#LSPDHQ Conférence de presse - Réaction à l'affaire Finlayson

Chef-Assistant Erick Lown - Responsable des relations publiques Jonathan Moore - Chef de la police James Armanetti Erick Lown commence par prendre la parole lors de la conférence de presse. Ces derniers jours, le département de police fait face à une importante affaire concernant un de ses membres. Une polémique qui ne cesse de faire parler d'elle, et qui fait réagir de nombreuses personnes. Nous sommes conscients de l'ampleur de cette affaire qui fait suite à des tragédies que d'autres villes ont vécues avant nous. Soyez assuré que le département de police de Los Santos reste toujours fidèle à ses principes et qu'aucun écart de la part de nos membres n'est toléré. Ne doutez pas de l'intégrité du département comme le sous-entendent certaines voix, nous veillons tous à avoir une police compétente et à votre service. Jonathan Moore après avoir bu une gorgé de son verre d'eau prend la parole, se penchant vers le micro. Certains journaux ou hommes publiques affirment, et crie à la culpabilité du Lieutenant Finlayson, avec un dossier incomplet, et encourage ainsi une polémique dont l'objectif m'intrigue. Devons nous, nous interroger quand nous constatons les nombreuses réactions politiques et proposition de loi qui interviennent avant même la décision de justice ? Parlons-nous toujours de l'affaire Finlayson ou n'est-ce qu'un prétexte pour aborder les conflits politiques ? Ce qui est sûr c'est qu'il y a de nombreuses affirmations et de nombreux préjugés sur cette affaire. Je vais maintenant laisser la parole au Chef de la police Armanetti. James Armanetti s'approche donc du micro, mettant ses lunettes de vue sur son nez et prend la parole, lisant par moment quelques lignes de ses notes. Concernant les faits, ils mettent en cause le Lieutenant Finlayson titulaire depuis le 21 Juin 2015 de la médaille de la bravoure, et qui cumule 15 ans de service dans la police et Cayetano Herbondes, âgé de 16 ans, plusieurs saisies enregistrées en son nom, membre de gang présumé cumulant 8 ans et demi de détention, soit plus de la moitié de sa vie. Dans la soirée du 27 Juillet une fusillade blesse mortellement plusieurs officiers de police, plusieurs unités en renfort arrivent sur les lieux. Cayetano Herbondes présent sur les lieux, est repéré par le Lieutenant Finlayson qui détecte en lui un comportement suspect c'est alors qu'elle décide de le contrôler. Je vais maintenant vous citer une partie du rapport officiel du Lieutenant. Une fois à terre après un houleux échange verbal, il me pousse sur le côté et m'enchaîne de plusieurs coups au visage avant de prendre la fuite. Accompagnée de l'officier Callahan uniquement, nous le prenons en chasse dans les bas-fonds du quartier encore hostile et sans renfort disponible. Je le somme de s'arrêter avant que je tire, il continue à s'enfuir et c'est là que je fais feu à deux reprises de mon colt .45. Il continue à courir sans s'arrêter malgré les tirs de semence, et lorsque le suspect fait un demi-tour brusque vers les ruelles sombres du coin, mon fusil en main, c'est là que je lui décoche une balle dans la jambe, mais à ma grande surprise il continue à courir. Je n'ai eu d'autre choix de lâcher d'autres balles, avant qu'il s'écroule à terre. James Armanetti prend une petite inspiration, retirant ses lunettes avant de les déposer sur la table de la conférence. Ce rapport est confirmé par un second rapport rédigé par l'Officier Callahan, du district central. Il est également à noté qu'au vu de la situation au moment des faits, à savoir l'attaque organisé sur une quinzaine d'officiers de police, et de son refus d'obtempérer Cayetano Herbondes était considéré comme armé et dangereux. Par expérience de policier, nous savons aussi qu'entraîner des policiers dans des ruelles perdues, c'est faire éventuellement face à une embuscade. Le Lieutenant a dû prendre une décision rapidement au risque de sa vie, et de celle de l'officier l'accompagnant. Cayetano Herbondes a eu plusieurs chances de se rendre, mais il a choisi d'avoir un geste brusque à l'encontre des officiers qui le sommait de s'arrêter et le tenait en joue ce qui lui a coûté la vie. C'est sur ces conclusions que le tir a été considéré par le département de police comme légitime, et par la suite par le bureau du Procureur. Chaque jour, les officiers de police doivent malgré eux faire usage de leur arme, et notre travail et de déceler les tirs légitimes des véritables abus et c'est ce que nous avons fait. Le Bureau fédéral a décidé le soir même, où 15 officiers étaient déjà tombé de se saisir du dossier, j'ignore encore pourquoi ils sont sorti de leur juridiction pour ce fait, et Monsieur Taylor Patton n'a pas voulu nous donner d'explication à ce sujet, mais ils l'ont fait. Ils ont monté un dossier uniquement à charge, sans approfondir leur enquête. Par ailleurs, ils n'ont jamais transmis à aucun moment leur dossier aux affaires internes contrairement à ce que certains journaux ont annoncé. James Armanetti s'interrompt quelques instants pour boire quelques gorgées de son verre, laissant alors la parole à Bill Kayles. Il semblerait que le bureau fédéral ai préféré faire de cette affaire, un scandale médiatique afin de mettre en avant leur travail et de vous faire douter de l'intégrité et des motivations du département de police, plutôt qu'un réel travail de recherche. Il faut que vous sachiez que nous avons reçu nos insignes par la ville de Los Santos et notre priorité est et restera toujours de vous protéger et de vous servir du mieux que nous pourrons avec les moyens que nous avons. Nous ne laisserons rien ni personne vous faire douter de notre intégrité et de nos motivations et c'est donc principalement pour cela que nous sommes face à vous aujourd'hui. Merci. James Armanetti acquiesce vers Bill Kayles, reprenant alors la parole. Le très honorable Lester a émit de son propre chef une injonction pour mettre à pied le Lieutenant et le mettre en détention provisoire. En tant que Chef de la police, je me devais d'appliquer ces injonctions, c'est pourquoi le Lieutenant Finlayson a été mise à pied et arrêté par moi-même. Un policier doit faire face tous les jours au danger, au stress et à l'adrénaline et doit prendre des décisions vitales en une fraction de seconde, et c'est quelque chose qu'on ne peut pas vraiment comprendre sans l'avoir vécu. Nous esperons néanmoins de la justice, et des citoyens, cette compréhension envers leur police. C'est un élément essentiel vers une relation de confiance. Erick Lown reprend ensuite la parole. L'intégrité du département ne doit pas être remise en cause, malgré les diverses réactions de ces derniers jours. Nous continuons à travailler pour vous protéger et vous servir au mieux, et nous le ferons toujours. C'est pourquoi différentes tâches séparées en plusieurs divisions sont proposées et permettent au département de Police de mener à bien ses missions. Le département de police ne cautionne pas les crimes, quelles qu'ils soient, et d'où qu'ils soient. Nous ne sommes pas des politiques, nous sommes des fonctionnaires présents auprès de vous, pour veiller sur votre sécurité qui reste notre première préoccupation. Pour protéger et servir Chef de la police, James Armanetti Chef-Assistant, Erick Lown Chef-Adjoint, Bill Kayles

OOC - A lire avant de répondre:

Monsieur Armanetti, vous aviez dit que l'honorable Lester avait refusé un contrôle de police. A t-il était arrêté par vos services et poursuivit devant les tribunaux ? Si non, pourquoi ?

Giorgo Casini, chroniqueur politique pour le San News Group. Le lieutenant Finlayson est également, sauf erreur de ma part, suspectée de possession de stupéfiants. Si l'argumentation du Procureur du comté pouvait encore être compréhensible en ce qui concerne le tir prétendument illégitime (ou légitime, d'après les délibérations des affaires internes), elle ne s'applique pas pour les stupéfiants. Pour cette charge également, vous estimez que la section disciplinaire du département de police a priorité sur la Cour de justice pour juger de la culpabilité du lieutenant ? Vous pourrez comprendre que ce raisonnement étonne, voire choque l'opinion publique, bien que nous n'approuvons évidemment pas l'acharnement de certains politiciens, républicains notamment.

Est-il vrai que cela n'est pas la première fois que des agents de police de votre département se font arrêter pour le même motif: "la corruption" par le bureau fédéral?
Vous admettez donc qu'un conflit est présent entre vos deux institutions?