Philip "Pépé Bulls" Aggenchi ~ The hectic life of a single Irish

Philip "Pepe Bulls" Aggenchi

18/03/77
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Il est trois heures du matin, les valises de Philip et Francis sont prête à être emballer dans le coffre d'un taxi irlandais. Les deux hommes descende avec un air fatigués de leur bâtisse en se dirigeant, traînant les bagages, vers un des deux taxi qui était devant l'immeuble. Philip, l'homme au crâne rasé, ouvre le coffre du taxi déposant une à une ses valises, remplis de vêtement. Francis lui, délivré de ses lourds bagages que Philip lui a pris, monte le visage masqué par des traits de fatigue sur le visage, grimpe à l'arrière droite du taxi, laissant la porte se refermer. Philip à sont tours, grimpe l'air motivé dans le taxi irlandais.

"- Oh, Francis, réveille toi. On est arrivé.
- Ouais, ouais, c'est bon j'suis réveiller là !"

Les deux hommes, descende du véhicule cette fois-ci l'air déterminé. Francis ouvre le coffre du taxi numéro 46, puis attrape une à une les bagages de Philip et de lui même. Traînant les valises par une sorte de longue poignet, Francis et Philip font route à pied jusqu'à leur rang, du vols 408, le vols ayant pour destination Los Santos, une ville des US.

Les deux hommes entames une discussions dans l'avion, au treizième rang.

"- Bordel de merde, ont a réussi à passer la frontière entre l'Irlande et l'Amérique malgré nos flics au cul.
- Les frères Aggenchi réussisse toujours leur coup. M'haha.
- Ouais Francis, mais bon, d'après Mario, à Los Santos c'est la merde.
- Comment sa p'tit frère ? On retire nos pieds d'la merde irish pour entré dans celle américaine ? Fallait mieux rester chez nous.
- Avec le coup dans l'dos que nous a foutu Packie, et les flics qui nous collent au cul ?"

L'avion commence à ralentir, et un bruit fou résonne aux oreilles des passagers. L'avion s'est arrêter à l'aéroport de Los Santos. chacun leur tours, les passagers descende de l'avion, arrache leur bagages, et rejoigne leur connaissances les attendants dans l'aéroport. Francis et Philip, à leur sortit de l'avion, découvre la ville de Los Santos, juste derrière la silhouette de Mario. Sans prendre le premier taxi venu, les deux frères rentre dans le quartier noirs de Idlewood, dans un véhicule beige et noir, une Burrito, véhicule connu dans la ville de Los Santos.

Arrivé devant une boîte de maison, la voiture s'arrête devant une maison beige, marron. Les trois hommes descende ensuite du véhicule prenant leur bagages avec difficulté. Une fois dans la maison, qui elle était au goût de Philip, les deux frères dépose leur bagages en pleine cuisine.

"- Bordel, chouette la baraque Mario.
- Ouais, mais tu va vite t'en lasser.
- C'est s'qu'on verra m'haha.
- M'ouais. Aller bon, va t'chercher ta chambre en haut et couche toi avec Francis. L'est vingt-trois heures, va falloir s'couché."

Les trois amis monte dans les chambres à couché, se posant confortablement dans leur lit, et laissant leur sommeille et la nuit les emballées.

"- The ireland children have much to learn"

18/08/1977

Il est dix heures, sûrement une heure tardive pour les habitants du quartier, tout le monde est levé. Philip et Francis se réveille, assène chacun un coup de talon à l'entré de leur claquette, les pieds dans ceux-ci, les deux hommes descende le visage couronné de cicatrice, par leur fatigue sûrement. Mario lui était déjà devant le club de boxe encore inconnu des deux irlandais. Le club étant juste en face, les deux irlandais pris vite conscience que sa n'était qu'une planque pour Mario et Dante, un ami de Mario. Huit chaise rouge sont posé devant le club, dont deux occupé par Mario et Dante.

"- Outch.. Mario, tu fiche quoi devant s'trou ?
- Hmm.. Rien, je galère m'haha..
- Ah oui, et c'est qui s'mec ?
- Lui ? C'est Dante, il a tiré tout les coups.
- Ouais, j'men branle un peu. Bon, j'peux visité ton trou ?
- Mon trou ? Parle mieux car c'est au patron, Emilio, c'est un club de boxe.
- Ah, bah va falloir qu'j'y passe un jour, j'suis fort à la boxe.
- D'où ton nom Pépé Bulls, hein Philip !"

Philip, sans attendre, rentre dans le club de boxe. Très rapidement, le patron nommé Emilio l'interroge.

"- Tes de où ? J't'ai jamais vue dans l'coin encore.
- J'suis nouveaux, j'vien d'Irlande.
- Ah cool, z'aime la boxe les irlandais."

Un homme vêtu d'une chemise grise, rentre dans le club. Emilio, se retourne rapidement, puis s'exclama d'un air innocent.

"- J'ai la thune des Lucchese, j'ai rien à me reprocher, j'ai déjà donner la thune.
- Ok Emilio, mais les Lucchese sont pas content.
- Quoi ? Quesqu'on a fait ?
- Ton club de boxe fait plus de thune que notre restaurant à Idlewood.
- Mais j'peux y faire quoi moi ? Aller, m'fait pas chier, j'vais finir par plus faire d'affaire avec vous."

Philip, sans écouter cette discussion, sort du club de boxe, rejoignant les trois autres hommes juste devant le club.

"- Yeah, Mario, c'est votre patron Emilio ?
- Ouais, on peut dire sa, on bosse pour lui contre un peu de thune."

Une Sunrise apparaît dans la rue, celle-ci intrigue beaucoup plus Philip. Le véhicule se gare juste en face du club, et se dirige à l'intérieure de celui-ci une mallette en main. Un homme en costard beige intrigue Philip. Une fois les quatre hommes disparus de sa visions, Philip s'exclama.

"- Sa pue la mafia italo-américaine dans votre ville.
- Non, Emilio ne traite pas avec la mafia, juste quelque affaire.
- M'ouais, j'vais voir sa de plus prêt."

Philip retourne l'air déterminé dans le club de boxe. Il continue sa route jusqu'au bureau d'Emilio. Malheureusement, un associé des quatre homme s'exclame, bombant le torse.

"- Emilio est occupé.
- Et alors ? J'doit l'voir.
- Tu compte avoir des problèmes avec les frères Lucchese ?
- J'men branle, allez bouge de mon chemin."

Une fois dans le bureau, les présentation s'effectue, sans aucune crainte, Philip s'exprime.

"- Hey, Émile, j'sais pas quoi, j'ai besoin d'm'entrainer, s'ont où les alternes.
- Bon, je parle affaire là, et j'm'appelle Emilio, les alternes sont au bout, va les cherchez et fait pas chier ducon."

En sortant du bureau, Philip attrape d'une façon violent le cols de l'associé à l'entré, puis le balance sur le sol. Il lui assène un coup de pied en plein menton, puis continue sa route hors du club. Quelque minute plus tard, les quatre hommes sortes du club avec Emilio. Très énervé, le chef des quatre pris la parole s'adressant à Philip.

"- Fils de pute, ta osé touché à un de mes hommes.
- Rentre bien tranquillement chez ta grand mère, mais calme toi."

Emilio, extirpe sont 9mm déjà chargé, puis il vide sont chargeur sur les quatre homme de dos. Les quatre hommes mort, leur business est terminé, et Emilio prend leur pars de marché. Malheureusement, c'était des petites frappes qui bosser pour les Varela. Emilio s'explique rapidement et clairement.

"- Ta mal géré l'embrouille Pépé Bulls, ta beaucoup à apprendre des affaires."