Luciano Schifano: A Deep Dive

par John Defendis Lun 1 Avr - 23:33

I. "Ceux qui ne pleurent jamais sont pleins de larmes".

Il n’était qu’un simple petit enfant, dans cette grande et gigantesque vie qui était la notre. Tôt dans la journée, il venait de se réveiller encore à moitié endormit lorsqu’il entendit la sonnette retentir dans la maison. Déambulant dans le hall d’entrée, il aperçut une grande personne qui attendait patiemment la venu de quelqu’un. Reprenant petit à petit ses esprits avant d’ouvrir la porte, il prit une dernière grande bouffée d’air et ouvra à moitié la porte. Jetant un petit regard furtif, il zieuta de haut en bas l’homme habillé en uniforme de milliaire : grand blond et d’une forte corpulence. Luciano surprit ne dit pas un seul mot.
Militaire : Salut bonhomme, est-ce que t’as maman est là ?
Luciano : Euh,*mordit sa lèvre inférieur droite, plissant les sourcils semblant réfléchir*: Non, elle n’est pas à la maison, elle doit surement être au travail.
Militaire : Ha *inspirant profondément* : Ta maman sera à la maison vers quelle heure, dit-moi ?
Luciano : Ce soir, vers *compte sur ses doigts*: A six heures, mais elle doit prendre en chemin mes céréales préférés, rajouter quinze minutes et elle devra être là.
Militaire : D’accord, on ce dit donc à ce soir *décoiffant les cheveux de Luciano, souriant continuellement*.
Luciano : Hé ! *ricanant, puis fait un signe de main à l’homme, se trouvant déjà en bas des escaliers*.

Luciano était parti rejoindre son grand-père, il avait pour habitude de lui acheter des lentilles provenant de monsieur Louis, marchant du coin. Comme pour aller à l’école, il prenait le chemin habituel, mais s’arrêterait deux arrêts avant. Avec son grand-père, Luciano trouvait un réel plaisir de vivre. Surtout que son père lui manquait cruellement depuis qu’il était parti au Vietnam, la guerre venait tout juste de se terminer.
Mickey, le grand père de Luciano, lui offrit un Komboloï, qui allait croire que cet objet allait le suivre pendant le restant de sa vie ?
En rentrant chez lui, il aperçu sa maman discuter avec le militaire de tout à l’heure. Ils étaient en face de la porte, la discussion semblait être sérieuse. Ne se doutant de rien, Luciano saisit cette occasion, pour ramper sur le gazon et se faufiler dans un buisson. Il s’efforça à entendre les paroles :
Adriana : C..-Comment ça ! Il est ? *s’effondre au sol, le soldat la rattrape lors de sa chute.
Militaire : Asseyez-vous *rapprochant la chaise à coté d’elle, l’aidant à s’assoir tant bien que mal*.
Adirana : M..-Mais comment est-ce possible ?! *succombe à la tragique nouvelle et tombe en sanglot*.
Luciano comprit la nouvelle, son visage était indescriptible, ressentant une sensation de haine et de tristesse à la fois. Depuis les buissons, il disparait aussi tôt. Loin, très loin, là où il pouvait s’exprimer, crier sans que personne ne puisse l’entendre.

Adriana Schifano

Luciano Schifano

II. "C'est à la peur qu'il surmonte qu'on mesure le courage."

Quelques années plus tard,
Le jeune homme, toujours très aimable, polit, serviable. Prenait son courage à deux mains et décide de suivre le chemin de son père, son grand-père et servir sa nation les « US Marine ».
Certain diront qu’il commet une grave erreur, mais ce qui est sûr, c’est qu’à la fin de cette expérience, ça le rendra plus endurcit. Lors de ses débuts, les autres, profitaient de cette aubaine pour faire comme à l’heure habitude, « montrer qui le dirige ». Luciano, alors encore trop bienveillant, ne réagit pas à leurs multiples petites attaques qui avaient pour bute de le « casser ».
Son comportement, ça vision des choses, ces attentions prenaient un tout autre chemin, qui lui causera de sérieux problèmes. Il faisait dans l’escroquerie, et la divulgation de plans confidentiels, se mêlait aux mauvaises personnes. Qui eux, n’étaient surement par là pour servir leur nation. Mais bien pour remplir leurs poches, jusqu’à en être rassasié. Il préférait servir ses propres intérêts que celles de son pays, la raison pour laquelle, il c’est engagé.
Tout se passait trop bien pour que cela continue. Après deux années, il prit de justesse son envole, ses supérieurs lui en avait après, avec plus d’argent en poche que la plus part de ses coéquipiers, qui eux étaient là depuis au moins cinq ans.

Luciano Schifano

III. "Ce qu'il y a de bon dans les départs ? Ils commencent le retour."

De retour à la maison plus tôt que prévu, Luciano est surprit par le nouveau compagnon de sa maman « Massimiliano Monacello ». Lui, qui pensait que sa propre mère n’était pas assez stupide que pour se remettre avec quelqu’un. Voulant laisser une chance à sa maman, il jouait le jeu et ne dit rien à propos de son nouveau partenaire. Qui lui, avait déjà prit ses grands airs, de père, voulant dominer tous ceux qui côtoyait Adriana, la mère de Luciano. Adriana, trop attachée à Massimiliano semblait oubliée Luciano. Il n’en fallait pas de beaucoup et prit rapidement ses distances et préférait avoir un « chez-soi ». De toute façon, il avait assez d’économie que pour se le permettre.
Un soir d’été, un barbecue était organisé à la maison de sa mère, la liste des invités était très longue. La famille, les amis, les voisons, tous étaient conviés à la fête. Prenant pour une fois, une excellente initiative. Il décide d’y aller plus tôt que prévu, afin de donner un coup de main à sa mère, qui avait avec l’âge des problèmes de dos. Arrivé au seuil dans la porte, il se remémora la scène lorsqu’il apprit la malheureuse nouvelle de son père. Quand soudainement, il reprend ses esprits, tracassé par les bruits venant du jardin. Il se précipite vers le verger, enjambant la grande aie qui encerclait la cour. Entend de plus en plus fort les cries venant de la véranda, il défonce la porte et découvre sa mère au sol, les mains sur son visage. Massimiliano en face de sa mère, les yeux grands ouvert, surprit par la venu de Luciano.
Il n’en fallait pas longtemps à Luciano, pour empoigner la fourchette de barbecue qui trainait sur le comptoir. Tout d’un coup, une grosse altercation entre les deux hommes éclate, Luciano prend rapidement le dessus et enfonce le pic à fourchettes dans le coup, un geste qui n’était peut-être pas volontaire, mais qui était fatal pour Massimiliano. Son corps gisait au sol, le sang prit place sur le carrelage et entourait peu à peu le cadavre.

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Massimiliano Monacello

IV. "Celui qui rencontre le plus de succès dans la vie est celui qui est le mieux informé."

Quelques mois après, Luciano décide d’emménagé sur Los Santos. Une vieille connaissance, Nicholas Verruci lui propose de venir. Un endroit tout neuf, où il pourra prendre ses marques. Et avec un peu de chance, se démarquer des autres. Nicky est quelqu’un d’important dans le milieu de l’organisation criminelle du Detroit. Une branche de la mafia, qui c’est installé en ville et contrôle plusieurs secteurs, dont divers business très lucratif.
Une équipe se formera, composés de Nicholas « Nicky » Verruci, Luciano « Luchy » Schifano et Alessandro Valente. Ils s’occuperont alors, de plusieurs business qui leur rapporteront une jolie somme. Mais, dans ce milieu, il ne faut pas être trop gourmand, car la gourmandise à force d’en prendre, peut vous donner des réelles séquelles qui elles sont fatales. La chose que Luciano a très bien saisi et à su la mettre en œuvre. Travaillant continuellement avec son ami et binôme Alessandro, il a su se démarquer de la concurrence dans le milieu. Au fils des années, la confiance a gagné celle des gens qui étaient alors, étranger à Luciano. Il commence à travailler sur des choses plus risqués et qui dit plus risqués, dit plus d’argent bien évidement.

Etant seul chez lui, Luciano manquait cruellement de compagnie et c'est à ce moment là, qu'il a pensé à avoir un chien. Il l'acheta dans une animalerie pour les chiens abandonnés. Alors âgée de 8 mois, il a un caractère très hostile et agressif avec n'importe qu'elle personne s'approchant de lui. Une fois s'être rendu dans l'animalerie, Luciano a été comme captivé par se chien. Il a su l'amadoué et Gnocci n'était alors, plus le même. Certes, les premières semaines étaient difficile, mais au fils des mois une relation très forte à nouée les deux mortels.
Encore aujourd'hui, âgé de 3 ans Gnocci et Luciano sont inséparable et est constamment avec son fidèle maître.
Comme dit la fameuse citation, le meilleur ami de l’homme est le chien.

Nicholas "Nicky" Verruci

Gnocci

V. "La liberté est une médaille à deux faces, la vôtre est celle d'autrui."

Luciano était connu de tous, et respecté par tant de personnes. C’était le moment le plus propice afin de le récompensé de tout ses efforts, qu’il a du faire pendant tant d’années.
Un soir d’été, le soleil faisait sa dernière apparition quand soudainement, son portable commence à sonner. La personne lui dit en deux-trois mots, l’endroit où il doit se rendre. Une fois arrivé sur les lieux, il se rendit compte, que c’était un village à proximité de la ville « Montgomery ». Dans un entrepôt inhabité, il retrouvait alors quelques individus, faisant partie de la haute hiérarchie de l’organisation : Keni-Kent, Teach, Jimmy, Memio. Et ami de longue date, Jason Boccino qui lui aussi a été appelé.
C’est à ce moment là, qu’il comprit que deux scènes étaient probables : Se faire repasser comme un foutu déchets sans importance. Chose à laquelle, Luciano n’essayait pas d’y penser. Ou alors, recevoir enfin sa récompense tant attendu et de se sentir important aux yeux des supérieurs. La deuxième scène, était la plus probable car réunir autant de monde pour refroidir qu’une seul personne, serai une perte de temps et d’argent non ?
C’est à ce moment là, que Kent, le capitaine lui demanda de répéter ce qu’il disait à voix haute. Une fois le serment fini, Luciano et Jason, entrait officiellement dans la Cosa Nostra.

Depuis ce jour, rien n’est plus comme avant, Luciano a des responsabilités, des tâches et des obligations qui doivent être suivi à la lettre. Mais il avait l’habitude de ne pas rechigner, donc cela ne lui pose aucun problème. Son équipe prend alors, une plus grande ampleur. Qui lui poussera à se lancer dans la vente d’armes, un business lucratif certes, mais risqué. Il faut s’y prendre avec des pincettes et avoir l’esprit vif et clair pour pouvoir évitez les dangers. Qui eux, surgissent comme des petits toasts grillés sortant du grille pain.

Jimmy Albertino

Kent Giordano

Henry Zavattieri

Jason Boccino

VI. "C'est dans les grands dangers qu'on voit un grand courage."

Quand tout semblait bien se passé, il n’a fallu qu’un petit moment pour que tout soit de nouveau chaotique. Il n’était alors que très tôt, exactement le même réveille qu’autre fois, lorsque l’homme vêtu d’un uniforme de militaire était venu sonner chez lui. Comme à son habitude, il sort dehors, prendre le journal dans la boîte aux lettres, il avait alors commencé à faire froid, les gens sortaient de moins en moins. Donc les gens prenaient habitude à rester dans leur maison, bien au chaud. Il n’avait plus vu Jimmy et Danny depuis quelques jours. Pas d’inquiétude, ils s’étaient surement mit au vert pendant un petit temps. C’est alors, en rentrant chez lui, il s’essaya sur son siège « personnel », et commençait à feuilleter les pages lentement, lisant à chaque fois, les gros titres. Quand soudainement, il resta bouche bée, sans voix, face au titre qui venait de constater en gros, gras et grand.

Retrouver les personnes qui avaient fait cet acte, était un pari non seulement risqué mais perdu d’avance. La rage, la rancune était omniprésente, voulant à ton prix venger Jimmy & Danny. Mais cette idée, n’a jamais pu être abouti, la seule chose dont Luciano pourrai en avoir honte encore maintenant.
Les survivants, les rescapés, ceux qui avaient réellement des couilles, reprenaient le business. Tant bien que mal, avec les deux pièces maitresses qui venaient de disparaitre en un clin d’œil. C’était très, très difficile ! C’est alors qu’Henry eu l’idée de « fusionner » avec la seconde organisation criminelle de la ville « Ruggiero Crime Family ». Il reprenait le flambeau, et continue ses affaires avec sa nouvelle famille.
Il s’en souvient encore de sa rencontre avec Ray Galeazzi, dans une villa à Blueberry, accompagné de ses deux équipiers : Teach et Anthony. Teach, leur proposa Luciano afin garder sa médaille intacte dans sa nouvelle famille et garder ses fonctions. Il accepta la proposition, qui avait du positif pour « les deux camps ». Il reprit ses affaires, mais sous le regard bienveillant de la nouvelle famille.
Quand quelques jours après, il apprit une seconde mauvaise nouvelle, apprit au journal du petit matin.

En terminant de lire l’articule, Luciano commença à se demander si c’était réellement lui qui provoquait ses meurtres ou si il n’avait tout simplement, pas de chance pour que toutes les personnes qui rencontre finissent assassinés. Ces incidents, poussera Luciano à être encore plus vigilent et de se montrer plus discret. Cela portera ses fruits, mais touchons du boit, rien n’est jamais sans risque dans ce milieu.

Daniel Milazzi

Ray Galeazzi

VII. "Ce qu'il y a de meilleur à l'étranger ce sont les compatriotes qu'on y rencontre."

Toujours entourés de ses équipiers, qui maintenant sont devenu des amis proches. Luciano avait toutes les raisons, pour qu’il se sente bien dans « ce nouveau milieu », qui n’était pas très différent de l’autre.
Lorsqu’ils étaient entrain de jouer aux cartes sur Marina, un homme surgit d’une voiture sombre. Effectuant quelques pas, il n’était pas très rapide mais on distinguait bien, un homme d’une soixantaine d'année, vêtu d’un habillement simple, rien de très luxueux à première vu. L’inconnu lui demanda, s’il s’adressait bien à Luchy. Luciano hoche la tête pour lui répondre et vient à sa rencontre, le Komboloï en main. Comme tout homme « normal », il lui demande de se présenter. L’étranger dévia la question, en lui disant qu’il devait lui parler en privé. Prenant un risque à entreprendre une rencontre, alors qu’il ne connaissait rien sur lui était risqué. Mais de toute manière, qui aurai peur d’un vieil homme me diriez-vous ?
Il décide de monter dans sa voiture, Luciano fait un geste de main comme pour retenir ses amis qui allaient le suivre. En chemin, il s’assurait que personne les suivaient, regardant continuellement le rétroviseur. La voiture ne se gare pas loin de la station à essence nord, derrière un entrepôt, puis il commence enfin à parler. D’après ce qu’il disait, c’était lui le nouveau capitaine et remplaçait l’ancien « Ray ». Il venait tout juste de New York et a été appelé pour reprendre les choses en mains. Bonne nouvelle, puisque ma seule et unique personne qui liait Luciano aux autres, venait de se faire descendre. Il se présenta enfin « Chris », et c’était chez lui qu’il fallait remettre les recettes en fin de semaine. Et donc bien évidement, celui qui supervise tout sur le terrain. Après une petite entrevue, il dépose Luchy sur Marina. Luciano semblait être ravi qu’une personne « de l’ancienne école », prenne les raines et non un petit larbin sans aucune expérience.
Une fois rentré, il déballa tout ce qu’il lui a dit, pour mettre son équipe au jus. Il n’a pas fallu longtemps, pour que tout le monde se remette au travail, les vacances étaient réellement terminées.

Christian Gianetto

Komboloï

VIII. "Tout roule comme sur des roulettes"

Les mois passèrent et le courant passait très bien entre Luciano et Chris. Les affaires marchaient à plein gaz, des nouveaux projets allaient faire leur apparition. Et il avait le soutien de ses équipiers, qu’il ne le lâchait pas, cela montre bien que des amis peuvent remplacer une famille. Comme tout frère de sang, l’équipe de Marina est très soudé, ayant d’excellents éléments, rien ne peut leur arrivé.

Sa relation avec le reste de la famille, était bonne. Le principal, c’est qu’aucune tension ne règne. Luciano oubliait presqu’il venait de la Detroit, il faut dire qu’après tout ce temps, le présent gagnait sur le passé. Même si celui-ci était rempli de nostalgie, Luchy se contentait de se concentrer sur le présent, et le bien-être de son équipe et des siens.
Voilà comment, un simple garçon n’ayant pas l’étoffe d’un dirigeant de la pègre, a pu se faire une place entre ses centaines de personnes, qui ne demandait qu’à être à sa place.

Luciano Schifano
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Prénom : Luciano
Nom : Schifano
Surnom : Luch'y
Date de naissance : 23/08/1972
Couleur de cheveux : Châtains foncé
Couleur de yeux : Marron
Lieu de naissance : Chicago, USA
Taille : 1m76
Poids : 74kg

A suivre.

Merci à Henry pour le screen des chatlogs ainsi que le dernier, lorsque nous sommes réunis.