Jay Lewis: the beginning of his brand new life

Salut aujourd’hui j’vais te raconter une histoire, ouais, une vraie. Pas une avec cendrillon au bois qui ronfle… heu…. Non m’enfin. J’suis né dans un coin perdu de blueberry, ouais, dans l’coin d’la ferme ouais.

Ma famille, c’était normal, ma mère : Anna Anderson et Trey Lewis, mon père. Ils se sont rencontrés en 1950 au delfino night club, pas loin du skatepark. Un vrai bar sombre, que quand t’entre là, tu te demandes tout l’temps comment tu vas r’sortir, un vrai trou. Une histoire de buvard quoi.

Ensuite, pendant quelques années, y’ont commencé à vivre ensemble, m’enfin, probablement que j’étais pas dans leurs rêves pendant c’temps, le temps du vrai bordel.

Ils ont pensé à avoir un enfant un peu plus tard, en 1955. L’premier essai, y’ont réussi. Sa a donné mon frère : Frank lewis. Frank lui, y’était du genre relax, à se prendre une bagarre au bar de temps en temps, à aller déconner devant les agents d’la banque. Un jour, y’a fait une vraie connerie, ouais, une vraie. J’te raconte. J’suis né quelques années avant les mésaventures de mon frérot, en 1965.

Mai 1969 : l’beau temps commence à arriver dans l’coin, les feuilles poussent. Les gangs se réveillent en même temps. C’est là que le calvaire a commencé avec mon frère : histoire de drogues, d’Armes illégales, et d’autres conneries quoi. Pendant c’temps là, mon frérot entre dans la brigade de l’hosto : ALL SAINTS GENERAL HOSPITAL sa s’appelait. Il s’est essayé une fois, pis le chef lui a dit : ‘’ Frank, si t’es toujours aussi débile, j’peux pas t’engager’’.  C’est la qui a commencé à se reprendre en main.

Il a commencé à faire les démarches pour devenir ambulancier : un vrai génie ce mec. 100% pour lui à un examen, c’tait pas assez. Il a commencé à se mettre le nez dans ses livres, c’était son rêve pouvoir aider les gens. Bah ouais, on change tous nos ambitions au fil du temps.

Il a fait quelques années, quand un jour, les flics sont allés le chercher chez lui, ouais, une histoire d’armes, de drogues. Ils l’embarquent cette bande de cinglés, devant mes parents, qui eux ne se doutaient de rien. Ils l’emmènent, on l’fout au trou pour un 5 ans ferme, et ensuite on verra, ils ont dit. Y’était un peu débile en prison, y’a cherché son sort… m’enfin, j’te raconterai plus loin. On l’transfère dans la prison fédérale. Tout va bien, mais il commence à fatiguer l’male alpha d’la prison.

Les policiers l’ont emmené avec le chef dans une chambre. Fermée celle-là. On disait des deux qu’ils faisaient d’la contrebande en prison. Bah, c’est pas les policiers qu’ils l’ont arrêtés, c’est un détenu qui l’a tué d’un coup de colt.

Ma mère m’appelle le soir en m’disant qu’elle voulait que j’me rende à l’hopital le plus vite possible. Elle s’y rend et voit l’corps de mon frère emballé dans sa tombe. C’est la qu’elle a viré folle. Dans c’temps là, j’avais 16 ans. J’comprenais. J’lai déduit par ses comportements d’avant sa mort qu’il s’était fait tuer en prison. Ouais, un débile du clan Qui a décidé d’le tuer au colt. C’est là que j’ai décidé de continuer c’que lui a commencé. J’ai pris ma vie en main, pis j’ai continué c’que lui a débuté.

Quelques jours plus tard, on vide la chambre de mon frèrot, pis on trouve une enveloppe à mon nom : Jay Lewis, mon frère. J’pars avec la lettre dans ma chambre, j’barre la porte à double tout et j’commence à lire. Ouf….

‘’ Cher frèrot. Si t’es en train d’lire la lettre, c’est que j’me suis fait coincer, pis que je suis en prison, pis que le chef de ma gang m’a tué. M’enfin bref. J’ai écrit cette lettre pour te demander mes dernières volontés. J’veux qu’tu veilles sur nos parents, puis que tu fasse ta vie dans le légal. Va pas dans les coins illégaux comme moi j’suis allé. J’te jure, c’est la galère. Là, j’met la lettre dans un endroit caché puis j’la laisse la, pour que tu la trouves à ma mort.’’

J’plie la lettre, pis j’la met dans ma poche, pour la garder à moi. Ça, c’est c’qui me fallait pour continuer c’qu’il a débuté. J’suis moi, jay lewis.

Bon, la j’te laisse, mon père commence à s’questionner. J’continue mon histoire plus tard.

Bonjour,
Désolé de venir poster Jay, j'ai jeté un coup d'oeil rapide à ton CV LSPD et tu y as mis comme nom prénom pour ta mère : 'Anna mcgill', je n'ia lu que le début de ton backround mais j'y vois comme nom prénom pour ta mère : 'Anna Anderson'. C'est contradictoire.
Cordialement.