Johnny "White" DeAngelis - Cosa Nostra life.

par Razvan Botezariu Mar 7 Fév - 13:41

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J'te laisse voir le truc, à l'époque on était qu'une petite bande de merdeux, vulgaires traines-patins de Detroit, les grand bonnets eux n'se montraient jamais, nous les gonzesses nous prenaient pour des caids, et on aimaient sa mais on était rien, rien du tout. Detroit, 1994, le commencement de tout ce merdier, devant le Pizzi's bar, un bar appartenant à un pauvre vieux rital de 75 ans qui se faisait racketter par les "plus grands", l'pauvre vieux n'à pas tenus longtemps d'ailleurs, bref, d'vant ce bar à la con y'avais moi, un autre type du nom de Joseph Giacalone, la tête pensante du groupe et mon foutu meilleur ami par l'occasion, j'oublie pas Jimmy Finazzo aussi, un enfoiré d'première qui faisait ses coups en douce, à cette époque la on l'surnommait déjà Jimmy Black, car il restait dans l'ombre, Jacky Ferriola, un accro qui jouait à tout les jeux ou il pouvait gratter quelques billets, y'avais Peter Palazzola, un sacré type baraqué comme une putin d'armoire, et puis y'avais quelques autres con, j'était le p'tit gars le plus à l'écart et sa plaisait pas à beaucoup de type, Giacki le premier. M'enfin, j'pensais qu'au pognon, et sa croyez moi j'avais que sa en tête, tout simplement car j'en avais marre qu'on acclame les joueurs de foot, ces connards de PDG d'entreprise, les chanteurs et tout ces cons qui roulaient en cadillac à 250.000$ et qui signait des autographe à longueur de journée, moi aussi je voulais des beau costard et roulé en belle tire, alors je réfléchissait, mais je pouvais rien foutre à part faire quelques larcins avec la bande. Un jour, alors qu'on était encore devant ce bar, un type sapé en costard c'est ramené, il avait une putin de moustache digne de Dartagnan ! Ce type il s'apellait Robbert LaPuma, ou bien "Bobby the animal" un type qu'on appelle un Soldat, du genre très réspécté, il c'est approché et à demendé à notre bande qui était le chef, enfin, le meneur quoi.. alors la j'ai compris que les vrais affaires allaient arrivées, biensur vous vous douterez bien qu'on à tous désigné Joseph "Giacki" Giacalone comme meneur, Ce Robbert à enmener Giacki avec lui, puis ils sont revenus, enfin je savais qu'on allait bosser correctement. Giacki nous à éxpliqué le topo, on devait lâcher du fric en fin d'semaine et en échange on allait faire des boulots et on avait la protéction d'ce Robbert. Les affaires roulaient pour nous, mais on restait des branleurs. Entre temps, on avait recrutés quelques nouveaux types dans l'équipe, y'avais ce type la Joseph "The Builder" il avait un putin de grand nez de corbeau oh la vache j'me foutais de sa geule mais il n'le savait pas, enfin bref, moi même j'ai aussi évolué j'faisait du fric et je m'était payé une bagnole, j'avais aussi arrêté d'être à l'écard et j'avais gagné une sacrée grande gueule ! C'est d'ailleurs de la qu'on m'à appelé Johnny White, les autres rigolaient car j'avais une bagnole blanche et une grande geule, alors ils m'ont surnommés White. J’était d'ailleurs un des premier de l'équipe à avoir une bagnole, enfin... bien sûr Giacki lui avait été l'premier, payé par les grands enfin vous voyez. Enfin, on avait gagné l'respect et l'oseille, même si on en avait très peu, de quoi vivre, on avait pas changé grandement enfaite, on était passé d'une petite bande de merdeux, à une grosse bande de merdeux, v'voyez l'truc.. ?

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Sa faisait déjà plusieurs années qu'on était dans le business, et sa allait plutôt pas mal, Giacki était toujours au commandes et il y arrivais plutôt pas mal, enfin vous vous douterez que c'était pas dur pour lui, dans les têtes pensante vous savez Joseph avait 2 membres de sa famille dans la haute sphère, Jackie Giacalone qui était une sorte de Streetboss, et Vito Giacalone était l'conseiller du vieux Tocco, ah ouais parlons-en d'lui, Giacomo "Black Jack" Tocco, le grand boss quoi, il ne branlait rien mais c'était du genre raclure de service, si tu étais dans la ligne de mire du vieux Tocco, sa voulait dire que tu n'allais plus vivre longtemps, il convoquait un de ses Capo et il lui montrait qui éliminé, et tout sa depuis sa résidence, sans rien foutre, pas mal non ? Enfin, vous vous douterez qu'on voulait tous être choisit dans la famille, chacun d'entre nous bossait et ramenait le plus de fric possible pour être le premier, être un soldat quoi ! Je vous laisse deviner qui à décroché le poste avant les autres, enfin il le méritait après tout, ouais Joseph, ce bon vieux Giacki, sa faisait maintenant un sacré baille qu'on était tous ensemble, et puis entre-temps y'avais eu encore des nouvelles têtes dans l'équipe, mais on s'en fou. Peu d'temps après, devinez qui à été désigné ? Moi, bordel j'en revenait pas on m'avais convoqué, enfin. Les grosse têtes étaient toute la, le vieux Tocco au fond de la pièce, un capo, Jackie Giacalone et quelques autres gars, ils m'ont fait la fameuse cérémonie avec la carte du saint et 'fallait répéter plusieurs trucs en italien, j'suis sortis d'la pièce, et bizarrement rien n'avais changé pour moi, j'étais maintenant un type respecté, mais sa n'changeait rien, j'avais toujours ma petite vie, enfin hiérarchiquement j’étais au même stade que Giacki, mais lui gardais une paire de longueur d'avance.

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Un Soldier, voilà ce que j'était devenu, non-non j'avais pas fait l'vietnam, bordel de merde, un soldat du vieux Tocco quoi, un membre de la famille, ma vie n'était plus une amusement, Giacki lui aussi prenais sa au sérieux, enfin il était au bord d'passer Capo mais il le savait pas, ma vie n'était plus rythmée que par enveloppe, enveloppe, et...enveloppe! Cette saloperie d'enveloppe que tu ramène, vieille coutume d'la famille, a cause de cette enveloppe, j'ai vu partir une paire de tronche, Tony Zerilli et Nicky LaMarca, deux types tout l'temps fourrés ensemble, on aurait cru moi et Giacki, enfin vous voyez l'truc, ils allaient tellement au putes et claquaient tout leurs frics dans les boites de nuits, les enveloppes ont finis par rétrécir de semaines en semaines, bien entendu le vieux Tocco l'à remarqué, comme j'ai dit si t'es dans les papiers noirs d'Black Jack, il t'reste plus longtemps à vivre, alors les capo ont convoqués Nicky et Tony. J'me souviens, avant leurs convocations, ces deux cons se vantaient d'aller passer au grade au dessus, personne disait rien car on savait très bien ce qui allait arrivé, les pauv'vieux, aucun respect pour leurs familles, trois balles dans le crâne et ils les ont découpés à l'ancienne comme à chaque fois qu'on bute un mec de la famille, puis ils ont jetés l'tout dans la mer, j'vous laisse voir le dessin, un sacré merdier et personne n'avait envie d'y passé, pour les chefs, c'était un exemple, rien de plus, pour que personne n'oublie qu'cette enveloppe, tu la paye, ou tu crève. Taxe, rackets, tout ces trucs d'gamins n'faisaient plus partit de mon vocabulaire, j'allais moi aussi maintenant aller voir les couillons qui osaient installés leurs gangs dans les rues, ou leurs commerces, et j'voulais moi aussi la fameuse enveloppe, sa n'rigolait plus. Les drogués, les dealers, les commerçants, les artisans, les patrons d'boite de nuits, tout l'monde devait passé le vendredi m'voir et me filé l'enveloppe, j'refilerais le tout à Tocco bien sûr en gardant un truc pour moi, voila quoi. J'me souviens un jour, un vieux ricain, Flint McRoy qu'il s'apellait, un boulanger que j'ai voulu proposer mes services, le con à sortit un Benelli.33 et m'à braqué avec, alors la j'me disais bon, si j'crève c'est les risques du métier, mais l'con n'à pas tiré, il à préféré crié qu'il ne payerais rien et que j'aille me faire enculé, ahah... salopard de mes deux, le lendemain même, son commerce incendié par allez savoir qui, enfin si, vous l'savez.. la morale de cette histoire ? N'jamais menacer un Soldier, et encore moins l'braquer ou refusé un d'ses services.

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Johnny The Drill, putin d'surnom hein ? Sa ferais fuir plus d'un sans-burnes ouais ! J'vais vous raconter d’où viens ce truc, un jour Frank "Frankie The Bomb" Bommarito à choppé un dealer dans son quartier, Frank était un capo, mais son équipe n'était pas éfficace et lui même était à deux doigts d'se faire effacé, mais l'truc c'est qu'un capo on n'le liquide pas comme sa, enfin bref. Il avait choppé ce con d'dealer, un black j'ai jamais su son nom et puis je m'en branlais, après tout, il le détenais ce con dans une chambre froide à l'arrière d'un magasin de vente de porc en travaux, pieds et poings liés l'type ne faisait pas le fier, mais Frank n'arrivais pas à faire parler l'dealer black, aucun moyen, coup de savate, coup d'poing, RIEN, le con n'parlait pas. Les dealers black sont toujours affiliés à une sorte de connexion dans les coins d'Brooklyn et tout sa, il y à toujours un con d'patron derrière tout sa, enfin bref, le type ne parlais pas, alors Frankie est v'nus me voir moi, on est entré dans l'magasin et l'autre se trouvait la, agonisant, au fond attaché à une chaise en bois, vision asser glauque, j'avais pas vraiment envie d'le toucher car il pissait déjà le sang, Frankie m'à ordonner d'le faire parler par n'importe quelle moyen, Frank lui-même me foutait un peu les boules j'avoue, alors j'me suis éxécuté, j'ai saisit le nègre et je l'ai frappé, re-frappé, re-re-frappé, rien n'y faisait le con disait qu'si il crachait le morceau il allait crever en sortant, b'wahahahah l'con croyais qu'on allait lui laisser la vie sauve en plus d'sa, sacré traines-patins d'mes deux.. Une heure passe, puis deux, puis trois putins d'heures, le type pisse de plus en plus le sang, j'ai les phalanges niquée et j'suis épuisé, mais il parle pas. Bon j'tourne en rond, j'décide d'aller pissé un coup, et sur le chemin des chiottes, devinez j'vois quoi par terre ? Une putin de perceuse. Mes yeux se sont écarquillés pendant quelques instants, je l'ai prise en main et j'ai fait rugir le moteur de celle-ci, Frankie m'criait c'que je branlais, d'un coup bordel de merde, je savais qu'un truc m'était arrivé, comme si mon sub-conscient m'disait qu'il fallait que j'aille plus loin avec ce vulgaire outil, alors je l'ai pris. J'suis arrivé devant l'nègre, puis j'ai branché la perceuse j'ai fait résonné le bruit aigu de ce putin de nouveau jouet dans toute la pièce, sa en f'sait glacé le sang de Frankie lui même, seul soucis, j'savais pas ou et comment commencé, j'était un Soldier, pas un putin de boucher-charcutier moi ! Alors j'ai demendé à Frankie par ou il commencerais, et il m'à montré les genoux, il m'à dit qu'si un truc pointu pénétre le genoux, sa fait souffrir le martyr. J'ai approché l'bout de la perceuse du genoux du type, puis je l'ai avancé frenesiquement, un petit jet de sang m'à trissé sur le tronche, bizarrement je ressentait rien, c'était le métier.. le black à hurlé de douleur et m'à supplié de le laisser, il à parlé et on à choppé le nom du mec pour qui il bossait, j'ai laissé retombé la perceuse au sol, puis Frankie à collé deux prunes dans le crâne du black, on avait eu ce qu'on voulait, il ne nous servait plus à rien, depuis c'jour la le respect des autres est monté en flèche envers moi, et on m'à appelé Johnny The Drill, c'est barbare ouais, mais n'oubliez pas que dans c'millieu, y'à pas d'sentiments pas d'amour, on à rien en r'tour.

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On était une sacrée tripotée de pingouins, débarquant à LS pour la première fois que des fed's nous prenaient déjà en photo, t'y crois toi ? Giacalone, Andriarcchi, Ferriola, Palazzola, Finazzo, Fishetti, et toute cette clique, descendant de l'avion avec nos tronches de macaroni de Detroit, les gens nous regardaient bizzare, rien à foutre, cette ville allait nous appartenirs. On s'est installé dans un club trouvé par ce connard de vieux shnok, Gary Macchiali. Je l'aimais pas ce fils de pute, il n'à d'ailleurs pas fait long-feu. trois jours après, tout l'monde installé, on sort dehors et v'là déjà une embrouille avec une bande de youpin à la con qui venait faire chier, ils faisaient les marioles devant la discothèque, quand on est sortit à 15 j'ai sentit cette putain de peur s'installée, b'wahahahah! Une semaine plus tard, le verdict était tombé, Andriarcchi avait déjà fait trop d'soucis, fallait le rayé. On à pris un associé avec nous, une petite merde du nom de Benito Costante, et on à fait croire à Andriarcchi qu'on allait le fumé, arrivé dans la campagne ce con de Andriarcchi à commencé à creusé le trou d'Benito, à la seconde ou il c'était retourné, on lui à pércé la tronche, le pauvre, mort dans son propre trou, c'est pas beau sa ?! J'avais fait des conaissances, et on avait beaucoup d'projet, mais on restait encore une bande de merdeux.

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Marina, le quartier ou moi et mes gars on à décidé de s'installé, ouais. Un putain de quartier remplis d'italiens et de... chinois. Ouais, à peine installé, on était déjà les rois des rues, mais une autre bande d'macaronis avaient décidé de nous faire chier, enfin d'faire un partenariat, sauf que ce putain de partenariat montrait qu'on devais leurs filé de l'oseille, bon.. Enfin bref, une fois installé à Marina, j'ai repéré un restaurant, le White Pork Store, bordel de dieu un restau' qui porte mon surnom, vous y croyez ?! J'suis entrez, et l'autre empaffé de patron, Anthony Macchianili m'à refoulé illico, il savait que j'voulais ma part sur le commerce. J'suis revenu deux jours après avec les Spica's brother, deux connards qu'on à liquidé comme des merdes d'ailleurs, eh-eh-eh-eh. J'lui ai explosé les rotules à la batte, la voyez-vous, il à été plus... amicale, c'est l'bon mot. J'ai donc eu ma part sur ce bouybouy, toute les semaines je venais récupéré mon enveloppe, je m'foutais aussi sur la térasse à lire le journal, comme tout bon macaroni! On à fait beaucoup de connaissance, c'était maintenant /MES/ rues, personne pouvais m'faire chier à Marina, ou il y laisserais des plumes...BIM! Pas d'bol, une bande de chinois c'était installés dérrière, dans les batiments. Ils passaient leurs journée à dégradé mon putin d'quartier, à faire leurs tags à la con, un à même osé me frappé. Devinez quoi, en deux jours le soucis était réglé, sa à tellement mis en rogne Giacky qu'il nous à filé chacun un Kalashnikov, et on à été faire le ménage à la sauce spaghetti. Le soir on en à fumé une dizaine, dont leurs boss, et le lendemain on à peaufiné le travail. Depuis, plus aucun chinois, ils ont du retourné dans leurs japon à la con à faire des Sudoku, va savoir. Sa c'était qu'une étape, tout les jours on avait des nouveaux connards qui sortaient de nul-part, ils venaient nous voir et nous disaient qu'ils voulaient "du boulot" j'y crois pas! Au pays, c'est nous qui choisissons les gars, ici, c'est eux qui viennent à nous! C'est quoi c'merdié, j'en revenais pas. On à eu une paire de pingouins à la con qui sont venus et qui ont finis au fond d'un lac, ba ouais, c'est comme sa l'millieu, tu veux bosser ? Okay! Tu paye plus ? Okay, on t'pète les rotules! T'à mérdé ? Okay, adieu mon vieux! Un bon éxemple, un type du nom de Frank Salieri, ahahah! Putain d'merde, tout les Salieri sont des plombiers et on le sait tous, des branleurs à la con. Le type à duré...une semaine, ouais. Fini au fond d'un lac, près d'Palomino. Un autre, une grosse merde du nom d'Alfredo Giacommini, ou encore Tony Vladernikof, un russe qui s'faisait passé pour un rital, il c'est fait liquidé, mais Donnie croit qu'je sais pas que c'est lui qui à fait sa, mais passons, ce Vladernikof était une merde. Les jours passèrent, les affaires roulaient comme sur des roulettes, on était en association avec Ruggiero et ses gars, ils nous filaient ce qu'on avait b'soin, donc on pouvais pas s'plaindre. Y'à eu aussi un type... Dioniso Armani, au début moi aussi j'pensais qu'il allait duré que quelques jours, surtout avec son nom d'couturier, b'wahahahah! Et ba non, il est le seul de son équipe à avoir survécut, et lui, j'ai tout d'suite su que sa allait devenir un grand type. Sa faisait déjà plusieurs mois qu'on c'était installé à Marina, et biensûr, une bande de macaroni qui débarquent comme sa d'un jour à l'autre, sa s'fait remarqué, on à eu de la chance que les fed ne viennent pas dès la première semaine nous voir, mais non. Ici, ils ont mis des mois, un russe nous prenait en photo, je savais pas encore son nom, et puis y'en avais d'autres, qui passaient avec leurs voitures noirs, à croire qu'ils voulaient qu'on les remarquent. Y'en à même un ahah, un jour on discutait ( de la pluie et du beau temps biensûr rien d'autres ) il était monté sur le toit en face de nous pour nous prendre en photo, oh le con, on l'à salué comme il se doit! Entre-temps, j'ai aussi connu un type qui allait changé ma vie, /LE/ type à connaitre, celui qui te dégotte tout ce que tu veux, mais lui restera inconnu, jusqu'à ce que j'en ai l'envie..

par Razvan Botezariu Mar 7 Fév - 13:44

-RESERVED-

par Oshea Philips Mar 7 Fév - 23:38

J'ai envie de voir le reste richie Smile

par Gabriel Anzilutti Mer 8 Fév - 1:30

Good poto.

par Razvan Botezariu Mer 8 Fév - 1:53

J'ai déjà écrit une partie d'certains trucs, mais la flemme de continuer et si j'fais sa à contre-coeur, le background sera de la merde en sachet donc je préfère avoir de l'inspi.