reflet de ce qu'il est. Tuer des tas de types et contribuer à inonder le New Jersey de cocaïne était sûrement pour lui la seule alternative si il voulait survivre dans ce monde où la loi du plus fort règne. Il n'avait pas de remords pour ce qu'il faisait mais plutôt pour ce qu'il était. Mais il ne pouvait pas faire ce qu'il faisait sans être ce qu'il était et ce qu'il est aujourd'hui.
Jusqu'au bout, et même après.
19 août 2001.
Le dimanche 19 août 2001, la chaîne d'information Américaine Fox News diffusa un flash spécial à 16h32 relatant l'arrestation de plusieurs membres de la mafia dans le New Jersey.
Chers téléspectateurs, c'est aujourd'hui que nous avons été informé de l'arrestation de plusieurs présumés membres et têtes de la mafia du New Jersey en début de semaines. Le FBI aurait mené une opération éclaire sur le clan Decavalcante, une opération qui aurait été l'aboutissement de plusieurs années d'infiltration et d'enquête sur le crime organisé à Elizabeth et dans diverses autres villes de l'état du New Jersey. Nous avons eu la chance de pouvoir interviewer l'agent Ross, du Federal Bureau of Investigation.
S'en suivit l'interview de l'agent Ross, en charge de l'enquête et des opérations menées contre le clan Decavalcante. Plusieurs noms seront cités dont celui de Santino Armone durant le flash info.
S'en était finit pour lui, la course devait s'arrêter là. Ça aurait été complètement le cas si pendant qu'il somnolait, le bruit de la porte de son appartement qui s'était brusquement ouverte ne l'aurait pas fait réagir. Il eût à peine le temps de se redresser du canapé que des agents du FBI investissaient le salon en hurlant différents cris de sommation, trois d'entre-eux plaquèrent notre protagoniste au sol qui était mentalement et physiquement à bout de force, il n'avait guère d'autres choix que d'accepter d'être capturé comme un animal, le jour même de ses 25 ans.
Anthony n'avait désormais plus rien à perdre, il s'était fait arrêter pour meurtre avec préméditation, détention illégale d'arme à feu et de détention de substances illicites en quantité non-autorisées que les enquêteurs avaient trouvés lors de la perquisition de son appartement. Les fédéraux avaient retrouvés la voiture de Jerry devant chez Guzzi' qui la veille était monté dans celle-ci pour essayer de la démarrer en vain, ignorant que le FBI continuait de le mitrailler avec ses foutus appareils photos. Dépourvu de tous moyens de défense, de contact avec son entourage, il essayait désormais de se résoudre à abandonner et se laisser mettre en cage pour des dizaines d'années sans essayer de se défendre bien qu'il était resté silencieux lors de son arrestation.
Quelques jours après, alors qu'il avait été placé en détention provisoire jusqu'à son procès, il reçut la visite d'un type. Un juif, assez gros et au crâne dégarnit, Benzaqén. Il en avait déjà entendu parler comme étant un avocat plutôt coriace, ayant déjà sortit un soldat de l'équipe d'un procès. Loin du petit avocat de quartier qui ne fait qu'un truc, régler les divorces quoi, mais il était encore loin d'imaginer qu'il était aussi l'avocat de Sonny jusqu'à ce qu'il le lui dise.
Tony avait les bras croisés, affalé sur la chaise du parloir, les pieds sous la table il fixait Benzaqén en arquant un sourcil, ce dernier venait de lui conter le récit des aventures de Sonny durant ces deux dernières semaines et les raisons de sa venue.
« - Mmh', et toi t'es le superman qui doit m'délivrer des griffes de la justice ? Putain d'merde, belle histoire, belle histoire.
- Ecoute, Anthony errh... J'peux t'appeler Anthony ?
- Non, monsieur Guzzino.
Durant un petit moment, le silence régnait dans la petite pièce où étaient reclus les deux hommes, ils se fixaient l'un l'autre jusqu'à ce qu'Anthony répliqua de quelques mots, se redressant légèrement contre le dossier de sa chaise.
- Ouais, vas-y, tu peux m'appeler Tony.
- J'ai rien pu faire pour Sonny, concrètement. Y avait trop de charges contre lui, et trop d'preuves aussi... C'pour ça qu'il m'a demandé de venir te voir et d'te porter secours afin que tu ne passes pas les 30 prochaines années ici.
- M'okay, et comment tu comptes t'y prendre pour faire virer au moins le meurtre ? »
La discussion prit fin quelques dizaines de minutes plus tard, et ce fut sûrement l'un des dialogue des plus important que notre protagoniste eût dans sa vie. Jusqu'à cet instant, il n'avait plus l'envie de se défendre. Mais en vérité, qu'avaient-ils à part le fait qu'Anthony soit en possession de la voiture de Jerry ? Rien. Il s'était débarrassé de l'arme en même temps que le van bleuâtre dont il s'était servit en l'exécutant. Ils savaient que c'était lui, mais sans preuves matérielles... Lorsque le FBI avait découvert le corps de Jerry, ils trouvèrent l'arme qui a servie à tuer Rick Berenetto également. Il y avait laissé ses empruntes contrairement au tueur qui lui avait prit soin d'enfiler des gants au moment des faits. Tous ses évènements apportèrent le réconfort à notre protagoniste de savoir que cette prudence n'aura pas été en vain et lui aura permis beaucoup de choses.
8 février 2002.
« Monsieur Anthony Guzzino, cette cour vous condamne à dix années de prison sans accès à la liberté conditionnelle. Vous effectuerez votre peine dans la prison fédérale de Los Santos, dans l'état de Californie. La date de votre libération est fixée au 8 février 2012. »
Anthony Guzzino avançait lentement sur la passerelle de l'aile EST du Bloc A, dans le brouhaha des hurlements poussés par les autres détenus avec en bruit de fond les claquements métalliques des barreaux. Il se sentait comme sortit d'affaire, mais à quel prix ?
10 ans de sa vie, plusieurs dizaines de milliers de dollars et en plus de ça, un transfère de l'autre côté du pays ? Tout cela pour seulement quelques années à courir, à magouiller... A survivre dans ce monde d'animaux. Au final, ce n'était pas réellement une victoire mais plus une dette, une dette pour rembourser sept années de pêchés. Mais pour se racheter auprès de qui hein ? Le gouvernement ? Tout ça n'était que foutaise pour notre lui. Mais qu'allait-il faire après ? Se repentir, vivre aux crochets de la société et entrer dans toute cette merde qu'on appelle programme de réinsertion ?
Ça, il avait encore dix années pour y réfléchir.
Anthony Guzzino lors de son incarcération à la prison fédérale de Los Santos, Californie. Le 8 février 2002.
Des rides s'étaient au fil du temps dessinées sur le visage de notre protagoniste. Les effets du tabac avaient faits vieillir son épiderme prématurément, et tout comme son visage, ses trais de caractère avaient grandement changés. Il avait passé les premières années de sa peine à longer les murs et à rester reclus dans sa cellule, n'ayant comme seule compagnie la mer qui s'étendait à perte de vue et qu'il pouvait contempler des heures à travers la minuscule fenêtre qu'il avait le privilège d'avoir. Au bout d'environ trois années passées derrière ses murs, il avait fait la connaissance d'un petit groupe d'Italiens qui comme tous les blancs n'appartenant pas à un gang étaient regroupés dans le Bloc A. La bande de macaronis dont il faisait donc partie s'occupait de refourguer de la cocaïne en très petite quantité, mais qui en prison se vendait à prix d'or, leur permettant de profiter de quelques petits avantages. Pour certains qui étaient là à perpétuité, ce petit business était tout ce qu'il leur restait. Et le meilleur dans tout ça, c'est qu'ils n'avaient pas de mal à le faire du moment qu'ils n'empiétaient pas sur les tacos de la eMe ou de la Brown Pride. De toutes façons, ils étaient bien trop occupés à se déchirer entre-eux pour avoir la possibilité de vraiment se rendre compte que leurs clients disparaissaient peu à peu de sous leur nez.
Anthony était à environ deux années de sa libération. On était en hiver, au crepscule. Ce dernier était adossé au mur de son lit, feuilletant les pages de son journal qu'il avait miraculeusement réussi à se procurer avant que la bibliothèque de la prison en soit à court.
Alors qu'il avait le nez presque collé à la page des sports, plissant les yeux pour lire les mots dont les lettres lui étaient au fil du temps devenues difficiles à distinguer, sa lecture fut interrompue par le bruit de serrure des barreaux de la cellule. Il leva sa tête vers l'entrée où se trouvait debout un type au visage fripé, ce dernier passait son regard sur l'ensemble de la cellule, marmonnant quelques mots inaudibles tandis que le gardien qui venait de lui retirer ses fers lui remettait son sac de bagage. L'homme fit quelques pas vers le lit où Guzzino était assit tandis qu'il faisait mine de se replonger dans la lecture de son journal, passant de temps à autres un regard furtif sur le mystérieux inconnu qui vint poser son sac au bord de la paillasse pour ensuite l'ouvrir lentement.
« - T'as un nom petit ?
Anthony releva la tête vers l'homme, observant celui-ci quelques secondes en haussant les sourcils. Le fait qu'on lui donne cette appellation outrageait en vérité l'homme qu'il était devenu, mais créer le conflit à la première rencontre de son nouveau compagnon de cellule n'était pas son but.
- Tony ou Tony Guzzi, comme tu veux.. 'Toi ?
- Tony Guzzi hein ? Moi c'est Joe Cicero, ou Joey, comme tu veux aussi uh'. »
Encore dans l'ignorance de qui il était, il commença à sympathiser avec Cicero. Il ne fut en fait que quelques heures aux deux hommes pour apprendre à ce connaître et à Anthony pour comprendre qui il était.
Vous ne le savez peut-être pas ? J'vais vous rafraîchir la mémoire heh' : Joe Cicero venait d'être condamné à perpétuité pour trafic de drogues et plusieurs autres chefs d'inculpation. Ce type aux airs quelque peu loufoques était et est aujourd'hui un type influant de l'underworld criminel Californien, vous vous en doutez il avait déjà des contacts à l'intérieur de la prison. Les mêmes que notre protagoniste avait lui mit des années à se faire.
Anthony voyait en Joe comme un deuxième père au fil des mois qu'il passa avec lui dans cette foutue prison de Los Santos, un peu comme l'était Sonny.
Cicero apprit qu'il allait être relâché pour une mauvaise procédure judiciaire. Le jour de sa libération, alors qu'il s'apprêtait à quitter la cellule où il venait de passer ses deux dernières années, il se retourna vers Guzzi', lui lâchant une phrase qui était significative pour ce dernier, bien plus qu'il ne l'imaginait lui-même.
« On se reverra à la sortie. »
Dernière édition par Anthony Guzzino le Jeu 1 Mar - 8:43, édité 1 fois
Jonathan Lawless- Messages : 5030
Date d'inscription : 23/06/2011
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
F.B.I : Secret files
ANTHONY GUZZINO
Anthony Guzzino lors de son incarcération à la prison fédérale de Los Santos, Californie. 8 février 2002.Agence: F.B.I.
Numéro du dossier traité : 123-190876-19087.
Prénom(s): Anthony, Jason.
Nom: Guzzino.
Surnom(s): Tony, Tony Guzzi, Tony the trigger.
Date de naissance: 19/08/1976.
Lieu de naissance: New York, USA.
Couleur de cheveux: Brun.
Couleur des yeux: Noirs.
Taille: 1m85.
Poids: 84kg.
Occupation: N/A.
Adresse actuelle: N/A : en détention à la prison fédérale de Los Santos, Californie.
MO : VOL DE VOITURE, DETENTION ILLEGALE D'ARME A FEU, DETENTION DE STUPEFIANTS EN QUANTITE ILLEGALE.
Etat médical: N/A.
Notes:
Nos informations sur cet individu sont très vagues. Il est suspecté d'avoir été associé au clan Decavalcante, organisation criminelle du New Jersey en tant qu'auteur de plusieurs meurtres avec préméditation qu'il aurait commis sous les ordres de Santino Armone qui purge aujourd'hui une peine à perpétuité. Nous le suspectons également d'avoir été durant plusieurs années un intermédiaire important du trafic de stupéfiants dans la région d'Elizabeth. Il fut donc en janvier 2001 placé sous surveillance de nos services. Le 19 août 2001, après enquête du Federal Bureau of Investigation il est mit en examen pour le meurtre de Jeronimo Jackson dit "Jerry". Ce dernier fut retrouvé mort assassiné à son domicile, ligoté et bâillonné le 13 août 2001.
Détails de la mise en examen du 19 août 2001 :
Suspecté du meurtre de Rick Berenetto, il fut prit en photo par les agents en charge de sa surveillance à bord du véhicule de Jeronimo Jackson, ce dernier étant recherché comme étant le complice du meurtre fut retrouvé mort assassiné d'une balle dans la tête.
La perquisition au domicile d'Anthony Guzzino ne releva aucun indice pouvant le rallier aux deux meurtres. Une arme à feu de confection artisanale et quelques grammes de cocaïne furent seulement retrouvés dans son appartement. Il était également en possession du véhicule appartenant à Jeronimo Jackson et ayant servit au meurtre de Rick Berenetto. A son procès, il plaida avoir volé la voiture. Le manque de preuves auprès du jury donna suite à un non lieu de la cour, seul la possession d'arme illégale et la possession de produits stupéfiants en quantité non-autorisées ainsi donc que le vol de voiture furent retenus.
A l'issue du procès, il fut condamné à 10 années de prison qu'il purge actuellement dans la prison fédérale de Los Santos, en Californie.
Un seul enregistrement téléphonique datant du 31 octobre 2000 entre Santino Armone & Anthony Guzzino permit la mise sous surveillance de ce dernier.- Tony ?
- Eh Sonny, what's up ?
Quelques reniflements se font entendre durant deux à trois secondes, jusqu'à ce que l'interlocuteur d'Anthony poursuive la discussion.
- J'rais bien b'soin d'une bonne nouvelle si tu veux tout savoir. T'as refourgué la marchandise au type ?
- Tu veux pas que j'vienne chez toi pour en causer ?
- Putain d'merde relax uh', si j'étais sur écoute j'le saurais !
- So... Y a eu un petit problème t'vois, il veut pas payer plus.
- Alright, alors personne plaindra c'putain de toxico.
L'enregistrement se termine ici.
C'est le seul enregistrement que l'on pu obtenir dans le dossier, tous les autres n'étaient que des appels téléphoniques divers dans lesquels rien d'intéressant ne pu être relevé. Aucune inculpation n'aurait été envisageable sous prétexte qu'Anthony Guzzino jure et vocifère au téléphone, les investigations se poursuivirent jusqu'à donner suite à la mise en examen de l'individu le 19 août 2001.
Libération prévue pour le 8 février 2012.
Jonathan Lawless- Messages : 5030
Date d'inscription : 23/06/2011
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Sa à l'air vraiment pas mal, j'ai lus un chapitre qui est vraiment bien.
J'lierais le reste ce soir.
J'lierais le reste ce soir.
Gabriel Anzilutti- Messages : 828
Date d'inscription : 21/08/2011
Ancien Prenom_Nom : Alighieri
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Comme à ton habitude Mike, toujours des beau back'.
Je te dédis mon 400ème message aussi passage ^^
Je te dédis mon 400ème message aussi passage ^^
Eli VanBasten- Messages : 2962
Date d'inscription : 27/07/2011
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Je viens de finir de le lire,vraiment pas mal bien joué.
Gary Mata- Messages : 636
Date d'inscription : 22/09/2010
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
De même je viens de finir de lire et j'le trouve bien, bien joué Mike
Danny Petterson- Messages : 281
Date d'inscription : 20/03/2011
Ancien Prenom_Nom : Aucun / N.C.
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
J'aime sa....
Tyzz Collins- Messages : 1070
Date d'inscription : 18/11/2010
Age : 26
Ancien Prenom_Nom : Tyson Collins
Calvin Coll
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Je l'ai enfin lu, super boulot vraiment, tu as vraiment su t'imprégner de l'ambiance du milieu ces derniers mois et tu la retranscris très bien dans ce background. Par contre j'ai pu noter quelques incohérences dont je te parlerai sur msn, mais rien de bien grave
Gabriel Martinozzi- Messages : 1355
Date d'inscription : 11/03/2011
Ancien Prenom_Nom : Ferri - Bobby
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Super, du gros travail, vraiment.
Tu as bien fait d'adopter ce style d'écriture avec un narrateur à la troisième personne, certes c'est plus complexe, mais ce que tu as écris là vaut bien mieux que tes premiers background à la 1ère personne en mode "A Bronx tale".
Il doit me rester encore deux chapitres à lire, je poursuivrais la lecture quand j'en aurais le temps, mais de ce que j'ai vu, c'est du bon, voire très bon, boulot. (T'as bien réussi à retranscrire une ambiance plutôt sombre, tout ça, comme dirait Ange en t'imprégnant des codes RP du milieu de la pègre)
Tu as bien fait d'adopter ce style d'écriture avec un narrateur à la troisième personne, certes c'est plus complexe, mais ce que tu as écris là vaut bien mieux que tes premiers background à la 1ère personne en mode "A Bronx tale".
Il doit me rester encore deux chapitres à lire, je poursuivrais la lecture quand j'en aurais le temps, mais de ce que j'ai vu, c'est du bon, voire très bon, boulot. (T'as bien réussi à retranscrire une ambiance plutôt sombre, tout ça, comme dirait Ange en t'imprégnant des codes RP du milieu de la pègre)
Frank Ruggiero- Messages : 7023
Date d'inscription : 08/05/2011
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Ange Paoli a écrit:Je l'ai enfin lu, super boulot vraiment, tu as vraiment su t'imprégner de l'ambiance du milieu ces derniers mois et tu la retranscris très bien dans ce background. Par contre j'ai pu noter quelques incohérences dont je te parlerai sur msn, mais rien de bien grave
Ça marche.
Merci de vos commentaires les gars, j'ai bossé dessus petit à petit pendant une semaine et j'suis content de savoir que ça plaît. Je vais y apporter quelques modifications : corrections d'un max de fautes d'orthographe et d'incohérences, étant donné qu'il y en a sûrement. Pour le prochain chapitre je l'écrirais d'ici un mois, pour parler de mon retour dans l'underworld à Los Santos.
Jonathan Lawless- Messages : 5030
Date d'inscription : 23/06/2011
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Magnifique Anthooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo ta en mit du temps avec ça , sa ce voit!
Oshea Philips- Messages : 2674
Date d'inscription : 21/07/2010
Ancien Prenom_Nom : Baldomero Galliano
Second personnage : Gangster Disciple
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Magnifique, je pourrais t'emprunter les chapitres + tof ?
Russel Tyller- Messages : 78
Date d'inscription : 25/02/2012
Ancien Prenom_Nom : Drew
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
James Ianniello a écrit:Magnifique, je pourrais t'emprunter les chapitres + tof ?
Quitte à vouloir me les prendre pour te faire un background, trouve des images originales sans copier celles des autres, y a aucune originalité à faire ça.
Jonathan Lawless- Messages : 5030
Date d'inscription : 23/06/2011
Umberto Salvator- Messages : 705
Date d'inscription : 25/04/2012
Age : 27
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Quitte à recevoir des critiques, qu'elles soient positives ou négatives, j'aimerais qu'elles soient faites par des personnes qui ont véritablement lu le background que j'ai mis plusieurs jours à écrire, et pas par des utilisateurs qui postent dans l'unique but d'augmenter leur nombre de messages forum.
Commenter deux backgrounds différents à une intervalle d'à peine deux minutes, c'est limite se foutre de la gueule de l'auteur. Cette partie n'est pas faite pour ça, donc merci d'éviter ce genre de choses à l'avenir.
A bon entendeur.
Commenter deux backgrounds différents à une intervalle d'à peine deux minutes, c'est limite se foutre de la gueule de l'auteur. Cette partie n'est pas faite pour ça, donc merci d'éviter ce genre de choses à l'avenir.
A bon entendeur.
Jonathan Lawless- Messages : 5030
Date d'inscription : 23/06/2011
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Je viens de lire les deux premiers chapitres, et pour tout te dire j'ai bien accroché, je crois que je vais lire la suite cette nuit si je n'arrive pas à dormir, vraiment pas mal pour l'instant Rocci!
messiah- Messages : 3388
Date d'inscription : 24/01/2009
Re: Anthony "Tony" Guzzino | Background : A passport to the hell | - | FBI Secret Files |
Trop long à lire, mais sur ce que j'ai lus, c'étais propre.
Thiago Gonzalez- Messages : 3315
Date d'inscription : 22/08/2011
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