John Fisher

Le 3 mai 1985 John voit le jour. Il vit une enfance normal avec ses deux parents, ils habitent dans la ville de San Francisco dans une belle villa au nord de Lincoln Park.
Son père travaille dans la police de San Francisco et sa mère est guide touristique dans la ville, les deux sont d'origine américaine.
Les dix premières années de sa vie se déroule sans événement particulier, il commence l'école et s'y débrouille très bien.
Mais l'après midi de l'anniversaire de ses 11 ans, le téléphone sonne, sa mère décroche et c'est là que sa vie bascule.
Sa mère en pleure lui apprend que son père vient d'être gravement blessé par balles lors d'une banale patrouille et qu'il se trouve à l'hôpital.
Ils arrivent à l'hôpital en fin d'après midi, mais c'est déjà trop tard, son père est décédé de ses blessures.
Le collègue de son père se trouve sur place, et leur explique se qui s'est passé, un homme armé d'un 9mm est descendu d'un véhicule pendant que le véhicule de police était arrêté et a tiré trois balles dans le pare-brise, balles qui ont toutes touchées leur cible, le père de John.
Miraculeusement, le collègue de son père qui lui aussi se trouvait dans le véhicule à la place conducteur, n'a pas été blessé.
Voyant sans doutes la détresse dans la quelle John et sa mère se trouvait, le policier propose de les ramener cher eux.

Quatre années passèrent, mais John ne se remit pas totalement de l'assassinat de son père.
Ce qui le surprenait et l'énervait à la fois s'est que certains points sur la mort de son père restaient extrêmement flous, et que personne à l'époque n'avait semblé pressé de les éclaircir.
Tout d'abord, d'où sortait l'homme qui avait abattu son père ? qui était- il ?
Pourquoi le collègue se trouvant dans le même véhicule n'avait-il pas été touché ? et pourquoi n'avait-il pas riposté dans se cas ?
Et le motif ?, son père n'avait jamais vraiment parlé de son boulot à la maison, son père avait sûrement du enquêter sur des affaires importantes, mais importantes au point de le faire tuer ?
Il restait tant de questions sans réponses, mais John contait bien en apporter.

À l'âge de 18 ans il se lance dans des études de droits, mais au bout de deux ans, il se rend conte que le métier n'est pas fait pour lui. Il préfère faire appliquer la loi concrètement.
Il décide alors de se renseigner sur la police de la ville et décide d'y entrer au grand désarroi de sa mère. John réussit l'examen sans le moindre problème, et au bout de un ans il devient inspecteur.
Deux années se succèdent, avec leurs lots d'enquêtes, de meurtres et d'arrestations.
Mais un jour, alors qu'il cherche dans les archives un dossier sur une affaire de trafic de drogue, il tombe par hasard sur le dossier d'enquête qui avait été fait à l'époque, sur le meurtre de son père.
Il y trouve des informations très étranges, la seul personne à avoir vu concrètement l'assassin est le collègue de son père. Aucunes douilles n'a été retrouvées alors que l'homme s'est enfuis immédiatement après avoir tiré. Et le plus étrange, c'est que la police aurait retrouvé l'assassin.
John est stupéfait, comment la police pouvait-elle avoir trouvé l'homme qui avait tué son père et ne rien leur avoir dit ?
À moins qu'ils l'aient fait, mais qu'on ait voulu le tenir à l'écart de tout ça ?
Oubliant son affaire de trafic de drogue, il se met à chercher plus d'informations dans les archives, il voulait savoir qui était l'assassin de son père.
Enfin, il trouve le dossier qui va peut être lui amener une réponse à toutes ses questions. Il y découvre que l'homme se nomme Edward Burkley, ou plutôt se nommait, car il a été retrouvé mort le 4 mai 1996 dans son appartement de Richmond District, abattu de deux balles dans le cœur, tirées à bout portant.
Encore une fois, le jeune policier est ébahi, il pensait trouver des réponses, mais il ne trouve que d'autres interrogations.
La seule personne qui aurait pu amener des réponses sur la mort de son père, était morte depuis des années !
En réfléchissant John comprit que se n'était pas la seule personne, du moins, pas tout à fait.
Il restait le collègue de son père. Il avait été présent lors du meurtre et connaissait bien les affaires sur les quelles il travaillait.
C'était évident que quelqu'un avait cherché à effacer ses traces. Edward Burkley n'était qu'un pion, quelqu'un l'avait engagé pour faire le sale boulot et s'en était débarrassé juste après.
Mais si le commanditaire du meurtre était si minutieux d'effacer toutes traces de son acte, pourquoi avoir fait épargner
David ? le collègue de son père qui était présent lors du meurtre. Si quelqu'un d'autre que Burkley aurait pu être gênant, s'était bien David. Lorsque que le meurtrier avait abattu le père de John, il aurait toutes aussi bien abattre David de la même façon, mais il ne l'a pas fait. Pourquoi ?

John en avait oublié l'heure, il était 18h00. Il avait promis à sa mère de venir lui donner un coup de main pour réparer la porte du garage.
Arrivé sur place il voit que la porte est entre-ouverte. Il entre dans la maison et appelle sa mère, aucunes réponses.
Il se dirige alors vers la chambre de sa mère, les tiroirs de sa commode ont été vidé, comme si quelqu'un avait fouillé à la recherche de quelque chose. John se dirige ensuite vers le salon et là, le spectacle qui s'offre à lui est abominable. Sa mère gît étendue dans une mare de sang.
Immédiatement, il appelle une ambulance et tente de la réanimer. En vain.

Les semaines après l'enterrement de sa mère passent. Il cherche et cherche encore, mais rien n'y fait, il ne trouve absolument rien. La balistique n'a trouvé aucunes empreintes ni de traces ADN dans le domicile de sa mère.
Elle aussi a été abattue de deux balles dans la poitrine, comme Burkley. Les balles ont là aussi, été tirées à très faible distance. Il n'y avait aucunes traces de lutte. Ce qui laisse supposer qu'elle avait confiance en la personne qui la tué, assez pour se laisser approcher.
Qui cela pouvait-il bien être ? Elle ne recevait pas énormément de visite. Les seules personnes qui venaient de temps en temps la soutenir était deux de ses amies, non, se n'était pas elles, elles n'auraient jamais été en mesure de faire ça.
John se surprit à s'endormir, il était tard. Il devait bien être 2h00 du matin, il avait passé toute la soirée à se creuser la tête à la recherche d'un indice quelconque. Alors qu'il se préparait à aller dormir. Il entendit un léger bruit, automatiquement, il s'empara immédiatement de son arme et se mis à couvert derrière son lit.
Il entendit à nouveau un bruit, s'était quelqu'un qui avançait à pas feutrés dans la cuisine.
Le son se faisait de plus en plus proche. C'est à se moment là que la personne fit irruption dans sa chambre. John ne distinguait pas très bien la personne en question, elle devait être cagoulé, il aperçu quand même l'arme dans sa main, arme qui était munie d'un silencieux. Il en avait maintenant la certitude, la personne présente ici, qui qu'elle soit, était venue pour le tuer.
Il ne perdit pas de temps, il sortit de sa cachette et tira sur l'intrus, les deux tires le manquèrent.
L'intrus riposta lui aussi en tirant cinq balles contre le lit. Heureusement, John ne fut touché par aucunes d'elles.
L'assassin recula dans le couloir et se mit à couvert. John le poursuivi et ouvrir le feu à nouveau.
Après été resté à couvert pendant quelques minutes qui lui avait semblé être une éternité, il risque un regard.
Rien, si son agresseur était encore là il avait du se cacher ailleurs. Toujours sur le qui-vive il entreprit de fouiller entièrement son appartement, encore une fois rien. L'assassin s'était enfuis.
Il l'avait laissé filer, John n'en revenait pas, l'homme qui avait tué sa mère, sans doute son père et qui maintenant avait tenté d'en finir avec lui venait de lui échapper, par sa faute !
Son premier réflexe fut de contacter ses collègues qui arrivèrent sur place quelques minutes plus tard. Il était inutile de rechercher des traces quelconques, si il n'en avait pas laissé avant, il n'en laisserait sans doute pas maintenant.

Après avoir discuté avec son patron, il comprit que son travail actuel ne faisait que le freiner dans sa recherche de réponse, mais son patron avait tout de même raison sur un point, il ne pouvait pas rester ici, si l'assassin avait échouer la première fois, il n'échouerait pas la deuxième. Mais partir ? partir pour aller où ? C'est à se moment là que lui vint une idée, il avait entendu parler de la ville de Los Santos dans l'était de San Andreas. Une ville ou il pourrait tout recommencer à zéro, et qui sait, peut être un jour trouver les réponses qu'il cherchait tant. Mais dans l'immédiat, il devait surtout partir rapidement, pour ne pas laisser l'occasion à son ennemi de venir tenter à nouveau de le tuer.
Il fallait partir tout de suite.
C'est comme ça que John, John Fisher, plaqua le peu de chose qu'il lui restait, son boulot, ses collègues, et ses recherches de réponses.
Un long voyage l'attendait et il contait s'y mettre tout de suite.

Merci pour les conseils j'en prend note, pour les images j'en cherchais justement

Oui, je pensais prendre un peu des deux, quelques images IRL de San Francisco, les quartiers, etc. Et quelques screens IG dés que j'aurais l'occasion d'y être