Sylia.M ✯ Hoy Ło Sieиto (Chapitre II)

▪ J’étais mal ce jour là,  ce jour ou j’ai appris que j’avais été refusé pour l’entré à l’académie, la déception et la colère me rongeais de l’intérieur. J’étais si sur de moi, j’avais pris confiance. J’avais tout donné pour pouvoir intégrer les forces de l’ordre. Tout ces entrainements, tout ces leçons, pour au final, même pas avoir une chance.. J’aurais voulu rendre ce père fier de moi en suivant ces traces aux seins de la police département de Los Santos. Seulement avec un refus, comment aurais-je pu lui faire honneur ? Les questions trottinaient dans ma tête, pourquoi ce refus ? Etait-ce le bon chemin à prendre ? Je me suis même mis à penser qu’en faite mon père adoptif y serrait pour quelque chose… C’est quelques jours plus tard ou j’ai repris mes  affaires et me suis réinstaller à Willowfield. Tout doucement j’essaye de tourner les pages concernant l’homme qui ma adopté. Seulement après avoir eu autant d’affection et autant d’amour venant d’un père c’étais impossible d’oublier. On ne pouvait pas comparer tout ça avec ce que mes vrais parents me donnaient dans mon enfance. Je dois vous avouer qu’il à réussi a me montré qui j’étais vraiment, il à pris une énorme place dans ma vie et j’en garderais que du bon. Parfois j’essaye encore de l’appeler, ou essayer de le croisé ne cesse qu’une fois. Mais pour lui j’ai compris que j’étais déjà morte… J’aurais tant voulu qu’il accepte qu’en faite la vie qu’il voyait pour moi n’était peut-être pas réellement celle qui me fallait.  Ce sont nos deux mondes différents qui font que nous pouvons plus vraiment ce côtoyé.

▪ Depuis mon retour à Willowfield, j’ai commencé à  refaire ma place tout doucement. J’ai réussi à avoir le respect, j’ai eu mon deuxième initiation devenant une Lil’Cycas.  J’ai reçu plus de responsabilité. J’ai réussi à obtenir leurs confiance, et j’ai réussi à leurs prouver qu’ils avaient la mienne. Je me suis mis rapidement à m’intéresser aux tattoo’s, et j’aimerais bien en faire quelque chose. Oui, je me dis même que je pourrais m’ouvrir un petit salon plus tard. Mais j’ai encore du boulot et sa risque de prendre du temps. Plus les semaines passaient et plus je me sentais faible, Severo mon compagnon s’inquiéta de plus en plus pour moi. Mais cette inquiétude ne semblait pas lui traverser l’esprit le soir ou il à oser poser sa main sur ma gorge venant l’étrangler lentement. Je voyais son visage qui devenait trouble, j’avais du mal à respiré.  C’est quelque chose que je lui pardonne, mais n’oublie pas. Car depuis cette instant je commençais à douté. Je me dis que si il à pu me faire ça, une autre fois il pourrait aller plus loin. Lors-ce qu’on à pris rendez-vous chez le médecin on nous apprend qu’en faite j’étais entrain de faire un déni de grossesse. Etais-ce  la faute à que j’avais déjà perdu un enfant au paravent ? J’en sais rien, mais ce que je savais c’est que cette enfants je le voulais vraiment. Espérant que cette enfant aurait une meilleure enfance que la mienne.