Cycos Cliqua XVIII

La Brown Pride est un gang de prison qui s'est formé dans les années 90 dans la prisons de Los Santos. Brown Pride se traduit par "Fierté bronzés". Les membres sont adeptes du principe de la Raza, mouvement politique prônant la race hispanique. Ce qui devait seulement être une manière de pensée et rassembler les gens se tourne rapidement en un synonyme d'organisation carcéral ultra-violente. Initialement créé pour protéger les hispaniques des autres détenues la Brown Pride se lance dans la prise de contrôle total de la prison éliminant aussi bien afro-américain qu'hispaniques ne voulant se soumettre à ses règles. La Brown Pride a établi des connexions avec le gang de rue puissant de L.S : Norte Blocs Cliqua 828 en recrutant certains de leurs membres qui atterrissaient en prison. Ils fournissaient alors une protection à l'intérieur des prisons en échange d'une taxe de la part du gang de rue. Les membres de l'organisation, une fois dehors sont beaucoup plus respecté qu'avant leur passage en prison. La Brown Pride s'identifie grâce aux lettres BP, aux chiffres 16 (X6) provenant de la somme de la lettre B (2) et P (14) et à la couleur marron. Ces signes sont une fierté pour leurs membres et sont visibles aux travers de plusieurs tatouages mais aussi sur leurs vêtements sur des maillots de sport portant le numéro 16 ou la couleur marron. Ses membres suivent des règles strictes, la seul porte de sortie de l'organisation est la mort.

L'une des figures emblématiques de cette organisation se nomme Marcello Alvares, surnommé B'Malvado. Arrêté à son initiation dans l'un des gangs de Las Colinas, il est transféré pour un quadruple meurtre à la prison de Los Santos. N'ayant jamais fait partis d'un gang de rue, il se créer le sien en prison, accompagné de deux autres détenues nommé Andres Estevez dit "Le Christ" et Gustavo Tendras, aujourd'hui tous les deux morts. Ces trois détenues montent une organisation rassemblant les prisonniers hispaniques sans protection. Ils utilisent le mouvement Brown Pride pour leur donner une image protectrice et fraternel. Nombreux sont ceux qui seront séduit par cet aspect là, le fait de retrouver une famille, un gang, même après leur incarcération. Les trois prisonniers partageant la même cellule se plaignaient de ne pas avoir un groupe auquel s'identifier comme les afro-américain, largement plus présent et bien mieux organiser à cette époque. Les noirs avaient donc le contrôle sur la quasi-totalité de la prison, aussi bien sur les blancs, que sur les asiatiques ou les hispaniques. Les détenues autres que noirs étaient en infériorité numérique. Ce phénomène étant le même à l'extérieur, comptant 10 gangs noirs pour 2 hispaniques. Les détenues subissaient les mauvais traitements qu'infliger le gang carcéral. Voyant les blancs s'organiser en groupe peu à peu, les trois "carnàles" décidèrent d'en faire autant, de les devancer même. Au départ ils rassemblent leurs connaissances au sein de la prison, ou les gens venant de leur quartier. Ces personnes-là font de même. Le gang n'a aucune organisation, les trois co-détenues ont seulement une place de recruteur, ainsi qu'un titre de fondateurs. Environ 4 mois après la création de ce groupe de protection, Gustavo Tendras est supprimé par le gang noir, jugé trop gênant, il en est prévue de même pour ces deux confrères.

19/09/1994 : Andres et Marcello unissent leurs troupes et se proclament OGs, le cas de Gustavo aura son impact violent. Le gang se solidifie et s'arme. Trois jours plus tard seulement après la mort de leur "frère", l'émeute éclate, dans laquelle trois lieutenants afro-américain seront assassinés, nombreux seront les blessés. Mais l'attaque est intelligente et bien pensé. La répression est automatique, quartes détenues hispaniques sont éliminées en guise de revanche, dont deux, ne faisant pourtant même pas partis du groupe. Pour les deux leaders cet affrontement est un succès. Après celui-ci, ils structurent le groupe comme un gang de rue, il faut prêter serrement de ne jamais trahir celui-ci, il faut tuer pour lui, le défendre au nom de la Raza. La seul porte de sortie pour un membre est la mort, même après sa peine de prison. Les rangs se renforcent, le gang est plus fort, plus dure, plus violent. À présent, tout hispanique ne se pliant pas aux règles de la Brown Pride est passible de mort. Certains détenues trop âgés ou bornés en sont le triste exemple. L'organisation se créer des codes et des manières de parler sans se faire repérer. Des signes et façon de tuer une personne. Des rites d'initiations et toute une panoplie de symbole qui se retrouvent sur les tatouages et les paños des détenues. La direction du pénitencier voit d'un très mauvais oeil ces prisonniers hispaniques qui montent en force, parallèlement à la situation à l'extérieur ou des gangs hispaniques se créer, dont la célèbre et puissante Norte Blocs Cliqua 828, qui vient juste d'apparaitre. Dont plusieurs des OG finiront dans les hauts rangs de la Brown Pride tel que James Luciano dit "Carcel" à l'extérieur grâce à ses nombreux courts passages en prison, un membre fidèle et encré dans les traditions de ce gang. Ainsi qu'Hernàn Valdez dit ironiquement "La Paz", créateur des NBC828, membre impitoyable et ultra-violent. Le groupe carcéral se compose donc des pires criminels hispaniques de l'époque. La Brown Pride se lie à l'extérieur au gang de NorthEast Los Santos, assurant des rentrées d'argent pour les cautions des membres et les divers trafiques dont fait maintenant le gang.

A cette époque là, la prison ne compte aucun gang hispanique hormis celui-ci. Mais une tendance venant d'un bloc du pénitencier s'en va à l'encontre de la prospérité voulue de l'organisation. Il s'agit de la Nuestra Familia, déjà présente dans d'autres prisons De Californie. Ceci représente une menace directe pour l'organisation, la puissance Norteño à l'extérieur grandit également. La Brown Pride lancera des attaques répétitives pour tuer les leaders de ce groupe et repousser l'épidémie. Des attaques dans lequel Andres Estevez perdra la vie. Marcello est condamné à perpétuité, pour avoir ordonné de nombreuses exécutions. La Nuestra Familia se dissout rapidement, mais l'autorité pénitentiaire décode bon nombre de significations, essentiellement lié aux meurtres et aux ordres. Le gang se ré-organise plus sérieusement et se créer de nouveaux codes. 
Le gang se proclame de plus en plus raciste et rejette toute personne n'étant pas chicano. Les exceptions sont très rares, comme celle de Steve Clayton dit l'indien, un native-américain au physique quasiment similaire à un hispanique. La Mexican Mafia apparait, mais reste minime. Une émeute permettra d'assassiner un des leaders actifs du gang appelé "El Ojo", émeute mené par Carcel, affaiblissant ainsi certains gangs Sureños à l'extérieur. Actuellement la eMe existe toujours, mais ne représente pas un réel menace pour la Brown Pride qui est largement supérieur en prison. Ce qui n'est pas du tout le cas à l'extérieur.

En effet les membres à l'extérieur sont rares, surveillant le NorthEast de Los Santos principalement et s'occupant du trafique de drogue. Malgré tout, ces membres sont très respectés et craints, ils emportent avec eux tout le savoir et la violence qu'ils connaissent de la prison. Ne lésinant pas sur les sentiments, plusieurs personnes seront exécutés, dont quelques membres Brown Pride jugé trop à l'écart des affaires du gang. Même parmi la famille des leaders; La Paz fera exécuté sa propre cousine Sueña Valdez soupçonné d'en savoir trop sur la Norte Blocs Cliqua ainsi que la Brown Pride.
L'organisation héritera du sexisme du gang de NorthEast LS très présent chez leurs OGs, même si certaines cholas se verront initéés tel que Rosa, la symbolique première "real chola" de NorthEast LS.

Récemment le gang carcéral projette d'intensifier ses activités extérieurs en formant un ou des groupes dirigé par des membres Brown Pride tel que les Brown Pride Enforcers.