[BG] Freida Alvez : Los Santos, j'arriveeee !!!

Freida Alvez a les cheveux attachés, un t-shirt court et un minishort noir. Elle dispose d’une sacoche en cuir marron et d’une veste sans manches ornés de patchs de groupe Metal dont notamment celui d’Iron Maiden sur tout le dos. Elle porte aussi des bottes noires et un bracelet en chaîne sur chaque poignet. Pour finir, Freida à autour du cou un pendentif.

Skin d'origine :

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Skin actuel :

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Note : Le skin actuel provient du model Claire RE 2 de Nemesis321 dont j’ai retravaillé moi-même les textures et le rajout des Patchs, tatouage et bracelet.

Freida est une femme qui aime croquer la vie à pleines dents. C’est aussi une séductrice qui aime jouer. Freida est aussi une femme généreuse qui n’hésite pas à venir en aide à ses amis, même si certains sont de véritables boulets selon elle. Elle aime rire, danser, boire, écouter du Metal à fond, fumer et surtout bichonner sa Candice. Elle se montre aussi grande gueule, un peu trop même, et ne se laisse pas facilement impressionner par les cohortes de mâles en chaleurs de Los Santos. Si on lui demande combien pour une pipe, elle rétorquera « va dans un bureau de tabac pour savoir ». Oui, Freida aime aussi se moquer. Cependant, si une situation devient dangereuse, elle sait faire profil bas. Mais surtout, Freida est juste une jeune femme de 22 ans qui ne cherche qu’à s’amuser de la vie.

Freida est issue d’une riche famille catholique Mexicaine, dont les parents possèdent une grande société d’exportation de café à Coatzacoalcos, une ville du Mexique au sud-est de la ville de Veracruz, dans la baie de Campêche. Freida acquis la double nationalité américaine-mexicaine à l’âge de 12 ans, lorsqu’elle fut envoyée à l’académie du Sacré-Cœur en Louisiane.

Elle se fait renvoyer par les sœurs en raison de son comportement. Elle connaît son premier flirt à l’âge de 13 ans, se fait tatouer la première fois à 14 ans et à un premier rapport sexuel à 15 ans avec une fille de sa chambre. Elle poursuit ensuite sa scolarité jusqu’à ses 17 ans à Liberty City, en Amérique, où elle vit chez sa tante Isabella. C’est à ses 18 ans qu’elle abandonne ses études et quitte sa tante. Elle vit dans le quartier Red Light District, situé à Portland Island, pendant un certain temps et gagne sa vie comme secrétaire, strip-teaseuse et distribue des prospectus sur la voie publique et dans les boîtes aux lettres.


21 Février 2010… Putain ! Comment pourrais-je oublier une telle date ?! Sa devait être une soirée banale, mais cette fois-là, ce fut la merde ! Je me souviens encore de cette ambiance si chaude, de l’odeur des clopes et des hurlements d’une foule de mâles en délire. Comme chaque week-end, le club faisait carton plein et ce n’était pas pour déplaire à Andy, le patron, un mec sympa en passant. J’étais-là, en coulisse, à attendre qu’Ophélie termine son show. Elle par-contre, je ne pouvais pas la blairer, une vraie salope. Puis venait enfin mon tour. Andy apparaissait alors sur scène pour annoncer au micro mon entrée.

C’était toujours de cette façon qu’Andy m’annonçait au publique. Et comme à chaque fois, la boule au ventre, je me dirigeai vers la scène sous les applaudissements. Au passage, cette fois-là, Andy m’avait soufflé un : « A toi ma belle, vas-y, sois chaude... », et je me souviens de lui avoir répondu d’un « Fuck » discret.

La salle fut alors plongée à moitié dans le noir tandis que la lumière rose du projecteur me suivait sur scène. Bref, comme d’hab’, je bougeai doucement dans un premier temps, au rythme d’une musique plutôt douce. J’enchaîné par la suite en prenant une chaise pour m’y asseoir langoureusement. Je tendis ma jambe droite, posai mes mains sur ma cheville et remontai lentement en me caressant la jambe, puis la cuisse. Je poursuivais ainsi jusqu’à ce que mes pouces puissent se glisser à l'intérieur de mon bas. Je me déhanchai sensuellement, je me levai et me tournai dos à la salle. Puis je fis glisser une bretelle de mon soutien-gorge, puis l’autre. Je prenais mon temps pour faire admirer mon dos nu… mais aussi la cordelette de mon string.
Quelques applaudissements saluèrent alors mon cul. Je pouvais aussi entendre le traditionnel chant des supporters du club : « Le string...! Le string...! Le string...! ». Je croisai les bras sur ma poitrine et me retournai. Puis, avec lenteur, je décroisai mes bras et offris mes seins à la foule. Applaudissements...

Retour dans les loges, Andy s’était pointé comme à chaque fois pour me remercier. Quand j’avais enfin fini d’enfiler ma veste en cuir noir et pris mon sac à mains, j’avais lâché un timide sourire au patron avant de lui lancer un : « A demain boss ».

Une fois sur le parking du club, j’attendais comme à mon habitude, la clope au bec, la sortie d’Ophélie. Ouais, en plus d’être une vraie salope, il se trouvait qu’elle était aussi ma colloc’. Puis, d’un seul coup, je n’ai rien comprise… tout avait été trop vite pour moi. Une moto, deux types, un flingue ! Sa devait être une soirée banale, mais cette fois-là… j’étais au sol, dans mon sang, une balle près de mon épaule gauche.
Il ma fallut beaucoup de temps pour me remettre de cette soirée. Je n’osai plus m’aventurer dehors de nuit, je n’arrivais plus à dormir sans revoir cette scène horrible. Même pour les psy, j’étais un problème. Et question boulot, c’était de nouveau le néant.

Le plus triste dans toute cette histoire… cette balle… elle était destinée à Ophélie ! A l’hosto, des flics m’avaient racontés qu’elle devait un gros paquet de fric à des truands de la ville. Depuis cette nuit tragique, je n’ai jamais revue cette salope, étrange non ?

Ma guérison, je la dois à un type étrange, Parker. Genre motard avec une barbe pas croyable. C’était en vérité un prête de la communauté latine de Liberty City, un brave mec. Il n’y a pas dire, Parker n’a pas cherché à me juger contrairement aux Psy que j’ai vu, lui, il ma écoutait même quand je ne parlais pas. Je me comprends. Avec le temps, nous étions devenus assez potes même. C’est donc au bout de six longs mois que j’ai enfin commencé à me livrer au Padre. Il savait pour ma peur de la nuit et des armes à feu, alors il eut une idée pour m’aider. On avait en fait un genre de deal « Je t’aide, tu m’aides ». Je vous dis, c’est un drôle de type. Donc le plan, c’était que chaque nuit, je zone avec lui dans les rues pour venir en aide aux prostituées par exemple. Petit à petit, je n’avais donc plus peur de la nuit, au point de passer parfois la soirée avec le Padre à picoler dans les bars de motards. Il avait aussi trouvé une autre idée, cette fois, concernant ma peur des flingues.

Je me souviens d’un matin où j’étais encore dans les vapes avec une méchante gueule de bois. Le Padre avait alors débarqué à ma porte et il semblait vachement sérieux ce jour-là. J’embarque alors avec lui, à l’arrière de sa bécane, une Harley-Davidson customisé par ses soins. Finalement, on s’arrête dans un terrain vague, près d’une voie ferrée. C’est alors que Parker me montre son flingue, un 357 magnum plus précisément. Au début, je ne savais pas trop comment réagir. J’étais-là, devant lui comme une conne ! C’est alors qu’il chopa mes mains brusquement pour me coller son arme entres mes doigts. J’étais vraiment terrifiée et je tremblai de tout mon corps. Le Padre s’écarta de moi pour aller déposer quelques bouteilles vide au loin. Je n’étais pas fière, croyez-moi. Quand il revenait enfin près de moi, son humeur avait changé. Il me hurlait dessus, m’insulté et me bousculé. Au début je ne comprenais pas. Il me disait de ne plus réfléchir et de tirer !

Puis, ce fut le déclic. Je pointai mon arme en direction des cibles en verre et… je pressai enfin la gâchette. C’est à cet instant que je pouvais ressentir le souffle et la puissance de cette flamme qui se dégagea du canon. De ce bruit énorme et de l’impact qui fit éclater une des fameuses bouteilles. Oui… pour mon premier tir, j’avais fait mouche comme on dit.
Parker m’avait applaudit longuement avant de m’attraper dans ses bras. Quand j’avais enfin retrouvé mes esprits, il reprit l’arme et me fixa droit dans les yeux. C’est alors qu’il me dit :

Ce fut la dernière fois que je vis le Padre. Depuis, je n’ai plus de nouvelle de lui…

Nous sommes le 22 Avril 2012 et je suis arrivée à Los Santos depuis maintenant 9 jours. Ne croyez pas que je suis ici dans le simple but de retrouver le Padre, même si c’est loin d’être faux. De plus, je n’aurais pas attendu si longtemps pour débarquer. A vrai dire, j’ai réalisé les souhaits de Parker, je me suis reconstruite et je suis devenue plus forte. Mais Liberty City a fini par m’ennuyer, rien de plus. Los Santos, ville des paillettes, des stars et de l’argent comme on dit. Bien évidemment, je ne suis pas idiote au point de ne pas savoir les dangers qui y règnent. Mais que voulez-vous, de nos jours le danger est partout. Maintenant 9 jours que je suis ici, à bosser comme je peux, à m’éclater et surtout me faire une place dans se bled. Hormis les séducteurs et les gros pervers à la con, j’ai déjà quelques contacts sympas, puis je ne suis pas seule pour autant. Tout comme le Padre, je me passionne désormais pour les belles mécaniques. Je ne suis donc pas seule, puisque je passe beaucoup de temps à bichonner ma meilleure copine. Elle s’appelle Candice, c’est une Ural Wolf de 98, un Chopper quoi, la classe non ?

Pour le reste de mon histoire, ne cherchez pas car nul ne peut prédire l’avenir. Ah… j’oubliai, si sur votre route vous croisez une brune sur une belle bécane qui tente de vous dépasser, soyez cool, écartez-vous.

J'en est lu une partie, c'est vraiment pas mal, je lirais la suite quand j'aurais le temps, un peut de couleur ça aurait était parfait

J'ai commencé à le lire, BG les images/screens. Très beau je trouve

Merci, de plus étant ma première BG sur CMLV, j'avoue avoir flippé de la mettre au vue du niveau de beaucoup. Donc bin, c'est encourageant et peut-être que vous croiserez une belle brune sur une Freeway dans les rues de Los Santos. Encore merci.