The Ruggiero Mob : Part VIII

Journal personnel, jour 2 à Los Santos.

Pourquoi se laisser marcher sur les pieds quand on arrive même pas à les voir ? C'est la putain de question que je me posais en me réveillant ce matin, cette question qui a bloqué une majeure partie de ma nuit, cette question qui est venue comme ça d'un coup.. Serait-ce en ayant vu les deux personnes à Santa Maria Beach le soir dernier (cf : Voir série de screens d'avant, dernier screen) ? Ces deux types inspiraient pour moi le respect, l'incarnation de deux gars qui ne se laissent pas marcher sur les pieds, deux types qui n'ont pas peur de te dire ce qu'ils pensent... C'était sûrement de là que venait cette question et c'est pour ça qu'il fallait que j'attend l'arrivé de mon cousin Richie pour y répondre. En une journée il m'a fait comprendre à quel point j'étais un type malin et qu'il fallait mettre mon intelligence au profit de choses plus noble que cet putain d'état dans lequel nous vivons, ce même état qui n'a rien fait pour la mort de mon père, ce même état qui a faillit me coûter la vie, c'est pourquoi j'ai décidé avec l'aide de mon cousin de tuer ma grosse -GROSSE- connasse de belle mère.. De la culpabilité ? Je vais te dire un truc, la culpabilité c'est un énorme sac plein de briques, tout ce que tu as à faire c'est le poser. Pour qui tu le portes ce sac de briques ? Dieu ? Je pense pas, je pense plutôt que Dieu lui aime regarder, que c'est un putain de -PUTAIN- de farceur ouai, ce type s'amuse à établir des règles en oppositions avec celle qui l'a créé auparavant et pendant qu'on est tous là à sautiller d’un pied sur l’autre, lui qu’est-ce qu’il fait ? Il se fend la pêche à s’en cogner son vieux cul de cinglé au plafond.