Yiddish Connection

(Scène imaginer et penser par Clarence Johnson et Earl Tagliano. Idée de base de Clarence Johnson.)

Une fois dehors, je vais marcher un peu, Kiem n'etant pas la, lorsque soudain, des phares m'aveugles, et un bruit de frein a main strident se fait entendre, deux hommes en descendent, sortent tout deux leurs pistolets et me pointe, je sens mon courage partir, ils me forcent a entrer dans la voitures, et me menace.

La voiture démarre, je suis a l'arrière, a mes coté, l'un des deux hommes, il me pointe de son arme, je reconnais un Desert Eagle, je sais que je risque gros a ma moindre action, je stresse, j'ai besoin d'air, mais je ne peut pas en avoir, j'ai peur. Mon dieu, ils vont me tuer, je n'arrive plus a parler, ni a réfléchir, je sens mon corps transir. Soudain, il me demande si je sais pourquoi je suis là. J'hoche la tete pour repondre non. Et je dis "Quoi ?". Il me repose une question, je n'es pas le temps d'en saisir le contenue que déjà je redis "quoi", il s'énerve, me prévient que si je redis "quoi" ne serais ce qu'une fois, je prendrai une balle dans le bras. Malheuresement pour moi, "Quoi" sors de son antre. Une détonation suivie d'un hurlement, mon bras gauche et touché, je vois mon polo se tachait de rouge, et les deux hommes gardes le sang froid le plus total, mon dieu, j'ai peur.... Mal.... Soudain, il m'explique.
Mon ex-femme, veut se debarraser de moi, je... Je l'es battu par le passé, violament, elle est passer a l'hopital, j'ai fait 6 mois de prison. Un divorce, et une injonction m'empechant de retourner dans l'Etat ou elle se trouve.

Soudain, les deux hommes s'arrete, nous sommes en forets, ils me jettent en dehors de la voiture tout en me regardant froidement, ils vont me tuer. Mais, alors que je croyai que tout espoir etait perdu, l'un deux extirpe son téléphone de sa poche, compose un numéro, et dis d'une voix froide, dénué de sentiment. <<Nous l'avons. Que
doit-on faire de lui ,?>>. Suite a ça, il me passe le téléphone. Je dois verser tout les mois 5000 dollars a ma femme, ou elle dira a ses deux hommes de m'abattre, en attendant, si je vais voir la police, ils me tuent, si je ne fais pas ce qu'ils me demandent, ils me tuent, si je ne répond pas au téléphone, ils me tuent, si je fais mal, ou que je les contestent dans leurs decision, ils me tuent.

Ils me ramenent chez eux, si je dois dorenavent dormir sur le canapé, et j'ai le droit de sortir, si je vais au poste, ils le seront, vaut mieux que je ne joue pas les cow-boy, je vais rester la, et je ne vais plus bouger.