Ma vie sur Little Haïti ! -By Sneaz. [V2]

On en a fait des conneries quand on étais des gosses, au faites moi c'est Nate, mais mes potes dans le quartier m'appel Sneaz. Je suis né à Haïti, dans les banlieues ouest de Port-Au-Prince, j'y suis resté jusqu'à l'âge de 4 ans, avant que ma mère, et mon père aille s'installer sur Los Santos. Je ne suis pas riche, je ne suis pas pauvre, j'ai eu une famille moi aussi, mais au jour d'aujourd'hui, beaucoup de chose ont changer. Je n'ai pas décider de vivre comme mes parents le souhaité, j'ai tout fais pourtant, je suis allé à l'école, mais vers l'âge de 12 ans, j'en avais marre, de voir mes potes, mes breddah (Frères), se faire un paquet d'argent. La plupart avaient entre 14 et 17 ans, mais c'était impossible à tenir, je devais presque pleurer à mes parents pour avoir mon argent de poche chaque mois, qui était de 10$, alors que les autres toucher la même somme toutes les minutes. J'y ai céder, mais je ne regrette pas mon choix, dans les quartiers sales de Los Santos, on vit tous au jour le jour, un noir ne peux être riche, que si il sait rapper ou bien danser, un noir c'est censé être un Showman, moi je suis loin de tout sa. Je n'avais pas de bonne note à l'école, et cette envie de traîner dans les rues me poussait de jour en jour. A l'époque, vers le début des années 2000, nous étions qu'une minorité de noir dans le quartier, la plupart des jeunes dans la rue était mexicain, ou bien salvadorien, enfin je m'en foutais d'où ils venaient, j'aimé les voir se faire défoncé de temps en temps en les regardant à la fenêtre de ma chambre. J'aimé pas leurs styles, et je n'aime pas toujours pas si tu veux savoir. Reprenons, ma vie était un enfer quand j'avais 18 ans, mon petit frère Marwin, était très chiant, il avait à peine 12 ans, qu'il commencé à fumer, boire, avec sa bande de pote près de la 6Th sur Willowfield. Sa retombé tout le temps sur moi, "Nate c'est à cause de toi que ton petit frère est un délinquant, il prend exemple sur toi...", c'était vrai que je n'étais pas un saint, j'étais plutôt du genre excité dans la rue, je faisais le con, et la plupart du temps je me faisais remarqué. Je me suis fais souvent reprendre par les doyens du quartier, des baffes dans la gueule, j'ai dû en prendre des dizaines. Je tente de le cacher dans la rue, mais je n'ai pas un casier vierge, je suis déjà aller en maison de correction pour les mineurs, pour de multiples raisons, tapages nocturnes, jeux d'argent, vole, rackette, deal... Je me rappel d'un soir où je suis rentré chez moi, et mon père m'attendait, il devait être 4h du matin, ou peut être un peu moins. Il me demande de m'asseoir à côté de lui, il enlève ses lunettes, les poses sur son vieux journal de la veille qu'il n'avait pas finir de lire, puis il me dit "Fiston, je veux que tu vides t'es poches", je lui fais un signe de la tête en lui disant que j'étais contre, il me prit par la gorge avec sa main droite, et me mit un ou deux coups de poings dans le ventre, j'étais au sol. Tant bien que mal, j'ai dû executer ce qu'il demandait, j'avais un pochon de 3 grammes de cannabis, et le pire, un 9mm coincé à l'arrière de mon calecon. Sa n'a pas durer longtemps, je suis monté dans ma chambre, j'ai dû faire mes valises et partir vivre dehors, sans logement. Mes parents ne voulaient plus entendre parler de moi, pendant un certain j'ai dormis chez un pote de la 17th avenue, je n'avais que 18 ans, je n'avais aucun diplôme, aucun travail, et j'avais déjà un casier, j'étais pas prêt d'avoir une vie de riche, je vous le garantis.



C'est là que j'ai dû commencer à être intelligent, à arrêter de penser pour un petit délinquant, une petite baltringue, j'ai tout de même dû continuer à vendre de la drogue, aux doyens du quartier, mais ce n'étais pas un problème, je savais bien m'y prendre, j'avais mon petit crew dans le Ghetto, je devais survivre, c'est là que tu vois ceux qui t'embrassent devant, et ceux qui te poignardent derrière, c'est dans ce genre de moment que tu vois les malheurs, les crimes, et les délinquants dans un quartier défavorisé. Je me faisais peut être 1000, voir 2000$ par mois, j'étais loin d'être un gros vendeur, je faisais sa juste pour rembourser mon pote, qui s'appelait Hell à l'époque, de temps en temps j'allais faire les courses, sa m'arrivait même de croiser ma mère, elle me demandait de temps en temps des nouvelles, si tout se passais bien, mais en me répétant souvent la même chose "ton père est toujours furieux contre toi, tu sais", elle me disait aussi que mon petit frère faisait toujours des conneries dans le quartier, et il n'a pas fallut longtemps pour que cela se termine, mais enfin, gardons ce sujet là, pour après. Sur la 17Th, nous étions peut être 4 ou 5, je connaissais des jeunes comme Brid', ou bien Trey, des petits du quartier très sympathique, qui m'ont souvent aidés. Petit à petit, d'année en année, les haïtiens commencaient à reprendre le pouvoir sur Séville, début des années 2010, on comptait plus de noirs, que de latinos. C'était le moment de perceverais, de prendre les choses en mains. Un ancien du quartier maintenant, appelé Vell, et l'un de ses meilleurs amis Hustla, ont mis une influence sur Séville, venant de Miami, les "ZoePound", très connus au jour d'aujourd'hui, c'était difficile à une certaine époque, de créer un Crew comme celui-ci. Tout d'abords car les Haïtiens ne sont pas nombreux, de plus, les ZoePound est un gang, qui n'est pas assez réputés aux Etats-Unis mais ont étaient quand même confiant, et on savait à quoi s'attendre si quelque chose dérapé. Fin des années 2010, on avait récolté assez d'argent pour monté un centre de jeunesse, regroupant un baby foot, une salle de jeux avec la Playstation 2, ou bien un petit studio d'enregistrement, les jeunes ont vites étaient attirés, et aujourd'hui, ont les manipules pour en faire plus tard, des futurs ZoePound.



Ah les premiers mois étaient particulièrement magique dans le Crew, le leader du projet, Hustla a sa soeur chez les Bloods vers Idlewood, rien de mieux que pour commencer nos activités. On avait une protection immédiate, et à chaque petite attaque d'un crew ou gang rival, Bang Bang les bloods étaient là pour les flinguer. Nos premières embrouilles sont arrivés ici même dans le quartier, la 17th était composé des ZoePound, et au fond de la rue, les RoseburryRockets, deux crews très rivaux, le moindre regard pouvait partir en fight générale, mais la plupart, que ce soit d'un camp à l'autre, tenté de se contrôlait. On aurait pu largement faire équipe et monté un truc gigantesque mais on avait pas du tout les mêmes idées, et la manière de voir les choses sur Séville. La plupart de ces types venait de GlenPark, nous ont étaient de Séville, et seuls les vrais le savent, la 17Th et les blocs c'était tout pour nous, et on aurait pu y laisser la vie si il le fallait! Vers le mois de Juillet de 2012, on tente d'aller les voir pour discutés, et tenter de faire une trêve, mais leurs manque de respect leurs a coûtés la vie, on ne plaisante pas avec des haïtiens, ont vous l'a jamais dis? Le lendemain, dans la soirée, on est arrivé près des égouts, armé jusqu'au dent, et Criick Criick BoooM! Avec l'aide des Bloods, alors que c'étais que des provocations banales, ce qui s'est passé cette nuit là, a fini à 7 homicides, tous mort sur la 17Th, sauf un qui a essayé de s'enfuir, mais je l'ai rattrapé, il s'est enfermé dans un cul de sac, je suis descendu de ma voiture, il devait avoir 13 ou 14 ans, j'avais 20 ans, mais je l'ai quand même détruit, je l'ai battu à mort, puis je l'ai mis dans ma voiture, avant de l'enterrer dans le nord, dans les montagnes de NorthEast. Cauchemar? Non c'est la réalité, j'étais devenu un membre des ZoePound à part entière, j'avais mon bandana haïtien, et je traîné chaque soir avec mes frères, uni par un même lien, Little Haïti. C'étais le nom du quartier qu'on avais rebaptisé, nous étions dans la cour des grands. Pour en revenir à mon petit frère, il continuait à foutre la merde, et nous avais attiré les embrouilles avec les latinos à 2 minutes de là, c'étais plus possible, le Gang avant sa famille, ils ont dû partir de force, mes parents ne sont pas au courant de ce problème là, mais il le fallait bien, je sais qu'aujourd'hui il traîne sur Jefferson, et tente lui aussi de monter quelque chose, j'espère pour lui qu'il choisiras une autre direction car ce n'est pas toujours facile.



J'ai, et on a réussi à monter ce qu'on voulait, rien n'est terminer, et il va falloir du temps encore pour ce faire respecté, et avoir un nom dans toute la ville, et même ailleurs! Vell, le second leader du mouvement, fait de temps en temps des voyages à Miami, pour parler affaire avec les Top Gangster. Du temps a passé, et d'autres problèmes surgissent, ceux avec la 6Th, c'étais un mouvement de raciste blanc qui se créer là bas, tout aller très vite, et on commençait à avoir du mal par rapport eux, il fallut qu'un jour on s'arrête au Cluckin' Bell pour se rendre compte qu'on étais pas la bienvenue! L'un de nos petits par la même occasion c'est fait flinguer, on a dû réagir vite, mais qui se cache derrière eux? Qui sont il? C'étais un mystère, si ont les attaquaient, contre qui nous allions nous battre? Il fallait prendre notre courage à deux mains, et hors de question que les B' viennent nous aider, on devait se défendre à notre propre manière et à notre propre style, on commença à former des petits de 15, 16 ans, ont les entraîner à se battre, ou bien ont leurs apprenaient à dealer, des petits gangsters, mais il fallait que tout ces soucis, soit masqué, et on comptais sur les fédéraux qu'on avait dans notre poche, et les membres du mouvement pour calmer un peu le jeux. Puis chaque soir, on passait devant leurs rues, on devait être une vingtaine à tout cassé, il baissé les yeux presque quand ils nous voyait, on a vite compris que c'étais des petits joueurs, puis on a commencé à détruire en pleine nuit vers 4 ou 5 heures du matins leurs voitures, dégradés leurs bâtiments, on faisait tous sa à notre propre manière, c'est notre style ici. Notre communauté s'aggrandis de jour en jour, et notre mouvement commence à prendre de l'empleur, c'est sans compté grâce aux bloods que nous en somme là, c'est un gang puissant de Los Santos, ce qui nous a permis d'évoluer aux milieux de tous ces crews et gangs de la ville. Maintenant, je m'occupes des blocs, je suis respecté et j'aime plutôt ma vie, ce n'étais pas gagné, et c'est loin de l'être encore, il faut avoir de la patience, et ne pas devenir paranoïaque, car les tirs, les bastons se ressent chaque jour qui passent, déjà quelques négros ont perdu la vie, c'est souvent nous qui devons aller voir leurs parents pour leurs annoncés la nouvelle. C'est jamais marrant de faire sa, mais il le faut bien, on utilise ces petits c'est clair, mais dans la rue c'est la loi du plus fort.