Patrick Rudaj: A fucking bastard serbian. (CII: Aimer sa patrie, comme l'aigle son nid.)

par a delete222 Mar 1 Oct - 21:43

A fucking bastard serbian.

Chapitre I: Les prémices.

Un bambin parmi tant d'autre est né ce jour, son prénom Patrick, Patrick Rudaj. Le premier étais la date officiel de la naissance de ce gosse, mis au monde par sa mère avant qu'elle meurt sur place, il a eu de la chance ce petit, son père assista au décès de sa mère, il s'en mordit les doigts et devrait pensé a remédié a la façon dont l'ont s'occupe d'une femme, plus particulièrement car se type n'étais pas très disponible a leur maison, toujours dans les coups fourré, les soirées, les clubs privé entre amis. C'était pas ce que Babtchia, la mère de Patrick rêvait, elle n'avait pas du tout la belle, peut-être que sa mort devait arriver, une chose est sur ces que cette enfant tiendra bien de son père, il en sera l'un des parrains de la pègre albanaises.

Chapitre II: Aimer sa patrie, comme l'aigle son nid.

Jusqu'à la chute du communisme en 1990, la vie et les pratiques de ces mafieux avaient peu changé depuis la Guerre froide. Le marché noir était très développé. Ils se sont depuis adaptés aux nouvelles méthodes. Ils ont commencé à s'expatrier au début des années 1990 et le mouvement migratoire s'est poursuivi après la guerre du Kosovo. Ils ont commencé à travailler comme assistants dans des réseaux de trafic de drogue déjà existants dirigés par des Russes, des Italiens et des Serbes, et les parrains Djenko Nocovic, Dragan Maksimovic, Zantic Zapavalic. D'après la police, ils sont rapidement parvenus à s'imposer et à faire valoir certains droits, certaines couleurs.

Aux USA- l'ombre de la pègre albanaise règne, la loi du kanün résonne, de grand nom apparaissant sur les dossiers du FBI, Rudaj et Zapatrovski, deux grande figure de la mafia albanaise, dans les rues de Los Santos et du Massachusetts le taux de criminalité augmente, les viols, et les camps de rome et d'albanais ce construise, on parlera alors d'une immigration clandestine a travers les journaux on parle d'un réseaux clandestin.

Juillet 2002,

Lors d'une rendu des forces de l'ordre dans les camps, une perquisition éclata suite a une malfaçon trouver par l'un des agents de l'ordre, Rudaj se trouvant dans le camp, sera arrêté avec quelques acolytes pour proxénétisme aggravé sur mineur et trafic de stupéfiants, certainement un coup monté, une balance.

Est-ce la fin de la Corporation au USA?

Arsenije Jovanovic, un ancien serbe du camp déterminé comme balance, par un agent de l'ordre travaillant avec Rudaj, il sera abattu par deux motards de plusieurs balles dans le corps en se rendant a ces habitudes matinal.

Septembre 2002,

Alexander Rudaj lègue son statut de parrain, a son frère Patrick Rudaj et céda toute ces propriété, au fil du temps de la légation des droits, Patrick tissa des réseaux, tissa des liens avec des associés, ce rapprochant sans le savoir d'une organisation russe.

Patrick Rudaj: A fucking bastard serbian. (CII: Aimer sa patrie, comme l'aigle son nid.) 113

Ce rapprochement, serait t-il signe d'une réconciliation entre les albanais et les russes?

Octobre 2013,

Radio de la police: -Rodéo, a Central vous me recevez?
-L'avez vous trouvez
-Aucune trace de ce garnement!
La police étais sur une enquête sur Patrick Rudaj, dans l'après midi du 4 octobre 2013, une fusillade avait éclater dans un hôtel de Los Santos, des témoins avait entendu les coups de feu et avait prévenu la police rapidement, Selon l'avancement de l'enquête, la police aurait déterminé la victime sous le nom de Joe Ashton, de nationalité irlandaise, certainement un des trafics qui se déroule mal ou un règlement de compte comment ont en connait beaucoup.

De son coté Patrick continua de tissé des liens, il rencontra dans la nuit de ce jour, Leonid Bukharov, donnant comme surnom Velko, l'un des parrains du crime organisé russe, plutôt une très bonne entente entre ces deux-ci, difficile de croire sa en sachant que l'inverse de Velko en étant albanais si l'ont remonte a la guerre froide, l'entente ne serait certainement pas passé.

Le lendemain, une fusillade éclate a blueberry entre un agent fédéral et Patrick Rudaj, celui-ci est toucher, et est emmener d'urgence à l’hôpital de Los Santos, puis a la prison fédérale de Los Santos pour y être incarcérer , il purgera deux année en cabane pour tentative de corruption, et d'assassinat sur agent de l'ordre.

A sa sortie de prison Patrick Rudaj repris du service avec toujours plus de nouvelle, mais toujours les mêmes connexion, un soir il fût la rencontre d'un roumain appelé Razvan Botezariu surnommé Razvan, a première vue il semblait un peu con mais , Patrick avait a faire a un véritable génie, sans le savoir Patrick se confrontait au roi des braquages avec sa célèbre équipe surnommé The Robber Squad connu pour divers braquage de BANK.

Le 7 octobre, 2013.Patrick Rudaj, est inculpé d'être le commanditaire de multiple contrat sur plusieurs agents fédéraux, il purgera une peine de 150 ans d'emprisonnement a la prison de Los Santos.

THE END.

par a delete222 Ven 4 Oct - 14:25

Le personnage est a la fois une personne tout le temps stressé, dépressif et psychopathe, vous le verrez par la suite.

par Lester Carver Ven 4 Oct - 17:49

Joli.

par a delete222 Lun 7 Oct - 16:01

Donner votre avis, thanks Larry! Laughing

par a delete222 Lun 7 Oct - 16:45

Le personnage a été CK par moi même (Peine d'emprisonnement de 150 ans.)

par Contenu sponsorisé

Patrick Rudaj: A fucking bastard serbian. (CII: Aimer sa patrie, comme l'aigle son nid.)

Patrick Rudaj: A fucking bastard serbian. (CII: Aimer sa patrie, comme l'aigle son nid.)

Re: Patrick Rudaj: A fucking bastard serbian. (CII: Aimer sa patrie, comme l'aigle son nid.)

Re: Patrick Rudaj: A fucking bastard serbian. (CII: Aimer sa patrie, comme l'aigle son nid.)

Re: Patrick Rudaj: A fucking bastard serbian. (CII: Aimer sa patrie, comme l'aigle son nid.)

Re: Patrick Rudaj: A fucking bastard serbian. (CII: Aimer sa patrie, comme l'aigle son nid.)

Re: Patrick Rudaj: A fucking bastard serbian. (CII: Aimer sa patrie, comme l'aigle son nid.)