Re: The Ruggiero Mob : Part VI

par Miles Preston Dim 23 Sep - 22:18

Bien joué ! J'poste les miens demain, j'essayerai de te battre Razz

par Shanelle CRAWSON. Dim 23 Sep - 23:36

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-Peter BALDASSINI-

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par Spencer Eastwood Dim 23 Sep - 23:58

Anthony "Tony'F" Frederici

ENJOY!

par Calogero Giacconi Lun 24 Sep - 0:12

Super screens, je viens tenter ma chance chez vous!

par Lavaughn Roy Lun 24 Sep - 19:31

Très beau screens.

par Frederick Valerio Lun 24 Sep - 21:11

Après la célébration mémorable avec les hommes en qui le boss, moi-même, Ray et mes vrais amis ont le plus confiance, Frankie m'a décerné ma dernière médaille, je savais bien que cette promotion portait mal son nom, conseiller. Frankie est un fantôme, c'est le genre de type qui n'approchait pas les gens, il n'avait de relations qu'avec les autres du milieu, et les rares types en qui il faisait confiance, il n'avait pas vraiment besoin de mon avis sur le peu de décisions qu'il prenait dans l'ombre. J'étais devenu ce qu'on appelle dans le milieu une grosse pointure, le genre de type qui encaisse son pognon les pieds en éventails. Il était temps. Fini les boulots de chien qui auraient pu m'envoyer tout droit au placard, ou m'envoyer au fond d'un trou du désert plusieurs centaines de fois. Je commençais à apprécier la tranquillité que m'offrait mon nouveau poste, une tranquillité si rare, après ces quinze années, qu'elle en devenait lassante, une tranquillité qui n'avait pas sa place dans ma vie, moi qui n'a jamais été habitué à vivre comme ça. Je ne savais plus quoi faire du million et demi de dollars reparti un peu partout en ville que j'avais sous la main.

Ma vie n'avait plus que de sens pour le "métier" le plus dangereux du monde.

Mon frangin m'avait conseillé d'apprécier la vie, me trouver une femme, avoir des gosses. J'ai voulu le rassurer en lui disant que c'est ce que je ferais, je ne voulais pas montrer que je devenais comme lui. Seul. Je connais bien les femmes, elles veulent toujours plus de pognon, toujours plus de bijoux. Les femmes sont trop curieuses pour faire partie de ma vie. Aujourd'hui annoncer à ses amis proches du métier qu'on est célibataire, sans femme, sans enfants serait une bonne blague, surtout à 39 piges, mais j'étais comme ça, j'emmerde les autres. Toutes ces conneries me monteraient très rapidement à la tête, je n'étais pas fais pour vivre comme ça, je devenais un connard, il était temps que je m'adonne à quelque chose de plus intéressant.