Salvatore Caruso, l'histoire d'un vieux mobster

par Sally Caruso Dim 19 Juin - 3:06

MAJ DU BACKGROUND:

Background refait le mercredi 14 août 2013 / ajout des 4 premiers chapitres

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Chapitre 1: Tout début a un commencement.
"On a pas eu de pères assez présent pour nous montrer comment être des hommes, alors.. on fait avec les moyens du bord. "

C’était en 1942, et ça se passait au New Jersey, plus précisément au quartier Bayonne. Salvatore Caruso, né officiellement le 28 mars, venait de naître comme tout autre gamin qui sortait du ventre de sa mère ce jour-ci. Deux mois après sa naissance, la mère de Salvatore décida, suite à une légère crise financière dans la famille, d’emménager à Newark, autre quartier du New Jersey. Salvatore ne connut pas son père, Corrado, qui périt lors de la bataille navale de Pearl Harbor, en 1941. Il avait grandit dans les actuels stéréotypes de la mafia italienne : les ritals dans le bar de la rue où habitait Salvatore, qui passaient leur temps à boire du café et à se raconter des blagues. C’est ainsi qu’il rencontra entre autres Paul Torino et Tony Blundetto, deux futurs gars de la DeCavalcante, qui était la famille mafieuse de Jersey. Qui allait deviner que Caruso allait devenir un des boss de la pègre de Los Santos, une bonne cinquantaine d’années plus tard ?

Lisa Caruso, mère de Salvatore, décida de migrer vers Chicago en 1959, quand Sally avait dans les 17 ans. C’est là qu’il se demandait à quoi servait d’étudier pour finir dans la merde où habitait à présent Salvatore & sa mère, c’est-à-dire un vieux taudis dans un quartier de rital populaire pour sa pègre, qui était d’ailleurs représentée dans ce coin là par John « Handsome Johnny » Roselli, qui a notamment été, plus tard, un des hommes ayant aidé la Chicago Outfit pour diriger les casinos situés sur Las Vegas et Hollywood. Il fut aussi impliqué dans la tentative de la CIA pour buter Castro. Bref, il commencait à lâcher ses études et à travailler sur des chantiers, où il se mit à bosser pour Samuel « Mad Sam » DeStefano, qui lui fournit le boulot requis pour s’arrondir les fins de mois et se faire remarquer honorablement, pour une fois. C’est en 1963 que la Outfit entrait dans tous les sujets de discussions. Ils étaient impliqués dans le meurtre de JFK ; ils passaient en gros pour le bouc émissaire. Mad Sam était un mec acharné, mais les gars de l’organisation voulaient pas le passer made-man, il était taré, comme le dit son surnom. Sam décida enfin de présenter Salvatore à un insider du crew de Mad, Charles Crimaldi. Sally commenca à bosser pour lui, plus ou moins illégalement, et lui servait aussi de porte-flingue personnel, lui et son Glock .19, son préféré. Il y a un commencement à tout.

Mugshots:

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Salvatore Giancana était à cette époque à la tête de la Outfit, un "super boss" comme disait Charles. Sally poursuivait son aventure vers le sommet en bossant régulièrement avec Charles Nicoletti , un Soldier du crew de Albert Tocco, qu'il n'avait d'ailleurs jamais rencontré. En 1966, Salvatore Caruso se fait remarquer par Albert et se fait nommer Insider de son crew, lors d'un soir d'une nuit lugubre et brumeuse de novembre. Il fallait pas régresser, il fallait plus régresser, quand on arrive dans ce business, y'a plus de retour à la case départ. Il est ensuite nommé, quelques années plus tard, Personnal Enforcer de Harry "the Hook" Aleman, c'est dans ces 'early 70's' qu'il rencontra Robert Spilotro, futur captain de la Chicago Outfit ainsi que de la " Ruggiero Mob " située sur Los Santos, un paquet d'années plus tard.

Mugshots:

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Photo de Harry "The Hook" Aleman (devant) et de Salvatore "Sally" Caruso (derrière), 1972

Chapitre II: la montée en pouvoir.

"Tu vois, on change d'ère, c'est le renouveau. Et on a besoin de gars jeunes et loyaux, j'pense que tu feras l'affaire."

Il ne pouvait pas reculer, sa vie était entre les mains de Joseph "Doves" Aiuppa, actuel boss de la Chicago Outfit de 1970 à 1986. Il avait aussi rencontré Frank Ruggiero et Joseph Baccalieri, deux gars sans grande importance mais bossant pour Ernest "Rocky" Infelise et James "The Turk" Torello, avec qui le chemin viendra se croiser.. Bien plus tard.
Les années 1970 ont été pour Salvatore une véritable mine d’or. Harry "the Hook" Aleman et lui-même se sont taillés une réputation de durs dans la plupart des familles italo-américaines du pays : ils étaient dans la fleur de l’âge, étaient expérimentés, mais étaient surtout craints. "Tu vois, on change d'ère, c'est le renouveau. Et on a besoin de gars jeunes et loyaux, j'pense que tu feras l'affaire." lui disait Harry, et il ne pensait pas si bien dire. La plupart des meurtres se faisaient par l’intermédiaire de ces deux type. Mais leurs principales activités étaient les « taxes de rue » sur des bookmakers qui rapportaient de grosses sommes d’argent à la Chicago Outfit. 13 meurtres ont été notifiés par la Commission du Crime de Chicago entre 1971 et 1976, mais de nombreux autres n’ont pas été découverts.

12 décembre 1973 :
C’était un sale jour du rude hiver de 1973. Harry appela Salvatore de toute hâte pour lui faire part d’un contrat qui allait faire d’eux les mobsters les plus réputés pendant quelques années. La cible était un certain Richard Cain, officier de police réputé pour être un des plus gros corrompus du service, qui était made man de la Chicago Outfit, collaborateur proche de l’ex-patron Sam Giancana. Ce contrat avec un bon et un mauvais côté : s’ils arrivaient à buter un gars important de la police qui se révélait être informateur, donc qui était bien protégé, ils obtiendraient une réputation de gars à ne pas emmerder, le genre de mecs qu’il valait mieux respecter, au péril de sa vie. Par contre, s’ils échouaient, c’était soit la mort, soit la taule.

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Sally à gauche, Harry à droite, s'avancant vers l'appartement de Richard Cain.

Minuit pile, Harry "the Hook" Aleman et Salvatore “Sally” Caruso montent dans leur misérable voiture volée en direction de chez Cain. Le cœur de Sally bat à tout allure. Mais il s’endormait, pour une fois, il voulait fuir ses responsabilités. Ils s’engouffraient dans un ghetto black, Bronzeville, très mal réputé. Toutes ces putes, ces seringues mortes et ce vide de sens donnaient la chair de poule. Arrivés devant l’appartement miteux où était réfugiée la fameuse cible, où s’entassaient de nombreux skuatteurs, ils descendirent pour s’engouffrer dedans. L’immeuble ne tenait plus droit, les murs était remplis de tags en tout genre, des gamins qui étaient en pleine overdose de cocaïne gisaient ça et là. Tous ces détails donne la scène plus glauque encore. Arrivés au 6eme étage, aucun garde n’était devant la porte.
-« Putain Harry, on fait ça vite, j’veux pas le FBI au cul, c’est pas un simple bookmaker qui a pas payé la taxe depuis plusieurs mois. C’est un type du département des shériffs, pas d’conneries ! On l’bute et on s’casse ! Pas de conversation, on entre et on s’casse. » chuchota Sally,
-« Eh, Sally, après tout ce temps, tu sais que j’vais pas te faire de merdes. Ca sera plus facile que prévu. Bon, on ferme nos gueules et on se fait discrets. »
La porte n’est même pas fermée à clef. Harry faisait le guet devant la porte, alors que Sally disparaissait dans la pénombre de l’appartement, suant à grosses gouttes malgrès la température relativement froide. Avec son éternel Glock .19 silencieux dans la main, il s’aventure dans chacune des pièces de l’appartement. Personne. On pouvait juste voir la faible luminosité de la télévision qui devait marcher depuis des heures, dans le salon. Le con s’était endormi et n’avait pas pris ses mesures de sécurité. C’est là qu’il put enfin voir le décor de l’appartement, qui était le même que dehors : plein de tags dégueulasses, les murs ayant perdu les trois quarts de leur papier peint. Il s’approchait pas à pas de sa cible, sentant son cœur le lâcher à plusieurs reprises. Il ne fallait pas, il avait confiance en Harry, tout devrait se passer correctement. En fait, tout doit se passer correctement, Salvatore n’ose même pas penser au contraire. Il pose le canon de son Glock .19 contre le crâne de Cain. Trois bruits de balles étouffées se firent entendre. Trois balles logées dans le cerveau. Richard Cain était officiellement décédé.
Il sortit de l’appartement sans dire un mot à Harry, simplement un hochement de tête en allumant sa cigarette Phillip Morris comme il le faisait à son habitude. Deux ombres vêtues de gros blousons sortirent de l’horrible appartement, pour ensuite partir comme si de rien n’était dans l'ombre de la ville.

S’en suivit de simple meurtres de truqueurs, informateurs, cadet de police, même d’un autre Enforcer de la Outfit.
Mais il fallait bien qu’un jour toutes leurs magouilles s’arrêtent.

C’était un 27 septembre de l’année 1972, un jour qu’ils avaient oubliés. Un jour ensoleillé, calme, qui leur sera révélé fatal quelques années plus tard, en 1978.
Harry devait récupérer la taxe d’un type qui avait sa propre équipe de chevaux de course. Le business ne battait pas son fort pour ce pauvre type, William Logan. Il a gentillement demandé de décaler la prise de la taxe de une ou deux semaines. C’est alors que Harry devint taré, il sortit son flingue devant deux témoins et buta le gars. Il avait fait promettre à ces deux là de pas parler et leur à donner assez de fric pour qu’ils ferment leur gueule. Qui aurait pensé que six ans plus tard ils allaient le dénoncer ?

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Arrestation de Harry "the Hook" Aleman à son domicile (1978).

Harry était entouré par deux flics. Il était bel et bien au tribunal, ne pouvant nier quoi que ce soit. Les preuves étaient là, et les fédéraux voulaient le coincer et n’attendaient que cette belle occasion de le faire. Trois heures pour délibérer, trois heures à se tourner les pouces pour savoir s’il passera la moitié de sa vie en taule. Harry en était devenu fou, pour finalement apprendre qu’il était accusé de meurtre, rackets et corruption. Il en avait pour trente ans.

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Salvatore "Sally" Caruso à gauche, Robert "the Bull" Spilotro à droite.

Chapitre III: le bon vieux temps.

"Méfiez-vous de Sally, s'il te fait sourire c'est pour te piquer tes dents en or!"

Après près de un an d’inactivité totale, Sally contacta un type de la Outfit avec qui il avait sympathisé, Robert "the Bull" Spilotro, un soldier. Il le nomma directement comme son propre bras droit, et l’accompagna jusqu’à son passage au grade de capitaine de la Outfit en 1984. Sally n’était plus beaucoup "sur le terrain", il donnait des ordres et on faisait le sale boulot à sa place. L’argent venait à lui, et de plus en plus. Il savait comment profiter du business des autres, mais il était trop protégé par son capitaine, il était intouchable. Jusqu’en 1990 il assista son capitaine. Les différents meurtres qu’ils firent, toujours la même technique, quatre balles dans le crâne; toujours en lieux voyants. Ou encore les jeux d’argent où ils misaient de plus en plus gros et jouaient avec des grosses têtes de la Outfit. A cette époque, ces deux gugusses faisaient trembler tout le monde. On entendait même parler d’eux jusque dans le New Jersey, c’est pour dire.

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Sally à gauche, Robert à droite. Meurtre de Harvey "Fathead" Berelecchio, 4 balles dans le crâne.

Leur équipe de choc se composaient de quatre personnes dont Sally et Robert étaient les acteurs principaux. Mais il y avait aussi Vincent "Poppa" Blundetto et Mario "le Goinfre" Bersuzzi. Bien qu’ils devaient se faire discrets, ils prenaient des parties de plaisir à tabasser des gars avec des clés de serrage à l’arrière de la voiture, ou botter le cul des gars qui ramenaient pas assez de fric. Ils étaient craints et ils le savaient. Ils variaient entre prêteurs à gages, organisateurs de jeux d’argents, combats de rues… Bref, de quoi se divertir. Sally se faisait déjà un peu vieux, les cheveux blancs ornaient déjà son crâne, c’est depuis ce temps que le surnom Uncle Sally le suit. Mais on le surnommait aussi « Coconut », noix de coco, pour une toute autre raison que peu de personnes savent dans ce monde.

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Salvatore en train de manger, en face du boss Samuel "Wings" Carlisi.

Chapitre IV: Caruso change de ville.

"Ecoute Sally, j'peux te proposer quelque chose de très intéressant pour toi et le futur de ta carrière, mange un bout et écoute-moi."

C’était au courant de l’année 1990. Le crew de Robert était celui qui marchait le mieux depuis des années. Ils avaient la gloire et l’argent, mais Sally voulait plus, et ça, tout le monde le savait. Il commençait à traîner avec le Street Boss, et d’autres gars de haute importance pour le boss de cette époque, Samuel "Wings" Carlisi. Dans la logique des choses, ce vieillard de Carlisi entendu parler de Sally, et il lui proposa un marché, une offre qu’il ne pouvait apparemment pas refuser.
Donc, Caruso avait rendez-vous pour déjeuner un midi avec Robert, Vincent, Mario, le Street-Boss de l’époque et Samuel Carlisi. Il rencontrait un parrain de la mafia pour la première fois, un entretien qui resta gravé dans sa mémoire jusqu’à ce qu’elle soit défaillante, et encore.
Alors que Sally bouffait comme un goinfre, tous s’arrêtèrent de manger pour laisser le boss parler.

"Ecoute Sally, j'peux te proposer quelque chose de très intéressant pour toi et le futur de ta carrière, mange un bout et écoute-moi."
"Eh, okay boss, j'vous écoute, pour sûr!"

"T’imagines bien que si tu te vois ici même à ma table, il doit y avoir une très bonne raison. J’vais pas te faire attendre, j’ai discuté avec Robbie. Et je pense que tu ferais l’affaire."

"J’ferais l’affaire ? Quelle affaire ?"
"Ecoute, on compte emmener le business jusqu’à San Fierro, à San Andreas. Ouais je sais, c’est un trou paumé, mais il le faut. Une petite équipe est déjà présente là-bas, et j’te la confie, c’est ton équipe, t’es capitaine maintenant. T’es toujours relié à moi, mais tu bosses librement. Une fois que ton travail sera terminé, j’te laisserais prendre ta retraite. Tu pourras vivre tranquillement dans une villa à Los Santos, tu m’suis ? Dis-moi, qu’est-ce que t’en penses hein ?"

Un grand silence se fit autour de la table. Sally, étonné de cette proposition, pris le temps de regarder le visage confiant de chacun de ses confrères. Il était temps pour lui de partir pour aller de l’avant. Une place de capitaine, ça se refuse pas, non ?

"Ecoutez, patron.. c’est vrai que ça se refuse pas. J’accepte vot’ proposition avec joie."

"SALUTE!"

Arrivé dans l’état de San Andreas, Sally se sentait puissant, il goûtait tout juste au pouvoir. Il rencontra le boss local, qui lui laissait carte blanche pour ses projets. Il fonda le "Social Misfits Crew" qui existe toujours aujourd’hui. Il importa la vente de drogues dures comme la méthamphétamine ou la cocaïne, ainsi que la vente d’armes en masse. L’argent coulait à flot, et il savait que sans lui, tout le business s'effondrait; il était devenu indispensable. Plus il s’enrichissait, plus il pensait à sa retraite, la vie de gangster le lassait. C’est après 15 ans à diriger le crew de San Fierro qu’il obtint finalement sa retraite bien méritée. C’était fini, il n’avait plus qu’à retrouver le fils qu’il a nié avoir eu auparavant, et sa vie n’aurait plus d’objectif principal. Sally repris (officieusement plutôt qu’officiellement) le Pizza Stack de Ganton à Los Santos et profitait de la vue de sa villa depuis Vinewood. Il regrettait le bon vieux temps, quand il était encore jeune et plein de volonté pour réussir. Il avait réussi ses projets… qu’adviendrait-il de sa vie, maintenant ?

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par Sally Caruso Dim 19 Juin - 3:08

-Reserved-.

par Sally Caruso Dim 19 Juin - 3:09

-Reserved-.

par Feech Capizzano Dim 19 Juin - 3:14

Nice Background Old Prick!

Good l'avatar de Corrado la tête de gland.

par Walt Butchinson Dim 19 Juin - 3:22

Good, mais je suis pas assez mis en valeur, et surtout : Enzo c'est "Jinx" pas "Lucky" !!!

par Peter Filkowski Dim 19 Juin - 5:14

Beau background t'aurais pû plus parler de moi..

par « Marwan © Weekz » Dim 19 Juin - 9:33

background de bg j'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeee

par Twain Clark Dim 19 Juin - 10:27

Marwan Weekz a écrit:background de bg j'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeee

par Anthony Iacobacci Dim 19 Juin - 16:11

Excellent , j'ai tout lu , l'histoire est cohérente et bien rédigée , en plus que j'y suis cité Very Happy

gg

par Samy Coogan Dim 19 Juin - 16:42

par Invité Dim 19 Juin - 16:44

Je commente juste parceque j'suis cité et c'est valorisant Laughing

Non, j'ai tout lu et j'ai aimé la structure de l'histoire.
Really nice, I'm waiting for the next chapter Wink

.

par Frank Ruggiero Dim 19 Juin - 17:17

Would ya' shut the fuck up, miserable chinese cunt? Very Happy

Sinon j'aime bien, c'est pas mal, vieil oncle.

par Eugene Scali Dim 19 Juin - 17:20

Sisi sa gere

par Vincent Blundetto Sam 2 Juil - 14:11

Ton background est super, j'ai adoré (surtout car sa parle du père de Vincent Very Happy

)

par Sally Caruso Sam 2 Juil - 16:40

par Tito Luciano Sam 2 Juil - 16:44

Beau background GG !

par Sally Caruso Jeu 14 Juil - 4:27

par Croma SensuelProd Jeu 14 Juil - 4:32

John Clane [Winch] a écrit:Beau background GG !

par Walt Butchinson Jeu 14 Juil - 4:41

Sal' traumatisé par les gros . Good sinon, sa a l'air d’être un vrais connard le Gravano dont tu parle .
Les gros dirige le monde, c'est un complot ! Faites attention !

par Peter Filkowski Jeu 14 Juil - 5:25

La fin du chapitre 6 et le début de la part1 ne sont pas en correlation, sinon gg le background

par Gabriel Martinozzi Jeu 14 Juil - 9:48

J'aime bien, GG !

par Reginald Broadus. Jeu 14 Juil - 14:41

Tu t'est trompé sur mon passage du con , j'suis pas arriver a little italy mais a la pizzeria Smile

par Bacchus II Jeu 14 Juil - 15:00

"Big" Paulie_Gravano a écrit:Sal' traumatisé par les gros . Good sinon, sa a l'air d’être un vrais connard le Gravano dont tu parle .
Les gros dirige le monde, c'est un complot ! Faites attention !

Et ouais ! Le viellard c'est fait baiser comme une putain !! Par un gros en plus ! Ahahah' !

par Walt Butchinson Jeu 14 Juil - 15:22

Partie 1

Trois mecs dont il avait entendu parler et qu'il aimait bien, c'était Mickael Cotroni, Paulie Gravano et Vito Ancelotti. Des sacrés gaillards, même si ils détestaient leur boss Gotti, il a une réputation de sacré connard. M'enfin, tout ça pour dire, que tout allait comme sur des roulettes, à Los Santos.

Partie 2

le petit con de Cotroni, le fils de pute de gros lard de Gravano,

Il y a du contraste quand même ...

par J'adore tellement CMLV Jeu 14 Juil - 15:38

Jordan²Ayem [Croma] a écrit:
John Clane [Winch] a écrit:Beau background GG !

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