La vie est un art que peu de personne ne maîtrise. [Background Ian Moone]

Le bruit de la foule en délire fait vibrer mes oreilles, le moteur vrombissant comme jamais, les mains sur le volant, je regarde autour de moi observant les voitures de mes trois adversaires, ensuite j'ouvre lentement ma boite a gants dans laquelle je sors une paire de gants en cuir noir orné d'un cercle rouge sur le dessus et le dessous de ces dernier que j'enfile.
Une jeune femme sexy habillée de façon très légère s'approche, se posant devant les voitures dans le couloir central. Elle lève les mains en l'air. Le pied sur l’accélérateur, les secondes passent lentement, une grande inspiration emplie mes poumons d'air. D'un coup sec, les mains de la jeune femme s'abaisse vers le sol, signalant le début de la course qui s'annonçait des plus intenses. Grande expiration, j'enfonce le pied sur l'accélérateur.
La course commence, ma Cheetah toujours fidèle à son poste passe en deuxième position, devant moi une Infernus rose conduite par une de mes plus grande rivale, je fixe la route, le premier virage s'annonce, je bascule ma main droite sur le levier de vitesse, j'appuie un léger coup sur le frein, je descends de régime, ma voiture s'emballe, m'emmenant sur le côté tout en dérapant. Je reprends rapidement le contrôle de ma Cheetah. Côté à côté avec ma rivale, les virages s’enchaînent. Nous luttons pour prendre la tête de la course. Génées et agacées par notre conduite, les autres voitures nous klaxonnent avec haine.

C'est le dernier tour, les deux autres pilotes sont sur le coté à cause d'un violent accident. Les flics les embarquent alors que d'autres nous poursuivent. Ma rivale et moi sommes au coude à coude, je m'approche dangereusement de sa voiture, l'envie de gagner me rongeait, la rage de vaincre m'envahissait. Mon visage concentré disparaissais petit à petit pour laisser place à un visage rempli de rage et de haine ....
Coup de volant vers la voiture de ma rivale, ma voiture percute légèrement l’arrière de ma rivale la faisant partir en tête à queue et pour finir en tonneau et sur le toit, un léger sourire sadique se dégageait de mon visage mais je repris très vite la raison. Coup de frein à main, je fais un grand demi-tour en dérapage.
J'étais perdu dans mes pensées, je suis un fou mais mon coté gentleman ne me permet pas de faire sa a une femme.
J'arrive en dérapant au coté de l'Infernus de ma rivale, je sors rapidement m'approchant de cette dernière l'aider à sortir, le bruit des sirènes de police nous forceait le pas. On entre dans ma voiture, mon pied caresse l'accelerateur et je partis en trombe. On arrive alors dans un carrefour, les battements du cœur allant à 200kilomètre à l'heure, j'entends un klaxon très puissant attirant mon attention. Je tourne la tête vers la gauche apercevant le bus arrivant à grande vitesse, si quelqu'un me voyait il pourrait deviner la peur dans mon regard, la peur de mourir. La lumière des sirènes de police, les sons, les mouvements, tout me semblait de plus en plus lent. Mon regard se porte ma rivale, je détourne mon regard sur le volant et je ferme les yeux lentement, ma vie défilant en un instant devant moi ....
J'entends cette voix qui me dit :
[Voix de femme] : - Ian... dans le fond qui sommes-nous pour décider si une personne doit mourir ou pas ? Si il y a bien une chose que je sais, c'est que toi tu vas vivre, aussi longtemps que ta rage sera en toi.
Cette voix .... Cette voix qui me hante jour et nuit ...
Dans le fond c'est vrai qui sommes nous ?
Je m'appelle Ian Moone, j'ai 26 ans, je suis née le 8 novembre 1986, Où ? Bonne question, je ne sais pas, je sais juste que j'ai été élevé dans une famille d'accueil à Liberty City. Une question que je me suis souvent posée était : "Qui sont mes parents ?"
Cette question m'a tracassé toute ma vie jusqu'à ce que j'arrive à Los Santos, elle a été ma quête toute ma vie ...
Je vais vous expliquer.
Lors de ma naissance les femmes de l'orphelinat m'ont dit que mes parents mon déposer ici, ils n'ont donné aucune informations sur eux, juste qu'ils étaient mes parents et mon nom de famille ainsi que d'autres informations que j’apprendrais plus tard dans ma vie. Je suis resté dans l'orphelinat jusqu'à l’âge de 3 ans, ou par la suite j'ai étais adopté pas la famille Jonhson, des personnes formidables, ils m'ont appris la vie si je puis dire, je suis vite allé à l'école, j'ai fait mes études comme tout petit garçon bien élevé. À partir de 16 ans, ma vie a commencé à basculer, les études ne me passionnaient plus, qu'est-ce qui m’intéressait ? Les femmes, les voitures et toutes les conneries que je pouvais voir à droite et à gauche : La mécanique, les secours, le droit, bref... Beaucoup de chose qui on fait mon éducation actuel, mon père d'adoption m’a appris à conduire dès que possible avec ma grande taille, ça aidé (1M 80 a 16 ans) ! Lui aussi était un passionné d'automobile, j'ai rapidement su à bien conduire. A 17 ans au lycée j'ai rencontré une fille, belle, intelligente, vous connaissez le refrain, j'ai commencé à fricoter avec elle, un jour elle m'a emmené voir des amis à elle. On arrive dans un quartier a risque et on entre dans un garage automobile, elle me présente à ces amis, de grands hommes âgés, je me sentais mal à l’aise, mais ils m'ont vite mis en confiance. Petit à petit je commençais à traîner avec eux, je séchais les cours, ma famille me demandait ce qu'il se passait, on peut appeler ça l'excuse des parents qui est : "La crise d’adolescence". Un jour un des mecs avec qui j'ai pris l’habitude de traîner m’a dit :
L'homme : - Tu sais ce que c'est les courses sauvages ?
Moi : - Euh ... Ouais vite fait.
L'homme - : Ca te dirait d'en voir une ?
Moi : - Ouais ! Quand ?
L'homme : - Demain, 18 heures ici, je t’emmène voir la course après.
Le lendemain, je me rendais au garage à 18 heures comme prévu et on est parti au Dock de Liberty City, j'ai assisté à la plus belle course de toute ma vie, pleins de personnes sont venues assister à la course, quand tout était fini un mec m'a proposé de le défier, j'étais ignorant et jeune, alors j'ai accepté : Il m’a dit de prendre cette voiture là bas, une belle voiture de sport, une Sultan, je la prend/vole et je me mets à la ligne de départ, le mec avait la même voiture que moi, une Sultan sauf que la sienne était tunée. La course se déroule plutôt bien. Comme prévu j'ai perdu. La fête a vite été interrompue par l'arrivée des policiers, je suis remonté dans la voiture de l'homme qui m'a emmené à la course et nous sommes repartis. Pendant le trajet l'homme m’a dit :
L'homme : - Tu sais qui tu as affronté ?
Moi : - Non, pourquoi ?
L'homme : - Tu t’es frotté au meilleur pilote de Liberty City. Dit-il en rigolant.
Moi : - Ah. D'un ton ignorant.
Au fil du temps je me suis fait renvoyer de mon lycée, les mecs du groupe m'ont monté une voiture, une Sultan aussi, j'ai commencé à m'attaquer au course, je me suis fait un nom, les gens m'appelaient : "Le démon du volant, le nouveau king" et moi je gardais mon simple prénom.
À mes 18 ans, le "meilleur pilote" entendant parler de ma réputation grandissante a décidé de me provoquer en duel, que j'ai évidemment accepté, je me suis préparé, mais le jour du duel, ma voiture a était sabotée et donc impossible de l'utiliser, si je me défilais, c'était fini pour moi, dans un dernier élan, je suis allé prendre la voiture de mon père adoptif, une magnifique Elegy, qu'il dorlotait comme personne. J'arrive sur les lieux de la course avec un peu de retard, le "meilleur pilote de LC" faisait déjà son Show. Les voitures en position, les mains sur le volant, le pied sur l'accélérateur, les gens criaient, sifflait. C'était le délire dans la foule, je regarde de façon passionnée la route et la **BOOM** un grand bruit d'arme se fait entendre, c'est le top départ.
Les voitures accélérant comme si l'enfer les rattrapait, partaient droit, les pneus crissant sur le goudron, mon adversaire était à bord d'une Cheetah noire elle avait une supériorité sur le moteur, qui allait beaucoup plus vite que la Elegy de mon père adoptif. Mon adversaire et moi nous trouvions sur une grande ligne droite, qui malgré qu'elle soit droite était la route qui a causé le plus d'accident. Suite à une erreur de sa part je commençais à le rattraper, cette enfoiré a commencé à me coller pour me faire aller dans le décor et là je vois le poteau en face de moi, impossible de tourner à cause de l'autre enfoiré qui me collait, alors je mets un coup de frein et je fais un mouvement de volant sur la droite et ensuite sur la gauche, l'avant de ma voiture entre dans l’arrière de la Cheetha de mon adversaire, qui part en tête à queue. Je reprends ma route et trace jusqu'à la ligne d'arrivé où je suis accueilli en héros, mon adversaire arrive contrairement à ce que je croyais, l'air calme et content et me dit :
Adversaire : - Tu connais les règles du duel ?
Je garde le silence le regardant droit dans les yeux en attendant la suite de sa phrase.
Adversaire : - Quand une personne perd, il donne sa clef et sa carte grise. Il me regarde passe sa main dans sa poche et me tend les clefs de sa voiture et sa carte grise, je les prends gardant le silence tout en tournant mon regard vers lui. Dans mon regard s’illuminait l'admiration que j'avais pour cet homme. Je ramenais la Elegy et la Cheetah au garage, je rentre chez moi à bord de la Elegy et je la remets là où je les prise.
Jusqu'à là vous vous dites : "Mais qu'elle est le rapport avec la phrase du début ?" Et bien je vais y venir, restez calme.
Un jour mon père et ma mère adoptif mon demander de venir les voir je suis venu, au début ma mère me parle difficilement, elle n'arrivait pas à trouver les mots, alors mon père a pris le relais et la ma vie a réellement basculée, il m'a annoncé que j'avais était adopté, jusqu'à ce jour j'ignoraos totalement que j'étais adopter, ma vie à tournée, je suis parti me réfugier dans ma chambre, j'ai commencé à préparer des affaires et j'ai attendu le soir, ou je suis allé au garage, j'ai laissé un mot d'adieux, j'ai pris l'argent que j'ai accumulé avec les courses et j'ai pris un aller-simple pour la Russie en bateau.
Vous me direz : "Pourquoi la Russie ?!" Ca vous l’apprendrez dans le prochain chapitre.



Deuxième chapitre : "Le froid de Russie"



Quand je suis allé dans ma chambre j'ai vu une lettre sur mon oreiller, je l’ai ouverte et j'ai lu le mot qu'il y avait dedans, il me disait :

Mon chère frère, j'ai entendu parler de toi et je me doute que depuis que tes parents adoptifs t’ont dit la vérité, tu veux des réponses, alors viens à Moscou en Russie devant la cathédrale Saint-Basile, je te reconnaîtrais ne t’en fait pas.

Signé : "Ton frère, Victor Moone."
C'est à ce moment-là où j'ai commencé à faire mes affaires, ensuite j'ai pris ma Cheetha, tous mes papiers et je suis parti en bateau, pour la Russie.
Un long voyage qui s’est déroulé tranquillement, j'arrive en Russie, je pars du bateau et je me dirige vers la cathédrale, je me gare devant, j'attend plusieurs heures, jusqu'à ce qu'une personne vienne frapper à ma fenêtre, il entre sans me demander et me fait la bise avant de dire :
Inconnu : - Bonjour mon frère.
Je le regarde et avant d’avoir le temps de parler, il me dit :
Victor Moone : - Ta gueule, conduit je te guide et je réponds à tes questions en conduisant.
Sur ces mots je m’exécute et commence à conduire, l'ambiance était calme, j'observe attentivement mon frère, ses tics, ses vêtements, sa tête et je dis :
Moi : - Alors ? Tu vas bien ?
Victor Moone - Oui, oui très bien, tu n’as pas d'autres questions ? Tu as le droit à trois questions après tu te tais.
Moi : - Alors, première question, qui sont nos parents ? La deuxième, pourquoi m’ont-ils abandonné et la dernière pourquoi ne me contacter que maintenant ?
Victor : - Déjà nos parents sont des personnes hautement placées, notre père, Jarode Moone, fait partit des forces spéciales, donc il est sous autorité fédérale protégée par le gouvernement, il est inaccessible et je ne l’ai vu que rarement, ensuite notre mère, Alicia Moone, est sous directrice du FBI au QG de Washington, donc même refrain après je n'ai aucune idée de où ils sont et ce qu’ils font maintenant. Ensuite pourquoi ils t'ont abandonné, et bien ils n'ont pas eu le choix, tu es le dernier à être venu au monde, je suis le premier et après ils ont eus deux jumelles, Karine Moone et Lina Moone, ces deux-là pour tout te dire je ne sais pas ce qu'elles font et où elles sont. Bref, ils ne pouvaient pas s'encombrer d'un quatrième enfant tu comprendras j’espère, tourne à droite là et à gauche au troisième virage, en plus notre père devait déménager souvent et pour finir pourquoi te contacter que maintenant ? Parce que j'attendais que tu es la majorité. J'ai répondu à toutes tes questions ?
Moi : - Euh ... oui, je crois. Dis-je d’un air perturbé.
Victor : - D'accord alors roule maintenant.
Au bout d'une demi-heure nous sommes arrivés à un bar très "Oldschool" avec un nom Russe que je ne comprenais pas, je me gare, on entre dans le bar on se pose a une table et là, trois hommes en costard noir viennent s'asseoir avec nous, mon frère et les trois hommes commencent à parler en Russe, je suis complètement largué. On boit et on s'en va, Victor me guide jusqu'à chez lui où je passe la nuit.
Le soir j'entends mon frère parler avec une femme en russe je pense que c'était sa femme, j'ai cru avoir reconnu le mot "Je t'aime" en Russe.
Le matin je me réveille et commence à chercher mon frère que je ne trouve pas je regarde sur la table de la cuisine et je trouve un mot qui me dit : "Je rentre ce soir, fais gaffe à toi, la Russie c’est un pays bizarre, je te conseille de rester à la baraque, si tu as un problème il y a un flingue dans ma table de nuit et un GPS".
Sur le coup je me suis dit qu'il rigolait alors je suis resté dans la maison à regarder la télé et à naviguer sur l'ordinateur, bref, je me suis fait chier. Le soir Victor rentre à la maison et il me dit :
Victor : - Tu sais tirer ?
Moi : - Euh ... Non, pourquoi cette question ?
Victor : - Pas le temps de t'expliquer, viens.
Je suis mon frère jusqu'à ma voiture où je lui donne mes clefs, il m'emmène au dock, un endroit très sombre où personne ne traîne, il dégage un peu sa veste sur le côté avant de sortir un flingue, un vieux M1911 et il me dit de regarder la canette au loin, il braque son arme avec un seul bras et appuie sur la gâchette, "BOOM" le bruit raisonne contre les murs du dock, tandis que la balle vient exploser la cannette au loin, il me lance l'arme et me dit :
Victor : - A toi de jouer petit, tu vois la bouteille de Vodka là-bas ? Et bien tu la dégomme.
J'essaye de faire comme mon frère, de viser avec une seule main avant de tirer, j'ai été surpris par le recul qui a failli me déboîter le bras, en plus j'ai raté la bouteille, mon frère se met à rire avant de me dire en rigolant :
Victor : - Vas-y envoie le flingue je vais te montrer comment faire. Regardes, tu te places bien, tu te mets en position, tu prends l'arme avec tes deux mains, tu prends le temps de viser et ...
Bruit de déflagration, la balle vient détruire la bouteille avant que mon frère rajoute :
Victor : - Pas besoin de se presser, prends le temps de viser, lenteur égale précision, précision égale rapidité, Compris ?
Je hoche la tête et Victor me renvoie l'arme, il me montre la cible, je me place, prend l'arme fermant avec mes deux mains, je prends le temps de viser et je tire, la balle file droit sur le petit panneau, on s'approche pour voir ou j'ai tiré, la balle s'était logée en plein dans le centre du panneau, en voyant ça mon frère me dit d'un air content :
Victor : - Bien joué, maintenant tu sais tirer.
On rentre à la maison pour aller se coucher, en route il me dit demain réveille-toi à 8 heures, j'ai du travaille pour toi, j'ai entendu dire qu’à Liberty City tu étais le meilleur pilote non officiel ?
Moi : - Euh ... ouais enfin, j'ai battu l'ex meilleur pilote, pourquoi et quel genre de boulot ?
Victor : - Disons que j'ai besoin d'un pilote le mien a pris des vacances prolongées, pose pas de question tu seras informé en temps et en heure.
Le lendemain matin je me lève, des affaires toutes noires sur le lit avec une cagoule, je mets les affaires gardant la cagoule dans mes mains, je vais voir Victor lui demandant ce qu’était tout ça, il m’a répondu la même phrase "tu sauras en temps et en heure". Victor prend un grand sac de sport noir qui paraissait très lourd, ensuite on sort, range toutes ces affaires dans le coffre avant d’en sortir deux Glock 17 munit d'un silencieux, il m'en donne un et me dit de rouler, tout en conduisant il me dit que quand il me donnera le signal d'aller à cet endroit là sur une carte, je mémorise, j’analyse et continue à rouler. On arrive dans une ruelle paumée, il me dit de m’arrêter ici et d'attendre qu'il revienne. J'attends environ une ou deux heures et là j'entends des coups de feu, comme ceux d'un fusil à pompe, là je vois trois mecs cagoulés arriver vers moi, ils rentrent dans la voiture et me disent d'accélérer, sur le coup j’accélère et je vois trois Huntley noirs qui nous poursuivent, je me concentre sur la route et des balles viennent s'enfoncer dans la voiture, détruisant les vitres, je me rends vers le point d'extraction indiqué juste avant par Victor, les deux hommes à l'arrière commence à sortir par les fenêtres et a tirer sur les voitures qui sont derrière nous, un des Huntley s’est pris une voiture de plein fouet causant un énorme carambolage, je pense que les gars qui étaient dedans n'ont pas survécus. Les balles sifflent, passant à coté de nous, je me demandais bien pourquoi les policiers ne réagissaient pas. Plusieurs balles viennent entrer dans le corps d'un des mecs à l'arrière le tuant, il est balancé par-dessus la fenêtre pour faire moins de poids, ensuite la personne à mes côtés ouvre la boite à gants et en sort un Uzi et commence à tirer sur les Huntley, en un chargeur il a réussi à descendre les tireurs et le conducteur d'un des Huntley, il n’en reste plus qu'un, il tue le dernier mec à l'arrière qui tombe lui-même de la voiture se faisant écraser par un camion, je pilotais comme jamais, le dernier Huntley derrière nous a sorti un AK 47 essayant de tirer sur les roues, sans succès, une balle est entrée dans l'épaule de la personne à coté de moi, il retire sa cagoule laissant apparaître son visage, c'était Victor, il arrache le pare-brise avec sa jambe donnant trois coups dedans et il me dit d'une voix souffrante :
Victor : - Étonne-moi petit frère...
Sur ces mots, j'ai basculé ma main droite sur le frein à main donnant un violent coup, faisant faire un 180 degré à la voiture, je prends mon arme tout en roulant en marche arrière et je commence à viser le Huntley, je me suis rappelé de la phrase de mon frère "Lenteur égale précision, précision égale vitesse" Le viseur braqué sur le coté conducteur, j'appuie sur la gâchette tirant trois balles, venant se loger en plein dans la tête du conducteur, le Huntley, perdant le contrôle, part vers la gauche venant se prendre un poteau de plein fouet et explose d'un coup, je pense que le réservoir a dû fuir, je me remet droit regarde mon frère qui avait perdu connaissance et le conduit droit au point de rendez-vous, ayant eu connaissance de l'efficacité pitoyable des hôpitaux de Russie, j'ai décidé de l'opérer moi-même. On arrive sur les lieux, je commence à fouiller les sacs et le coffre de la voiture, je trouve une trousse de secours et une drôle de pochette remplie d’ustensiles coupants. J'allonge mon frère sur le sol et lui retire sa chemise avant d’appuyer sur la plaie, je prends du désinfectant et des compresses ainsi que des bandages, une aiguille médicale et du fil pour recoudre les plaies. Je commence à désinfecter la plaie avec le désinfectant appliqué sur les compresses, je prends un scalpel et un couteau dans la pochette, j'enfonce le couteau dans la plaie, jusqu'à toucher la balle la callant sans la faire bouger, j'entre après le scalpel jusqu'à la balle commencent à la faire remonter, j'extrais la balle, la plait saignant énormément, j'appuie sur la plait la re-désinfectant, je prends l'aiguille attachant le fil dessus, je commence à faire des points de suture sur la plais, je pose une compresses désinfectée dessus, avant de mettre un bandage tout autour de la blessure en faisant en sorte à ce que sa appuie bien, je bloque bien le bandage et m'assoie parterre épuisé et stressé. Je monte Victor dans le coter passager de la voiture, recouverte de sang, d'impact de balle et de morceau de verre, je l’amène jusqu'à la maison ou je le monte dans sa chambre, je retire toutes les affaires de la voiture et la fait disparaître à la casse la plus proche, je retourne à la maison à pied, avant de m'écrouler dans mon lit et de m'endormir. Le lendemain matin je vais voir Victor qui était posé sur le lit, les yeux ouvert, l'air reposé, je lui ai demandé s’il allait bien, il m’a répondu :
Victor : - Passe-moi mon portable.
Je lui donne et il appelle une personne avant de commencer a parler en Russe, je m'approche de lui retirant les bandages, je regarde la blessure que je nettoie juste après, refaisant le bandage, un peu plus tard. Une femme entre voilement dans la chambre avant de se jeter sur Victor, je m'en vais l'air déçu, déçu de n'avoir aucun signe de gratitude de la part de mon frère, même pas un merci, je sors de la maison et décide d’aller faire un tour. A mon retour je vois la maison saccagé, les meubles renversés, je cours dans la chambre de mon frère et là je vois la femme par terre, une balle dans la tête, du sang tout autour, le corps de Victor introuvable, je regarde sur le lit et je vois un CD ou il y est marquer dessus quelque chose en Russe que je n'arrive pas à déchiffré, je le met dans le PC de mon frère m'ouvrant un dossier avec une carte me disant de me rendre a-t-elle endroit a-t-elle heure avec un somme de 100 000$ se sont les seuls choses que j'ai réussi à comprendre, je me suis demandé ou je pouvais trouver une telle somme et j'ai eu l'idée d'aller fouiller dans les sacs ou j'ai trouvé, dans un des sacs, un énorme paquet de brochure en dollars, je me suis dit que le compte devais y être alors je me suis rendu au point de rendez-vous, armé bien évidement, avec un PC portable et un fusil de sniper trouvé dans un des sacs de mon frère avec des balles, GPS dedans. J'arrive sur les lieux et la une Sultan noire débarque trois homme sorte de la voiture, deux armés d'AK et un autre avec un Magnum, l'homme armé du Magnum s'approche de moi et commence à me parler en Anglais, une langue que je comprends, il me demande de me donner l'argent ou mon frère seras tué et moi aussi, je leur cri :
Moi : - Où est mon frère ?!
L'homme : - [Accent Russe] Calme mon jeune ami, chaque chose en son temps.
Moi : - Me fait pas chié, où il est ?!
L'homme : - [Accent Russe] Me fait pas chier, l'argent ou je le descends.
Je prends le sac remplis d'argent à mes pieds et lui envoie, l'homme regarde dedans avant de repartir dans la voiture et de me dire :
L'homme : - [Accent Russe] On a encore du travail pour toi après, ne quitte pas la maison de Victor, on te recontactera.
Les hommes partent rapidement, je me dirige vers le coté passager de ma voiture prenant le M24 Silencieux a balle GPS, je commence à viser la voiture, j'appuie sur la gâchette, la balle part et entre dans la voiture des hommes qui parte, je range l'arme et monte dans la voiture, j'ouvre mon PC et commence à tracer la position de la voiture. Je les ai suivi un long moment avant de les voir entrer dans un immeuble, je me gare devant l’appartement d’en face ou je monte sur le toit avec un grand sac de sport noire ou le fusil de sniper y était ranger, je me pose sur le toit, change le chargeur de l'arme par des balles mortelle, déploie le bipied, je me pose sur la bordure et je prends ma respiration avant d'observer la situation.
Moi : - Je ne peux pas tuer les mecs à l'intérieur sa pourrais les alerté et ils tueraient Victor, je vais tuer tous les mecs à l'extérieur et après je rentre.
Ma respiration était très lente, j'ai pris connaissance de la position de tous les mecs visible et je me suis exécuter, enfin ... Je LES ai exécuté, une balle un mort, pas besoin de gâcher des balles. Une fois ma mission accomplie je remballe le matos et le range dans ma voiture, avant d'entrer dans l'immeuble, un homme a l'accueil me parle en Russe d'un voix autoritaire, je le regarde d'un regard froid, le mettant mal à l'aise, je passe ma main derrière moi, retirant mon Glock 17 silencieux de ma ceinture de pantalon et tire une balle en plein dans la tête de l'homme, j'avais pas mal de chance, tous les étages étaient condamner sauf un étage ou se trouver deux hommes dans le couloir devant la porte du fond, je m'approche rapidement, les hommes ne disant rien, je prends mon arme et tire une balle dans la tête des deux hommes, en tombant, les deux hommes firent un gros bruit, attirant l'attention des hommes à l'intérieur de la pièce, j'entends parler en Russe et là la poignée de la porte s'ouvre, j'attrape l'homme qui l'ouvre et l'utilise comme bouclier humain l'étranglant avec mon bras gauche visant avec le bras droit, les actions se déplaçais au ralentit tous ces passer en une fraction de seconde, analyse de la situation, préparation d'un plan et action, je vise les hommes vidant mon chargeur sur eux et les tuant, l'homme que je tenais en bouclier humain ces pris 5 balles d'AK 47 dans le corps, mon frère était au milieu de la pièce attacher à une chaise l'air faible et mal en point, je le libère mais pas le temps de respiré j'entends des hommes crier en Russe et monter les escaliers, je ramasse un AK par terre et les chargeurs que je trouve je me met a couvert et me cache derrière le mur attendant le bon moment pour sortir, je prends une grande inspiration, je cligne des yeux lentement avant de me pencher sur le coter visant le couloir avec mon AK, devant moi cinq personne, au fond se trouver l'homme avec le Magnum de la dernière fois, je vide mon chargeur dans le tas tout en avancent mon frère derrière moi l'homme avec le Magnum s'enfuit, je cours traînant mon frère avec moi pour le rattraper je rentre dans la voiture et mon frère me regarde avant de me dire :
Victor : - Occupe-toi de lui, j'ai quelque chose à faire avant de partir, occupe-toi de lui et tue le...
Je m'en vais par chance il a pris la voiture baliser que je suivais a la trace, quelques minutes plus tard j'entends une énorme explosion en provenance de l’immeuble, je retrouve la voiture de l'homme, je la poursuit, l'homme remarquant que je le poursuivais se mit a accéléré, la course poursuite s'engagea, je le rattrapais petit à petit, il a essayé de me tirer dessus, sans succès, je suis juste a coter de lui, coup de volant sur l’arrière de sa voiture le faisant partir en tonneau, je freine a coter de lui le regardant sortir l'air souffrant, je fouille dans la boite a gant avant de prendre le M1911 de Victor, je sors de la voiture l'air calme, je m'approche de l'homme, je le regarde, mon arme le regarde, ces yeux de chien me regarde, il commence à parler en Russe, je prends ma respiration avant d’appuyer lentement sur la gâchette la déflagration résonant dans la rue, la balle entrant dans le tête de l'homme, je rentre dans ma voiture et remet l'arme a sa place avant de repartir à la maison de mon frère. En arrivant je retrouve mon frère qui asperge la maison d’essence, j’ai vite compris qu’il faisait le ménage, il me regarde et me dit :
Victor : - Tu peux mettre les sacs à tes pieds dans la voiture s'il te plait ? Merci.
Je range toutes les affaires dans sa voiture et mes affaires dans ma voiture, il redescend et on commence à parler :
Moi : - Alors ? C'est finit tu t'en vas ?
Victor : - Oui, je n’ai pas le choix, la mafia veut ma peau et ma femme est morte, je vais te donner un dernier coup de main, une de nos sœurs Karine, se trouve en France à Paris, elle habite ici. Dit-il en me donnant un papier ou toutes les coordonnées sont écrites dessus. C'est la dernière chose que je peux faire pour toi.
Moi : - Et toi tu vas où ?
Victor : - Moi ? Et ben ... Je pense que je vais retourner à Liberty City, recommencer ma vie, alors je te dis au revoir petit frère et bonne continuation, j’espère que tu retrouveras nos parents.
La maison commençais a brûler de plus en plus, Victor entra dans sa voiture et moi dans la mienne, chacun partant de son coter.

(Prochain chapitre : Les lumières de Paris. Enjoy mes amis )