\\\\ **** Rescue & Safety Air Patrol **** ////

----==== Ecole de Pilotage ====----

----==== Rappel sur les bases du pilotage ====----

Les 3 paramètres fondamentaux du vol sont:

-La vitesse
-Le cap
-l'altitude

La vitesse:

La vitesse, est donné par le speedometer, appelé plus couramment "badin" ou "anémomètre" dans le monde de l'aéronautique. Certains appareil pouvant être véloce, il est important pour le pilote de contrôler et d'anticiper tout changement de vitesses. Voler trop vite à proximité d'une personne ou d'un regroupement de personne pourra entraîner des sanctions au sein de la R-SAT, c'est pour cela que nous insistons encore sur ce point. Contrôlez votre vitesse!

Le Cap:

Le cap indique la direction dans lequel votre avion vol en dégrées suivant le nord magnétique. Il se définit sur une boussole en 360 cap différents dans le sens horraire dont l'origine est 0. Votre cap est lisible sur votre conservateur de cap:

On en déduis aisément que:

-Nord = Cap 000 ou 360
-East = Cap 090
-Sud = Cap 180
-Ouest = Cap 270

Exemple: Comprendre, lire et utiliser de cap:
A VENIR

L'altitude:

L'altitude représente en pied votre distance par rapport à la mer. La FAA (Federal Aviation Administration) a fixé l'altitude minimal comme étant 500ft AGL (above ground level) soit 500ft par rapport au sol. Vous serez donc obliger de respecter cette loi, sauf cas d'atterrissage ou décollage.

L’altimètre se lit comme suit:
A VENIR

Check-List

Afin de préserver la mécanique capricieuse de nos aéronefs, veuillez suivre à la lettre les différentes Check-List prévue à cette effet.

Rappel sur les dangers de l'aéronautique:

La vrille:

Bien que vous soyez tous des pilotes professionel; il est important de souligner encore et encore le danger que peut représenter une vrille.

La vrille c'est quoi ?

La vrille est un décrochage dissymétrique de l'avion; c'est à dire, que l'une des deux aile de l'avion est en décrochage. La vrille se caractérise par un mouvement d’auto rotation autour de l'aile en décrochage. En effet une fois entré dans un phénomène de vrille, l'avion se met à tourner sur lui même sans aucune action du pilote. Cette situation est extrêmement dangereuse, car le phénomène se perpétue dans le temps; c'est à dire que si le pilote ne connais pas les actions nécessaire à la sortie de vrille; il ira au tapis dans même avoir eu le temps de dire merde.

Comment sortir d'une vrille ?

Une sortie de vrille s'effectue tout d'abord par une action franche du palonier dans le sens oposé à la rotation de l'avion, puis ensuite à un manche au neutre légèrement à piquer afin de recoller le flux d'air sur l'aile. Les gaz doivent être coupé pour éviter d’aplatir la vrille par le phénomène du couple moteur.
Notre ami et ancien pilote Thiery Labulle nous a fait le plaisir en 2006 de faire un tuto sur ce problème.

Le Vol en Formation

Il n'y a pas de miracle, le vol en formation ne s'apprend qu'en pratiquant encore et encore ! Une seul règle d'or ne marche dans cet exercice pour l'ailié. Il doit fixer son regard celui qu'il suit, et se caler sur ce dernier sans se soucié de ce qui se passe devant. Joey nous a ramener une petit vidéo de lui durant sa formation à l'armée qui montre l'attitude typique à avoir.

----==== Airport Information ====----

Indicatif OACI: CMLV
Orientation: 09/27
Altitude: 12ft AMSL
Tour de piste: 1000ft AMSL
Tour: 118.7 /// Approche: 124.35 //// ATIS: 129.6

I.L.S CAT III dipsonible sur la 09R et 09L.

Carte VAC:

----==== Procédures typiques ====----

Reconnaissance et surveillance aérienne:

Cas initial: Les unité d'urgences reçoivent un appel l'informant qu'un individu X est recherché/en danger, ou qu'un objet (voiture) Y est recherché. Un soutien aérien est demandé.

Objectif: Trouver/Identifier l'objet ou la personne X.

Procédure:

La reconnaissance est la base de toute intervention. Que ce soit un bateau en détresse, la recherche d'un individu ou encore l'évaluation de l'ampleur de la situation pour des conditions données, il faudra au préalable faire une reconnaissance aérienne afin de récolter toutes les informations pour intervenir.

1er étape: Arriver sur Zone
Le pilote et le navigant prendrons place à bord de l'appareil puis décollerons en direction de la zone indiqué par le demandeur.

2eme étape: Quadrillage
Une fois sur zone, le ratissage peut commencer.
-Le pilote lui se chargera d'effectuer un quadrillage, c'est à dire prendre des valeurs de cap permettant de couvrir toute la zone.
-Le navigant lui devra rester en contact avec les autres services afin de transmettre ou recevoir des informations supplémentaires.

Exemple de quadrillage:

Situation: Un bateau disparu a été vu pour la dernière fois dans la baie de Santa Marina. Partez à sa recherche.

Le pilote devra donc alternativement prendre les cap 360 et 180 afin de couvrir la totalité de l'espace désigné.

3eme étape: Identification et localisation de la cible

Une fois que la cible a été repérée, le navigant se chargera de transmettre les coordonnées aux autorités terrestres ou maritimes. Le pilote effectuera des cercles autour de la cible afin de balise son emplacement en attendant l'arrivé d'autorité plus compétentes.

Cette étape marque la fin de la reconnaissance. En effet ici il ne s'agit que de chercher un objet ou une personne X, et non d'intervenir. Les procédures d'interventions sont exprimé dans les prochains chapitres.

sécurisation de l'espace aérien:

Situation initial: Un appel demande de sécurisé un bout de l'espace aérien.


Objectif: Réguler et conditionner le traffic aérien dans un espace donné.

Procédure:

Le but principale de cette opération est de contrôler et dérouter tout appareil non identifié entrant dans la zone. Si les circonstances sont aggravantes, le pilote pourra se poser dans un cas d’extrême à condition que la nature du terrain le permette.

1er étape: Délimitation de la zone à sécuriser

Le pilote et le navigant prendrons place à bord de l'appareil puis décollerons puis prendrons soin de prendre connaissance de la zone a sécuriser.


2eme étape: Sécurisation

L'équipage devra s'assurer qu'aucun appareil volant non identifier n'est présent dans la zone ou le couloir de transfert.
Il prendra soin donc de faire des cercles autour de la zone ou de voler aux limites du couloir aérien désigné.

Intervention aérienne (si besoin est)

Prenons le cas ou un aéronef non identifier pénètre l'espace aérien à sécuriser.
-La première étape consistera à établir un moyen de communication stable avec l'aéronef en question. La plupart des aéronefs ont des radio c'est pour cela que le naviguant donnera une fréquence spécifique à l'aéronef en question.

-Une fois le dialogue instauré entre le naviguant et l'appareil non identifié, il faudra identifier celui-ci, juger si il représente une menace pour l'espace en question.

-La dernière étape consiste à donner un cap de déroutement à l'aéronef suspect, afin de le faire quitter l'espace au plus vite.

Intervention terrestre (Si besoin est)

Si l'effectif au sol est jugé insuffisant, ou si une personne hautement gradé vous autorise à venir en aide aux ressources terrestres, vous pouvez vous poser si le terrain permet un atterrissage sur et sécuritaire. Une fois au sol vous serez amener à dialoguer avec les personnes en fonction de la situation, et d'y donner des directives afin d'apaiser, ou de sécuriser le périmètre.
Nous insistons cependant sur le fait que l'arrivé sur le domaine terrestre ne doit être fait qu'en cas d’extrême urgence, ou de circonstances aggravantes. Tout types d'intervention terrestre sans motif valable pourra entraîner de lourdes sanctions au sein de la patrouille.

Assistance à personne en danger en milieu hostile

Situation initial:
-Un randonneur est porté disparu au mont Chilliad depuis 24h a été retrouvé par l'équipe de reconnaissance, portez lui secours.
-Un bateau en perdition a été retrouvé par l'équipe de reconnaissance, portez lui secours.


Objectif: Prodiguer les premiers soins dans des endroits hostiles, et inaccessible par les unités médicales terrestres.

Procédure:

1er étape: Arrivé sur zone

Le pilote et le navigants décollent puis se dirigent vers l'endroit précis de la cible transmis par l'unité de reconnaissance.

2er étape: Étude de la zone et des éléments extérieurs

Une fois arrivé, le pilote fera quelques tours de reconnaissances au dessus de la cible. Le navigant quand à lui devra observer et noter tous les obstacles qui pourraient perturber le vol (orage, antenne,autres aéronefs, etc...)

3eme étape: Intervention

Une fois que la zone est jugé sécuritaire à l'unanimité, le pilote descendra doucement vers la cible tandis que le navigant lui donnera les valeurs d'altitudes. Une fois l'hélicoptère stable au dessus de la cible, le navigant descendra et fera un état des lieux de la situation (Etat des blessures, durée de vie restante de l'embarcation, nombre de blessé, etc..).
Si les unités maritimes sont déjà sur place alors n'intervenez pas. Ils ont été formé spécialement pour ça.


4eme étape: Extraction

Si l'équipage juge que les unités terrestre ou maritimes sont hors de portée de l'incident, ils pourront prendre la décision d'embarquer les individu souffrant, ou blessé a bord de l’hélicoptère.
Une fois tous le monde en sécurité dans l'hélicoptère, le navigant se dirigera vers l’hôpital le plus proche.

Assistance à aéronef en detresse

Situation initial:
-Un appel de détresse est lancé à partir d'un avion en vol. Vous devez le retrouver et l'assister.

Objectif: Sécuriser le vol de l'avion en détresse.

Procédure:

Un appel de détresse d'un avion peu-être une multitude de raison. Il faut se rappelé qu'un appel de détresse est une demande d'aide, et non une situation hostile. La plupart du temps il s'agit de pilotes égaré, ou d'une panne mineur, mais desfois il se peut que le problème soit plus grave. Voici la procédure à suivre

1er étape: Localisation de l'aéronef

Le pilote et le navigants décollent puis se dirigent vers l'endroit précis de la cible transmis par l'unité de reconnaissance.

2eme étape: Établir un contact avec l'aéronef

Une fois arrivé, le pilote se mettra en formation a coté de l'aéronef en question. De son coté le naviguant tentera d'établir un moyen de communication stable entre les deux appareils. La plupart des avions ont des radios, ainsi donner lui un canal spécifique, et communiquez avec lui. Si le liens ne peut être établie (pas de radio), alors battez des ailes. Battre des aile signifie en aéronautique: "Suivez moi". Si le message a bien été compris par l'aéronef en détresse, il battra des ailes a son tour afin (si il le peut) de confirmer cela.

3eme étape: Diriger l'avion vers un espace sécurisé

Une fois que le contact est établie, la première chose a faire est de diriger l'avion en détresse vers un endroit sécurisé, si l'avion est dans un espace jugé dangereux (building, centre-ville, montagne). Nous préconisons fortement les plaines de campagne, ou encore la mer, qui sont des espaces aériens peut utilisé (donc moins de risque de collision) et ou l’environnement extérieur permet d'opéré dans des conditions de sécurité maximal (pas de montagnes, ni d'autre obstacle de haute amplitude).

Pour cela le navigant devra donner un cap à l'aéronef en question afin de le diriger vers l'espace voulu. L'avion en détresse sera dans l'obligation de suivre le cap imposé par le navigant.


4eme étape: Identification de la nature de la détresse

Une fois l'avion dans l'espace sécurisé, le navigant va communiquer avec l'avion en détresse pour savoir identifier la nature de l'incident. Si il s'agit d'un simple pilote perdu, alors il faudra lui le cap de sa destination.
Si le problème est plus grave il faudra donc le dérouter vers l'aéroport le plus proche. Le navigant devra alors lui donner un cap et une altitude permettant à l'aéronef en question de se diriger vers l'aéroport pour atterrir. Une fois au sol, le navigant avertira la FAA ou le BEA selon l'ampleur des dégâts.

OOC:

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