Will Weliston | Why are you so bad ? ... BECAUSE!

par Manolo Taruella Dim 29 Juil - 6:21

Chapitre I -
1983 - Cette folle nuit ou dieu a fais une sacrée connerie, il m'a crée ..

Tout a commencé cette année de 1997, j'avais à peine 14 ans et j'créchais avec mes parents, Maria Trineety Jews et mon père Angus William Weliston, dans un des ces quartiers pour blancs avec un revenu moyen, à l'est du Bronx, le foutu bloc D de la tour numéro 120, qui fesait l'angle sur la rue Martin Luther King et Kennedy.
Ce jour la j'allais comme tous les jours à l'école du paté d'maison ou tous les gens du quartier allaient, le collège Saint-Honory. Je me souviendrait toute ma vie de cette école, pas pour les années scolaires gâchés là-bas mais pour se seule jour. Il pleuvait, comme presque tous les jours de la semaine, et un noir dans la même classe que moi m'embêttait et me voler ma nourriture ainsi que mon argent pour mon goûté chaque jour, il faut savoir que les blancs a cette époque était une minoritée sur le Bronx, et donc je ne pouvais rien faire, mais se jour de 18 septembre 1997, quand il est venu me voler mon goûté, j'ai eut comme un souffle froid dérrière la tête, une vision de violence tellement térrifiante, et j'ai vu déffiler dans ma tête des images de meurtre, vu à la TV, en un rien de temps puis j'ai vite repris esprits, suit aux claques que me donnait le noir, je me suis levé du banc, lui ai mis un coup de tête en plein sur le nez, puis je l'ai frappé..frappé, avec toute la force que je pouvais je ne sentait plus mes bras ni aucun de mes membres, je le frappait au sol encore sans m'arrêter, et à un moment j'ai attrapé une pierre, puis lui ai mit un énorme coup sur le crâne avec, il saignait, tous le monde dans la cours me regardait et les surveillants ainsi que les professeurs courraient en ma direction, la suite je ne m'en souviens pas, ce dont je me rappel c'est le passage devant le proviseur suit à ca. Le noir ? Plus aucune nouvelles. Et voici comment ont commencaient mes troubles mentaux d'après les médecins, je m'appel Will Danny Weliston, 14 ans et j'ai commis pour la première fois une faute judiciaire qui a engendrer l'exclusion définitive de se college. Ma mère allait de pire en pire, suit à mes "conneries" comme elle disait, elle faisait une dépression, ses nerfs allait presque la lâcher. Ma situation ne faisait, elle aussi que d'empirer, les écoles n'ont pas voulu d'un enfant de 14 ans ayant déjà un casier judiciaire, bien que je n'ai fais que me défendre des actes du "nègre" comme disait mon père.

Je trainait dans la rue, et toujours avec moi il y avait mes amis, Angelo et Macky comme ont l'appelait, nous étions tous virés de nos écoles et nous étions du même quartier. Et plus le temps va, plus nous faisions des choses sans se soucier des conséquences.
Nous sommes le 21 juillet 2001 vers 23h24. Ma mère meurt suit a une mauvaise formule qui mélange les médicaments a l'alcool, voyant que je sombrais et que la rue m'emportait avec elle, ma mère s'est suicidé, ne pouvant supporter de voir son fils comme ça. Le soir même de sa mort nous étions avec Angelo et Macky entrain de refaire une chirurgie faciale sur un "sale nègre" à l'aide d'un bout de verre. Nous ne le savions pas encore mais une sorte de mouvement nous tenait a coeur et montais de plus en plus en nous, aux Etats Unies, nous l'appelons le mouvement "Skinhead".

Nous sommes environ le 4 février 2005, Angelo et Macky sont mort tué par des noirs en soif de vengeance, et mon père ne donne plus de nouvelle, après s'en être aller suit au départ de ma mère.
Ce soir la, je traîne seul, anormalement seul dans une rue du Bronx, j'ai surement dû oublier la forte présence d'afro-américain dans le quartier voulant ma peau, je ne pensais à rien, tous mes proches sont mort ou disparues, pourquoi ne pas aller les rejoindre au fond, rien ne me rattachait ici..
Quand tout à coup débarque une bande de 6 noirs enragés devant moi, marchant avec des battes à la main, je tente de me retourner pour prendre la fuite et j'en vois une dizaine de l'autre coté, ils m'ont pris par surprise, je ne sais pas quoi faire et donc fonce dans le tas, à peine ai-je mis un coup de poing à l'un d'eux que les autres m'attrapent et me tiennent les jambes et les mains, je stress, la colère monte en moi mais je réalise que je suis fichu. Le nègre avec une batte qui était enface de moi pendant que les autres me tenaient, avait une cicatrice sur le visage, comme une coupure, plein de questions se posent dans ma tête puis la dure réalité me fais revenir a la scène dont je suis l'acteur principale, l'homme à la cicatrice élance sa batte en direction de mon buste, je ne sent plus mes côtes, mon sang coule tout seul de ma bouche, je me sent comme affaibli et désarmé, je réalise que la mort j'en ai peur, mais que mon heure est venu.
L'un d'eux m'enchaîne de coup de poing, mes yeux sont à moitié fermé, mais assez ouvert pour compter les dents qui sortent de ma bouche. Puis tout a coups j'entend un coup de feu et voit les noirs autour de moi crier, comme si quelque chose de grave c'était passé, ils avaient l'air effrayé, petit à petit je retrouvait l'ouïe et ce n'est pas qu'un seul coup de feu qui se faisait entendre, mais une dizaine, des armes automatiques crachaient leur balles en ma direction, je ne pouvait rien faire, je criait de douleur au sol car j'était allongé sur le bitume, les côtes cassés.

"- Mon..Monsieur Weliston?! Vous m'entendez ?"
Ce sont les seules paroles que j'ai retenues lors de mon arrivée à l'hôpital.