Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
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Forum CeMondeLeVotre Rôleplay — GTA:SAMP :: COMMUNAUTE: DISCUSSIONS DIVERSES :: Background de votre personnage
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Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Attention ! Ce background n'est créé que par et pour mon pur plaisir à moi-même ! Il est encore en phase de création, et franchement loin d'être terminé, ne vous inquiétez-pas (on s'en fout) si certaines parties du background sont énormément modifiées, d'autres étapes et des chapitres, expliquant ma vie à Los Santos vont arriver. Merci de ne pas me kalash-niquer dans vos commentaires si ce background est trop beau pour vous, merci.
Merci aussi de poster des critiques constructives, pas des trucs à la wesh genre "j'ai pas lu ton background mais j'ai aimé"
Non, ceci n'est pas un testament offert par Al Caponi.
Non ceci n'est pas une invitation aux 89 ans de mariages d'Oncle Sam.
Non ceci n'est pas un emballage cadeau de chez Cluckin'Bell.
Ceci est tout simplement, le background de l'iMMMMMMMense...
DANIEL DACCACIA !
Son nom est connu partout, QUI n'a jamais parlé des célèbres émissions-chiantes-et-longues-de-Daccacia ? Hm ?
Bon, avant que mon égo surdimensionné n'explose et que mes chevilles gonflent (CA c'est de l'expression, mhahah !) passons au truc PRINCIPAL de ce sujet.
DANIEL DACCACIA (bis)
Sâche que JE (pour les incultes et illétrés, tout le background se fera à la première personne du singulier) ne suis pas un mafieux qui a perdu ses parents en bouffant des spaghettis dans le mauvais restaurant.
Ni un gangster noir qui a tué 589520 personnes à 12 ans avec ses deux doigts.
Non, pour la première fois en 59 ans, JE suis un type normal.
Chiant certes, bavard certes, pratiquant un humour noir fort peu agréable certes, mais, on ne refait pas un homme, hm ? J'ai 33 ans maintenant, je suis né en... faites le calcul, à Dukes, dans la belle, grande ville appelée Liberty City, en toute sa splendeur.
Ayant été un élève des plus studieux au "Dukes, Silicon St. Private High School", je pus aller dans le plus droit des chemins, vers des études de droit, à la Liberty City, Dukes Law School, des études qui ne servirent à rien, non mais sans blague.
Non, la suite n'est pas mauvaise, et mes parents, mon frère (Mike Daccacia) et ma soeur (Lydia Daccacia) sont encore vivants, et pas frappés d'un traumatisme crânien digne des pire films Vinewoodiens.
Non, mûrissant et gagnant de l'éxperience en entrant dans la vraie vie d'adulte, j'obtint un diplôme de la Dukes Law School.
Etape 1 : Daccacia ça rime avec "un travail t'auras pas"
Floc, floc, floc.
C'était un beau, que dis-je, un nul jour de pluie à Liberty City. C'est en marchant dans les grandes allées du Middle Park, au milieu des touristes chinois (qui étaient décidément partout, ces bougres), au milieu des clochards tentant de soutirer gracieusement un billet aux grand-mères croutônneuses et aux sacs en peau d'animal (sûrement un bison, c'est très laid), que je fis un point sur mon avenir, qui décidément, ne semblait vraiment pas radieux, ce foutu diplôme ne me servait à rien, c'est dingue comme de vieux gangsters de Vice-City peuvent habiter dans les résidences d'Alderney, quand des diplômés studieux et super-buildés-pour-le-travail peuvent se retrouver à dormir dans le métro.
"Oui, oui, Monsieur Daccacia, nous allons vous recontacter très rapidement, ne vous inquiétez pas".
La réponse typique des différentes entreprises m'ayant refusées.
C'est dire, j'étais obligé de faire des petits boulots par-ci par-là pour payer mon foutu loyer...
Le dernier boulot récent que j'avais eu était, pas l'un des plus studieux, je vous l'accorde : cuisinier à burgershot.
Oui, "était" car, évidémment, la seule personne qui puisse mettre le feu à la cuisine d'un Burgershot moisi dans ce foutu monde, c'était bien moi.
Floc, floc, floc...
Les chauffeurs de taxis au loin, s'insultent en Russe... Un bus percute une Comet...
Liberty-City est un vrai melting-pot...
Il était vraiment temps de se mettre dans le droit chemin et de trouver de quoi gagner sa croûte, la crise économique ayant frappé de pleint fouet Liberty-City...
"Non monsieur, SPRUNK est en pleine expansion économique, nous recrutons activement de nouveaux employés, mais voyez-vous, vous n'avez pas le profil !"
Je t'en foutrais des profils moi...
Qu'avais-je fait pour m'enfoncer dans un merdier pareil ?
C'est alors que dans un élan de tristesse et de mélancolie (être chomeur peut-être réellement chiant) que je me levai du banc cassé, et que je partis vers l'immense et colorée Star Junction, symbole même du capitalisme... pour me fondre dans la foule, et retourner dans mon studio moisi.
Etape 2 : Vers Los Santos tu t'envoleras, jeune jedi.
C'est alors que j'étais dans un taxi moche, jaune (sans blague ?), et surtout puant le parfum "Welcome to Bagdad".
Mon chauffeur, barbe mal rasée, cheveux très... hm, inexistants, chauve quoi, gueule d'ahuri, bouffi, 187 tonnes sur deux pieds, que dire de plus ? m'amenait chez le Pay and Spray de chez Dukes, ma SEULE et UNIQUE chance de trouver un travail. Il est vrai que moi et les voitures, ça faisait deux, je ne m'y connaissais en rien, c'est dire si je distinguais une SuperGT d'une Tampa...
Iîîîîk...
Le taxi freine, je donne dix dollars au chauffeur, qui visiblement, ne connaissait pas qu'un mot appelé "merci" existait dans notre langage, démarre au quart de tour, arrosant à moitié mon jean troué, par un jour de pluie.
TaKamTaKamTaKam
Le métro passe, lent, moche, et surtout très gris.
Je m'approche du Pay and Spray, garage carré, en briques, petit parking... Un Pay and Spray quoi.
C'est alors là, que je vois LE mécanicien typique de chez Liberty City.
Petit, blond, habillé en bleu pour faire style "je suis la police des réparations, haha !", moustachu style "super mario", en train de réparer une vieille Tampa.
"Ouaip' j'peux v's'aider ?
- Euh, bonjour, je viens car il paraît que vous recrutez de jeun...
- Aaaoh, ouaip, j'vois c'qu't'veux dire mec, mais t'vois, j'suis pas l'patron d'ici alors bon, c'pas qu'j'm'en fous d'ton histoire mais t'vois j'ai d'aut' choses à faire
- Ah, urm, bien, euh, et ou puis-je trouver le pat...
- Ben c'est qu'tu vois, on a des embrouilles avec la...t'sais les mecs en flingue là, ils ont braqué le dirlo', alors v'là't'y'pas qu'celui-là rentre en crise de nerfs, c'chiant, du coup, pour travailler ici va f'lloir attendre, hein p'tit ?
- Ah euhm, bien, merci mon bon mons..
- Y'a pa'd'quoi, la bleusaille !"
C'est fou ce que les gens pouvaient ressembler à des néanderthals dès fois...
C'est alors que dans le chemin du retour, dans un trottoir plus gris qu'il n'en n'avait l'air, dans un ciel plus noir qu'il n'en n'avait l'air,que je tirais une croix sur ma dernière chance d'avoir un emploi ici...
Qu'allais-je faire ? La vie était-elle si dure que celà ? Je pouvais peut-être m'engager dans l'armée... Ah, mais je n'aurais sans doute pas eu "le profil requis", c'est alors là, que je réalisais la gravité de la situation, et que le propriétaire du studio que je louais allais sans doute me botter les fesses, réalisant que celà faisait six mois maintenant que je réussissais à le manipuler en lui promettant de rembourser la totalité de mon loyer non-payé le mois qui suivait...
J'aurais pû m'engager chez Liberty City Public Transportation, chez les bus, et m'amuser à percuter un ou deux Comet chaque jour pour gagner du fric, mais voyez-vous, avec ma malchance, j'aurais sûrement déjà croupi dans un vieux commissariat de la Liberty City Police Department...
Devant moi, à la station de métro, se dressait un panneau bleu ciel... un panneau miracle, somme toute, qui m'inspira fortement et me donna de nombreuses idées... Si Liberty City ne pouvait plus rien pour moi, pourquoi pas une autre ville ?
"Travel to Los Santos ! Only 299$ ! FLY US !" qu'il disait.
Los Santos... j'avais entendu parler de cette ville, une ville active, apparamment, mais rongée par la violence et les gangs, Los Santos n'était actuellement pas du tout touchée par la crise économique... celà pouvait me laisser une longueur d'avance et PEUT-ÊTRE avoir un emploi ?
Magnifico !
Etape 3 : Tes adieux à Liberty City tu feras.
"Mesdames et messieurs, ici votre commandant de bord Jeff Clinton, merci d'être à bord de notre vol A8975 de FLYUS, nous partons en direction de Los Santos."
Ouf ! Il était temps ! Un jour m'avait suffi pour boucler mes baggages (qui n'étaient pas nombreux), ranger mes vêtements dans ma grosse valise orange, réserver un billet en direction de Los Santos en réunissant mes dernières économies et ainsi arriver au Francis International Airport.
L'embarquement s'était fait sans problème, après quelques adieux déchirants (pour ma mère, la pauvre femme, comme si moi je l'aimais celle-là)
Que je me retrouvai là... dans cet avion.
Tiens voilà que les moteurs géants des réacteurs s'enclenchaient, provoquant un bruit affreux de mitrailleuse, l'avion gagnait de la vitesse, et les pistes censées être droites du Francis Intl. Airport ressemblaient plutôt à une chaîne de montagne tellement l'avion tremblait.
VvvvvBRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR...
Le tremblement s'éstompait, laissant place à une sensation d'écrasage massif : Liberty City n'était plus qu'un petit point au loin à présent...
Maintenant que nous ne pouvions aperçevoir quelque-chose à part un immense ciel bleu au dessus d'une mer de nuages, il était temps de se détendre !
Je pris mon journal quotidien : The Liberty Tree, le dernier que je lirai sans doute, tiens... comment devaient être les journeaux là-bas ? The Los Santos Tree ? (Ouah le nom à chier)
C'est alors que je dépliais les pages du journal que le doute s'installait dans mon crâne :
"Et si je ne trouvais pas de travail ? Et si les gangsters de Los Santos me violaient puis me forceraient à bouffer des choux-de-bruxelles ?" Comment allai-je faire ? Je n'avais pas de téléphone, à peine de quoi subvenir à mes besoins : 500dollars sur mon compte, ainsi que 2000$ sur mon compte banquaire.
"Baaah" me dis-je "j'aurais bien le temps de me préoccuper de ça, pour une fois que je suis tranquille et au chaud... et bien nourri dans un avion en plus".
Bien nourri ?
J'aurais dû me taire : voici ce que FLYUS appelle "une nourriture de qualité" :
Plat principal : choux-de-bruxelles à la crème avec purée de patates chimiques sorties de Tchernobyl avec supplément de sauce-tomate à la "je pète, donc je suis".
Dessert : Donuts décongelés à la confiture de bananes moisies de chez Well Stacked Pizza.
De quoi régaler un clochard en manque de vitamines C ! Vive l'amérique.
Le trajet fut long, mais : non, pas ennuyeux, j'ai pû profiter de ce moment comme je l'ai pû, ou le moment mythique de l'atterrissage arriva, l'avion perdait de l'altitude, le sentiment d'écrasage massif s'accentuait à nouveau, par le hublot : on pouvait distinguer un magnifique pont rouge, surplombant une ville bâtie sur une colline principalement.
Eh oui, s'il y avait eu de vols directs vers Los Santos ce jour-là, ce serait pas drôle hein ? J'atterrissais non pas au Los Santos International Airport, mais au San Fierro Easter Bay Airport... Il fallait croire que les mecs qui organisaient les programmes des vols et tout devaient se dire "Ah tiens, si on faisait chier à Daccacia ?"
Ben, rassurez-vous monsieur : c'est bien réussi.
Etape 4 : Le billet de l'enfer tu prendras.
C'est après de nombreuses chiantises dignes de l'Aéroport de San Fierro, que j'arrivai enfin au Los Santos International. A première vue, par le hublot, on ne voyait que des bâtiments, des maisons, des jardins, des tours immenses, Los Santos quoi.
Après cinq minutes d'extase complète devant cette magnifique ville illuminée (pas que par les lampadaires, mais par les flingues qui faisaient boom-boom) et que l'on perdait de l'attitude, je vis... ce que je redoutais le plus.
On devait être en train de survoler une gare jaune avec plein de trucs jaunes et noirs qui devaient ressembler à des taxis. Puis deux, que dis-je... trois, quatre, point jaunes et rouges se rentrer dedans constamment, je ne compris que plus-tard qu'il s'agissait de pizzamans de chez Well Stacked Pizza, fous, ivres, alcoolisés au maximum, paysans, communistes, écervelés, barbus, poilus, unijambistes, illétrés analphabètes qui s'entretuaient entourés de personnes du même style (qui se battaient aussi).
Vvvvvvvvvvvvvvvvv
"Mesdames et messieurs, ici votre commandant de bord qui vous parle, nous venons d'atterir au Los Santos International Airport, il est actuellement 20heures 35minutes, et il fait une température ambiante de 24 degrès celsius. Toute l'équipe FLY-US vous remercie et vous souhaite ainsi une bonne continuation à Los Santos". ( <<== cette phrase est modifiée, oui, j'ai enlevé les conneries habituelles que PERSONNE je dis bien PERSONNE n'écoute, les conneries genre "n'enlevez pas vos ceintures avant que nous nous soyons garés", vous avez déjà écouté cet ordre ?)
Les gens sortaient en trombe, tel un troupeau de vaches folles albinos, nous entrions dans le hall principal, rempli de magasins inutiles colorés, remplis de magazines tout aussi inutiles et colorés genre "Quinze méthodes pour noyer un poulet" ou encore "Comment enfoncer une porte métallique avec du papier toilette".
Enfin, nous arrivions devant les impérials tapis-qui-donnent-les-valises-après-vingt-minutes-d'attente.
C'est là que leur nom se justifiait bien, même que dis-je, encore mieux, puisque je ne reçus jamais ma valise.
C'est alors là, que je me retrouvais avec un porte-feuille pas très chargé, un sac-à-dos bleu à la con, un tee-shirt brun, enfin, le style unique du touriste stupide de Los Santos quoi.
"Bien monsieur Daccatchia je vais...
- DaccaCIA
- Ah, d'accord monsieur Daccaxsia je...
- DaccaCIA
- Bien, whatever (trouvez la traduction de cette expression en français et je vous nomme poulpe de l'année), nous sommes vraiment désolés Monsieur Dac... Monsieur, mais notre basé de données nous informe que votre valise est actuellement à San Fierro, tenez, voici un ticket, vous devrez revenir avec lui pour prendre votre valise dès-demain à 13:45, nous vous contacterons par e-mail."
Le billet de l'enfer, oui, puisque tel le dit un philosophe à la con : c'est toujours on l'on veut quelque-chose le plus, que ce quelque-chose n'arrive jamais. Et je n'ai jamais pû récupèrer ma valise.
Etape 5 : Dans une cellule ta première nuit tu passeras
C'est alors que je mettais mes pieds foutrement enflés de fatigue, pleins de puanteurs digne des meilleurs aéroports internationaux du monde, à l'éxterieur de l'aéroport, que je vis à quel point Los Santos n'était pas une ville, mais un foutoir.
En effet, à peine je mis les pieds dehors que je vis... une scène digne de ce fameux film impérialement moisi appelé 2012 : vous avez déjà vu, 4 touristes blonds, habillés de la même façon, avec des sac à dos bleus attaquer un pauvre chauffeur de taxi (qui devait vachement souffrir parce-qu'il était habillé comme un chauffeur de limousine avec 30 degrés dehors) ? Eh bien rassurez-vous, à Los Santos, vous en verrez.
Si seulement il ne s'agissait que de ceci... un spectacle désolant était en face de moi :
des MILLIARDS, DES TRILLIARDS de TAXIS, des TAXIS PARTOUT, qui KLAXONNAIENT, des TAXIS à moitié détruits, avec des portes manquantes, des pneus crevés (imaginez un taxi sur une patinoire et ça donne le même truc grossomodo) qui roulaient n'importe comment et qui se PERCUTAIENT dans tous les coins.
Et ça criait, ça gueulait, ça s'écrasait (une pensée à ce pauvre policier qui a tenté de régler ce chaos devant l'aéroport et qui a fini sous un pneu de la marque ... euh, sans marque).
C'est alors que je décidais, moi, ridicule petit touriste que j'étais, de prendre mon courage à deux mains et de monter dans un taxi à moitié désintégré, bien-sûr, je n'eus même pas à ouvrir la porte pour entrer dedans : il n'y en avait pas.
Bien-sûr, il manquait aussi quelque-chose au chauffeur de taxi qui se croyait classe en mettant un gros costume de chauffeur de limousine (avec le petit chapeau gris aussi là), il ne lui manquait pas une porte, mais des neurones, en effet si le corps de celui-ci ressemblait à une personne "assez normale", sa tête, elle, ressemblait à celle... d'un troll.
- Beujeure meusieur ! Ou puijeu vous emmeuneu ?
- B-bonjour, euh, au magasin de vêtements le plus proche s'il vous pl-
** CRASH CONTRE UN TAXI (aussi moche que celui ou j'étais**
- ENCULEU DEU TA MEURE !!! T'AS CASSEU LA SEULE PORTEU QUI RESTAIT A MON TAXEU !!!
- Eu-euh... je ne crois pas que céder à la violence soit une bonne id-...
C'est alors que mon chauffeur de taxi sortit une batte de baseball du dessous de son siège et tenta dans un geste rageux et ridiculeusement stupide et débile d'atteindre la tête de l'autre chauffeur de taxi.
L'autre chauffeur de taxi n'eut aucune blessure, en revanche, la batte, elle, percuta bien quelque-chose : derrière le taxi se trouvait une voiture de police : le gyrophare d'une voiture aussi carrée que moche (quoique moins carré à cause des accidents qu'elle devait avoir) explosa sous le coup.
Le policier sortit de sa voiture, aussi rouge qu'un méxicain ensanglanté saupoudré de tacos et s'adressa au chauffeur de taxi. Après quelques insultes sorties de la gueule de mon chauffeur de taxi (qui était déséspérément aussi con que ses pieds... voire encore plus con), le policier nous mit dans sa voiture, et se dirigea vers le commissariat le plus proche.
Et devinez quoi, j'ai été mis en garde à vue pour une nuit pour "complicité" à mon chauffeur de taxi.
Et je n'avais pas fini d'en baver !...
A suivre nom d'une pipe !
Merci aussi de poster des critiques constructives, pas des trucs à la wesh genre "j'ai pas lu ton background mais j'ai aimé"
Non, ceci n'est pas un testament offert par Al Caponi.
Non ceci n'est pas une invitation aux 89 ans de mariages d'Oncle Sam.
Non ceci n'est pas un emballage cadeau de chez Cluckin'Bell.
Ceci est tout simplement, le background de l'iMMMMMMMense...
DANIEL DACCACIA !
Son nom est connu partout, QUI n'a jamais parlé des célèbres émissions-chiantes-et-longues-de-Daccacia ? Hm ?
Bon, avant que mon égo surdimensionné n'explose et que mes chevilles gonflent (CA c'est de l'expression, mhahah !) passons au truc PRINCIPAL de ce sujet.
DANIEL DACCACIA (bis)
Sâche que JE (pour les incultes et illétrés, tout le background se fera à la première personne du singulier) ne suis pas un mafieux qui a perdu ses parents en bouffant des spaghettis dans le mauvais restaurant.
Ni un gangster noir qui a tué 589520 personnes à 12 ans avec ses deux doigts.
Non, pour la première fois en 59 ans, JE suis un type normal.
Chiant certes, bavard certes, pratiquant un humour noir fort peu agréable certes, mais, on ne refait pas un homme, hm ? J'ai 33 ans maintenant, je suis né en... faites le calcul, à Dukes, dans la belle, grande ville appelée Liberty City, en toute sa splendeur.
Ayant été un élève des plus studieux au "Dukes, Silicon St. Private High School", je pus aller dans le plus droit des chemins, vers des études de droit, à la Liberty City, Dukes Law School, des études qui ne servirent à rien, non mais sans blague.
Non, la suite n'est pas mauvaise, et mes parents, mon frère (Mike Daccacia) et ma soeur (Lydia Daccacia) sont encore vivants, et pas frappés d'un traumatisme crânien digne des pire films Vinewoodiens.
Non, mûrissant et gagnant de l'éxperience en entrant dans la vraie vie d'adulte, j'obtint un diplôme de la Dukes Law School.
Etape 1 : Daccacia ça rime avec "un travail t'auras pas"
Floc, floc, floc.
C'était un beau, que dis-je, un nul jour de pluie à Liberty City. C'est en marchant dans les grandes allées du Middle Park, au milieu des touristes chinois (qui étaient décidément partout, ces bougres), au milieu des clochards tentant de soutirer gracieusement un billet aux grand-mères croutônneuses et aux sacs en peau d'animal (sûrement un bison, c'est très laid), que je fis un point sur mon avenir, qui décidément, ne semblait vraiment pas radieux, ce foutu diplôme ne me servait à rien, c'est dingue comme de vieux gangsters de Vice-City peuvent habiter dans les résidences d'Alderney, quand des diplômés studieux et super-buildés-pour-le-travail peuvent se retrouver à dormir dans le métro.
"Oui, oui, Monsieur Daccacia, nous allons vous recontacter très rapidement, ne vous inquiétez pas".
La réponse typique des différentes entreprises m'ayant refusées.
C'est dire, j'étais obligé de faire des petits boulots par-ci par-là pour payer mon foutu loyer...
Le dernier boulot récent que j'avais eu était, pas l'un des plus studieux, je vous l'accorde : cuisinier à burgershot.
Oui, "était" car, évidémment, la seule personne qui puisse mettre le feu à la cuisine d'un Burgershot moisi dans ce foutu monde, c'était bien moi.
Floc, floc, floc...
Les chauffeurs de taxis au loin, s'insultent en Russe... Un bus percute une Comet...
Liberty-City est un vrai melting-pot...
Il était vraiment temps de se mettre dans le droit chemin et de trouver de quoi gagner sa croûte, la crise économique ayant frappé de pleint fouet Liberty-City...
"Non monsieur, SPRUNK est en pleine expansion économique, nous recrutons activement de nouveaux employés, mais voyez-vous, vous n'avez pas le profil !"
Je t'en foutrais des profils moi...
Qu'avais-je fait pour m'enfoncer dans un merdier pareil ?
C'est alors que dans un élan de tristesse et de mélancolie (être chomeur peut-être réellement chiant) que je me levai du banc cassé, et que je partis vers l'immense et colorée Star Junction, symbole même du capitalisme... pour me fondre dans la foule, et retourner dans mon studio moisi.
Etape 2 : Vers Los Santos tu t'envoleras, jeune jedi.
C'est alors que j'étais dans un taxi moche, jaune (sans blague ?), et surtout puant le parfum "Welcome to Bagdad".
Mon chauffeur, barbe mal rasée, cheveux très... hm, inexistants, chauve quoi, gueule d'ahuri, bouffi, 187 tonnes sur deux pieds, que dire de plus ? m'amenait chez le Pay and Spray de chez Dukes, ma SEULE et UNIQUE chance de trouver un travail. Il est vrai que moi et les voitures, ça faisait deux, je ne m'y connaissais en rien, c'est dire si je distinguais une SuperGT d'une Tampa...
Iîîîîk...
Le taxi freine, je donne dix dollars au chauffeur, qui visiblement, ne connaissait pas qu'un mot appelé "merci" existait dans notre langage, démarre au quart de tour, arrosant à moitié mon jean troué, par un jour de pluie.
TaKamTaKamTaKam
Le métro passe, lent, moche, et surtout très gris.
Je m'approche du Pay and Spray, garage carré, en briques, petit parking... Un Pay and Spray quoi.
C'est alors là, que je vois LE mécanicien typique de chez Liberty City.
Petit, blond, habillé en bleu pour faire style "je suis la police des réparations, haha !", moustachu style "super mario", en train de réparer une vieille Tampa.
"Ouaip' j'peux v's'aider ?
- Euh, bonjour, je viens car il paraît que vous recrutez de jeun...
- Aaaoh, ouaip, j'vois c'qu't'veux dire mec, mais t'vois, j'suis pas l'patron d'ici alors bon, c'pas qu'j'm'en fous d'ton histoire mais t'vois j'ai d'aut' choses à faire
- Ah, urm, bien, euh, et ou puis-je trouver le pat...
- Ben c'est qu'tu vois, on a des embrouilles avec la...t'sais les mecs en flingue là, ils ont braqué le dirlo', alors v'là't'y'pas qu'celui-là rentre en crise de nerfs, c'chiant, du coup, pour travailler ici va f'lloir attendre, hein p'tit ?
- Ah euhm, bien, merci mon bon mons..
- Y'a pa'd'quoi, la bleusaille !"
C'est fou ce que les gens pouvaient ressembler à des néanderthals dès fois...
C'est alors que dans le chemin du retour, dans un trottoir plus gris qu'il n'en n'avait l'air, dans un ciel plus noir qu'il n'en n'avait l'air,que je tirais une croix sur ma dernière chance d'avoir un emploi ici...
Qu'allais-je faire ? La vie était-elle si dure que celà ? Je pouvais peut-être m'engager dans l'armée... Ah, mais je n'aurais sans doute pas eu "le profil requis", c'est alors là, que je réalisais la gravité de la situation, et que le propriétaire du studio que je louais allais sans doute me botter les fesses, réalisant que celà faisait six mois maintenant que je réussissais à le manipuler en lui promettant de rembourser la totalité de mon loyer non-payé le mois qui suivait...
J'aurais pû m'engager chez Liberty City Public Transportation, chez les bus, et m'amuser à percuter un ou deux Comet chaque jour pour gagner du fric, mais voyez-vous, avec ma malchance, j'aurais sûrement déjà croupi dans un vieux commissariat de la Liberty City Police Department...
Devant moi, à la station de métro, se dressait un panneau bleu ciel... un panneau miracle, somme toute, qui m'inspira fortement et me donna de nombreuses idées... Si Liberty City ne pouvait plus rien pour moi, pourquoi pas une autre ville ?
"Travel to Los Santos ! Only 299$ ! FLY US !" qu'il disait.
Los Santos... j'avais entendu parler de cette ville, une ville active, apparamment, mais rongée par la violence et les gangs, Los Santos n'était actuellement pas du tout touchée par la crise économique... celà pouvait me laisser une longueur d'avance et PEUT-ÊTRE avoir un emploi ?
Magnifico !
Etape 3 : Tes adieux à Liberty City tu feras.
"Mesdames et messieurs, ici votre commandant de bord Jeff Clinton, merci d'être à bord de notre vol A8975 de FLYUS, nous partons en direction de Los Santos."
Ouf ! Il était temps ! Un jour m'avait suffi pour boucler mes baggages (qui n'étaient pas nombreux), ranger mes vêtements dans ma grosse valise orange, réserver un billet en direction de Los Santos en réunissant mes dernières économies et ainsi arriver au Francis International Airport.
L'embarquement s'était fait sans problème, après quelques adieux déchirants (pour ma mère, la pauvre femme, comme si moi je l'aimais celle-là)
Que je me retrouvai là... dans cet avion.
Tiens voilà que les moteurs géants des réacteurs s'enclenchaient, provoquant un bruit affreux de mitrailleuse, l'avion gagnait de la vitesse, et les pistes censées être droites du Francis Intl. Airport ressemblaient plutôt à une chaîne de montagne tellement l'avion tremblait.
VvvvvBRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR...
Le tremblement s'éstompait, laissant place à une sensation d'écrasage massif : Liberty City n'était plus qu'un petit point au loin à présent...
Maintenant que nous ne pouvions aperçevoir quelque-chose à part un immense ciel bleu au dessus d'une mer de nuages, il était temps de se détendre !
Je pris mon journal quotidien : The Liberty Tree, le dernier que je lirai sans doute, tiens... comment devaient être les journeaux là-bas ? The Los Santos Tree ? (Ouah le nom à chier)
C'est alors que je dépliais les pages du journal que le doute s'installait dans mon crâne :
"Et si je ne trouvais pas de travail ? Et si les gangsters de Los Santos me violaient puis me forceraient à bouffer des choux-de-bruxelles ?" Comment allai-je faire ? Je n'avais pas de téléphone, à peine de quoi subvenir à mes besoins : 500dollars sur mon compte, ainsi que 2000$ sur mon compte banquaire.
"Baaah" me dis-je "j'aurais bien le temps de me préoccuper de ça, pour une fois que je suis tranquille et au chaud... et bien nourri dans un avion en plus".
Bien nourri ?
J'aurais dû me taire : voici ce que FLYUS appelle "une nourriture de qualité" :
Plat principal : choux-de-bruxelles à la crème avec purée de patates chimiques sorties de Tchernobyl avec supplément de sauce-tomate à la "je pète, donc je suis".
Dessert : Donuts décongelés à la confiture de bananes moisies de chez Well Stacked Pizza.
De quoi régaler un clochard en manque de vitamines C ! Vive l'amérique.
Le trajet fut long, mais : non, pas ennuyeux, j'ai pû profiter de ce moment comme je l'ai pû, ou le moment mythique de l'atterrissage arriva, l'avion perdait de l'altitude, le sentiment d'écrasage massif s'accentuait à nouveau, par le hublot : on pouvait distinguer un magnifique pont rouge, surplombant une ville bâtie sur une colline principalement.
Eh oui, s'il y avait eu de vols directs vers Los Santos ce jour-là, ce serait pas drôle hein ? J'atterrissais non pas au Los Santos International Airport, mais au San Fierro Easter Bay Airport... Il fallait croire que les mecs qui organisaient les programmes des vols et tout devaient se dire "Ah tiens, si on faisait chier à Daccacia ?"
Ben, rassurez-vous monsieur : c'est bien réussi.
Etape 4 : Le billet de l'enfer tu prendras.
C'est après de nombreuses chiantises dignes de l'Aéroport de San Fierro, que j'arrivai enfin au Los Santos International. A première vue, par le hublot, on ne voyait que des bâtiments, des maisons, des jardins, des tours immenses, Los Santos quoi.
Après cinq minutes d'extase complète devant cette magnifique ville illuminée (pas que par les lampadaires, mais par les flingues qui faisaient boom-boom) et que l'on perdait de l'attitude, je vis... ce que je redoutais le plus.
On devait être en train de survoler une gare jaune avec plein de trucs jaunes et noirs qui devaient ressembler à des taxis. Puis deux, que dis-je... trois, quatre, point jaunes et rouges se rentrer dedans constamment, je ne compris que plus-tard qu'il s'agissait de pizzamans de chez Well Stacked Pizza, fous, ivres, alcoolisés au maximum, paysans, communistes, écervelés, barbus, poilus, unijambistes, illétrés analphabètes qui s'entretuaient entourés de personnes du même style (qui se battaient aussi).
Vvvvvvvvvvvvvvvvv
"Mesdames et messieurs, ici votre commandant de bord qui vous parle, nous venons d'atterir au Los Santos International Airport, il est actuellement 20heures 35minutes, et il fait une température ambiante de 24 degrès celsius. Toute l'équipe FLY-US vous remercie et vous souhaite ainsi une bonne continuation à Los Santos". ( <<== cette phrase est modifiée, oui, j'ai enlevé les conneries habituelles que PERSONNE je dis bien PERSONNE n'écoute, les conneries genre "n'enlevez pas vos ceintures avant que nous nous soyons garés", vous avez déjà écouté cet ordre ?)
Les gens sortaient en trombe, tel un troupeau de vaches folles albinos, nous entrions dans le hall principal, rempli de magasins inutiles colorés, remplis de magazines tout aussi inutiles et colorés genre "Quinze méthodes pour noyer un poulet" ou encore "Comment enfoncer une porte métallique avec du papier toilette".
Enfin, nous arrivions devant les impérials tapis-qui-donnent-les-valises-après-vingt-minutes-d'attente.
C'est là que leur nom se justifiait bien, même que dis-je, encore mieux, puisque je ne reçus jamais ma valise.
C'est alors là, que je me retrouvais avec un porte-feuille pas très chargé, un sac-à-dos bleu à la con, un tee-shirt brun, enfin, le style unique du touriste stupide de Los Santos quoi.
"Bien monsieur Daccatchia je vais...
- DaccaCIA
- Ah, d'accord monsieur Daccaxsia je...
- DaccaCIA
- Bien, whatever (trouvez la traduction de cette expression en français et je vous nomme poulpe de l'année), nous sommes vraiment désolés Monsieur Dac... Monsieur, mais notre basé de données nous informe que votre valise est actuellement à San Fierro, tenez, voici un ticket, vous devrez revenir avec lui pour prendre votre valise dès-demain à 13:45, nous vous contacterons par e-mail."
Le billet de l'enfer, oui, puisque tel le dit un philosophe à la con : c'est toujours on l'on veut quelque-chose le plus, que ce quelque-chose n'arrive jamais. Et je n'ai jamais pû récupèrer ma valise.
Etape 5 : Dans une cellule ta première nuit tu passeras
C'est alors que je mettais mes pieds foutrement enflés de fatigue, pleins de puanteurs digne des meilleurs aéroports internationaux du monde, à l'éxterieur de l'aéroport, que je vis à quel point Los Santos n'était pas une ville, mais un foutoir.
En effet, à peine je mis les pieds dehors que je vis... une scène digne de ce fameux film impérialement moisi appelé 2012 : vous avez déjà vu, 4 touristes blonds, habillés de la même façon, avec des sac à dos bleus attaquer un pauvre chauffeur de taxi (qui devait vachement souffrir parce-qu'il était habillé comme un chauffeur de limousine avec 30 degrés dehors) ? Eh bien rassurez-vous, à Los Santos, vous en verrez.
Si seulement il ne s'agissait que de ceci... un spectacle désolant était en face de moi :
des MILLIARDS, DES TRILLIARDS de TAXIS, des TAXIS PARTOUT, qui KLAXONNAIENT, des TAXIS à moitié détruits, avec des portes manquantes, des pneus crevés (imaginez un taxi sur une patinoire et ça donne le même truc grossomodo) qui roulaient n'importe comment et qui se PERCUTAIENT dans tous les coins.
Et ça criait, ça gueulait, ça s'écrasait (une pensée à ce pauvre policier qui a tenté de régler ce chaos devant l'aéroport et qui a fini sous un pneu de la marque ... euh, sans marque).
C'est alors que je décidais, moi, ridicule petit touriste que j'étais, de prendre mon courage à deux mains et de monter dans un taxi à moitié désintégré, bien-sûr, je n'eus même pas à ouvrir la porte pour entrer dedans : il n'y en avait pas.
Bien-sûr, il manquait aussi quelque-chose au chauffeur de taxi qui se croyait classe en mettant un gros costume de chauffeur de limousine (avec le petit chapeau gris aussi là), il ne lui manquait pas une porte, mais des neurones, en effet si le corps de celui-ci ressemblait à une personne "assez normale", sa tête, elle, ressemblait à celle... d'un troll.
- Beujeure meusieur ! Ou puijeu vous emmeuneu ?
- B-bonjour, euh, au magasin de vêtements le plus proche s'il vous pl-
** CRASH CONTRE UN TAXI (aussi moche que celui ou j'étais**
- ENCULEU DEU TA MEURE !!! T'AS CASSEU LA SEULE PORTEU QUI RESTAIT A MON TAXEU !!!
- Eu-euh... je ne crois pas que céder à la violence soit une bonne id-...
C'est alors que mon chauffeur de taxi sortit une batte de baseball du dessous de son siège et tenta dans un geste rageux et ridiculeusement stupide et débile d'atteindre la tête de l'autre chauffeur de taxi.
L'autre chauffeur de taxi n'eut aucune blessure, en revanche, la batte, elle, percuta bien quelque-chose : derrière le taxi se trouvait une voiture de police : le gyrophare d'une voiture aussi carrée que moche (quoique moins carré à cause des accidents qu'elle devait avoir) explosa sous le coup.
Le policier sortit de sa voiture, aussi rouge qu'un méxicain ensanglanté saupoudré de tacos et s'adressa au chauffeur de taxi. Après quelques insultes sorties de la gueule de mon chauffeur de taxi (qui était déséspérément aussi con que ses pieds... voire encore plus con), le policier nous mit dans sa voiture, et se dirigea vers le commissariat le plus proche.
Et devinez quoi, j'ai été mis en garde à vue pour une nuit pour "complicité" à mon chauffeur de taxi.
Et je n'avais pas fini d'en baver !...
A suivre nom d'une pipe !
Dernière édition par Daniel_Daccacia le Mar 30 Avr - 12:31, édité 5 fois
Daniel_Daccacia- Messages : 837
Date d'inscription : 23/10/2010
Age : 27
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Réservé. (oui bah, logique)
Le background n'est pas fini.
Le background n'est pas fini.
Daniel_Daccacia- Messages : 837
Date d'inscription : 23/10/2010
Age : 27
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
On voit que c'est du Daccacia, enfin un background de toi, pas mal du tout.
Ronald Beneventi- Messages : 1490
Date d'inscription : 01/06/2011
Ancien Prenom_Nom : Paulie Cerone
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Mais il est pas possible celui la !!
Emmanuel Hermes- Messages : 165
Date d'inscription : 27/08/2011
Age : 44
Ancien Prenom_Nom : Signature
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Mdr; énorme, j'attend la suite.
Joseph Baccalieri- Messages : 3394
Date d'inscription : 05/03/2010
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Ancien Prenom_Nom : Ruggiero
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Bidon.
Peter Filkowski- Messages : 9546
Date d'inscription : 29/01/2011
Ancien Prenom_Nom : La scoumoune
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
"Philly" Philip Rosenberg a écrit:Magnifique, sublime, mieux que moi.
Merci, tu vois quand tu veux.
Daniel_Daccacia- Messages : 837
Date d'inscription : 23/10/2010
Age : 27
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Dernière édition par Santino Calabrese le Lun 14 Aoû - 17:29, édité 1 fois
Anthony Pecora- Messages : 1818
Date d'inscription : 16/07/2008
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
CONTINUE MDR, franchement pas mal
Jorge Bruzzini- Messages : 2244
Date d'inscription : 09/10/2009
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Ancien Prenom_Nom : Guesh Darlon Alvin Gorden
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
MDRRR Géant Daccacia !
Rumiko Sasaki- Messages : 1618
Date d'inscription : 03/11/2010
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Ancien Prenom_Nom : Carnicera
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Mdr, pour une fois que quelqu'un fait un background distinguer des autres, et il fallait que ça soit mon dani..
Non franchement ça change des background ordinaire continue ma biche.. (Matt)
Non franchement ça change des background ordinaire continue ma biche.. (Matt)
Dernière édition par "Maru" Marulanda Perea le Mar 25 Oct - 10:47, édité 1 fois
Jimmy Albertino- Messages : 2360
Date d'inscription : 16/04/2011
Age : 105
Ancien Prenom_Nom : Jimmy Albertino - Borghes
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
J'adore ! Vivement la suite héhé
Gabriel Martinozzi- Messages : 1355
Date d'inscription : 11/03/2011
Ancien Prenom_Nom : Ferri - Bobby
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
"Philly" Philip Rosenberg a écrit:Bidon.
Tu l'a kalash-niquer
Preston Griffin- Messages : 1558
Date d'inscription : 03/09/2011
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
/fermernews ! VITE ! /fermernews !
Wilhelm VanDerWurst- Messages : 219
Date d'inscription : 13/02/2011
Age : 31
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Oh my god Daniel, c'est super comme toujours :DD
Faut qu'on se marre sur TS .
Faut qu'on se marre sur TS .
Jules Dinnozor- VIP
- Messages : 3849
Date d'inscription : 02/10/2010
Age : 25
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Nayeli Juarez a écrit:/fermernews ! VITE ! /fermernews !
Je confirme !! Mdrrrrr
Emmanuel Hermes- Messages : 165
Date d'inscription : 27/08/2011
Age : 44
Ancien Prenom_Nom : Signature
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Enorme ! Bien joué pour ce super background barré!
Garret Burner- Messages : 576
Date d'inscription : 26/12/2010
Age : 27
Ancien Prenom_Nom : Mike Kartfield, Tino Deep
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Yeah, avé moi !
PARTIE 3 ajoutée ! Vive l'avion nom d'une pipe !
PARTIE 3 ajoutée ! Vive l'avion nom d'une pipe !
Daniel_Daccacia- Messages : 837
Date d'inscription : 23/10/2010
Age : 27
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Sisi, pas mal la suite.
Joseph Baccalieri- Messages : 3394
Date d'inscription : 05/03/2010
Age : 30
Ancien Prenom_Nom : Ruggiero
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Amazing
Preston Griffin- Messages : 1558
Date d'inscription : 03/09/2011
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Excellent !
Rumiko Sasaki- Messages : 1618
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 29
Ancien Prenom_Nom : Carnicera
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Daniel_Daccacia a écrit:Yeah, avé moi !
PARTIE 3 ajoutée ! Vive l'avion nom d'une pipe !
Cette phrase sert à rien! On s'en tamponne la nouille avec une pelle!
Super background, j'me régale avec ton perso D-d-d-d-d-d-daccaciesque!
Sally Caruso- Messages : 4557
Date d'inscription : 21/05/2010
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
On dit pas Daccaciatesque ?
Rumiko Sasaki- Messages : 1618
Date d'inscription : 03/11/2010
Age : 29
Ancien Prenom_Nom : Carnicera
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
J'ai bien rit à certains passages ! Pas mal
Invité- Invité
Re: Daccaciatiquement incorrect. [méga-en-modification, ne prenez pas en compte certaines fautes]
Ouais, le seul et l'unique monsieur normal ^^
Franklin Ralph [Ban fofo]- Messages : 1789
Date d'inscription : 03/12/2010
Age : 30
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