Freddy Villanueva - East-Coast & West-Coast. Love' half of you!

C'te photo date de mois y'a une semaine, jaja, j'viens d'avoir mon nouveau tattou, et bien, j'vais vous parlez un peu d'ma vie, j'ai pas eu la meilleur enfance, mais pour les locotes de Ganton, faut avoir des burnes en acier, j'vous l'jures sur la tête de m'ma mère, c't'un enfer sans sortie, mais à force d'vivre dans l'ghetto, j'm'habitue à vivre comme ça, quand t'es un Real G' d'un Ghetto, pas un wack ass d'Internet, nan. un real, on te reconnais, tu peux pas être un ''Ghetto Hoodlum'' du jour au lendemain, quand tu viens des quartiers comme ça, tu pense, comme ça, tu parle comme ça, et tu vies comme ça, tu donnerais ta vies pour un carnàl.

24 Décembre 1996
Enfaîte, j'suis pas né sur la West-Coast, mais sur la East-Coast, j'suis né à l'hôpital Saint-Julie d'Harlem, j'ai de vague souvenirs d'ce putain d'quartier d'enculer d'fils de pute de negritos de merde, j'sais juste que mon père était salvadorien, ma mère aussi, mon père est partit au plus jeûne âge, si, il est salvadorien, yo, tu crois qu'mon père était du Danemark ou quoi, l'infidélité c'est naturel chez les ''Salvachuchos'' comme j'dit si bien, tiens, une photo d'moi quand mon père à quitter ma mère, j'étais jouasse, héhé, il m'a jamais battu, mais il m'énervais avec son ''Soccer'' il était dans une cliqua's de fake, tous des wanna-be gangster portant des bandana gris, man, comme si il était un Real G' mon culo, ouais! Ma photo, r'garder comment j'souris jaja

Enfance difficile

Man, j'habitais à Harlem, j'étais en Enfer version African's là-bas, le Vaudou régnait, j'me promenais avec mon chapelet dans la rue pour éviter les âmes tourmentés, surtout quand j'ai commencer à aller à l'école, un putain d'défie, 300 négros, deux blancs, 8 asiatiques, 5 hispaniques, t'appelle ça du carnalismo, PUTAIN OUAIS ! j'aimais bien les asiatiques et les blancs, desfois on foutais une putain d'raclée, à c'nègre nommer: Lucas Wallace, un enculer d'rojo, son grand frère était ''Bloods'' donc il régnait à l'école, j'me tenais la plu-part d'mon temps avec un Blaxican, Walter Jimenez, jaja, l'bon vieux temps, une photo d'moi et mon vieux chandail d'Kermit, dans les Muppet's de Manhattan j'avais 8 ans, jaja, tout les négros de l'école m'foutais des raclés, à moi et Walter à tout les jours, l'enfance à été difficile, ma mère travaillait au bureau de téléphone fixe d'Harlem, 15$/heure, crois moi je l'ai eu ma Nintendo 64!

Entrée au secondaire

Qu'est que j'voyais moi sur Harlem St. HighSchool, leurs devise était: School is the word, word is school, moi j'voyais Welcome to the Hell, mierda, Walter avais déménager à Atlanta, chez sa abuelita, moi j'étais seul sans vato pour m'backer les fesses, j'allais y goûter à cette école, puis ma mère à déménager dans une maison crade, mais bon, elle gardais plus d'argent, une vieille photo qui date de quand j'avais 12 ans d'ma maison d'ripoux j'avais trouver quelque mexicain, on avais formés une sorte de petite cliqua, on étais 16, notre nom était: Harlem Locotes 16th on avais de la misère à c'faire viser par les grands mexicain, mais on hésitait pas à battre un noir quand il le fallais, à 14 ans j'ai lâcher l'École, j'buvais la Maltas avec mes carnàles, on chillais sur l'bord du trottoir, et des coups de feux on été entendu dans la cuisine de ma maison pourries, j'ai rentrer armés de mon 357. sécurité enlever, j'vois quoi ?

Drame du 24/12/2010

Un beau soir, comme j'ai dit, on buvais de la liqueur sur l'trottoir, chillos, avec nos manteaux, bonnet, puis j'entend des coups de feux, un soir magique de l'hivers New-Yorkais, j'arrive dans la cuisine, ma mère est morte à terre de trois balle de AE.50 au torse, j'tourne ma tête vers le frigo j'vois quoi ? B'zup, cholo down écrit avec un crayon feutre rouge, l'enculer d'Lucas jouais au tueur maintenant, à Harlem aussi c'était chaud, pas juste en Califas, bref, moi et un loco, Esteban Trinidad, on à pris nos armes, on roulais en bicyclette sur King Street, j'vois Lucas, j'descend d'ma bicyclette, mais son enculer d'frère sort avec un Uzi, Esteban lui tire à la jambe, j'tire Lucas au torse, ouais comment un kid's de mon genre à un accès au arme, tire sans aucun remord, yo, à Harlem, c'était la jungle urbaine, c'était la merde, une cité perdues, quand t'avais douze ans, t'étais considérés adultes, j'ai constater que Lucas était mort, décès par balle, j'ai eu la vie douce, ils ont cruent que c'était des crips, et son frère, lui à perdu la mémoire.Finalement j'ai déménager dans le putain d'maison d'mon grand-père une belle maison, j'ai fait à peu près quatorze fois le même cauchemars, où la neige délicate tombais sur mon visage, où j'ai signer ma destination pour l'enfer, le soir où ma vie à changer, grâce à un flocon...New-York est magique, il peut être mauvais tout comme bon, finalement j'ai lâcher l'école à 15 ans, j'écoutais à longueur de journées National Geographic, mon grand-père m'filais mon dîner, m'clouais sur le sofa, et m'fesais écouter ça pour m'enrichir, mon grand-père était un ancien mafioso salvadorien, tant qu'j't'ai bien, lui c't'ai cool, le nombre de fois que moi et lui on c'est saouler la gueule, m'haha, mon bon vieux grand père, Ezequiel Villanueva, ouais, mon abuelo.Une photo de lui au Salvador, il me l'a envoyer y'a une semaine !

Abuelo...

On est en 2011, j'ai donc quinze ans, mon grand-père va bien, moi aussi, il décide finalement, de m'envoyer à Los Angeles, j'étais du genre: Euhm, héhé, joke ? pour moi Los Angeles c'était la cité des vices, le trou pourries où les gangs sévissent, j'écoute encore National Geo' l'reportage des gangs, tu crois j'l'ai pas vues, environ 100,000 gang dans la ville, à entendre L.A, mes couilles durcicait, et mes jambes tremblotait, j'avais la chienne d'ma vie, mais il m'a rassurer, quand j'ai entendu que c'étais chez Tia Edith, là où mon cousin préférée habite, Miguel Villanueva, ce gars, j'ai un seul mot à dire: Cool, il est gentil accueillant, protecteur, yo, combien d'fois il m,a sauver l'cul des vert, 3,000 fois au moin, on habitait sur la Cypress St. mais attendez, j'vous ai racontés mon voyage en avion, non, alors écoute bien ça mon pote, en plus sa mère à mon cousin, putain qu'elle cuisinais bien, elle s'avais ouvris une Pupuserias sur Imperial

De East-Coast à West-Coast

J'arrivais à L.A en avions, une photo que j'ai pris d'un avion qui continuais pour Salt Lake City, j'avais une caméra HD place économique, hey, j'ai l'air d'un chien moi, bouffer du steak qui goûte le plastique, fuck, avec des quarts de pomme qui goûte le sperme, g', c'tait dégueulasse, finalement j'suis arrivés à l'aéroport de L.A, dans l'avion, j'dormais souvent en pensant à mon trou d'cul d'père, qui avais quitter l'Amérique, j'pensais à ma maman, qui avais nettoyer mes blessures, recoud mon coeur, sauver ma peau, l'ange qui est partie au ciel un soir d'hiver...j'étais seul dans cette avion, hâte d'arrivés en sol californien, et d'voirs mon locote d'cousin, quand j'suis arrivés, lui et sa mère m'attendais à l'entrée dans leur Huntley bleue, j'arrive en courant, Sup g'! , comment il m'répond, il était avec ses amis d'enfance, des mexicain, et des salvadoriens, ils rient d'mon accent New-Yorkais, puis disent: Toi on va t'apprendre l'argot ese, j'savais aucunement c'que ''Ese'' voulais dire, mon cousin fumais du weed, buvais du Tic-Tack, une sorte de boisson alcoolisé salvadorienne, tiens une photo que j'ai pris quand il buvais vêtue de son survet' adidas, mon cousin était pas gros, il était juste légèrement ''Beef'' de la face, mais bon, un charmeur, il était toujours avec ses baggy beige, Converse noir, t-shirt blanc, légère moustache, il étais adaptée à L.A, un vrai surenos d'là-bas, moi j'étais rien, il avais sa p'tite cliqua, et tout c'était bien..il m'a tellement sauver l'cul, j'y dois ma vie, une fois des Brown Pride de Corona, on débarquer pour m'step, il à tout arranger, ils ont dealer, puis d'un coup, il était amis, random hein ?

Welcome to L.A muthapphucka

J'étais à L.A l'enfer quoi, j'me battais tout les jours, sois pour m'faire un nom, où pars respect, j'étais salvadorien, dans Ganton, 100% blackos, il y avait environs 100 latinos, pour 50,000 noirs, l'enfer sur terre, si j'touchais à un Crips c'était fini de moi, sur la East-Coast les Bloods domine les Crips, qu'est qui est toute le contraire sur West-Coast, yo, t'as genre 1 bloods pour 8 crips, vraiment une fourmilière à bandana bleu, j'aimais ça pourtant...un photo d'la maison d'mon cousin, j'l'ai pris une journée, fuckin random, ma bouteille de corona à la main droite... moi et lui, on volais des bagnoles, bécanes, hold-up au dépanneur, on était sur un rue désertés de Ganton, donc on régnait, mais quand l'gang de noir au bandana brun on débarquer, on à perdu l'contrôle, les fusillades se déclenchais, bataille, tag, la guerre quoi, les deux gang était pas nombreux, moi et mon cousin on était dans une cliqua d'amis: Varrio Ganton Lokotes 147th et eux c'était genre Nutty Blocc Ganton Brown Nigga, un nom weird, comme ça, l'bon vieux temps

Il était une fois...DÉGAGEZ

Un jour, un nouveau gang à débarquer sur la rue où on était, la Florencia, j'ai eu peur, il est un des 10 plus puissants gang de la Californie, y'avais de quoi avoir peur, on était une petite cliqua de 50 gars, eux 50,000, ils nous ont expulsez, sans qu'on lutte, on leur à même dit qu'on déménageais devant eux, il riait d'nous, bref, maintenant, Florencia c'est fait quasiment démolir, plus beaucoup de membre à L.A, moi j'ai louer une maison sur Cypress, mon cousin est parti à Los Flores, sa mère est partie en Virginie, à la retraite, lui il était bien tout seul, moi d'mon côter, j'avais des problèmes, autant financiers, que contre des gars, j'avais un problème contre un vert de Ganton, le chef du ''Rond'' un jour j'm'ai cacher, j'vivais à Ganton, mais dans l'fond du quartier, j'vivais ma vie, comme bon me semble.Regarder qu'est qu'ils ont fait sur la clôture en bois dans la ruelle à côter de la maison

Imperial Avenue Cyclones, some puro locotes.

Jusqu'à c'que j'entendre que quelque vato, ne ce laissais pas faire sur Ganton, il résistait contre les verts, ils leurs ont foutus une raclés sur l'Imperial un soir ! jaja j'ai rie, j'ai sortie de mon trou, j'suis retourner sur la Cypress St. depuis ce jour j'traîne toujours avec Edwardo, mon pote qui film quand on frappe des enragés vivant au Nutty Blocc, Bruto qui m'apprend à donner des droites, Diggie qui m'conseil des choses, puis Isa, on fait des conneries ensemble,j'ai honte de dire que j'viens de l'est, c'est la dure réalité du Ghetto californien, le même quartier, les mêmes amis, l'même nom, mais tu sais quoi, ,j'changeras pas, et jamais, tant qu'j'serais lui qui à perdus sa mère, j'seras lui qui en à vues de toute les couleurs.M'enfin bref, on m'appel pour aller ''hanger'' sur l'Imperial, j'cracheras l'reste plus tard.

Retour sur la East-Coast

Après une mure réflexion, j'ai décider de retourner sur ma bonne vieille côte, je vais sûrement revenir un jour, peut-être un an ou deux, qui sais, bref, à plus les vatos de la 24th, vous allez m'manquer.

23 Août 2012

Freddy reviens à Ganton, cette date précise: Yo les gars j'suis revenue à L.A on s'fais une partie d'dés !

Mort de Chalateco'.

[font=Times New Roman]Un soir, le cousin de Freddy l'appelas, pour une soirée de débauche, mais il l'attendait avec son ami, puis ils le tuèrent silencieusement dans une ruelle, Freddy n'as jamais douter de son cousin, jusqu'à ce jour.

Premier background

Vraiment sympathique, la rédaction est plutôt cool et claire, j'aime bien la référence à la scène de l'autre jour, quand Edwardo filmait, j'comprends mieux maintenant c'que ce détraqué faisait avec une caméra en main.

Haha, oui!