Vincent " Tone Blun' Junior " Blundetto

Vincent " Tone Blun' Junior " Blundetto
Ses débuts.


Vincent vers ses 21 ans, à Newark, New Jersey.


Présentation du spécimen...

Je m’appelle Vincent Blundetto, je suis né à Newark dans le New Jersey le 10 Juillet 1983. Mon deuxième prénom est Anthony ce qui m’a valu un ou deux surnom mais ces surnoms ont été plus adaptés pour mon père, qui lui, s’appelle réellement Anthony. Mon père est un Gangster, un Mafioso, un Criminel, enfin, pensez ce que vous voulez mais ce qui est sûr c’est qu’il est " Made Man " dans la famille DeCalvacante.



Avant je travaillais assez bien à l’école mais quand j’ai découvert que mon père était un Gangster je me sentais quasiment invincible et j’ai donc commencé à faire le con à l’école jusqu'à me faire virer quand j’avais 16 ans. A ce moment-là je commençais à faire des larcins, je volais les sacs à main des vieilles, des portes-feuilles et des trucs du genre. Mon meilleur ami, Raymond Balducci s’est vu interdire de me voir par ses parents car je n’étais pas un modèle pour lui, certes c’était vrai, mais moi je gagnais déjà la moitié de ce qu’ils faisaient à deux. Mon père était bien gonflé aussi, ma mère savait évidemment ce que faisait mon père mais elle lui posait jamais de questions. Comme je disais, mon père était bien gonflé car il hurlait devant ma mère, il jurait qu’il m’empêcherait de devenir comme lui mais ceci ne l’empêchait pas de me faire ramener de l’argent et d’un côté il était fier mais d’un autre côté il avait peur pour moi.


Quelques années plus tard, j’avais 22 ans, comme Anthony était mon père et que je lui versais un pourcentage j’avais le droit à une protection et j’étais même immunisé sur certaines actions, mais je n’étais pas non plus immunisé sur tout et n’importe quoi. Tous les dimanches j’allais en boîte de nuit, pas pour faire que la fête mais pour taxer le propriétaire de la boîte tout en prenant des boissons offertes par la maison, naturellement. J’étais devenu le coursier de mon père en quelques sortes, il me faisait plus confiance à moi qu’a ses petits nouveaux qui aspiraient à être un Affranchi comme lui, mon père est un homme respecté et connu à Newark.

Deux ans plus tard, comme j’étais le fils de " Tone Blun' " je me battais souvent, pas parce que je suis mal aimé dans le quartier, mais parce que je cherchais souvent la merde à des gars pour ensuite les battre et être craint et respecté, ou sinon c’était pour impressionner des filles et ça marchait. Un soir, je m’étais battu contre un jeune Albanais qui d’une, n’avait rien à faire à cette fête, et de deux, qui ne me plaisait pas. On s’est battu, je lui ai foutu une trempe et il m’a prévenu qu’il se vengerait et il a fait son speech de pleurnicheur tout en partant.


Prévoir l'imprévisible...

Une ou deux semaines plus tard, c’était un soir assez frais, j’étais avec mon père pour l’accompagner et récolter les paris d’un bookmaker. En arrivant dans la ruelle, je partis une dizaine de mètres plus loin pour me prendre une canette au distributeur, cette partie de la ruelle était éclairée que par les néons du distributeur donc j’étais quasiment dans le noir, comme un fantôme. Mon père discutait avec le bookmaker quand on entendit un crissement de pneu, un bruit de portière s’ouvrir puis des bruits de pas se dirigeant dans la ruelle et enfin, des coups de feu.

Environ une vingtaine de déflagrations se firent entendre dans la ruelle tandis que moi je m’étais caché derrière le distributeur qui était quasiment dans le noir puis le silence prit place dans la ruelle, j’entendis un seul homme partir qui disait " Putain il y était censé avoir son fils ! Pas le temps d’aider Ivan la police ne va pas tarder ! "
Je sortis de ma cachette et je m’approchai du corps du meurtrier, ce " Ivan " était le mec que j’ai fracassé à la fête et il se fit tué par mon père durant la fusillade. La ruelle était taché de sang, contrastée par les douilles recrachés des armes, je m’approchai de mon père avec son Beretta dans la main, le chargeur vide et il s’avérait qu’il était vivant et il me chuchotât quelques mots tant bien que mal : " Fuis… Fuis… Loin d’ici… " Puis il perdit connaissance, je pris rapidement le volant de sa voiture pendant que les sirènes de police retentissaient quelques rues plus loin. Je rentrai chez moi, pris de l’argent et partis à l’aéroport tout en laissant un mot à ma mère : " Je m‘en vais réaliser le projet de papa, prends soin de toi "


Un bien beau projet...

Le projet de mon père consistait à aller à Las Vegas et aider son ami qui gérait un casino, rien de plus simple, mais il comptait se faire un maximum de fric là-bas. Avec la famille de Kansas City qui le soutenait il avait donc carte blanche mais après cette soirée je ne pense pas qu’il pourra réaliser ce projet. Je suis donc allé à Vegas, ont m'a prêté une équipe qui aspiraient à être Affranchis, on formait plus une bande qu'autre chose, tandis que j’aidais l’ami de mon père à monter son casino je faisais tout genre de business qui pouvait rapporter, j’avais ouvert une bijouterie et je vendais des bijoux, ce qui est normal, et la nuit je débarrassais mes clients de leur bijoux. Je dévalisais même des petites banques qui croyaient que leurs diamants étaient en sécurité, puis je revendais leurs diamants à l’arrière de ma bijouterie. Je rachetais les vieilles granges, les vieilles cabanes pour y mettre des kilos et des kilos de drogues que je distribuais dans les rues de Las Vegas ou dans les villes aux alentours et je palpais gros. Ce qui est sûr, c’est que personne ne s’attendait à voir un mec comme moi débarquer à Las Vegas.


C'était trop beau pour être vrai...

Deux ans plus tard encore, j’étais devenu assez connu, mais pas trop histoire de ne pas figurer dans les journaux, tout l’argent que je faisais je le gardait bien au chaud sans trop le dépenser, que pour des dépenses nécessaires. Je n’avais pas pris de nouvelles de ma mère depuis mon départ et je ne sais pas si mon père était vivant ou mort, ces derniers mois, des gars de Kansas City sont venu taxer des façades m’appartenant alors qu’on leur file déjà un pourcentage, ils sont devenus de plus en plus agressif. Une matinée alors que je marche sur le trottoir avec un des hommes de la bande qui m'aide à régler quelques problèmes niveaux surveillance car en plus que Kansas me l’a fait à l’envers, les fédéraux sont sur notre dos, bref je discutais avec l'homme me portant conseil et j’entendis une voix dans mon dos disant : " Monsieur Blundetto ? "

Je me suis arrêté net, l’homme avec moi me fixait dans les yeux tandis que je restais immobile, je pensais que c’était le FBI qui venait m’arrêter, la seule fois où je me fais arrêter risquait d’être la première et dernière peine de prison car tout ce que j’avais cumulé pouvait m’enfermer à vie.

Quand je me suis retourné, je ne vis point un agent du FBI mais je vis bel et bien mon père qui était vivant, au début j’ai cru à un rêve mais c’était réalité. J’étais comme un gamin qui déballait ses cadeaux de Noël. Il m’expliqua qu’il était tombé dans le coma pendant un mois et que je n’avais rien à me reprocher quand je me suis enfuis le soir de la fusillade, j’avais bien fais. Il m’expliqua aussi qu’il y a quelques mois, un Albanais est allé voir la famille de Kansas City et il avait réussi à les retourner contre moi car j’étais devenu quasiment intouchable et que j'étais tenté de les remplacer officiellement ce qui était faux, son autre raison est qu'il n’avait pas achevé la vengeance de son ami qui est maintenant mort. Je laissai l’homme avec qui je discutais gérer les affaires de Vegas, il détestait les gars de Kansas donc je lui ai tout laissé, les affaires, les combines et surtout : les commandes. Je lui ai tout laissé tout en coupant tout contact avec eux, comme si je n’étais jamais venu. Puis on repartit au New Jersey avec mon père et une
grosse partie de l’argent cumulé ses deux dernières années.


Retour aux sources et match retour...

On était revenu à Newark, home sweet home, là encore une fois j’étais content de rentrer. Je repris connaissance avec les anciens potes, les nouveaux associés et tout le reste, je me suis remis à bosser pour mon père en attendant que l’autre connard d’Albanais refasse surface.

Et il se pointa au bout d’une semaine et il tomba dans notre piège, on l’emmena dans un abattoir en plein milieu de soirée, il avait plein de sang à force de s’être fait passer à tabac par moi et mon père, en plus d’être affaiblit comme tout, ses mains étaient liées et attachées à un crochet à viande qui le suspendait au-dessus du sol. C’est là que mon père décida de passer aux choses sérieuses, il prit une tronçonneuse et l’alluma en se dirigeant vers l’Albanais, il commençait à écarquiller les yeux tout suppliant mon père d’arrêter. Mon père lui enfonça la lame dans le ventre pendant une trentaine de secondes avant de remonter la lame vers le torse, les tripes de l’Albanais tombèrent au sol sur la flaque de sang. Et moi ? Où j’étais ? J’étais plus loin, en train de gerber dans un bac.


Je reviendrais...

Je restai encore une année à Newark avant d’embarquer Raymond qui avait dit à ses parents d’aller se faire foutre et de partir pour Los Santos, on s’installa dans cette ville début Juin. Je me suis mis à travailler avec lui dans les champs dans une ferme, il fallait travailler dur pour avoir un minimum d’argent. Un jour on rencontra un homme très important mais on ne le savait pas encore, Frank Ruggiero, cet homme nous amena sur le chemin de la Mafia pour la deuxième fois mais pour Raymond c'était la première fois. J’ai fait une rencontre avec un homme, et cette rencontre s'avéra encore plus surprenante car cet homme était avec mon père dans la famille DeCalvacante, il s’appelle Salvatore Caruso. Il s’amuse à m’appeler " Tone Blun' Junior " ce qui lui fait penser au bon vieux temps et car il est content de voir le fils d’un de ses bon vieux amis, je suis sûr qu’il va m’apprendre beaucoup de chose. Avec Raymond on s’est lancé dans le cambriolage, on vole les maisons et on revend quelques objets à un ami de " Uncle Sal' ", on s’est acheté de quoi rouler et depuis peu on est dans l’équipe Fruzetti.


A suivre...

Vincent " Tone Blun' Junior " Blundetto
Où est-ce qu'il en est ?


Vincent à ses 28 ans pendant un un enterrement, Los Santos.

La belle vie...

Tout allait pour le mieux, les gens nous aimaient bien moi et Raymond. On rapportait ce qu'il fallait aux grandes instances et on montait facilement, on était devenu des grands, enfin des associés respectés mais ce n'était pas n'importe quoi. Nos cambriolages fonctionnaient bien, on refourguais tous ce qu'on volait à des gars qui en avaient besoin et on gagnait bien notre vie.


L'enfer du Dimanche...

Dans tous les métiers, dans toutes les entreprises, dans tout ce qui rapporte de l'argent, il y a toujours des hauts et des bas. Je n'avais pas à me plaindre c'était la belle vie pour moi, chaque journées étaient mieux que les précédentes sauf le jour de mon anniversaire pour mes 28 ans. C'était un Dimanche, Jojo' avait demandé à me voir, il réclamait tout simplement cette foutue taxe, ou tribute comme vous préférez, j'avais juste dit en rigolant que c'était con de payer le jour de mon anniversaire et il me rétorqua simplement " J'en ai rien à foutre, je veux mon fric. "
Il m'avait dégoûté, certains m'avaient souhaité un bon anniversaire comme Raymond et d'autres, certains avaient dit qu'il y aurait une fête mais j'en ai toujours pas vu la couleur aujourd'hui, c'est une longue préparation dites moi. C'était vraiment bizarre cette soirée, j'étais tellement désabusé que je m'était envoyé un shoot d'Héroïne et c'était pas vraiment beau à voir, j'étais couché sur un banc comme un abruti tout en me battant comme un handicapé pour fumer ma cigarette, fixant le ciel comme si il y avait quelque chose à voir, enfin un con m'a réveillé le lendemain après-midi pour me demander une pièce.


Quel est le problème ?


Il y avait aussi un autre problème, après une succession prématuré chez les Gambino une guerre s'est déclenchée entre nous et eux. Sally a été transféré à l’hôpital car il s'est fait avoir est laissé pour mort, dans un profond coma, et j'y passais le plus clair de mon temps, j'y passais même plus de temps que les médecins et c'est à croire qu'ils sont trop bien payés pour exercer leur foutu métier. Le temps passait et je ressemblais de plus en plus à un mort-vivant dans mon siège, mais Sal' se réveilla assez violemment pendant une après-midi. J'étais seul auprès de lui mais enfin je m'en sentais obligé car c'est le meilleur ami de mon père, après son réveil la guerre s'est terminée mais je continuais de faire des détours pour éviter de passer dans le quartier des Gambino. Et il y a aussi eu des problèmes internes, des putains de têtes brûlées, mais enfin c'est réglé tant bien que mal. D'ailleurs le crew Fruzetti n'était plus et on m'a transféré moi et Raymond dans le crew Stracci.


On y va doucement pour commencer...


Peu de temps après on me confia mon premier contrat, Johnny Red était avec moi pour m'aider. Il fallait descendre un mec dans un bordel et le peu de témoin qu'il y aurait, on entra dans cette baraque en pleine soirée et comme prévue elle était vide. On entra dans la dernière chambre en sortant des Colt 1911 avec un silencieux préalablement fixé sur le canon une prostitué faisait un joli strip-tease à notre ami, sans réfléchir j'ai pointé le canon sur la prostituée et j’appuyais rapidement quatre fois sur la détente puis je la vis s'écrouler sans faire de bruit. Mais je m'en n'était pas arrêté là, je mit en joue l'homme couché sur le lit et je finis par appuyer quatre fois encore sur la détente, puis Red s'approcha de la cible gisante avant de l'achever de deux balles dans la tête. Il n'y avait eu aucun bruit, aucune répercussion, donc un travail bien fait, c'est la première fois que je supprimais des gens et de sang-froid comme on me le fit remarquer.


On ne s'arrête plus...


Plus tard, Raymond avait monté la fameuse entreprise " LS Import-Export " sur Ocean Docks, on pouvait importer tout ce qu'on voulait et même voler de belles marchandises tout en modifiant les registres pour montrer que ces marchandises n'ont jamais existé. On exportait aussi nos butins clandestinement et ça nous rapportait sacrément, tous les petits nouveaux qui cambriolaient des trucs devaient nous les re-fourguer car ils étaient sur qu'ils en entendrait plus jamais parler, mais comme pour tout le monde il y a un prix pour ça.

On gagnait comme toujours un paquet de fric, on faisait importer de la blanche, vous savez, de la Cocaïne quoi. On en importait un peu sans trop en prendre pour éviter d'attirer l'attention, c'est marrant mais à chaque livraison je pensais à ce fameux Pablo Escobar, m'enfin le bon vieux temps c'est finit. On vendait ce qu'on avait à plusieurs gangs de la ville, c'était tranquille car on n'avait jamais encore pris une tuile mais on s'y préparait.
Avec l'argent qu'on faisait, on s'est dit qu'un investissement ne serais pas de mauvais goût, " Mais avant d'apprendre à courir il faut apprendre à marcher " comme disait mon vieux, " Tone Blun' Sr' ". Donc on s'est acheté moi et Raymond, encore, une baraque dans Main Street, il y a un paquet de monde et c'est parfait pour se cacher pour observer mais aussi pour être observé par nos amis du FBI, mais enfin on s'en fous ils ont rien contre moi.
Cette baraque-planque avait un garage, parfait pour cacher notre véhicule, et aussi nos amis nous rendait visite, enfin tout allait pour le mieux encore. Il y avait un certain " Bobby " qui démontait des voitures aux Dock, sans notre autorisation, dès qu'on se reverra il y aura un choix à faire : soit il vient avec nous et il peut continuer son business, soit il va le faire ailleurs.


Le fameux tableau de chasse...


" La chasse est ouverte " comme diraient certains, mais par contre je ne me souviens plus qui avait dit ça. Mon tableau des scores, ou tableau de chasse c'est encore une fois comme vous préférez, ce dernier c'était arrondi au nombre de huit. Je vous passe les détails mais je vais survoler les personnages que j'ai rencontré :

- La prostituée et le bonhomme qui bandait encore quand il était mort sur son lit comme vous le savez.
- Un jardinier qui à trois courant d'air dans le crâne, et qui à cette heure là, doit être encore au large de LS.
- Un vendeur de journaux qui se croyait malin en vendant une vieille édition à La Baleine et qui jouait du couteau, qui à finit accidentellement dans son ventre.
- Un pauvre gars surnommé " Mange-merde " qui nous avaient prit pour des cons moi, Raymond et Rayan. Je lui ai proposé un poème au nombre de sept rimes, il a trouvé ça " mortel "
- Le frère de " Mange-merde " , qui à ce que j'ai entendu, chantait dans le quartier, j'ai réussi à faire le lien entre lui et un con qui m’empêchait de dormir le soir car j'ai cru qu'on l’égorgeait, mais en fait il chantait.
- Un petit malin qui a apprit à supporter le baseball et qui finalement à décidé de s'installer dans un trou au milieu du désert.
- Un jeune con qui a décidé de finir sa vie en allant se pendre, on l'a aidé.


Les bonnes nouvelles sont suivies par les mauvaises...


Enfin, les Gambino ont eu de sacrés problèmes et on va dire qu’officiellement ils ne sont plus là, donc on a tout le marché de la drogue à disposition. C'est bien les bonnes choses sauf quand elles se terminent trop vite, un jour j’aidais Lion et Mikie à ramener du matos mais en arrivant dans une ruelle des gars on commencé à me tirer dessus, j'ai très mal réfléchis et je me suis pris une balle dans le ventre. J'ai gis pendant plus de quarante-cinq minutes sur le trottoir, baignant dans mon sang avant qu'une fille et un homme appellent une ambulance qui me conduisirent en soin intensif, j'y suis resté assez longtemps, et là on peux dire que j'ai suivis la lignée de mon père.

Après cette malheureuse chose, je suis sortis de l'hôpital avec une ordonnance pour des anti-douleur mais je ne vais pas me faire chier à aller tous les jours chercher une nouvelle ordonnance car je me fait livrer plus d'anti-douleur que de blanche en un une semaine, croyez-moi j'ai fais les calculs. Et même pire encore, con comme je suis, enfin tête brulée c'est comme vous le sentez, j'ai fait une fusillade contre des Asiatiques, et le pire c'est que je me suis encore blessé mais au bras droit, heureusement que la fille qui m'a tiré dessus ne savait pas manier ce genre d'engin sinon je ne serais pas la pour le raconter. Mais vu le nombre de cachets que j'avale dans la journée, je n'ai pas à me soucier de mon bras.


Vitesse supérieure...


Avec tout le temps passé aux côtés de Lucky, il m'a promu moi et Raymond, on est des Affranchis maintenant mais il y avait un truc très bizarre, il n'y a pas eu d'initiations mais enfin moi je m'en fous, tant qu'on me traite avec le même respect. Je suis passé " Commander " on se croirait à l'armée mais en fait non, je m'occupe d'aider le Capo auquel je suis affilié, je le protège, je le conseille, je traîne avec lui. Raymond lui est " Second in Command " c'est tout con mais il fait la même chose que moi quand je ne suis point-là. J'ai hérité du surnom " Commander Bond " sa fait plaisir à tout le monde, qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour que le peuple vous aime ?


Problèmes supérieurs...


Mais là encore on a quelques problèmes, moi, Raymond, Leather et Mikie on a voulu régler un problème de licenciement, le gars en question à goûté aux joies de la défenestration grâce à moi. Mais la police s'en est mêlé et on a tenté de s'enfuir, enfin ils ne savent pas ce qu'on a fait juste avant mais on était quand même mal. On s'est fait avoir, naturellement et puis j'ai voulu simuler légèrement une crise du à ma blessure au ventre, mais il s'avère que j'en ai eu une vraie et voilà, je suis retourné à l'hôpital, actuellement je suis en observation, je n'ai pas vu de flics à mon lit depuis et je ne sais pas ce qu'il va se passer...

A suivre...