Nurrio, un latino parmis tant d'autres..

Enrique Bareas, Nurrio, c'était mon surnom, oui à San Fierro, je vivait avec mes parents, d'origine CHICANO (méxicain), passioné de voiture, j'était quelqu'un de pas très fort à l'école, assez perturbant, toujours avec ma bande d'amis, dans la tranche d'âge était entre 14 à 19 ans, de vrai fous. J'ai toujours rêvée d'allez loin, malgrès les conneries que j'faisait avec ma bande de potes, j'ai vécu dans un quartier contrôlé par des gangsters hispanique, que je fréquenté rarement, avec une mère qui se défonçait à la cocaïne, et un père qui se cassait le dos pour nous nourrir, c'était la vie dur, mais j'avais pas l'choix. Tout à basculer, quand j'ai reçu cette lettre, putain d'merde, pourquoi j'ai fait l'con ? Expulser du lycée.. "manque de ponctualité, trop d'absence" et tout leurs blabla d'merde ! Qu'est-ce que j'allais dire à mes parents ? Qu'est-ce que j'allais devenir ? J'ai caché cette lettre, et j'suis sortis prendre l'air, refléchir, j'avais les yeux rouges, tout était flou dans ma tête. En rentrant, mon père m'attendais, je savais pas qu'il aurait pu trouver cette lettre, là où il n'allais jamais, dans ma chambre.. c'était mon -hermano- Javier qui lui avais balançais.. Il m'a attrapé par le coup brusquement, sans rien dire, m'a tiré jusqu'au son camion, et m'a fait faire une longue balade, je ne disait rien, j'était perdus, mon père furieux, je ne savais plus quoi faire..

Il roulais vite, vite, j'ai vu qu'on à passé plusieurs péage, je disait rien, lui non-plus, c'est à destination que j'ai remarquer, qu'il y avait déja les cartons à l'arrière du camion, il les à déposer, sans pitiés, puis à repris sa route, j'était seule, dans un quartier, El Corona, devant cette bande d'hispanique, c'est d'ailleurs depuis ce jour, que j'ai plus jamais eu de nouvelles de se que j’appelais, -Ma Famille-. Depuis ce jour, j'était posé dans s'quartié, perdu j'conaissais personne, personne, j'lai regardé posé sur des escaliers, à fumer quelque cigarette. C'est au bout de quelque jours, que cette fille, est venu vers moi, on à parlé pendant quelque heurs, on à appris rapidement à se connaitre, en voyant certaine personne, j'ai compris que c'était pas un quartier comme les autres, mais bien un quartier contrôlé par un GANG. J'ai appris grâce à cette fille, à m'approché des autres, Snapper, puis Cabral, et d'autres personne vraiment sympa. J'ai trainé, bu, fumer avec eux, au fils du temps..

Une soirée après avoir longuement dormis, les cernes au yeux, je sort de chez moi, j'vois mes amis au niveau de la passerelle, j'y vais, je les salut un à un comme à mon habitude.. Ils sont entrain de faire des fights, j'aimais bien s'genre de truc, et là, Cabral m'annonce que j'doit combattre contre Espanto, un gars que j'apprécie beaucoup, j'refuse quand même pas, le combat s'apprète à commencé, j'prend ma garde... il à même pas donné l'top, que j'reçoit un coup, dans ma tête, c'était "QUELLE ENCULER ! PAS DE CORONES POUR M'TAPPER AU BON MOMENT", j'avais rien compris.. en ouvrant les yeux j'avais remarquer, qu'ils était une dizaine sur moi, j'me protegé l'visage, j'entendais quelqu'un compté, jusqu'as 13, c'était les 13 secondes les plus longues de ma vie.. J'peut vous assurez que la douleurs, j'lai sentis pendant au moins une semaine..

"Le temps passe, les gens changent", un therme beaucoup utilisé, est-ce le cas pour moi ? Entre temps, j'ai vécu beaucoup d'chose super cool avec ce fameux Cabral il m'avais après à tirer, on était allez à la campagne avec un mec super sympa aussi, "Lutin" apellé comme ça, à partir d'un délire au quartier, BIM, BAM, c'était simple, mais c'était pas la même chose, quand j'ai agis pour la première fois, Bucky, j'en parle peu, mais se blase sera toujours gravé dans ma tête, j'en ai fais des cauchemare, j'suis devenus parano.. une fois cette étape passé, c'était légerement moin difficile à surpassé. "Tu marche pour le gang, tu vis pour le gang, tu meurt pour le gang.". Comme j'disait, c'était un peu plus facile à surpassé, mais sauf que ce jours, il m'avais expliquer, que quand j'ai agis, cette femme était mère de quatre enfants, qui aujourd'hui sont orphelin.. Mais putain, qu'est devenu NURRIO, j'avais l'impression d'être le mal en personne.. j'avais compris que j'avais gagné du respect, mais au fond, j'me sentais mal sans rien dire, je souffrais en silence..

"On ne change pas une équipe qui gagne", Hope. - J..joker ? enculé d'carnal, tu t'es cassé, putain j'pensais pouvoir lui faire confiance, il agissait comme j'le voulais, discrétion, avec de l’efficacité, c'est s'genre de bonhome que j'cherchais, mais putain d'merde.. "un proche qui te lâche ? c'est juste un lâche trop proche". Putain, dans s'putain de varrio, seul un avais l'air d'être lueur d'éspoire à s'moment là, avec les tensions entre moi & Mig', j'avais pas trop d'choix, Dieg' lui ne savais pas gardé son sang froid. Suarez, qu'elle blase de merde.. avec moi, il sait que le travail paye, il faisait se qu'il avait à faire, et il touchais sa part, même si j'était assez perturbé, entre les histories entre Mig & moi, il serait déja mort, s'il ne serait pas d'la nation merde, mais j'sais refléchir comme un SURENOS.
Tout allais bien, jusqu'as ce soir là, ou j'ai ouvert ma caisse.. j'ai eu un coup d'froid merde, j'suis devenu pâle, j'ai mal dormis, merde et merde ! J'avais perdu, les cargaisons de Conejo, une putain de grosse somme, merde.. J'suis à présent, entre la mort et la pinta, l'chapitre de l'hospital n'existerai pas, pour l'érreure que j'ai faite, j'ai plus rien à perdre, j'suis en dette merde.. J'avais encore un peu d'temps, s'il me tuerais, il ne toucherai pas son argent, il sais que j'suis capable de lui rendre cette thune, mais en combien d'temps ? J'en avais plus rien à foutre, dans ma tête j'pensais dollars, plus rien à foutre des tensions entre locote merde ! J'suis pas dans cette cours de nègre.. Mais dans ma tête j'cogite, comment j'vais rendre cette putain d'somme ?! J'risque de mourir tout l'temps, entre le varrio, et le reste..