Jessica Vasquez - "La mélancolie, c'est le bonheur d'etre triste"[En cours]

Introduction :

Si vous lisez ceci, c'est que j'suis surement plus de ce monde, ou qu'un enfoiré se sera introduit chez moi pour me voler mon journal.


"Jessica, sois forte, un jour tu sera quelqu'un..."

Cette phrase résonne dans ma tête a chaque fois que je vois le soleil se lever.
Pas facile d'etre forte quand on est une femme, surtout dans une ville tel que Los Santos.
Moi, c'est Jessica, et ouais... j'suis né dans ce putin de trou... MON putin de trou.

J'pretend pas avoir une super vie, jusque la, elle est même plutôt banale, une vie remplie de joie, de peine, de haine, d'un peu d'amour.. Mais hélas la joie et l'amour sont pas souvent au rendez vous.
J'suis née dans une famille aisé, deux voiture, une piscine, une maison avec jardin, que demande le peuple me direz vous ? Ben rien, j'etais heureuse a l'epoque, vous savez, a l'epoque ou on est encore qu'une gamine insouciante, qui pense que la vie c'est un putin de conte de fée...

Mais ma vie, elle a rapidement basculée, et c'est pour ca que j'suis la aujourd'hui, j'ecris pour pas oublier... pour pas que ma putin de vie tombe dans l'oublie comme le reste.

A Elio Vasquez, repose en paix mon frère.

Chapitre I :


L'ecole est enfin finie.
Ca y est, j'ai mon diplôme, j'vais enfin pouvoir arrêter de suivre ces foutus leçon, ces journée entière passées dans l’Amphithéâtre, a lire des bouquins et étudier la philosophie ou les droits d'un monde parfait auquel même les profs ne croient pas.

Mon père veux que je fasse du droit, que je suive la noble lignée de la famille.... Moi ? Ca m’intéresse pas.
En effet, j'veux pas de ces putin de paperasse toute la journée... tenter d’éclaircir la vérité... de toute manière dehors c'est la même merde partout, alors savoir qui du mafieux italien ou du gangster afro a tuer le membre du cartel mexicain, je m'en contrebalance.

Nan, moi ce que je veux, c'est rejoindre le terrain, empêcher que des enfoirés puissent encore faire du mal a des familles, ouais, comme mon frère, tué par des enfoirés de mafieux, tout a parce qu’il trainait avec des fils de pute d'un gang de rue...

Bref, dehors c'est la merde, mais j'ai envoyer un CV au LSPD, j'me fais pas trop d'espoir, eux ils veulent des personnes fortes, pas des filles de juge ...

Chapitre II :

J'viens d’être accepter a l’académie, j'ai reçu un papier tellement officiel que j'ai hésiter a l'encadrer...
J'ai commencer les cours y'a deux jours, j'te dit pas la merde pour se dégotter un Instructeur, ils courent partout au poste mais ils ont pas une seconde a t'accorder.
Ca consiste en plein de test théorique aussi bidon les uns que les autre, a croire qu'ils cherchent de la chair a canon et pas des agents... Enfin bon, j'ai pas encore vu le chef de la police, mais j'ai rencontrer le Capitaine Armanetti, un type froid, dur, mais impliqué dans son boulot, il parle pas pour rien dire, c'est déjà ça...

Y'a aussi le Capitaine Christin, lui il est de Rodeo, le poste "moderne", mais j'aime pas la bas, j'prefere l'architecture du central.

Demain j'entame les tests pratique, avec le Lieutenant Armanetti (une famille de l'ordre a coup sur) et le Lieutenant Warren. je suis un peu plus anxieuse pour ça, mais ça devrait l'faire.

Chapitre III :

Une semaine que j'suis Officier, et j'suis déjà mise a pied...
C’était lors d'un braquage, des types qui sortent, ils ont un otage, j'ai mal interpréter un ordre, au moment de les neutraliser avec le tank a eau, je suis le mouvement du département du sheriff et je tire, a balle reel, 3 balle ont toucher l'type, j'te raconte pas le bordel.

J'me suis dénoncée, mais tu sais quoi ? Ben je regrette rien.

La police au quotidien c'est pas facile, des connards dans la rue qui t'insultent, et si tu fais un truc pour te defendre, ils portent plainte et tu te fais niquer, c'est ce qui est arrivé a un autre Officier, y'a quelques jours. Moi je me tient a carreau depuis ma mise a pied.