Dioniso Armani - Chance ou talent ?

Je louais une maison à marina, une jolie petite baraque, je voyais les gens arrivaient, il y avait de plus en plus de monde, des gens qui venait et qui venait tous picorer dans la main de Johnny, ils n’ont jamais fait leur preuves, par la suite peut-être mais ils n’ont jamais fait ce que je fais, ils auraient tué leurs équipes ?, pour montrer leurs valeurs, leurs loyautés ? Ils ont rencontrés tout le monde direct, ils n’ont jamais été à l’extérieur du cercle pendant un moment, une semaine après ils auraient vu Giacki, cela aurai été banale pour eux. Moi si je voyais Giaki c’était un honneur, bref, ce n’était en aucunement de la jalousie, je n’étais pas comme ça. Mais du dégout, ça me rappelait les fils de riches a New York qui entrait dans le cercle directement, ils connaissaient rien à la rue. Bien sûr, il y avait des gars très spécial comme Carlos Costanza, la première fois que je l’avais vu, je me suis dit : « Faut que je me le mette dans la poche celui-là », Carlos ou autrement dit C-c’. C’était un flic, il était venu prendre un café, je ne savais pas quoi penser de lui mais j’aurais jamais cru qu’il deviendrait un soldat de la Cosa Nostra. A cet époque, j’avais beaucoup de projets en tête, le premier était de me lancer dans le proxénétisme, j’avais acheté un local que j’avais aménagé en maison close, j’aimais beaucoup. J’étais en association avec Tony. Junior, un nouveau, il s’y connaissait mais le problème c’est qu’il n’obéissait pas assez, il voulait tout faire à sa façon, ce qui lui a couté pas mal d’emmerdes par la suite. Giaki en personne l’avait défoncé à coups de battes. Tous se passaient bien dans le train-train quotidien avant que les fédéraux commencent à nous espionner. Je ne comprenais pas trop, comment ils savaient, les hommes avec qui j’étais été surveillé ? Recherché ? J’allais le savoir bien plus tôt que je ne le pensais.

A ma sortie, j’ai appelé Benito pour qu’il me présente le business qu’il avait commencé à créer, je fus bien surprit quand je suis allé sur le bateau de SMB pour voir tout ça, ils étaient là, une bande de jeunes qui fallait motivés et éduquer. Dans le lot, il y avait mon cousin Emilio Georgio qui venait d’Italie, il avait commencé à apprendre l’anglais, on pouvait voir de nombreux gars comme Giani Spica, un ancien… Dès que je suis arrivé, Ben a sorti une idée, je m’en rappellerai toujours : « On va braquer la banque », putain, il était fou, braquer une banque, c’est un truc de malade ! Au début, j’ai fait un signe de tête pour dire que j’étais d’accord puis j’y ai bien réfléchit, il fallait être fou ! J’ai dit non par la suite, ce qui n’a pas plus au groupe. J’étais moins respecté mais ils ne comprenaient rien. Ils cherchaient l’argent rapidement, eux. Ils n’aimaient pas attendre. Au final, ils l’ont fait mais Emilio, lui, ne voulait pas le faire alors, il lui on demandait de faire diversions, grave erreur, il a braqué un garage et les flics l’ont chopés, même pire il est mort. Pendant que deux autres sont allé braquer la banque, le pire c’est qu’ils n’ont même pas réussit après ça, je savais que je les tuerais. Et c’est arriver plus tôt que je ne pensais, il avait cherché un autre groupe de juif, ils ont sorti les pompes en plein milieu de leur quartier et ils avaient tué un gars dans un restaurant avec les flics d’à côté, comme je le dit, si t’es pas discret, t’as rien à faire dans ce métier, j’ai donné ces infos à Johnny qui m’a dit de faire le ménage, j’ai dû tuer toute mon équipe. Ben devait rester avec moi mais il voulait arrêter, quand tu es dans le business, tu en ressors jamais ! Je connais du monde qui est sorti mais on ne peut pas dire qu’il soit heureux ou ils sont maintenant ! Si vous voulez en croiser un, faites un tour au cimetière de LS.

A la mort de mon équipe, j’ai gravit un échelon, je bossait avec Johnny White désormais et j’ai découvert une nouvelle famille qui me correspondait.

Carlos Costanza a écrit:Bien mon pote, m'oublie pas. Hein!