La dépendance à la drogue a son paroxysme.

Malcolm Rose, grandit dans une famille catholique très pauvre, et apprend très vite les valeurs de la vie. Malgré les difficultés financières de sa famille, Malcolm réussit avec brio ses études en mécanique et rencontre son âme-soeur.
Il ne tombe dans la drogue qu'après la rupture d'une relation de 7 ans avec sa petite amie. Il en perd la raison, mêlant à la fois une descente aux enfers dûe à la dépression, et un changement radical de sa vie, il touche à la cigarette, l'alcool, le cannabis, et enfin le crack. Devenant bordélique, et irresponsable, il coupe les ponts avec sa famille, et ses amis. Nous voilà, seulement 9 mois après cela...

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Âge : 22 ans
Lieu de résidence : 106 Acacia Avenue
Antécédents : Arrestation pour possession et consommation de stupéfiants

Description physique : Plutôt mince, amaigri par le crack, teint plutôt pâle, et allure d'une personne dépendante de stupéfiants. Porte souvent des vêtements larges, aux allures des gangsters des 90'. Sa corpulence reste néanmoins assez normale, les conséquences physiques de la drogue ne font que commencer.

Description mentale : D'humeur changeante, souffrant de bipolarité, dûe à l'altération d'humeur, après un certain temps d'arrêt de drogue. En situation de manque, Malcolm est réellement agressif et est prêt à tout pour trouver une dose. 

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La lueur du soleil traverse les rideaux translucides de mon salon. Les dernières heures de cette nuit ont encore été pénibles. Dégoulinant de sueur, de la tête aux pieds, un fossé me ronge depuis l’intérieur.
Ne pensant qu’à ça, encore et encore, je m’embourbe dans une impasse boueuse mais je tiens bon. J’ai perdu du poids, mes problèmes dentaires s’amplifient, et les problèmes d’argent s’amassent.
J’ai encore « cracké » hier soir, jeu de mot sarcastique. Je regrette. J’ai déjà pensé plusieurs fois au suicide, mais encore. J’ai échoué. Je veux arrêter. J’ai essayé maintes fois, j’ai toujours échoué. Maintenant, je vais réussir, ma détermination est forte. L’arrêt est proche, coûte que coûte. Je vais me faire soigner dans un vrai centre pour toxico, mais je n'ai pas cette argent, je vais devoir me débrouiller, je ne peux plus rien faire tout seul avec ce poids sur mes épaules, j'en suis presque épuisé.
« Aujourd’hui, la fin de 37 jours d’abstention me mène au cercle vicieux de la dépendance au crack. Je vais vendre de la drogue pour me soigner de ma dépendance, je veux me faire soigner et me reprendre en main, la vie en vaut la peine, se rabattre sur ses échecs n'amène rien de bon. 
La faiblesse à son paroxysme. »

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En rentrant dans mon appartement, je suis pris d'une colère incontrôlable. Mon médecin m'as dis que j'étais atteint d'une maladie que je ne souhaite pas évoquer. Il ne me reste plus beaucoup de temps à vivre. Le décompte a été donné ce matin à l'hopital. Durant la nuit de la semaine dernière, je me suis fait agressé, 3 balles dans l'abdomen. Les tests ont été révélateurs. N'aurais-je pas du, ne rien savoir, j'aurais été peut-être mieux. Mais je suis quand même heureux. On m'a entendu, je voulais mourir, j'en aurais donc pour plus longtemps.
Mais dans cette attente infernale, des projets inattendus me prennent au dépourvu. Je me sens plus libre que jamais, et je me sent pour la première fois depuis longtemps, un zeste de bonheur.

Aujourd'hui, j'apprend que je n'aurais plus à me torturer l'esprit pour mes projets d'avenir. Tout ne sera que à court terme. Super, je n'aime pas l'engagement de longue durée.

Aujourd'hui, j'ai 22 ans, et je n'en aurais probablement jamais 23.

Jolie background j'ai aimé l'histoire.