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[Background libre] Vlad Svenn

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Message par OFV Sam 10 Aoû - 3:01

(( Ceci n'est qu'un Background public, aucun personnage n'a été joué pour celui-ci. Je fais sa pour l'écrit, peut être d'autres seront à venir. ))

**Un jour, lors d'une promenade à la campagne en famille, vous remarquez une petite maison partie en fumée. Vous prenez la peine d'arrêter la marche et de vous diriger vers celle-ci.**
**En regardant un peu les décombres, vous remarquez qu'il y a quelques pages de sorte d'un journal intime encore intact. Vous attrapez donc celle-ci, et essayez de rassembler toutes les pages de manière cohérente, et vous lisez celui-ci.**

JOURNAL DES COMPTES : MA VIE.
VLAD.S
DU DEPART A MON DERNIER SOUFFLE.

Moi, c'est Vlad. L'enfant de Volgograd. Ou plutôt ce qu'il en reste. Celui qui arrive à trouver ses pages, c'est qu'il a une sacrée paire de couilles pour mettre ses mains dans les flammes. Enfin, bref. Bonne lecture, ceci est ma vie. Quelle soit bonne ou mauvaise, foutez vous en. Elle est la pour raconter l'histoire à mes enfants, et à leurs enfants, et à leurs petits enfants.

2 Février 1945.

Le jour ou j'ai pointé mon nez à la surface. Si on peut dire sa comme sa, la guerre était toujours pas terminée, quand je suis 'sorti' du pauvre intérieur de ma mère, je me suis rendu compte qu'il n'y avait personne pour m’accueillir. Juste a part Simon, le médecin qui c'est occupé de ma mère durant l'accouchement. Savoir ou, et qui était mon père? Je n'en savait rien. Et je ne préférais pas le savoir. Ce jour n'était pas des plus passionnants, surtout à cette époque de guerre, ou c'était un peu le bordel partout, si on peut dire sa comme les choses sont.

12 Mars 1957.

J'avais 13 ans; la guerre finie depuis belle lurette, le beau bonnet tel un français pour aller à l'école. Qu'est-ce qu'ils me dégoutent, les français. Toujours la baguette et la pipe dans la main, enfin bref, ne nous écartons pas du sujet. Pour faire plaisir à ma mère, je me débrouillais pour ramener des notes au dessus de la moyenne. Peut être pas celle qui était la plus élevée de toute cette classe de connards d'envergure, mais je savais lui faire plaisir. Malgré mon caractère de porc, comme je vous écris actuellement mon récit. Les années passent, l'école continue, aucun moyen de se faire quoi que ce soit matière d'argent.. La jeunesse.

26 Octobre 1960.

Comment elle s'appelait, cette fille déjà... Lucia. Voilà. La fille dont je suis tombé amoureux. Cette fille, elle était dans ma classe, c'était un genre de fille à papa, bien fringuée, bien riche, belle cabriolet de dernier niveau, je me sentais pas vraiment à sa taille, côté richesse. Cette fille.. Comment dire, c'est celle qui a tout fait retourner en moi. Mais, je sait qu'elle ne s'intéressait pas à moi. Mais bon, je préfère plutôt me sentir seul, plutôt que d'être avec quelqu'un que vous vous sentirez obligé d'aimer jusqu'à la fin de votre triste vie. C'était un jour d'automne, ou la pluie faisait assez rage. Je l'ai vue. Son imper rouge, sans parapluie, marchant sous celle-ci. Pour une fois, je pouvais me sentir fier d'avoir quelque chose qu'elle, ne possède pas. Alors je suis arrivé, passé la parapluie au dessus d'elle, et fait la route avec Lucia. On a parlé, on a rigolé, je pense qu'elle avait un faible pour moi. Même si je suis vraiment idiot de croire sa dès le premier coup.

28 Octobre 1960.

Lucia, avait eu le numéro de téléphone de ma maison, de quelle manière, je n'en saurais pas plus. Elle voulais savoir si j'était disponible pour aller écouter un concert de Ray Charles, retransmis à la télévision. A l'époque, c'était pas vraiment l’électroménager  qui courrait les rues, à Volgograd. Alors, j'ai répondu oui. Avec sa, je sentais bien qu'elle avait un faible. Pourquoi moi? Je suis qu'un simple pouilleux des rues qui se contente de ramener des bonnes notes et être un bon fils pour rendre heureux une personne qu'on aime. Enfin bon. Une fois arrivé la bas, j'ai vu plusieurs voitures, des cabriolets, voir des berlines dans le contour. C'était un manoir immense, la ou Lucia vivait. Je me suis rendu compte, que les hommes de cet intérieur étaient massivement en amour total avec le noir, le costard, la cravate, et la chemise blanche. Je me serais bien cru dans la mafia.

27 Décembre 1960.

Un mois sans nouvelle de Lucia, jusqu'à son coup de fil, à ce jour. Elle me demandais, si je pouvais l'accompagner pour les 12 coups de minuits pour le nouvel an. J'ai répondu oui, mais je n'aurais jamais du faire sa. Mais, c'était uniquement à la fin que je me suis rendu compte qu'elle se foutait totalement de ma gueule, depuis le début. Je suis allée la voir, afin de discuter de ce qu'elle voulais faire avant les 12 coups. Je voulais tout faire pour qu'elle tombe amoureuse de moi. Elle me répondais qu'elle voulais diner dans un restaurant chic, longer les ports, voir la mer sous l'unique éclair de la Lune. La nuit parfaite.

31 Décembre 1960.

L'heure était enfin arrivée. Le jour ou je pouvais peut être enfin poser mes mains sur les hanches de cette fille, voir même l'embrasser. Or, cette soirée n'a pas vraiment été des plus belles. Arrivés au restaurant, nous étions en train de diner paisiblement, dans le calme, voir, parfois l'amusement ou l'ambiance paraissait bien. Jusqu'au moment, ou deux hommes, si je me souviens bien ils avaient une gueule d'italien, entrèrent dans le restaurant, et ont allumés tout le restaurant à coup de Ppsh41. Pour premier réflexe, j'ai attrapé Lucia par la hanche, afin de la couvrir, et de pousser la table afin de se protéger des balles. Hélas. Il était trop tard. A peine que j'ai eu le temps de l'attraper, elle était déjà sous le feu de la poudre, transpercée par la chevrotine des balles.
J'était pratiquement l'un des seuls survivants de cette attaque. Le sang, partout était dans le restaurant. J'en avais au visage, sur mon costume. Je n'en revenais tout simplement pas. La fille dont j'était amoureux, morte dans mes bras. Je ne pouvais pas me permettre de croire sa. Et à ce jour, ou je vous écrit ceci, je ne me le suis toujours pas pardonné.

4 Aout 1984

J'avais terminé mes études. Etant fier de moi, ayant enfin eu mon diplôme de droit d’exercer mon métier d'avocat, j'ai ouvert un cabinet à Volgograd, ville que je n'ai presque jamais quitté. Enfin, presque. J'était souvent appelé pour des meurtriers, ou pour des cambrioleurs, ou parfois même des violeurs. A croire que la ville ou j'ai logé depuis tout petit n'était pas réellement la ville que je pensais. Après tout. Le mal est partout, non?
Enfin bref. Jusqu'au jour, ou c'était pas vraiment l'appel que j'attendais de la journée. Le père de Lucia. Andrei si je me souviens de son nom. Son air hargneux, cupide et avide de sang froid. Il ne me plaisais pas. Il m'a parlé, de la fusillade qui avait eu lieu, il y a  24 ans. J'ai été appelé pour cela, comme quoi les meurtriers étaient enfin retrouvés, et prêts à être livrés à la justice. De quelle manière ils les ont trouvés, je n'en sais pas plus, mais je ne pense pas que c'était par des manières des plus légales.
Une fois jugés, nous étions sortis du tribunal, et j'ai vu la limousine chromée noire, d'Andrei. Il me donna de l'argent, afin de me taire sur l'acte qui va suivre. En effet, j'ai bien fait de devoir me taire. A peine que j'ai eu le temps de partir, et que les jugés furent sortis du tribunal, une fusillade a eu lieu, et ou les seuls tués n'étaient que les deux jugés. Peu à peu, je discernais la véritable face de la famille de Lucia.

13 Septembre 1997

Je me suis rendu en Amérique, tentant d'échapper à tout cela, avec ma mère. Lui disant que nous serions mieux là bas.
Entre tout ce temps,  j'ai pu me trouver une femme, et lui faire deux gosses insupportables. Même si cette histoire leur est destinée, il comprendront à quel point ils me faisaient chier, de leurs 4 pattes à leurs pieds.
J'ai gardé mon simple travail d'avocat, je travaillais comme un honnête citoyen, même si la plupart des gens me traitaient d'immigré. J'en avait marre. J'ai donc renoncé à mes racines de la mère patrie pour devenir un véritable citoyen Américain. Payer mes impôts, avoir une belle maison, un chien, la belle voiture, la femme avec l'énorme poitrine. Enfin, le rêve américain quoi. Mais pour moi, sa n'a pas été le cas.
Au fil du temps, j'ai appris à vivre, à me débrouiller seul. Ma femme me quitta à l'âge de 62 ans, condamnée par la drogue, morte d'une overdose. Après, mes enfants sont partis vivre ailleurs, avec une autre famille, des nouvelles d'eux? Je n'en n'ai aucune idée. Plus de nouvelle depuis qu'ils ont franchi le seuil de mon balcon. Vivant seul, j'ai renoncé à mes droits d'avocat, et m'impliqua dans multiples fraudes actions. Menant ma vie à l'échec total, et à la honte pour ma famille. J'ai décidé d'y mettre un terme.
Ma fin à été dans ma maison. Ou je me suis suicidé en brûlant celle-ci. Ceci sont mes mémoires, gardez les précieusement ,et racontez mon histoire par les multiples âges.

Vlad Alexei Svenn. 1945 - 2002.
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Date d'inscription : 05/08/2013

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