[<2>]Fiche Personnage|Background Earl Green Tagliano

Nom : Green, Tagliano
Prénom : Earl
Âge : 27/28
Origine : Italienne (Napolitaine) & Irlandaise
Religion : Athée

Description Général : Earl est quelqu'un de jeune, et naïf, l'on peut voir qu'il est assez autonome. En général, Earl est bien coiffé, et porte en sac a dos, dans lequelle il range les objets, qu'il pense etre utile tel que son duvet, dans lequel il dors, faute de logement. Aussi, le jeune homme n'aime pas prendre les ascenseurs, et deteste par dessus tout prendre les avions.

Description du Visage : Des cheveux tirés en arrières de couleurs noirs vienne finir du haut ce jeune homme, en descendant son regard vers le bas, nous pouvons entrevoir, les sourcils tombant vers le bas d'Earl, et ses deux yeux vert, sans etre toutefois petit, semble etre rapetisse, peut etre est ce du au fait qu'il plisse les yeux pour mieux voir, étant donner qu'il as besoin de lunette pour "bien voir". Malgré sa légère myopie il refuse de porter des lunettes. Plus bas, l'on peut apercevoir son nez, un nez, plutôt triangulaire, tout comme les grecs antique, ce qui donne a Earl un visage plutôt perçut comme ridicule par certains, et magnifique, pour les autres. Plus bas, l'on peut voirs sa bouche, assez normal, pas grand chose a dire dessus, malgré tout cela, Earl ne se rase pas, et une barbe de trois jours et dessiner sur toute la longueurs "basse" de son visage.

Description du Corps : Earl n'est guère grand, il frôle de peu les 1 mètre 85, mais reste a 1 mètre 84, ses bras, peu muscler, du a son manque d'exercice font de lui quelqu'un de chétif, il cache tant bien que mal ses fins bras sous l'épaisseur de sa veste, qu'il garde même l'été. Son grand torse, est assez contrastez par rapport a ses bras, étant donnez qu'il possèdes d'imposant abdos, sur son abdomen on peut voir une cicatrice sur le coté gauche du nombril, du a une griffure de chat. Plus loin vers le bas, nous pouvons voir les deux jambes d'Earl, et de ses imposant mollets, enfin imposant, façon de parler, puisqu'il sont juste muscle. On le surnomme Big Foot parfois, a cause de ses grand pieds, Earl chausse du 54.

Description Psychologique : Earl est quelqu'un parlant beaucoup de politique, de théologies, et de physique quantique, même si il n'y connaît pas beaucoup, ses monologue peuvent rester convainquant.
Le jeune homme est quelqu'un de couard, qui préférera négocier, ou voir abandonner plutôt qu'a ce battre, de peur de prendre un coups, mais lors de gros élan de colère, ou de haine, sera capable de venir affronter en face a face son adversaires, mais, due a son manque de confiance en lui, il aura peine a trouver les ressources nécessaire pour ce battre. Au niveau de la politique, Earl est un pseudo-communiste, rare au USA. Pour lui, chaque pays devrait etre communiste, et le monde serrait parfait, car, les hommes serait enfin libre, les castes social serait balayer. Lorsqu'on lui demande pourquoi il ne crois pas en Dieu, Earl a l'habitude de répondre, "Comme saint Thomas, je ne crois, que ce que je vois." ou encore "Si Dieu as créé l'homme, qui as créé Dieu ?".
Puis il reste un fervent admirateurs de Shrödinger, et du paradoxe du chat.
"La curiosité a tuer le chat" comme il dis.
Ce que Earl déteste le plus, et de prendre l'avion, il déteste cela, pour lui prendre l'avion et synonyme de mort, car il repense constamment a 2001. Et il se sens trop serrer dans les ascenseures.

_Veste marron : Une veste classique, acheter au Binco de Los Santos.


_Jogging noirs : Un jogging classique, achettez au Binco de Los Santos.


_Chaussure de sport Nike : Des chaussures Nike qu'Earl a obtenu a New York, dans un marché de rue.


_Montre : Une montre comme les autres, de couleurs grise, et fonctionnant avec une horloge, et non avec les chiffres.


_Sac a Dos : Un sac a dos, qu'Earl porter en sortant de l'avion. Il range toute les choses qu'il pense utile dedans, et en général il as raison. Le sac contient plusieurs objets.


_Sac de Couchage : Voila le lit d'Earl, il se sert de se sac, et dors dedans, en attendant d'avoir un logement. Aujourd'hui il vit dans un hotel, mais garde tout de meme le sac de couchage, au cas ou.


_Lampe de poche : cette lampe de poche est la source de lumière d'Earl, il s'en sert quasiment tout le temps lorsqu'il est dans le noirs, ou lorsque qu'il veut eblouir quelqu'un.


_Permis de conduite : Grâce a des petits boulot, Earl a réuni les 2500$ neccessaire pour passer le permis. Réussissant avec brio, il le conserve précieusement dans la poche droite de sa veste.


_Bippeur : Un Bippeur qu'Earl a achetter a l'epicerie, pres de la mairies


_Carte de San Andreas : Une simple carte qu'Earl a achetter a l'epicerie pres de la mairies.


_Clé de la chambre 12 : Les clés de la chambre de l'hotel ou vit Earl


Note : L'inventaire changera par rapport a ce que Earl perdra ou gagnera, en rouge les objets perdu.

HISTOIRE

Les rayons du soleil venait baigner l'appartement de lumière, il n'était que 9heures du matin, et pourtant, j'était seul. Ma mère n'était pas là, surement en train de défendre un innocent ou un tueur. Après tout, quel qu’il soit, le client reste un client.
C'était d'un pas lourd que je peinais a marcher vers la cuisine, voir le Post-It que mon père accrocher pour dire a son imbécile de fils se qu'il dois faire. Il semblait que pourtant, je savais lire, mais, comment pourrai-je faire se que mon père me demandait. Pourtant, mes yeux ne me trompait pas, il y avait bien marquer ça. Me concentrant pour bien comprendre la tache qui m'était donnez, je mis pour la deuxième fois depuis 5ans, mes lunettes.
Non, il y avait bien marquer cela. "Rangez la baraque". Ma chambre allez encore, c'était le moins dégueulasse de la maison. Mais le reste... Maman refusait de faire le ménage, c’était a Papa de la faire, mais peut être la faignentisme que je possède viens de lui. Tel mon père, rangeait l'appartement était pour moi une épreuve. Pas le temps de trainer, je dois allez voire un truc. Avec hargne, je parvint a ranger la baraque, mais une porte semblait me couper dans mon élan de bravoure, la porte des toilettes. Les toilettes était comme les Boss de fin dans les vieux jeux vidéos. Des monstres stupide mais surpuissant. Prenant a nouveau le Post-It dans la mains je vis des broutilles, du genre "Va voir Elric, ton oncle, il as besoin d'aide pour réparer sa bagnole", "Si tu passe a Central Park et que tu vois Roberto dis lui de venir Dimanche a la partit de Poker". Et enfin, la tache préférer, "Ton cousin essais de te joindre depuis ce matin", Ce matin ? Cela voulais dire, bien qu'on sois 9 heure 10, qu'il essayait de m’appeler depuis 6 heures. Tant pis, il me brisera surement le crane, j'aurais même pas le cran de me défendre. Prenant mes clés, et le Post-It, je me mis en face de la porte, près a l'ouvrir lorsque j'entendis des pat dans l’escalier. Pas les pat de Madame Carvill, la voisine du dessus, qui avait un fils toxico, mais des pat lourds, comme si l'homme portait un sac, ou des choses qui l'allourdisais. Bref, le temps d'ouvrir ma porte et d’aller a sa rencontre, et me voila dans la merde. Le type se retourne, c'est un colosse, je fais 1 metre 84, il fais 1 m 95. Et ça sa fout les jetons, surtout quand l'homme fais deux fois ta circonference. Il se retourne donc vers moi, et me demande si je suis ami avec "Jason Carville", il me regarde d'un air froids, tantôt j'ai envie de dire oui, tantôt envie de dire non, et là, il repose sa question en me ajoutant, petit con. Je répond donc oui, étant donner que "Petit Con" me vas très bien, sans plus attendre, une douleurs m'apparait dans le ventre, et une espèce de collone est enfoncer dans mon ventre, cette collone, c'est la jambe du colosse. Il se mes a ricaner bêtement, et je peine a articuler quelque mot << Tu lui veut quoi a Jason ? >>. C'est dans ce genre de moment que mon cousin aurait dis "Earl, tu est devenue un homme". Une phrase que j'entendrais surement jamais. L'homme m'empoigne, puis me soulève par le col de ma veste, avant de me jeter contre le mur, et finalement m'envoyer son poing droit, ornait d'une bague faite d'acier, dans la tete, je tombe directement sans chercher a résistez, pour finalement remarquez que l'homme as une sorte d'engin métallique coincer entre son caleçon et son pantalon. On dirait, ouais, on dirait un pistolet.
Pas de doute, il en veut a Jason. Qu'est ce que je fais, et bien, ma mère cache un tazer dans une des fausses marches de l’escalier, sans me faire remarquait je soulève la marche, pour entrevoir le tazer. Le pointant vers l'homme, et appuyant sur la détente je le vois trembler puis s'écraser au sol. Deux minute plus tard, après avoir appeler la NYPD il est en taule. Bien fait je dirais, enfin en taule, en garde a vue plutôt. Et moi, je me retrouve a l’hôpital.
Un petit séjours de deux semaine, ou j’apprends que j'ai les cotes fêlé, et que j'ai la mâchoire déboité. Super je me dis, surtout que mon cousins viens fréquemment me voire, et ça donne.
<<Hey Earl, comment sa va ?
_Hey tortue, sa va... et toi ?
_Je vais drôlement mieux depuis que tes ici
_C'est sympa, merci... Désolez, ta essayer de m’appeler j'ai vue, tu... euh, tu voulais me dire quoi ?
_Et bien (il me regarde de son air, "nous allons tabasser un mec puis brulez sa voiture, avant de le jetez au loup") rien.
_Comment rien ?
_Rien, ferme ta gueule ou je te l'explose plus qu'elle ne l'ai déjà. Je te dirais tout dans deux semaines.>>
J'ai toujours sus qu'il m’appréciais, a ma juste valeurs. Comme le jour ou l'on devait ce battre contre un gang de noirs, nègre il les appellent. Ce fut quatre jours a l’hôpital dans le coma, puisqu'il m'envoya sa batte dans la tronche. Pourquoi ? Car j'avais dis << Je veut pas me battre>>. Souvent il me regarde d'un airs Froid, comme si il ne m’appréciais pas, et qu'il avait honte d’être mon cousin, enfin je peut comprendre, surtout quand mes parents voient met résultat, ils ce demande si je suis leurs fils. Je vois pas le temps passez lors des visites, je suis tellement seule et vide sur mon lit d’hôpital, que je me rend compte que je suis comme abandonner, mis en quarantaine de la famille. Mais qui suis je au juste ? Une "anomalie" c'est ainsi que ma cousine du coté Paternel m'appelle "l'anomalie". Je suis un fils d'Irlandais et d'Italienne, j'ai tout pour être une brute, parait même que la mère de mon père était Russe, c'est ce qu'il me dis, "Sacha Degtiarev" sa mère, donc ma grand mère, celle qui vit a Saint Petesbourg. Bref, les visites que je reçois sont en générale Rémi, Thomas, Samuel et Salman, a nous cinq on forme les idiots du villages. Enfin, encore Rémi au vu de ses long bras muscler, et son regards de psychopathe, inspire la crainte. Avec eux on parle de tout et de rien. Salman me fais remarquer que je suis mal en point, merci mec ! Pas de problème. Remi et Thomas rien qui sort de l'ordinaire pour eux, manger, boire, dormir, baisais. Quand a Samuel, lui me demande dans combien de temps je sortirais, et m’envoie mes courts que j'ai rater. Lors de mes visites a l’hôpital je découvre la "joie" de faire mes devoirs. Enfin après les hurluberlus qui sont a juste titre mes meilleurs ami, je reçois la visite de Catherine. La première de la classe, qui me demande pourquoi je suis là ? Je lui répond, en exagèrent les propos, que je me suis battu au poings. Que j'ai triomphé. Et elle rie. J'aime bien lui raconter des blagues, elle rigole toujours, les seuls moment ou elle arrête de rire, c'est quand il y a mon cousin. Les deux semaines me semble etre des mois, et finalement je sors, je rentre chez moi en bus, il est 18 heures. Mes parents sont heureux de me voire, et en retours je suis heureux de les voire. On mange un plat typique d'Italie, des spaghettis.
Puis affaler sur le divan avec une bière a la mains on regarde le football Américain a la télé. Et ma mère m'engueule en me disant "Tu n'a pas du boulot Earl ?". Je hoche la tête de gauche a droite pour mimer un "non". C'est là que mon ô père intervient pour me sauver du gourou de ma mère en disant <<Laisse cette enfant tranquille, je suis ami avec mon patron, il pourra bosser avec moi>>. Le Lendemains matin, le téléphone sonne, mon cousin Angelo.
Je dois le retrouver chez Luigi au "Macario Rivoltella Club" je trouve le nom superbe pour ma pars, je saute dans le premiers bus, pour finalement arriver au restaurant. Mon coussin me voit de loin, un colis est poser sur la table. J'arrive vers lui, me prépare a lever ma mains droite pour lui serrer la main, comme le font les "mafioso" sauf qu'il se lève rapidement et cris <<ET Earl !! Comme tu va p'tit">> Gêner car il as attirer l'attention je répond d'une voix basse <<Oh salut tortue>>. Il semble qu'il dois livrer un colis, il papote de tout et de rien. Je répond par des phrases courte, en begueillant, j'aime pas quand il y a du monde près de moi. Et il m'allume de son regard froid.
<<Allons ! Qu'est-ce-que tu raconte ! Tout va bien ce passé je suis ton cousin pas un de ces putains de nègres qui sont prêt à te coller une balle entre les deux yeux une fois le colis reçu !>> Il dis sa, mais le nombre de fois ou il m'a taper fini par des milliers de zéro.
Je suis assez dégoutter, et fier, d’être son coussin, je sais que si je voulais vraiment je pourrais être comme lui. Mais a chaque fois que j'essaie de grimper jusqu’à sa marche, en haut de l'escalier de la gloire, la peur me prend, je perd met moyen, je peut rien faire.
Je répond sans trop réfléchir a ses questions, et je répond la plupart du temps par un "oui" alors que j'aurais jurer avoir dis non.
Bref, pour lui et moi il est temps de livrer de la blanche...

On était assis tout deux, au même endroit, a la meme table, et une musique retentisais, je n'y prettait pas attention. Je contemplait plutot les traits des personnes du bar, il y avait des voyous, des gens normeau, des Irlandais, c'était un beau fourre tout. Malgré le fait que Angelo m'es demander de l'accompagner, il me dit, finallement de rester dans le restaurant. Seule. Comment ? Comment pouvais t'il me laisser là, a la merci de tout ses gens. De ses buveurs de rhum, de ses sauvages.
Mais pourtant, il partait, sans se retourner, vers l'arrière boutique. Bien qu'il m'es donner l'ordre de ne pas bouger de ma place, l'idée me vint a l'esprit d'aborder le barman, Luigi. Il était un peu le phare dans cette univers de ténèbre. On parlait de tout et de rien. C'était monothone, mais cela chasser l'ennuie. Quand tout as coup, se dernier me demanda d'allez apporter une chose a sa mere. Il possa sur la table, une boite de cachet. La boite etait d'une forme regtangulaire, de couleurs blacnche, avec quelque trait vert, et le nom était illisible, ou plutot, je n'avais meme pas essayer de le lire. Là, me vint a l'esprit de lui demander, "Qu'est ce que s'est ?" Il me répondit calmement que sa mère était malade, et quel vivait dans un quartiers dangereux, situé as deux rue du bar. Ce n'était pas très loin, de plus, Tortue ne s'appercevrait meme pas de mon abscence.
<< Ok, Luigi, je vais apporter les cachets a ta mère.
_Sur ? Tes vraiment pas le cousin d'Angelo, mais comment t'appelle tu ? Earl Green ? Sa ne fait pas vraiment Italien, tes bien sur d'être son coussin ? Ah, ta mère est Napolitaine, tu parle un peu ? Non. Roo tant pis. Bien il est temps d'y aller. Vasi vite. Et, attention, il y a des mecs pas sympa dans l'immeuble !
_Ah, euh, merci, je fe.. ferais gaffe.>>
Je sortait lentement de la boutique, les mains dans les epaisse poches de ma vestes. Il fesait assez froid. Toute la violence de Manhattant était visible un peu partout, des voitures caillassé. Des vitrines briser. Pourtant, nous étions a Little Itali. Les gens ne craignais t'il pas les "mafioso" qui diriger se secteur de la ville. Tout as coup, une voiture de flic apparut, deux policiers, l'agent Franck Wesler et Johnattan Durier, deux sergents de la NYPD, sortant machinalement de leurs PV, ils se rapprochairent de moi, me regardant en face, puis l'un deux, Johnattan s'écris
<< Notre petit Earl, sa fait du bien de te retrouvait, tu saurais pas ou est ton coussin ?
_N.. Non, monsieur Durier... Je me ba.. balade, je de.. dois apporter des cachets as une amie de ma me... mère.
_Tu nous prend vraiment pour des cons ? Dis l'agent Wesler en forcant sur sa voix, Ta mère, elle habite près de Central Park, et tu veut nous faire croire, a nous, agent de la NYPD qu'une de ses amie serait a Little Itali, et qui plus ai, ton cousin est ficher a New York, pour des affaires dite mafieuse. Et toi, petit con, tes même pas foutu d'aider la loi. Tu veut toujours rentrer dans la NYPD ?
Il était vrai que mes mensonges était vraiment facile a discerner, surtout lorsque les deux hommes qui sont en face connaisse presque tout de toi. J'ai toujours voulu, sans le dire a mon cousin, rentrer dans la NYPD, un vieux rêve d'enfant. Peut etre suis je communiste. Mais, les crimes, était la pire des horreurs, au bout de mon quatrième teste échoué, j'avais decider d'abandonner l'idée de devenir un flic.
_Bon, tes sourd ? L'agent Wesler ta possé une question. Dis lentement, en articulant chacune des syllabe, l'agent Durier.
_Oui.. oui, je... j'ai encore.. envie.. de rentrer dans la... NYPD. Lui repondit-je.
_Donc, ou est ton cousin, il as réussi a fuir l'agent de police qui lui courrait après, malgré son poid, il y a deux jours, lorsqu'il as rackettait de pauvre commercant. Dis l'agent Wesler, d'une voix douce.
Après tout, ce n'était pas des ripoux, se ne sont juste que deux personnes qui font leurs boulots, ils connaissaient bien ma mère. Donc, ils avaient conclu un marché, ils ne parlaient pas de mon coussins a ma mère. Elle qui pensait que Michelangelo était un ange. Une boules de gentillesse, et moi, un fardeau. Mais, je ne pouvais pas trahir mon cousin, il était un de mes quelques amis, je ne pouvait me résoudre a le trahir.
_Bon, écoutez, je... j'ai sa as donnez a une amie a ma mere (je leurs montrer les medicaments). Ce, c'est Alonzo, un ami de mon.. pe... père qui m'a demandait de faire ça, de... de la part de ma mère... Et je.. je sais pas ou est Angelo...
_Ok, ok, nous allons encore le chercher, bonne journée, p'tit con. Et bonne chance pour la prochaine a la NYPD ! S'écria l'agent Durier.>>
La conversation était terminer, j'avais donnez les médicaments, et je rentrais chez Luigi, un peu en retard. J'allais devoir subir le gourou d'Angelo. Miracle, il n'était pas a la table, ni dans le bar, Luigi leva sa mains droite et me fit signe de venir.
<< Alors ? Tu as donnez les médicaments ?
_Oui
_Parfait ! Ton cousin est dans l'arriere boutique depuis un moment va le rejoindre.
_Ok, je... j'y vais !>>
Penetrant dans l'arriere boutique, et m'enfoncant de plus en plus dans le couloirs avant d'arriver a la sortit de derriere, je vit que mon cousin était en train de se faire tabasser pas l'homme. Que... comment j'aurais pue laisser passer sa ? Cherchant du regard de quoi frapper l'homme, j'hurla le nom de mon cousin, en esperant que le noirs lui laisserait un moment de répit. << TORTUE !! TORTUE !!!>> Ah mainte reprise je criai, lorsque, tout a coup, Tortue se releva et enchaina, tel un boxeur elancer dans un combat pour le titre, les coups de poings qui venait, tel des morsures de loup, achever son adversaire. Mais lorsqu'il mit enfin a terre son adversaire il le roua de coup de pied, et c'est moi qui dut les separer.
Une femme se rapprocha de Tortue, ils parlèrent et je fut perdu dans mes pensée pour comprendre un traitre mot de leurs paroles, bien qu'ils ai parler en Anglais. La seule chose dont je compris quelque chose, c'était la baffe de tortue qui cogna froidement le visage de la jeune femme.
Blesser Tortue marchait vers moi, essayent tant bien que mal de cacher sa douleurs. Nous étions retourner au bar, boire une bierre, et je lui dis
_Putain tu as vraiment merdé Tortue ! Imagine toi si ce mec vient avec toute ca bande !
_Rien à foutre … Rien à foutre de cette vie moi ! Je les enmerde tous ces enculés…
_Shit …
_Tu sais Earl … Au final j’aimerais bien être comme toi … Tu vois, sans ce soucier de l’argent, ni même de ce qui va t’arriver le lendemain lorsque tu traverseras cette ruelle …
_Ca te ressemble pas Michelangelo …
_J’ai merdé grave Earl … J’ai merdé… Si je ne donne pas le fric que je dois à la fin de la semaine à Vincenzo je suis foutu…
_Dans le pire des cas tu pourrais le faire …
_Ouais je pourrais … Perdre mon honneur certes mais je pourrais le faire…>>

Deux semaine était passer depuis la dernière embrouille. J'était seul, sans nouvelle de Tortue. Et pourtant je ne m'ennuyais pas. Papa m'avait inviter pour la partit de Poker du Dimanche, je ne connaissais pas les règles, et je préférais laissais le groupe jouais, pendant que je l'es regarder, ou, que j'aidais maman a dresser la table. Tout as coup la sonnette, quelqu'un venait de sonner. Je voyais, devant moi, mon cousin du coté Paternelle, autre que Tortue, mon cousin-éloigner Russe, "Vasyan" tout fraichement débarquer. Il était accompagner de son père, Dmitri Degtiarev. Mon cousin et moi ne savions pas jouer au Poker, mais, le paternelle Russe se joignit a la partit avec le groupe d'ami.
<<Viens dans ma chambre Vasyan, on va parler. Lui dit-je
_Da, pas problème. Me répondit-il.
_Comment c'est en Russie en se moment ? Lui demandai-je
_Russie ? Pas grand nouveauté, mais, très froid cette hiver, toi, Amérique quoi de neuf ?
_Ah, je ne suis pas l'actualité, j'aime pas trop le journal télévisé, et je marche qu'avec Michelangelo.
_Ah, Tortue, quoi de neuf pour Tortue ?
_Boarf, pas grand chose, il va, il viens, enfin, tu le connais. Ah, pose ton sac sur le lit ! (Sur ses mots, Vasyan posa son sac sur le lit, et un bruit métallique vint frapper dans le sac) C'était quoi ?
_Quoi ?
_Le bruit.
_Sa juste jouet Russe ! (Il ouvra le sac, et laissa apparaitre ses vêtements, et trois chargeurs, il fouilla puis sortit, triomphant le Tokarev) Cadeau de père, toi avoir arme ?
_Euh, je... j'aime pas trop ce genre de "jouet" Vasyan.
_Pourquoi toi pas aimer ? Arme être arme. Ici Amérique, beaucoup armes, non ?
_Non. Tu ne te trompe pas. Mais en faite, pourquoi êtes vous en Amérique ?
_*en chuchotant* Papa avoir affaire ici, maman malade, et nous besoin argent, tu comprend ?
_*en chuchotant* Oui, tu as... déjà tuer ?>>
A ces mots, mon sang bouillonnais, la tête me tournait, mon cousin, tuait quelqu'un ? Privée un être de sa vie ? L’anéantir ? Comment pouvais ton jouer a la faucheuse, et faire marcher les gens sur la route vers le royaume des morts. Comment la police pouvait laisser ce genre d'homme en dehors, a la portée de tous ? Et si, demain, il me tuait ? Ou même si un coup perdu tuait une personne non visais. Je le regardait, d'un air désemparé attendant sa réponse.
<<Oui, moi deja avoir tuer homme, pas eu avoir le choix.
_Ce, sa.. sa donne quoi comme, euh, sensation ?
_D’abord peur, puis, calme, toujours remord en repensant, mais, toi manger viande, viande etre animal, etre vivant. Toi comprendre raisonnement ?
_Oui, tu as raison, mais je n'en serais pas capable, enfin bon, parlons pas de ça.
_A propos, toi prendre sa (il me tendait un Makarov, neuf, avec un chargeur remplie, et des cartouches).Besoin toi, toi pas tirer, juste toi faire impression, sil-te-plait.>>
Le sil-te-plait raisonnais dans ma tête, dans des moments comme celui là, on peut réfléchir, mais, tu n'en as pas l'envie, la seule chose que tu sais c'est que tu vas avoir une arme, une arme ! Et, avec elle, tu vas pouvoirs te donner la jouissance de tuer quelqu'un, mais ? C'est mon raisonnement, ou l'arme qui réfléchie a ma place ? Non, après tout, il faut que je saisisse cette chance, la NYPD c'est foutu pour moi, autant les défier, autant mener l'anarchie, autant combattre pour mes idéaux. Enfin, pourquoi combattre ?
<< C'est d'accord (je prenais l'arme de la mains droite, et la poser sur le coussin, la contemplant, elle était si belle, c’était un Makarov, 8 balles dans le chargeurs, et de plus, il avait un deuxième chargeur qu'il me tendait), on fait ça quand ? Enfin, on fais quoi d'ailleurs ?
_Trois jour, toi et moi aide père pour faire payer taxe.
_Une taxe ? Quel taxe, explique moi Vasyan.
_Père avoir affaire ici, bosser pour Glorinov, sa toi pas poser question, toi surement comprendre ?
_Oui je comprend.
_Bon, être heure manger.>>
La conversation se finissait, et sans rien dire, sans expression traitrise on manger ce qu'avais préparer maman, comme tout les dimanches, on mangeait au salon, avec les amis de papa. Les deux jours qui nous séparait du troisième passait vite, on jouait a Call of Duty Modern Warfare 2 sur la Xbox 360, et souvent, Vasyan radotait en disant "être dégueulasse, Russe jamais attaquer Amérique et tuait population civile, sa être n'importe quoi...". Le troisième jour arrivait, et je prenais peur. Et si, ça se passait mal, et si, Vasyan prenait une balle, ou que j'en prenne une, et si la NYPD nous attrapait, je dirai quoi a maman ? "A excuse nous, on c'est pas ce qu'on as fait, je vois pas comment ses armes nous ont atterri dans la main". C’était marche ou crève.
On arrivais en voiture, près de la laverie, le père de Vasyan me regardait, puis il me dit "Tes bien le fils a ton père, a une époque il nous aurait rejoins, enfin bref, ta mère et ton père sont au courant de rien, donc, pas de connerie, si ça commence a tirer, on cherche pas le combat on cours, COMPRIS ?" Vasyan et moi lui répondirent "Comprit".
Chargeant nos arme et regardant la laverie, on descendait, les pistolets dissimuler dans nos veste. Sa commença a gueuler, deux chinois nous tenez tête, probablement des membres de la Triade, j'était mort de trouille, mais je ne le montrais pas. On m'aurait pris pour ce que je suis, un faible, finalement, nous n'avions pas eu le besoin de sortir nos arme. Le père avait encaisser le chèque, et on repartit, non pas vers Manhattan, mais vers Brighton Beach, au quartier Russe, Little Odesa. Arriver sur place, le père se retourna et nous regarda, avant de nous dire :
<<Earl, bravo, tu nous as bien aidais, dorénavant nous t'appellerons "camarade Earl", bravo a toi aussi camarade Vasyan. Bien, mes camarades, attendez moi là, je reviendrais dans a peu près 15 minutes.
_Da père, camarade Earl, toi nous avoir bien aider.
_Ah, bien merci, Vas.. camarade Vasyan, mais, qui était les deux chinois ?
_Toi posais beaucoup trop question, être juste chinois, pas problème.
_Ok ok>>
Le père revint, et nous donna a chacun 200$ et nous dit qu'il avait encore des trucs a régler, et qu'on devrait prendre le metro vers Manhattan. Nous étions partit, le laissant la. Vasyan était heureux de ses 200$, mais moi, je ne savais pas trop quoi en faire, sauf bien sur prendre le metro...

Histoire de Patrick Green.
Un homme ordinaire, se vivant a New York, a Manhattan. Plombier, souvent appeler du a la compagnie ou il habitait, a qui on fessait souvent éloge.
Sans histoire cette homme grand, de 1metre95, vivait paisiblement et serais d'origine Irlandaise. Les dimanches ont pouvaient le retrouver a trainer dans des bars, sans trop boire. Et passer du bon temps avec lui. Car cette homme était dote d'un grand humour, ironique en général.
Un jours, lorsqu'il reparait la plomberie d'un immeuble, son regard fue éblouis par une grande beauté, une femme se tenait là, derrière lui, en train de le voire œuvrait pour réparer la plomberie de l'immeuble, cette femme, deviendra plus tard sa fiance, par quelque voie personnelle pour eux, que moi, narrateur, ne revellerais pas ici, mais cette femme, qui etait elle ? Sarah Tagliano, d'origine Italienne, vivant a Manhattan aussi.
De leurs union, naquit un enfant, Earl Green. Cela ne derangeait pas la mere que l'enfant n'endosse pas un prenom Italien. Au contraitre, les deux conjoint voulais que leurs fils porte un prénom, et un nom Américain de façon a se qu'il s'integre mieux.
Aujourd'hui, Patrick vit encore a Manhattan, avec sa compagne, Sarah.



Histoire de Sarah Tagliano
Cette femme et née a New York d'une pauvre famille Italienne, qui est arriver en Amerique lorsque Mussolini pris le pouvoirs en Italie. Bosant d'arrache pied a l'école, cette femme fini par etre avocate, et habiter dans un des plus grand building de New York, a Manhattan.
Bien qu'elle sois riche, elle vivra en donnant de l'argent au plus demunie.
Un soirs, alors qu'elle rentrait chez elle, elle vie un plombier, reparer la plomberie, Patrick Green. Au depart, elle devint juste ami avec cette homme qu'elle ne connaisais pas. Mais au fil des année ils tombèrent amoureux l'un de l'autre. Et après quelque temps de mariage.
Elle donne naisance a Earl Green.
Elle joua le role d'une mere exemplaire, en donnant a Earl la force, et le courage de perseverrer a l'ecole, mais la realite en fut bien loins, son fils ratta ses examens.
Choquer, elle decida d'envoyer son fils dans l'ouest des Etat Unis, a Los Santos. Une des villes du petit Etat de San Andreas, une ile de 38 kilometre, située au large de la cote ouest.
Aujourd'hui, elle vie avec Patrick Green, à Manhattan.

HS : Je fais un nouveau personnage, ne prenez pas en considération l'autre background qui as la base devait servir pour mon personnage 100% clochard, mais les circonstances du fait est que mes amis prefere faie autre chose au final, m'oblige a changer (Caine : Mafia - Lee : peut etre leave pour lui

• Réponse au PS : Dis toujours Vito Scaletti(Frank), moi je n'es jamais RP avec toi, meme si l'envie y est