Lazaro Aguas, start from nothing.

PRÉNOM NOM : Lazaro AGUAS
DATE DE NAISSANCE : 9 Janvier 2001
LIEU DE NAISSANCE : Los Santos, Jefferson Hospital
ORIGINES : Mexique
ETHNIE : Latino-Américain

CARACTÈRE : Lazaro, pour son âge est quelqu'un de très mature. Il prend le temps de se poser les bonnes questions et seulement d'agir ensuite. Il aime beaucoup sa famille et ses amis et s'attache beaucoup. Toujours envie de bien faire, il est très stressé mais ses efforts sont souvent récompensés. Il est aussi très sociable.
ACTIVITÉS : Traîner dans la rue avec ses amis, fumer, jouer aux dés, écouter de la musique.

ADRESSE : 189 Matthissen Street, Los Flores.

Deux silhouettes apparaissent dans la pénombre de cette nuit du 5 Janvier 1894. Deux corps, un semble plus gros et grand que l'autre. Un garçon et une fille peut-être ? Passons, peu importe.
Il est aux alentours d'une heure du matin quand tout à coup, un bruit très fort retentit très près d'eux, le bruit d'un bateau qui appelait ses voyageurs à embarquer rapidement. Très vite, les deux ombres levèrent la tête et coururent de toutes leurs forces vers la passerelle d'embarcation. Il était tard et faisait nuit, la silhouette la plus fine tomba au sol et s'écorcha mains et genoux si violemment que le sang coula jusqu'à ses fines chevilles. La plus grosse silhouette semblait très stressé, elle tournait la tête dans tous les sens, scrutant les environs a la recherche d'un éventuelle danger. Tous deux se remettant a courir vers la passerelle entendirent ses sirènes derrière eux. Le paysage devenait rouge et bleu et la lune apparut. On pouvait apercevoir un homme et une femme. L'homme portait deux sacs bien chargés puis tirait la main de sa femme pour l'obliger a courir. La femme, elle, portait un sac poubelle avec une main. Ils continuaient a courir, encore et encore jusqu'à apercevoir cette fameuse passerelle. Celle-ci était entrain de se refermer. Ils triplèrent la cadence puis sautèrent. Le sac de la femme tomba a l'eau, entre la terre ferme et la passerelle. Ils dégainèrent leurs faux-papiers d'embarcation puis s'enfuirent dans cet immense bateau. La police arrivé trop tard ne pouvait qu'assister abattu a cette stupide défaite et criant de rage.
L'homme pris la femme dans ses bras puis l'embrassa langoureusement.

Salvadore et Maria arrivant à Los Santos en 1984.

Dans ce gigantesque océan, un bateau. Le bateau qui emmenait Salvadore et Maria vers une nouvelle vie tranquille. 28° et un vent glaciale, ils étaient cachés sous une bâche d'un bateau de secours. Un goéland cria de toutes ses forces sur le monstre de fer qui avançait vers la côte. Salvadore surpris de ce cri passa sa tête hors du bateau puis aperçu une terre. Étais-ce cette fameuse terre qu'il avait promis a sa femme depuis des mois ? Il n'en savais rien. Il ne savais pas où il était, pas depuis combien de temps ils étaient sur ce bateau, pas depuis combien de temps ils n'avaient pas mangés. Deux heures plus tard, les voyageurs descendaient un à un puis retrouvaient leurs familles sourire aux lèvres. On entendait les cris de joie exploser un peu partout. Salalvadore et Mario, encore perplexe a l'idée de descendre de ce bateau prient leur courage a deux puis s'avancèrent vers la passerelle. En bas, une nouvelle vie.
Mais que faire ? Ils ne connaissaient personne dans cette nouvelle ville. Tant pis, ils fient face a leurs destins puis descendirent les marches sans aucune assurance. Ils marchèrent, marchèrent, marchèrent. Cette nouvelle ville au gout industriel ne leur plaisaient pas du tout. De longues cheminées qui rendaient le ciel malade, cette fumée noire qui s'en échappaient toutes les secondes. Voilà leur nouvelle vie. Plusieurs heures après, ils tombèrent nez à nez avec un panneau écrit : Los Flores. Un quartier apparemment très pauvre si on s'en tient aux façades des maisons et des rues.
Salvadore pris Maria par les mains puis la regarda droit dans les yeux puis dit :
" - On s'installe ici, et je te jure que je vais tout faire pour améliorer la situation, d'accord ? "
Maria acquiesça d'un simple hochement de tête.
Ils se prirent par la main et avancèrent ensemble dans leur nouveau quartier, Los Flores.

Il est aux environs de 5h du matin, Los Flores et ses habitants sont endormis. Maria enceinte depuis 8 mois et demi n'arrivait pas a dormir à cause de ses maux de têtes infernales. Salvadore, lui, récupérait de son sommeil après une dure journée de labeur.
C'est aux environs de 5h30 du matin que Maria poussa un cri effroyable. Salvadore réveillé en sursaut couru jusque dans le salon puis bombarda de questions Maria sur son état de santé. Elle perdait les eaux. Très vite, tout deux sortirent de la maison puis se dirigèrent vers l'hôpital le plus proche. Celui de Jefferson. Très épuisé de marché, transpirante, elle n'en pouvait plus. Salvadore fut obligé de la porter, pris de panique. Une fois arrivé a l'hôpital Maria fut prise en charge très vite par les médecins. Salvadore fit épreuve d'une interminable attente assis sur un siège, un mur blanc devant lui. Il pensait a tout mais surtout au pire. Et si sa femme n'avait pas survécu a cet accouchement ? Si son bébé était mort ? Il ne pu s'empêcher de poser des questions a un médecin qui lui dit d'aller se rasseoir. Rattrapé par la fatigue, il s’endormit assis sur sa chaise, face au mur blanc de l'hôpital.
Le lendemain, réveillé par l'odeur déplaisante de l'hôpital, il entre-ouvrit les yeux et aperçu une grande silhouette habillé d'une grande blouse blanche. Cette silhouette tenait dans ses bras un bébé. Leur bébé. Le médecin tendit le bébé a Salvadore puis il hésita quelques instants avant de le prendre. Finalement, il pris celui-ci avec un délicatesse extrême puis le dépose entre ses deux bras, contre son cœur. Salvadore et son bébé pénétrèrent dans la chambre de Maria puis observèrent celle-ci. Elle était entrain de dormir, un visage très fatigué et la respiration faible. Salvadore et son bébé s'assirent sur un siège puis s'endormirent, sans dire un mot.

Maria et Salvadore discutent paisiblement dans Flores pendant que leur bébé dort dans la maison.
"- Qu'es-ce que tu penses de Ernesto ? Interrogea Maria.
- Non. Je n'aime pas du tout.
- Nina ? Demanda-t-elle une nouvelle fois.
-Roooh, arrête s'il te plaît. Grogna Salvadore.
- Lena ? Demanda-t-elle une troisième fois.
- Lena ?! Pfiou... ce nom n'existe même pas ! S'écria-t-il.
- Comment veux-tu l'appeler alors ?! Maria commence a s'énerver.
- Un nom qui lui irait bien... Il se gratta le menton a deux reprises. Lazaro... comme mon grand-père. Ça lui rendra hommage et je trouve ce nom très bien.
- Lazaro ? C'est vrai que j'aime bien ce nom moi aussi... Elle souris."

Le jeune couple se posait encore des tas de questions. Avec quel argent allaient-t-ils l'élever ? A quel école irait-t-il ? Aurai-t-il des amis ? Beaucoup de questions encore sans réponse...

Me voilà dans Flores, debout sur mes deux jambes. Seul face a cette jungle. Qu'es-ce que j'devais faire ? J'en savais foutrement rien..-. Je marchais, tout droit, encore tout droit, des questions pleins la tête. C'est à ce-moment la que ma vraie vie a commencé. Un groupe de jeunes de mon âge, en bande. Ils avaient une bande eux au moins. J'devait m'joindre a eux si j'voulait pas passer pour un bouffon. J'ai pris mon courage a deux mains puis j'y suis allé.
P'tit a p'tit, j'ai parlé a chacun d'eux puis voilà. Haunty, Nina, Lena, Octavio, Lado, Ernesto, Jesus, Austin, Sebastian, Montell, Emilio. Je traîne définitivement avec eux.
J'm'en était pas rendu compte tout de suite, mais cette bande, cétait des gangsters. Mais j'étais tellement pote avec eux que..- comment les quitter ? J'pouvais pas. Puis si je les quittait, vers qui j’allais aller ? J'avais personne d'autres qu'eux.
Puis un jour mon pote Haunty viens me voir et me demande si mes parents ont des problèmes d'argents. Moi très étonné d'la question, j'répond oui, puis il me dit qu'il va m'aider. Quelques jours plus tard il m'annonce qu'il a commandé de la "dope" que je devrai vendre au coin d'la rue. J'devrai lui filer la thune et moi j'garderai un pourcentage. Occasion en or pour moi ! Pourquoi refuser ?! J'ai accepté tout de suite mais cette "dope" est jamais arrivé jusqu'à moi. Mon pote Haunty s'est fait arrêter pour une histoire a la con et j'sais pas combien d'temps il va rester... c'est vraiment triste la vie des fois. J'avais une occasion de fou et ce con va en taule ! MERDE. Bref..- faut que j'demande de l'aide a quelqu'un d'autre maintenant.

Octavio Martinez a écrit:Raye le nom de Nina et accentue le miens et il sera parfait ton background.

Lazaro Villanueva a écrit:

A droite on aperçoit Lazaro avec sa femme.