Cooper "C-G" Gallini's Story.

- Schizophrénie -

Il y'a un adage qui dit qu'on fait du mal à ce qu'on aiment, mais il oublie de dire qu'on aime ce qui nous font du mal.

Cooper Gallini est né à New York, dans la petite ville d'hamilton. Il vivait avec ses deux parents, dans une maison confortable prouvant la toute bonne situation financière de ces derniers. Il était très bon à l'école, toujours premier, il detestait le sport et était plutôt pris sur ses études que les filles, contrairement à la plupart des jeunes de son âge. Cooper était assez différent et rejeté par ses camarades de classe, ou du collège. Il était vu comme le garçon bizaroïde fan de Bande Déssinée avec qui il valait mieux éviter de traîner, dans son propre intêret. Il se faisait d'ailleurs souvent taquinner par les plus grand que lui, sur son look et sa façon de s'habiller qu'ils qualifiaient de "Not Cool". Mais ça, il aurait pu ne pas y prêter attention, si il n'y avait pas eu la bande de Farid. Farid était un jeune garçon un peu plus âgé que lui, qui avait des allures de délinquant, voir d'ancien détenus. Il était noir et avait l'accent qui va avec, il portait souvent un blouson en cuir noir, ainsi qu'un jean et un tee shirt serré révélant des muscles incroyables. Lorsque lui et sa bande de petit morveux croisaient Cooper, il savait qu'il souffrirait, ou devrait baisser la tête pour passer tranquillement son chemin. Selon l'humeur du noir, la bande allait plus ou moins loin. Ca pouvait passer par des regards amusés, ou des insultes et provocations envers Cooper, jusqu'au rackett, et au tabassement gratuit. Il redoutait ces moments là, tout les vendredis soir en rentrant du collège, il les croisaient. A croire qu'ils connaissaient son emploie du temps par coeur. Mais Cooper était heureux dans sa vie, passionné de BD, il y trouvait un réconfort étonnant.
Ce jour-là, c'était un vendredi et il était 17h03. Casque sur les oreilles, la Dubstep qu'on entendait à l'autre bout de la rue tellement le son était fort donnait une parfaite excuse à la bande pour venir chercher la merde. D'ailleurs, elle était déjà là. A croire qu'il l'attendait. Maudit pensa-t'il, je suis maudit, il ne me lâcheront donc jamais? La bande s'avanca vers lui, en se lancant chacun des petits regards ironiques et en ricannant entre deux mots chuchotés. Farid regarda Cooper en affichant un grand sourrire, et l'aborda d'une voix conciliante:

"- Ey', Coop' ! Comment tu vas vieux?
- Heu-... Bien bien-... Et toi?
- Ta gueule. Je crois que je t'ai rien pris la semaine dernière, t'avais pas d'oseille sur toi hein?
- J'avais plus rien-... Je suis fauché putain-... Laisse-moi mec s'teuplé... "

Farid éclata de rire.

"- AHAHAH, tu me fais délirer mec ! J'vais te montrer moi, c'que j'fais aux petit connards de blanc qui paient pas ! "

Farid pris Cooper par le col de son tee shirt, et approcha sa tête proche de la sienne, il empestait l'alcool. Dans un élan de rage, Cooper essaya de se dégager, il réussi à libérer son col, mais n'alla pas plus loin. Il était seul, perdu, à leurs merci. Le zonnard fouilla ses poches et n'y trouva rien. Haineux de ne pas avoir mis de main sur un butin une fois de plus, il envoya sa victime contre le trottoir en veillant bien à le faire heurter une poubelle. La bande ne tarda pas à se manifester en lui envoyant des coups de pieds dans l'éstomac, et partout où il pouvait le toucher. Quand ils partirent enfin, il était là, gisant sur le sol et inconscient.
Il se reveilla la nuit qui suivit, et il fondit en larme. En réalité, il en avait marre, marre de tout ces connards et de sa vie mérdique, il n'en pouvait plus...

J'orchestrerai une Vendetta violente, brandie telle un ex-Voto, et non en Vain, afin de débarrasser de la Vermine Virulente et Vivace qui Vivotte dans les Veines de nos Villes !

De retour chez lui, Cooper était déprimé, le morale au plus bas. Ses deux parents eux, ne se doutaient de rien. Ils le croyaient fort et intelligent. Mais ils ne savaient pas que leurs fils éprouvait un terrible besoin de vengeance. Il le ressentait au plus profond de lui, comme une flamme qui ne se serait manifesté qu'avec un grand évenement dans sa vie. Il savait qu'il pouvait sortir facilement la nuit, en douce, et savait que le voyou habitait dans son propre appartemment, non loin de chez lui. Mais il ne pouvait pas, non, il était trop gentil, il avait encore une âme d'enfant, il ne pouvait pas prendre de telles déscisions... Lui non, mais peut-être la personne en lui pensait-il. Cette pensée fut la première d'une longue série qualifiée de Schizophrène. Il se disait que lui respectait trop les lois, il ne pouvait pas tuer un homme ni même faire du mal. Mais d'un autre côté, le zonnard ne s'était jamais bien conduit de son côté. Cooper était capable de détruire 14 personne à lui tout seul, et non détruire une personne avec sa bande de 14. Mais la personne en lui était sans scrupules ni pitiés, essayait-il de se convaincre. Au fond de lui, il avait pris sa déscision. Il savait ce qu'il allait faire, il savait tout dans les moindres détails, il ne pensait plus qu'à ça, les cours ne devenaient que futils et pertes de temps. Chaque fois qu'il rentrait, il se plongait dans ses bandes dessinées, essayant de remarquer l'attitude de ses méchants favoris. Il avait enfin un but.
Samedi matin, ou vendredi soir, à 2h du matin, Cooper se reveilla. Il était déjà habillé, portait des vêtements très ombres, et s'était acheté une cagoule noir. Il comptait même la remettre dans les semaines à venir, il l'a trouvé "cool" et lui donnait un air mystérieux. Ce qu'il igniorait, c'est qu'il allait la porter plus longtemps. Il attrapa son sac préparé à l'avance, et sortit en douce par la fenêtre de sa chambre. Il était arrivé devant la maison de Farid. Il avait la haine, il ne se contenait plus, il n'avait qu'une envie: se venger pour toutes ces années passées à supporter toutes ces crasses. Il cassa la vitre de la salle de bain à l'aide d'un démonte-pneu pris dans son sac et pénétra dans la maison. Il avait déjà vidé un bidon d'essence et sortit une boite d'allumette avant que Farid ne rentre dans la salle. Il vit comme une lueure d'inquiétude dans les yeux de ce dernier, qui essayait de négocier. Mais Cooper n'entendais rien, il était tellement heureux de voir son ennemie se plier devant lui comme un enfant devant une sucette. Il le regarda avec un sourire mésquin, et pris un énorme plaisir à allumer une allumette, et à la lâcher sur l'essence. Le feu alla trop vite, il pris dessuite, emportant le voyou, et en prennant Cooper avec. Il n'avait pas prévu cela, et n'eu pas le temps de sortir.

Si nos parents étaient nos images de dieux, et qu'ils nous ont abandonné, que faut-il en déduire de dieux? Il faut admettre la possibilité qu'il ne nous a jamais voulu, et qu'en toute probabilité il nous déteste.

Deux ans s'était écoulés depuis cet incident. Cooper était restait dans le coma environ 9 mois. Il est resté à l'hopital 4 mois ensuite. Au bout de 6 mois de Coma, ses deux parents l'avaient abandonnés pour se consacrer à l'éducation de son jeune frère, qui avait alors 6 ans de moins que lui. Il était plus seul que jamais. A seulement 18 ans, il était lâché dans la rue, livré à lui-même. Lors de son accident, ses mains ainsi que son visage ont étaient brûlés assez gravement. Il dû subir une intervention chirurgical pour son visage, mais les médecins ne purent lui redonner un visage dit "normal". Son visage ainsi que ses mains étaient totalement désensibilisés. Ses mains portaient à présent une couleure blanchâtre, avec quelques tâches rouges. Son visage, quand à lui, gardait une couleure chaire graçe à la chirurgie, mais était totalement défigurée. Deux fentes en guises de narines, ainsi que deux vulgaires trou pour les orbites des yeux. Toute la peau était sèche, remplie de cicatrice et autre marque horrifiante. Seuls ses yeux étaient restés indemnes, on ne voyait qu'eux sous cette couche de marque. Cooper s'identifiait à Double-Face, un méchant qui se serait brûlé la moitié du visage. La peau du jeune homme était exactement pareil que celle de ce vilain de bande déssinnée. Un masque blanc en plastique était devenu son plus précieux bijou. Si il l'enlevait, il dégoûté les gens, il faisait peur aux plus petits. Il avait trouvé un travail malgré tout dans un petit bar minable, vers New York. Là où tout le monde était saoul, personne ne se souciait du masque qu'il portait. Il avait pu malgré tout se payer un appartement mytheu dans la banlieu New Yorkaise. Il y rencontra celui qui deviendra son seul ami. Azariel Mancinell. Un mec moins âgé que lui, sans aucun complexe, un look farfelu, très apprécié dans la ville. Tout le monde le connaissait, il disait bonjour à tout le monde, rigolait sur tout, était sur-éxité. Cooper le voyait comme son héro, son exemple ou encore son mentor. Azariel organisait toujours des courses de drifting illégales dans les banlieux de New York. Il prennait les paris, et Cooper était chargé de garder l'argent. Quelque fois, Azariel courait lui aussi. Cooper admirait ce type, le courage de n'avoir honte de rien, de vivre au jour le jour et avec ses propres moyens. A partir d'un moment, Cooper vint habiter en collocation avec Azariel. Tout deux avaient un travail pourraves, mais arrondissaient leurs fin de mois graçe aux courses, et au business peu légal. Cooper se sentait bien, il aimait cette vie. Mais un jour, comme si il n'y avait pas eu assez d'élément perturbateurs dans la vie du jeune homme, il arriva une chose qui redonna à la vie de Cooper des couleures mornes, et aucune ambiance. Azariel du se rendre à Los Santos. Il ne dit jamais à Cooper la raison de son départ. En réalité, c'était un ancien ami de New York, Adriano Ancelotti, qui proposa du travail plus sérieux à Az', qui ne pu refuser. Pendant plusieurs années, Cooper vivait dans le même appartement pourris, avec le même boulot naze, et avec la même vie idiote et chiante.

Il faut que tu capitules d'abord. Il faut que tu saches au lieu d'en avoir peur, que tu saches que tu mourras un jour.

Cooper n'en pouvait plus, c'était chiant, c'était nul. Il n'allait même plus aux soirées qu'organisait à présent le champion de drifting à l'époque d'Azariel. Il se levait à 5h, partait à pied pour son boulot de barman, avait une pause de deux heure, et rentrait chez lui à 23h, explosé.
Mais un jour, un coup de fil lui fit redonner éspoir et goût à la vie. Un appel.. de Azariel. Azariel était content, il aimait sa vie à Los Santos, il lui racontait plein d'anécdotes, et répété qu'il voulait avoir Cooper comme associé. Néanmmoins, il devrait prouver sa motivation...
Un dimanche soir, il sortit non cagoulé -il n'en avait pas tellement besoin- vers le quartier à côté du sien. Il marchait d'un pas déterminé, tenait dans sa main sans prendre la peine de le cacher, une arme donnée par Azariel avant son départ. Il arriva devant un bâtiment et s'y arrêta. Il envoya un caillou sur une fenêtre, et attendit. Un noir sortit, en caleçon, en marmonnant des choses incompréhensibles. Et là, Cooper eu une pensée pour Farid. Une haine immense monta en lui. Il brandit son arme et tira une balle dans la jambe du négro. Il le tira par l'arrière du col et l'envoya dans les escaliers d'un parking, jusqu'à le faire déscendre en bas. Là, il lui ligotta les mains avec des menottes à fourrures qu'il avait gagné à la fête foraine, en prennant bien soin de les serrer au maximum. Il envoya plusieurs droites au black, nommé Lou.

"- T'as des problèmes avec mes potes /CONNARD/ ?
- Laisse moi-... je t'en supplies-..."

La victime pleurait à chaude larme, suppliant de tout son corp de le laisser partir. Cooper n'écoutait plus rien, il était censé le déscendre rapidement sans laisser de trace, mais il pris un malin plaisir à torturer celui qui était à ses pieds. Il prennait beaucoup de plaisir à le tabaissait, à appuyer sur sa blessure par-balle sur sa jambe droite, voir à lui brûler le visage avec un briquet. /BOUM/ Un coup de feu, une balle tirée sur la deuxième jambe. /AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH/ on entendit un hurlement à la mort, mais personne pour lui venir en aide. Il commença alors à tourner autour de sa victime effondrée sur le sol, il rigolait comme un malade, comme si lui seul pouvait comprendre l'ironie de la situation. Il essayait d'articuler quelques phrases, mais elles étaient dénuées de sens, et il ne les comprenait que lui-même. "AHAHAHAHAHA, AAAAAH Lou. Sois sympa Mec." Cooper le frappa au visage, et retentit un crie venant de lui "Ho ouéééé !", il continuat, et à chaque coup donné il éclatait de rire. Il sourit, un sourire de malade mentale, de schizophrène. Mais il pensa après que ce sourrire, il ne pouvait pas le voir à cause de cet enculé de Farid. La haine monta encore plus en lui, et il retira son masque, révélant un visage horrifiant, qui pouvait faire vomir n'importe lequel de tout les hommes. Il approcha son visage très proche du négro, jusqu'à lui toucher le nez. Il l'attrapa par le col avec ses deux main, et refit son sourrire de malade mentale, un sourrire allant parfaitement avec son visage horrifiant, et lui cria : Tu sais pas qui j'suis moi !! Tu sais pas d'où j'viens!!!
/HIAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA/. Il rit, d'un rire non-forcé, mais glaciale, un rire très aigu de fou, à faire froid dans le dos, à faire dresser les cheveux sur la nuque à n'importe qui. Il lâcha enfin le négro, lui délia les mains et lui dit:

"- Ahlala.. qu'est-ce qu'on se marre ! Bon, on fait un pierre feuille ciseau.
-Hein?..
- Pierre-...Feuille-...Ciseau !"

Cooper sortit sa main en forme de feuille, voyant que sa victime ne s'était pas prêté à son jeu, il lui souria et lui rétorqua:

"-Allez, joue ! On joue ta vie de toute façon, donc t'as pas le choix-.../HIHIHIHI/
- Mais..
- Pierre..Feuille..Ciseau !"

Cooper sortit sa main en forme de ciseau, et par réflèxe, le noir avait sortit la sienne en forme de pierre, il souria de tout son long, voyant qu'il avait gagné. Le sourrire de cooper s'effaca, et il regarda sa victime.

"-Ah.. /HIHI/ Ma foi.. bien.. /JOUE/"

Il pointa son arme vers le noir, et tira à plusieurs reprises sur son torraxe. Il passa devant le cadavre et lui cracha dessus, puis tira une balle sur sa main droite.

"/HIHIHIHIHI/ tu me battras plus maintenant !"

Il détalla, et envoya un sms à Azariel "Fait. What else?". Comme si il s'agissait d'un jeu..

Azariel repris contact avec lui très vite, en lui expliquant où venir, quand et comment, et en lui apprennant qu'il lui avait trouvé un boulot comme animateur en chef d'une grande radio de Los Santos. Cooper était heureux, à présent, il se ventait, et son comportement se mélangait entre fou et mec de 39 ans peu mature.

Le 11 septembre, il arriva à Los Santos...