| Baground | Luigi "Botti" Botticelli

Chapitre I – Une arrivée précipitée

Nous y sommes, j'ai 18 ans et j'ai fini mes études de médecine. Je cherche directement un job dans tout L'état de San Andreas. Un hôpital, notre hôpital All Saint cherchait un médecin capable d'être en service jour et nuit en tant que Médecin-Urgentiste. Enthousiasmé par ce poste, je chercha un appartement dans Los Santos. Une maison près d'un bar dans un quartier nommé Ganton. Aucune précision sur les habitants de ce quartier, je savais juste qu'il y avait du boulot. Une semaine après, je déménage donc dans cette maison. Dès le lundi, je commença à bosser, de nuit pour le moment.
Chaque soir je mettais mon équipement et j'attendais les appels. Beaucoup d'appel à vrai dire. Mais quelque chose m'intriguais, les gens du quartier ne parlait pas... Un soir très calme, j'eus comme idée de rentrer dans le bar. Des gens dedans, sur le toit et même sur le trottoir. Des gens partout à vrai dire. J'entrai et commanda une lierre. Tout le monde me regardait. Tous sauf un. Il était assez gros et fumait des cigares. Ma radio retenti en demandant du renfort à Ali Saint. Un grand silence se fit retentit dans le bar. J'vous raconte pas qu'un silence dans ce bar ça faisait même peur. Quelques semaines à bosser chaque soir, j'étais creuvé. Un jour, je rentrais chez moi alors que je vis une voiture, du genre cadillac s'approcher vers moi, trois hommes à l'interrieur. La voiture me bloqua le passage et les passagés me firent signe de monter. Je monta l'air angoissé. La voiture roulait. Personne ne parlait, personne ne répondait à mes questions. Trente minutes plus tard, la voiture s'arrêta. Le passagé arrière sorti une arme, du genre 9mm. Voici la conversation que l'on a eu

-Lui : Bon, écoute, on ne t'a pas amené ici pour jouer au cartes.
-Moi : Je m'en...
-Lui : Pour l'instant tu la ferme et tu écoute, c'est compris ?!
-Moi : Oui..
-Lui : Donc, on sait que tu es ambulancier et que tu cherches du fric, alors on te propose un marché
-Moi : Concernant mon boulot ?
-Lui : Tu vas venir à des endroits lorsque l'on te le dira et tu transportera des blessés que l'on te donnera à un endroit que l'on te donnera également.
-Moi : Mais..
-Lui : Donc soit tu acceptes et tu gagneras plus que ton salaire chaque semaines. Soit c'est fini pour ta gueule. Tu choisis quoi ?
-Moi : Je crois que je n'ai pas le choix.. J'accepte.
-Lui : Si tu balances quelque chose aux flics, je te massacre compris ?
-Lui : D'accord.

A ce moment je pleurais à l'intérieur de moi. Je savais que je n'étais pas sur le chemin que je voulais être, j'allais ne plus être un bon citoyen comme le voulait ma mère. Mais je n'avais plus le choix. Je ne le savait pas encore mais j'étais devenu un associé.

Chapitre II – L'entré dans le système.

Cela va faire deux mois que je boss pour eux. Je les connais tous à présent. Paulie, Nicky, Joseph, Valentino, Marzio, Franky, tous des types bien. Mais celui que j'admire c'est Mickael, j'vous raconte pas l'mec il arrive il voit que sa se passe bien il repart, mais lui faut pas trop l'emmerder vous voyez c'est pas un petit associer. C'est un Capo. Lui, soit tu le respecte soit tu te fais buté. Il ne rigole pas.
Je suis à la solde de Nicky, Nicolas Stracci un affranchis. Je l'aime pas mais dans l'systeme tu ne discute pas devant un affranchis tu éxécutes les ordres et tu la ferme. J'commence à toucher au pognons. Des billets par ci des billets par là, je les comptes plus. Chaque dimanche j'dois donner à cet enfoiré de Nicky 4500 billets rien que pour le tribune. Après quand il lui faut du fric il te demande de vendre des merde à n'importe quel moment. Et pas à un prix normal, un sale prix élevé croire que ce con n'est bon qu'a ramasser de l'argent. C'était un lundi soir, il faisait beau et le quartier était calme. Tout le monde était au courant que nicolas était obsédé par les sexes masculins. J'vous raconte pas il n'a pas duré longtemps après cette découverte une balle en pleine tête à cet enfoiré. A la mort de nicky, All Saint me vira. Ma réputation commençait à être mauvaise, les gens ne m'aimait plus. Sauf un, Paulie. Paulie, c'était l'capo que tout le monde aimait, un putain de bouffeur mais un super type. Une semaine après la mort de Nicky, je fut convoqué. Quand on est convoqué, on en ressort souvent les pieds devant si vous voyez ce que je veux dire. J'entra dans la salle. Dans la salle se trouvait Joe et Paulie. Joe commença à parler.

-Joe : Alors Botti comment tu te sens ? Tu flippes enfoiré ?
-Moi : Un peu..
-Joe : Normal petit con. Tu sais, on t'a laissé trop de chance tu fais trop le malin devant les affranchis.
-Moi : Joe...
-Joe : Il n'y a plus de Joe qui tienne là. C'est fini Botti, fini.
-Moi : Je vais donc me faire buter c'est ça ?
-Joe : Je crois que..
-Paulie : Bon écoute Botti si je ne serais pas là, Joe te butterais, mais je pense que tu as du potentiel. On te laisse un mois, si tu changes, on te laisse dans les affaires, tu restes comme ça c'est fini pour ta gueule. C'est compris ?
-Moi : D'accord paulie..

Moi j'vous dis, merci Paulie. Il m'a sauvé la vie. Joe c'est pas du genre à rigoler avec des petits cons d'associers. Dans la même semaine, Marzio pris du galon, il passa Affranchis mais quelque chose tournait pas rond ce jour là. Le soir même, il me dit de monter dans sa caisse, une stafford, très chic.
Il se dirigea au pont près du bar sortit un couteau et commença à dire que j'étais un bon pote blablabla.. Au départ, j'ai crus qu'il allait me tuer. Un coup de couteau et on en parlait plus. Mais c'était trop voyant. Il posa son couteau au sol et sauta du pont sans que j'eus le temps de le retenir. Je descendis du pont rapidement couteau dans ma poche et je tenta de le réanimer en me souvenant de mes études de médecines. Mais sans résultats. Le portable de Marzio se trouvait dans sa voiture. Au loin, une ombre était voyante, je ne le savait pas mais Valentino avait appelé les flics. Valentino s'était une balance du FBI. Un sale type. Les flics arrivèrent de tout les côtés. Je me fis embarqué par l'inspecteur Bour, il ne m'aimait pas, j'avais pas réussi à sauver son frère d'un accident de voiture. Aucun interrogatoire, aucun jugement, je pris 20ans de taule. Et dire qu'en une soirée je perdu ma liberté et un ami formidable. En prison, je me posa beaucoup de questions sur ma vie. Si je n'avais pas rencontré ces types. Si j'avais appelé les flics, mais au fond de moi j'étais ce que j'étais devenu.

Chapitre III - Sortie de prison

Voilà 20ans que je suis en taule, ma peine est fini. Je sors, prend le bus et me dirige vers Ganton. Au loin je crois apercevoir Paulie mais, ce qui me choque le plus c'est qu'il a maigris j'vous raconte pas, sa lui allait bien. Je m'approcha et aborda Paulie. Mais il me regarda sans sortir un mot. Voici notre conversation

-Moi : Hey Paulie !
-Paulie : …
-Moi : Tu ne me reconnais pas ?
-Paulie : Ferme ta gueule un peu
-Moi : C'est Botti bordel !
-Paulie : Arrête de raconter des conneries sur Botti. Il est mort enfoiré.

A ce moment là j'eus un choc. Tout le monde me croyait mort. Pour vous dire personne n'était au courrant de mon entrée en prison. Sauf Valentino mais cette balance de Valentino était mort. Poussé d'un ravin, il s'était fait chopé.

-Moi : Mais Paulie.. Sa fait vingt ans que je suis déclaré mort ? J'ai pris 20ans de taule bordel..
-Paulie : T'as une preuve ? Une raison de cette peine ?
-Moi : Mario tu te rappel il était affranchis, il s'est suicidé d'un pont, Valentino a appelé les flics et à ce moment, Bour était à la tête des flics de Los Santos. J'ai eu aucun jugement, j'ai pris 20ans car sans faire d'analyses, il a déduit que j'avais tué Marzio.
-Paulie : Marzio ? Il a été porté disparut à ta mort. Bordel c'est quoi ce délire.
-Moi : Regarde moi bien bordel, je sais que j'ai pris de l'âge mais bon c'est moi, Botti.
-Paulie : Putain Botti, jte raconte pas tout les problème qu'on a en ce moment.

Paulie me raconta que Mickael avait été tué, Valentino également. Franky avait quitté la ville avec son neveu Little Franky. Paulie était le nouveau boss de la Gambino. Un mec que j'avais apperçus en prison, il était sortit dix ans avant moi, Patsy qu'il s'appel, c'était le nouveau Capo. Il gerait le quartier de Ganton. Un autre Capo avait fait son apparition, un certain John, John Albertino.
On avait des problème avec une boite de nuit, Le Pig Pen, des chicanos avaient en tête qu'il était à eux. Les Ancelotti était mort, Vito voulait garder sa crew à L'ANPE alors que Paulie lui proposait un poste d'underboss. Il s'est fait buté directement. Son frère Adriano voulut le venger mais il a fini comme son frère au trou. Fredo et Carry, c'était des mecs de L'ANPE, il avait débarqué à Ganton. L'ANPE c'était fini.Des nouveaux associers avait fait leurs apparitions. Un mec nommé Marzio je l'aimais pas pour deux raisons. La première, c'était un sale drogué de merde. La deuxieme, il s'appelait Marzio, comme le mec qui m'avait fait prendre 20ans. Ah oui, Bour était mort. Ce vieux con avait un cancer du poumon. J'étais vraiment content de retrouver ma famille.

Chapitre IV – Prise de Galon

20 ans après vous pensez bien que tout les anciens associer avait prit du galon. C'était des affranchis. J'vous raconte pas mais moi, j'suis un gros rageur. Voir des mecs qu'on aimait pas qui nous commandes à présent sa vous fait mal. Un jour dans la semaine de ma sortie de taule je fus convoqué. C'était décisif pour moi, soit je prenais du galon soit je mourrais. Cette fois, il y avait Joe et Patsy. Joe commença à parler.

-Joe : Bon tu sais très bien pourquoi tu es là.
-Moi : Oui je crois..
-Joe : Bon on a tous cru que tu étais mort. Mais tout ce que tu dis est logique. Alors Botti,continue comme ça.
-Patsy : Maintenant contrôle tes gars, fais toi ton business fais toi respecter et surtout apporte mon pognon, tu peux sortir.
-Moi : Bien.

Je sortis laissant derrière moi un sourire en coin. J'allais pouvoir avoir un peu de respects par les associers. Je devais prendre des associer sous mon aile. Je pris Causi, un bon type. Il bossait bien et j'avais confience en lui. Je lui demandai de vendre des armes pour moi. Il le faisait et me ramenait à chaque fois l'argent.
Il savait y faire. Je commencais à parler de lui au Caid sans qu'il le sache. Il allait passer Affranchis lui aussi. Carry avait disparu plus aucune nouvelles depuis quelques semaines. C'était très étonnant de sa part. Même Fredo n'avait plus de nouvelle de lui. Paulie me faisait à présent confience. J'étais devenu un membre de la famille Gambino.