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Roy Wayne, The wind guides me. [En pause]

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Message par Roy Waynee Dim 11 Nov - 18:46





WAYNE Roy

Roy Wayne, The wind guides me. [En pause] 27031410


Nom : Wayne / Di Leccio
Prénom : Roy / Dante / Craig
Lieu de naissance et date de naissance : Californie, San Diego le Douze Janvier 1989
Nationalité : Américaine
Origines : Italo - Américaine
Taille : 1m79
Poid 73 KG
Souviens toi..

Souviens toi, gamin de la petite banlieue Serra Mesa de San Diego. Comment ce souvenir de tout cela depuis l'ouverture des mes yeux à ce douze janvier mille neuf cent quatre vingt neuf. Maman me disait que souvent Agatha me berçait au pied de mon berceau, et ouai mon grand, tu étais surement le plus gâté de cette famille. C'était papa qui avait choisi mon prénom, il me disait qu'il fallait bien un américain dans une famille d'Italien, il a fallu que c'était moi. Nous n'étions pas plus riche que le voisin, nous n'étions pas en dessous de seuil de pauvreté de la majorité américaine, non on vivait dans un quartier plus ou moins agité, cette maison en bois de couleur bleue, et puis cette bonne veille Chevy de 1955 roulait toujours aussi bien, papa l'avait trouvé dans une concession d'occasion avant ma naissance, et pourtant elle en a fait de la route.

Allons treize ans plus tard mon petit Roy, tu veux bien, Agatha avait maintenant quinze ans, t'étais plutôt agile comme gamin, un petit brun bien sec, la tête sur les épaule et tu voyais déjà la vie d'une autre façon que les gosses de cette école, ah cette école, la maitresse bien belle, à treize ans tu étais déjà un sacré coureur de jupons mais ne débordons pas. Souviens toi, maman faisait le nettoyage à mis temps chez des particuliers tandis que papa ramenait beaucoup d'argent, pourtant il était qu'un simple chauffeur livreur dans la banlieue sud de San Diego. Ce fût une période riche en achat, papa et maman avait renouvelé nos appareil électroménager, t'avais même eu le droit à cet jouet plus gros que les autre, tu sais celui qui t'ai resté longuement en mémoire dans ta tête, tes visions, tes rêves. Ce dinosaure, un bipède vert, bien plus féroce que tout autre animal, et toi tu t'étais attardé sur lui, va savoir pourquoi.



Le soir du cinq mars, le soir où Agatha rentrait habituellement plus tôt que papa et maman, tu te souviens de sa hein, lorsque ta poussé cette veille porte, lorsque tu as posé ta main sur cette poignée ronde de couleur dorée enfin disons plus complétement bouffée par l'humidité, celle qui grinçait oui c'est sa. Tu entendis des pleures, ceux d'une femme, mais cette voix tu la reconnaissais, alors tu marcha à travers le couloir de cette fameuse maison bleue, laissant la porte entrouverte derrière toi, tu avança, et dans la cuisine sur ce carrelage blanc tu y vis quoi rappelle toi. Non tu refuse, tu n'as pas su la protégé, maman te regarda en pleure, le téléphone à la main, elle était assise au sol près d'elle tu te souviens hein, pourtant tu n'ose pas le dire, tu n'ose pas l'écrire tu n'as jamais accepté, tu t'en veux chaque jours mais tu le sais, ton jouet tu t'attardais trop dessus, tu ne pensais qu'a toi et maintenant que peux tu faire, que peux tu lui dire. Les sirènes de véhicules alarmant retentirent à travers ta petite ruelle, t'entendis des hommes courir, et tu restas là à tout regardé. Souvient toi de cette date Roy, le cinq mars deux mille quatre.

Tu as écris cette lettre en croyant pouvoir faire ton deuil Roy, tu as cru pouvoir accepté que papa a disparu, mais tu ne parle pas de lui, tu lui en veux, tu finiras cette lettre lorsque tu en seras capable Roy. Souviens toi.







Roy Wayne, trente mars 2004. Souviens toi.



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Chapitre I : Mes 17 ans.


Il est neuf heures en se bon jour de samedi, mon réveil sonne, il m'emmerde et je râle des le matin. L'aspirateur se fait entendre dans une salle non loin de ma chambre. Je me lève, me frotte les yeux, enfile un short noir, les pieds nue, je sors de ma chambre, c'est à ce moment là que je vois un petit attroupement de tête familière, Roy Henson mon cousin ainsi que mon oncle Bobby Henson étaient présents, le cul posé sur le canapé posé devant une rediffusion d'un match de baseball, deux grands gaillards, surement plus costauds que moi, il me voient, Roy se lève rapidement se précipitant sur moi m'attrapant dans ses bras me poussant contre le mur et me crie dans les oreilles Alors trou de balle, c'est comme sa qu'on dit bonjour à sa famille ?! Joyeux anniversaire cousin. C'est là que ma mère fait son entrée, l'aspirateur en main éteint le rangeant dans un petit meuble près d'elle rétorquant de suite mon chéri te voilà enfin debout, il est neuf heures et tu n'ai toujours pas habillé ! . Complétement sonné par tout cela, je compris que c'étais le jour de mon anniversaire, car je suis quelqu'un qui n'accorde pas vraiment d'importance à cela. Nous passions donc une journée dans une petite fête foraine non loin du centre ville de San Diego, une bonne journée effectivement .. Rien de plus normal, un gamin qui fête son anniversaire, avec la seule famille qu'il a, ou du moins qui lui accorde de l'importance, enfin Bobby venait surtout pour la bière sans vous mentir.

Le soir nous faisions un diner avec les trois membres de ma famille, tout ce passait au mieux jusqu'au moment ou Roy m'annonça qu'il partait vivre à Los Santos, il ne me donna pas de raisons à cela. Ce fût surement un élément déclencheur de mon choix qui sera à venir.
Le repas se fini, nous entendions plus d'une blague de l'oncle Bobby jusqu'au moment où, l'air sérieux, coupant le reste de la discutions, les rires pour dire.
Moi :Maman .. Je pars. J'ai lu des revues qu'ils engageaient à l'armée pour un apprentissage dans plusieurs fonctions, et je veux partir, je veux faire ma vie, tourné le dos au passé.
Mère : Mais ? NON ! Mais tu es malade ! Tu dois finir tes études, non ! Tu ne partiras pas de cette maison !
Moi : Bordel, Roy lui va faire sa vie, laisse moi faire la mienne ! Je n'ai jamais rien eu à part du malheur dans ce foyer ! J'en peux plus, tu comprends sa ? J'en peux plus !

Avec le recul, je me dis que j'ai agis comme un ado prépubert qui désobéit à la raison de sa mère, celle qui avait de l’expérience dans la vie, celle qui a du vécu, et pourtant moi, je ne voulais rien comprendre.
Je sortis de table, entra dans ma chambre avec vitesse, claqua celle ci derrière moi, enfilant mes vêtements avec rapidité, ouvrit la fenêtre pour y passé me mettant à courir dans la rue me dirigeant vers le petit cimetière du coin.
C'est après quelques instants de course que j'arrivais à ce foutu cimetière, gris, les mur dégueulasses, a en donner l'envie de vomir, l'ambiance glauque, des tombes qui plongent de le thème gothique, j'avançais doucement sur ce petit chemin de gravier, en direction d'une petite tombe grise, celle ci était simplement en pierre, une petit croix sur le dessus. Je m’arrêtas devant celle ci, abaissant le regard sur le nom " Agatha Wayne " , c'est à ce moment là que je compris que je n'avais plus aucune raison de resté dans ce quartier, plus aucune .. Je serra mes poings, je releva la tête vers le ciel, laissant une larme coulé le long de mon visage, j’essuyai celle ci rapidement par simple fierté, j'étais pensif ..
Il était 23 heures, je rentrait chez moi, ma mère me connaissant ne dit rien, l'oncle Henson et son fils se sont cassé, j'ai même pas eu le temps de leur dire au revoir .. Roy ..

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Chapitre II : Le jeune qui tenta l'impossible.


Sa y est, un an est passé, bordel de merde. J'ai dis au revoir à la seule personne qui m'a aidé durant ces cinq dernières années. J'ai décider de fuir, un appel à l'engagement aux jeunes hommes vaillants, ceux qui surement savent qu'ils n'auront pas d'avenir si ils ne s'engagent pas dans ce regroupement, un bordel complet, ce qu'on appel, l'armée.
Trois semaines après, après mes examens, cela fut bref, je suis engagé à l'armée, et c'est à l'heure actuelle que je me rends compte que être un homme, ce n'est pas choisir sa destiné, mais prendre en main ses responsabilités. Ce que ma mère m'a enseigné tout au long de ma vie, je l'ai perdu, durant trois long mois de durs épreuves, d'entrainements, qui ce soit au tir, à l'endurance, aux épreuves de forces, aux tactiques militaires. Tout était programmé pour nous caler une chose au fond de notre tête, nous avons un ennemis en commun, et en temps de guerre, qu'elle soit pacifique ou non, la preuve de bonne volonté en offrant la chance à son ennemie est la plus grave des erreurs. J'ai vite compris ce point, et j'ai vite compris que la démarcation d'un jeune comme moi pourrait plaire à nos supérieurs. J'ai bouffer la merde, ouai ... Mais l'heure approche, cette heure où nos supérieurs nous font envoyer en Irak, je me suis porté garant, j'ai été par la suite été nommé Sergent, et j'avais dans ce cas le droit de donnés mes ordres à mes escouades. Un jeune comme moi, pale, gringalet, doit se démarqué, non pas par sa force physique, mais par son mental, ce que je fut vite de comprendre.

Deux longs mois sont passés, le lendemain, c'est le jour ou j'embarque dans un tas de ferraille, volant à une vitesse impressionnante et ayant une capacité de transporté plusieurs centaines d'hommes ainsi que énormément de matériel. Notre arrivée était prévue à vingt et une heure, celle ci fût brève, le soleil ainsi que la chaleur de ce pays était insurmontable, j'avais jamais subit cela auparavant. Notre ration d'eau ? La même qu'en Amérique.
On m'a confié l'unité de Génie Explosive, car oui, en effet, mon entrainement consistait éventuellement à être dans cette branche, ce qui m'a fortement plus, vous savez, l’adrénaline, le sentiment insupportable de la peur, je me souviens encore quand j'étais cloitré dans un trou dans le sable brulant sous un soleil flamboyant et que j'attendais les véhicules ennemies afin qu'ils passent et que moi j'appuie sur un simple bouton. Un bouton, ouai, un qui prends des fils, des pères, des maris, ouai, j'ai adoré voir ces feux d'artifices en temps réels.

Je suis rester deux ans en Irak, à ma rentrée aux États Unis, j'ai décidé de quitter l'armée, j'étais choqué, par des images que aucun être humains ne devraient voir, ou même effectué.
A cette heure ou j'écris ce mot, je décide de rejoindre mon Cousin Henson en Californie, à Los Santos. Ma mère est partie vivre en Italie, c'est malheureux, je n'ai jamais été au courant avant mon retour en Californie.

A mon arrivée à Los Santos, de grandes surprises me fit changé totalement ma destiné.



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Chapitre III : Perdre, c'est être transformer.

Être maitre de soi même, cela est une règle importante pré-établie à ta naissance, on est normalement conçus pour vivre en communauté avec les gens qu'on aime, je dis bien normalement. Quand tu goute à la terrible expérience qui est l’œuvre de tes propres choix et de tes propres vœux, tu te rends compte que l'homme est, et restera pour l'éternité dans l'imperfection complète.
Mon arrivé à Los Santos fût brève, un mois avant mon arrivée à Los Santos, j'avais reçu une veille lettre de mon cousin Henson, car oui, nous gardions contacte régulièrement, il était un combattant des flammes au Los Santos Fire Department, le contraire de moi, il mettait sa vie en péril pour les autres, je mettais la mienne pour tuer les autres. Mon dieu quel paradoxe, à savoir que je haïssais par dessus tout foutre les pieds dans ce genre d'endroit, oui, les casernes, les hôpitaux, les conneries qui pu toute sortes de médicaments au kilomètre carré. Puis moi, et mon égaux surdimensionné, j'étais trop con pour me dire que je devrais sauver des vies au lieu d'en détruire, nom de dieu.
J'ai donc pris l'initiative de me rendre à son domicile, qui était evidemment fermé. Alors demi tour direction cette caserne, mon dieu, si j'aurais su avant, je n'y aurais jamais posé les pieds. Ce jour la, j'ai été détruis, ma seule famille vivant dans ce pays, était morte. Roy Henson, mon cousin, ouai, un gamin formidable, il s'est pendu en prison pour une putain de prise d'otage chez des journalistes. J'ai entendu dire qu'il avait craqué avec toutes les victimes qu'il a vu et qu'il voulait fuir avec un paquet de pognon. J'ai vraiment pris sa ironiquement, et c'étais drôle car nerveusement je me suis mis à rire pendant au moins deux longues minutes ! Deux putains de minutes ! Mais qu'est ce que je devrais dire merde ?!
J'avais un compte en banque disons assez remplie suite à mes deux ans dans un pays remplie de fous alliés qui ne voulaient qu'une chose, faire tombé notre armée à coup de lance roquette et de kalachnikov.
J'ai donc décidé de m'installer dans un hôtel pendant disons trois longs mois, j'ai liquidé mon compte en banque, et je commençais à manquer en argent. Une question bête que je me posais disons trois à quatre fois par jours, que voudrait un homme ayant tout perdu dans ce bas monde ? Même ma propre mère m'a laissé, je n'ai plus rien d'elle non plus. Quelle vie.
Je lisais très souvent les petites annonces, ah ! Je fumais beaucoup, beaucoup trop, chaque jours je crachais mes poumons, mais bon, une bonne Lucky Strike, valait toute la bouffe du monde. Je passais très souvent mes journées à regarder les rediffusions des matchs de base-ball, y a des joueurs qui ont une patate d'enfer, et puis je me dis que ces connards touchent leur argent en tirant dans une balle, une vie de rêve, n'est ce pas ?
Un soir, alors que je m'étais trouver une trainée dans le coin, j'entendis à la radio que énormément de services locaux, publics mais aussi administratifs tel que la Los Santos Police Department, ou encore les services de la maire recrutaient, mais bon dieu de merde, j'ai tiré un coup fabuleux ce soir là, c'étais magique et intense, et vous voulez savoir pourquoi ? Non pas parce que la femme me plaisait, car à vrai dire, je l'ai très vite jeter après nos ébats, mais bel et bien car j'entendis cette petite annonce à la radio. Franchement, un ancien soldat vétéran de l'Irak dans une patrouille de police, avec des collègues qui te refileraient un tas de combines pour gagner de l'argent rapidement, pouvoir porté un uniforme et des vêtements propres, une paye à la fin du mois, et des supérieurs qui te hurlent dessus, c'étais l'un des plus beaux jours de ma vie durant ces trois dernières années.

Bon j'ai repris la main, une tenue propre, j'allais récupérer un dossier de recrutement, je suis partie au poste qui est tout de même assez impressionnant, c'est celui de l'Ouest d'après la petite secrétaire, celui qui est basé sur Rodeo. La première image est aussi important que la première fois que tu rencontre la femme que tu vas mettre dans ton lit le soir même, aussi important que la première balle lors d'une fusillade en ville, et je peux vous dire, que j'ai employé mon langage des plus professionnel, alors que je n'avais rien pour me formé. Mon école c'étais la guerre, et cette guerre, restera à jamais gravée dans ma vie, c'est le but des souvenirs marquant qui sont encore une fois une connerie lors de notre création dans ce bas monde.

Je crois, que je vais enfin pouvoir retrouvé une vie convenable, enfin, j'espère.



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Chapitre IV : De nouvelles possibilités.


Croire en l'homme, croire en son esprit, croire en soi. Beaucoup de questions ont parcourus le fond de ma tête, qui me servait parfois à faire remonter mes peines, à me mettre à chialer, à genoux, au pied du lit de cette chambre miteuse. D'autres m'ont permis de me remettre sur un chemin, auquel je ne pensais pas y remettre les pieds. Pense tu que les autres ressentent le même mal que je peux ressentir ? Trop de questions me passent par dessus la tête, j'en deviens parfois fou. Le propriétaire du motel veut me faire dégager, il croit que je suis un taré, à vrai dire, se trimballer comme un clochard, j'aimerais bien me mettre à sa place afin de le comprendre.
Il était treize heure lorsque je sortis de ma chambre afin de récupérer mon courrier à l'accueil, une petite enveloppe des moins banales trainait au milieu des pubs, celle ci était par évidence tamponné Los Santos Police Department alors que je mis ma clope au bec, entrant ainsi dans ma chambre, j'ouvris celle ci à une vitesse, déchirant entièrement enveloppe afin d'en sortir cette fameuse lettre. J'étais reçu à ce foutu poste, sa y est, je vais commencer ma période probatoire au poste du secteur Rodeo. Mon entourage me dirait, ce n'est qu'un job Roy, mais pourtant, je compte sur ce job pour me sortir de ma merde certaine.

La semaine prochaine venait, il était temps pour moi d'enfiler mon uniforme, et m'habituer aux mœurs de mes nouveaux collègues, lorsque j'ai intégrer les services, au bout de quelques jours j'ai très vite compris qui étaient les connards de service, mes patrouilles s'enchainèrent, je rencontraient des gens importants, et plus le temps passait, plus je sentais mon fond raciste remonter, car oui, n'oublions pas que je me suis battue contre des enfoirés de service. Les jeunes branleurs tapaient des rodéos en moto pour épater les petites de leur quartiers, et le plus souvent, ils n'avaient que seize à dix sept ans. La vie est triste, l'humain est idiot.

Les jours s'enchainèrent, et plus le temps passait, plus je me forgeais une place au sein de ce poste, des couilles s'enchainèrent, le soir où j'ai malencontreusement manqué de respect dans une totale in-direction à la salope de Ashford, son Lieutenant ainsi que le mieux Redfield, qui pour moi était devenue le connard numéro un de ce poste m'avais proclamé Officier manquant de respect à ses supérieurs, j'ai eu la chance de recevoir un blâme pour cela. Personne ne m'avait laissé le temps de m'expliquer, je laissais mes supérieurs m'écraser, ainsi va la vie, car je sais que l'âme humaine est faites comme sa. Nous avons besoin d'avoir des plus forts, ainsi que des plus faibles. J'ai vécu longtemps en tant qu'un faible afin de viser les âmes forts. C'est une philosophie idiote, insensée, mais une logique de la vie. Tu viens d'en bas, tu dois souffrir, et bouffer les horreurs de la vie pour avancer et grimper.

J'aimais ce que je faisais, je bossais durement, mes payes tombait, j'ai enfin quitté ce motel, et son propriétaire ne faisait que sourire le jour de mon départ, surement, un sourire de peur et de satisfaction. Qu'il aille se faire foutre, de tout façon, il fermera bien un jour. J'ai pu avoir un logement de service pendant un petit temps grâce aux aides de mon poste de Police, je voyais enfin le bon coté des choses, peut être que ma vie reprendra le bon sens.
Je ne fréquentais guerre de monde, une femme me plaisait, Emma Lawson, mais elle a disparue quelques mois après mon intégration en tant qu'Officier, c'est réellement dommage, elle avait un certain charisme qui m'attirait, jusqu'au jour où j'ai appris qu'elle vivait dans les bras du Chef Grews du Central. Ah les types du Central, t'en avais des bosseurs, mais la plupart du temps, ils nous crachaient dessus, à tout va, les guerres inter-service c'étais presque un sport reconnus dans nos juridictions.

Tout allait bien oui, puis je rencontra le Capitaine Redfield, Stevy à vrai dire. Ma connaissance fût brêve, et je découvrit enfin les réels traits de ce personnage si enfouis sous terre.



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Chapitre V : L'amitié.

J'ai appris que dans la vie, que nous avons rarement ce que nous voulons, il est vrai que ma jeunesse fût, brève et merdique, cette tristesse et cette haine comblant le fond de mon cœur était surement la base la plus solide que j'ai eu dans ma vie. Mes amis, je les ai perdu, je n'avais aucune personnes a qui je pouvais m'accrocher, non personne.
On ne s’attend jamais à trouver un type qui complètera notre vie, c'est vrai, c'est limite absurde de compter sur un autre type qui a lui même des soucis, et pourtant, un lien se créa ce jour.
J'avais ma plaque d'Officier et mon galon de rang II, je me souviens encore, putain, et il a fallu qu'un foutu Capitaine me prenne avec lui en patrouille. Vous y croyez vous ? Un Capitaine qui n'a rien d'autre à foutre que de se balader dans une voiture de patrouille avec un foutu Officier qui ne faisait son boulot humblement. Nos présentations étaient déjà faites, n'oublions pas que c'étais un sacré enfoiré avec moi. Il m'a pris pour un con, j'avais simplement envie de cogner un type comme lui. Mais comment oser lever la main sur un Capitaine ? Ce serait ma carrière, ma liberté que je perdrais. Soit, ma fierté, je l'ai écrasé, et je faisais en sorte d'être un Officier exemplaire face à un homme de tel envergure. Il ne m'impressionnait pas en tant qu'homme, mais son badge faisait tout. Puis, venait le moment, ou Stevy se mit à me parlé comme une femme, vous savez le genre de personne qui ne fait que parlé de ses soucis, franchement, croyez vous que je n'en avais pas assez comme sa ? Bordel, un connard, alors, pendant plusieurs heures, je discutais avec lui d'une femme, je ne connaissais pas son identité, puis Stevy, s'est lâché, je me poserais souvent la question, pourquoi moi. Le courant était un paradoxe, nous sommes passé de deux extrêmes à un seul centre. C'étais fou, le type qui quelques jours avant, j'aurais saigner, était devenue pour moi, l'homme le plus important de ce poste d'un point de vue personnel.
Les jours passèrent, je découvris des soirées au bar avec ce type, vous voyez, le genre de type génial, qui auquel lit dans vos yeux après trois whisky ce que vous pensez. On ne trouve pas deux personnes comme sa, même une femme connaissant son mari ne pourrait pas comprendre.
Nous avions eu le même passé, il a fait l’Afghanistan, j'ai fais l'Irak, nos blagues racistes étaient évidemment mises à rude épreuves, chaque jours, je devais en trouvé une nouvelle avec ce type, en parlant des barbues, des n*****, on vivait simplement comme deux hommes libres, qui avaient enfin trouvé quelqu'un sur qui compté. Nos bourrages de gueule furent énorme, j'en ai tellement fait avec ce type, j'en ris en y pensant. Putain, quel connard, il m'a même fait fumer un joint, avec mon badge accroché à mon uniforme. Il est fort ce type.

Il a été surement la raison, auquel j'ai continuer jusqu'à ma carrière, c'est lui qui m'a aider à surmonter mes bas, il m'a relevé, tandis, que je faisais de même de son coté. Deux hommes de bataille, on connaissait sa, relevé et courir avec un type à son épaule.
Si ce type avait le feu au cul, j'étais près à descendre n'importe qui pour le lui retiré, je n'avais aucune raison, sauf que Stevy et moi étions surement devenue, ou nous allions devenir dans un futur proche, une paire de meilleurs amis. Sans compter ce Riley Reyston qui trainait souvent avec nous, on formait surement un excellent duo, à la Starky et Hutch, n'allons pas dire que Stevy était une putain de tête cramée, mais quand même, lui et son Dakota.

<< C’est parce que tu es ce que tu es, parce que tu es unique, que ton ami t’a choisi. C’est parce que tu as ces faiblesses et ces points forts, parce que tu connais des hauts et des bas, que l’amitié a grandi entre vous. Dans l’amitié, tu n’as rien à faire valoir, il te suffit d’être tel que tu es. Tu y éprouves ta véritable dignité, cette manière unique que tu as de penser, de ressentir, de parler et d’aimer. >>


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Chapitre VI : Un départ difficile, une arrivée avide.


Cette année la fût rapide, voir même brève. Quel homme aimerait avoir tant de choses qui vont considérablement changé sa vie ? Je répondrais simplement, personne, à moins d'être fou, je ne vois pas qui aimerait cela.
Une putain d'année que je fréquente le Redfield, et sa y est, ma promotion de Sergent m'a été donné par le Chef Adjoint Cerreti, lui qui couvrait tellement sa femme, quelle enfoiré de pourris. Comme tout les autres types dans son genre, je préférais dormir sous un pont que être invité à diner chez lui. Tout allait au mieux, j'ai rencontré quelque types sympas, j'ai appris à en connaitre d'autres, parlons par exemple de Callen Geoghegan ainsi que Riley Reyston. Deux grosses têtes, qui n'aimaient qu'en faire à leur tête, mais je pense que je commençais à la apprécier, c'étais des gars avec une considération autre que je j'offrais à mes supérieurs.
Les jours passèrent, les uns, les autres, la routine s'installait, et justement, en parlant de routine, Stevy a fini par casser celle ci. Stevy part, Stevy rentre, que vais je faire, comment m'en sortir dans ce poste maintenant, comment faire. Des questions encore une fois me passèrent à travers l'esprit, venant hanter mes journées et mes soirées, comment gardé son calme avec tout sa. Eh ouai, Stevy retourne dans le Dakota, il avait besoin de repos. Il a fini par cracher le morceau, sa sœur va rejoindre notre département le temps du remplacement. J'étais mis au courant, il m'avais prévenu, cette femme était spéciale.
Je pense que ce soir là, où nos deux mains se sont serrées pour une dernière fois, comme si celui ci ne comptais pas revenir, je ressentais au fond de moi, une haine ainsi qu'une peur inexplicable. Pourquoi étais-je comme sa, encore une fois, ces réactions humaines m'étonnent, et me prennent le cœur, comme si celui ci est compressé du plus profond de sa partie interne. Je pense être un type normal, mais ras le bol de me poser des questions, et de finir mes soirées à tourné en rond, loupant ainsi mes match de baseball. Ma mère me manquait, mon passé aussi, mon unité, tout, et pourtant, je ne regrette rien.
Les jours surplombaient Los Santos, le soleil en faisait de même, et je m’efforçais de continuer ce que j'avais commencer, me demandant si un jour, je trouverais le but de ma vie. Je n'avais aucun but, mis à part les buts prédestinés à notre vie, dès notre naissance, soit, le bonheur, la famille, l'amour, mais tout cela, me manquais, je ne pensais point à cela, comment pourrais je le faire avec un passé aussi terrible ? Les gens me parlent de tourner la page, mais je crache sur ses gens, qu'ils aillent se faire foutre avec leur discours de bien aimé, il faut connaitre une personne afin de lui dire des choses pareilles, et seul Stevy me connaissait.
Puis vint le jour, où une certaine Emily Redfield, avait intégré nos services, j'ai vu aussi passé dans nos locaux, cette petite Emma Lawson, n'ayant perdu en aucun cas son charme, et finalement, quand je regardais ces deux femmes, je crois que je pourrais en rougir. Le Capitaine Redfield qu'on l'appelait, une femme vraiment attirante, d'une part par son physique, d'une autre par son charisme.
J'étais distant, je me méfie des femmes comme elle, je me souviens encore avoir promis à Stevy de gardé un œil sur sa sœur. Finalement, les connaissances vinrent, et plus le temps passait, plus je voyais une Redfield pur et dur, mais pourtant, une différence se faisant sentir. C'est une femme vraiment spéciale, et je me rapprochais en se moment même de cette fameuse Emma Lawson, qui vraiment, commençait à me plaire, mais comment oublié le regard de cette femme, la Redfield. C'est étonnant comme sentiment, un sentiment incontrôlable, et pourtant, je ne peux pas penser aux deux femmes.
Les jours passèrent, les paquets de cigarettes et les bouteilles de whisky se succédèrent, j'étais dans un gouffre, et celui ci était sombre, mais sombre, aucune issues étaient présentes, sauf traverser ce gouffre. Patience Roy, laisse le temps faire.

Mon regard perdait tout sens, des images de mon passé firent leur apparitions, mais pourquoi ? Pourquoi je souffre alors que j'ai déjà tout servis sur un plateau ?!
Un soir, Emma pleura dans mes bras, je pense que cela fût un déclic, pour elle, et pour moi. Et c'est après un restaurant que j'ai pu, enfin embrasser cette femme ravissante.
Les questions revinrent, j'en oubliais Emma parfois, et Emily était très bien encadré par ce fameux Riley Reyston.
Mon regard noir, sans expression, éclairer par le lueur du soleil, montrant mes yeux sans vie, sans âme, fixait à nouveau un nouveau point. Un homme pale, un long manteau noir, des cheveux noirs. Et cet homme était surement proche de cette Emily.
Je n'aurais jamais du continuer.


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Chapitre VII : Le bouleversement.



Dernière édition par Rafael Caballero le Sam 1 Juin - 9:46, édité 24 fois
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Message par Charles " Lucky " Luciano Dim 11 Nov - 20:16

Bon début, bonne continuation. ;-)
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Message par Roy Waynee Dim 11 Nov - 20:25

Merci Smile.
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Message par Callen Geoghegan Mar 13 Nov - 7:03

Jolie mec.
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Message par Invité Mar 13 Nov - 11:20

Pourquoi pas, bon début !

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Message par Emilie Redfield Mar 13 Nov - 14:13

Bravo, bon début.
Très bonne ambiance avec le fameux "Gortoz a ran" de Black Hawk Down (Epique film au passage).
On attend la suite.
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Message par Roy Waynee Mar 13 Nov - 17:19

Merci, j'étais actuellement sur la rédaction de mon backround, j'essaye d'y ajouté les moindres détails Smile.

Pour la musique, c'est Hans Zimmer quoi <3 Razz.
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Message par Invité Mer 14 Nov - 11:38

La Chute du Faucon noir l'un de mes meilleurs Films, La chanson de la fin..bon choix de musique aussi. Le meilleur compositeur de musique Grec Hans Zimmer.

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Message par Roy Waynee Lun 24 Déc - 12:33

Mis à jour.
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Message par Laurencio Maldinamo Lun 24 Déc - 14:18

Géant !!
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Message par Roy Waynee Ven 12 Avr - 13:06

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Message par Shalesia WALLACE Ven 12 Avr - 13:16

J'aime la façon dont tu raconte l'histoire !
Interessant ce backkground.
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Message par Ethan Gallini Ven 12 Avr - 14:34

Encore plus nul que celui de Redfield.
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Message par Roy Waynee Ven 12 Avr - 14:49

Frederick Roberson a écrit:Encore plus nul que celui de Redfield.

Je sais que je te vends du rêve pédale !
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Message par Elies Regado Ven 12 Avr - 15:12

c tro dla merd mdr ca parle pa dmoi
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Message par Roy Waynee Ven 12 Avr - 15:58

Mais idiot c'est normal Sad. J'ai enfin fini l'histoire avant l'arrivée de mon personnage IG ! Maintenant tout les faits au Chapitre IV se sont passé IG
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Message par Invité Ven 12 Avr - 16:01

Not too bad ! continue.

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Message par Evio Moreno Ven 12 Avr - 16:02

C'est à quel moment qu'il est mort ? Que je sache à partir d'où je dois commencer à lire.
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Message par Roy Waynee Ven 12 Avr - 16:10

Bitches.

@Chloe - Thx <3

@Evio : Fu'
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Message par Emilie Redfield Ven 12 Avr - 16:50

Haaaaan.
Pas mal salope. Pas aussi bien que moi. Dommage. Cool
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Message par Elies Regado Ven 12 Avr - 16:57

Evio Moreno a écrit:C'est à quel moment qu'il est mort ? Que je sache à partir d'où je dois commencer à lire.

C'est bien lancer celle la.
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Message par Roy Waynee Ven 12 Avr - 16:58

Allez vous faire voir avec vos troll, moi j'vous own tous.
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Message par Aiden Gatens Ven 12 Avr - 17:33

Beau background Roy.
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Message par Damian Hencutt Ven 12 Avr - 17:40

wsh ton perso c batman ou koi
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Message par Invité Ven 12 Avr - 17:50

Je savais que t'avais un niveau en Français, Roy, mais pas à ce point Surprised
Tu m'a SURPRIS!

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