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Nate Greaney: Just one direction, hell.

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Manolo Sandoval
Faradji Ibraham
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Nate Greaney: Just one direction, hell. Empty Nate Greaney: Just one direction, hell.

Message par Edward Heldwey Jeu 3 Oct - 18:16

Nate Greaney: Just one direction, hell. Bar_bm10

« Autant que je me souvienne, j’ai toujours rêvé d’être un gangster. »
Il fût un temps ou nous avions pour habitude après le travaille de tous nous retrouver au tour d’un verre afin de parler business et tout ce qui pouvait rajouter une petite somme à nos fins de mois désastreuse. A l’époque on ne pensait pas trop aux femmes, on était plus dans l’idée de se faire beaucoup d’argent. D’ailleurs on savait bien que tôt ou tard elles viendraient d’elles même, il suffisait juste d’être pleins aux as : la femme c’est comme l’âne, si tu as une belle carotte je peux t’assurer qu’elle s’approchera de toi de sa propre personne. Faut dire qu’on était une belle équipe d’ouvrier, cinq si je me rappel bien, tous d’origines Irlandaise sauf un qui était Américain pur souche. On travaillait tous dans une usine de poissons, à devoir trier les boites et s’assurer que le chargement se passait en douceur, le travaille bien merdique mais bon on s’impliquait tous dans cette merde, faut dire qu’on n’avait pas le choix car le patron était un putain de vrai Irlandais, un pingre comme pas deux et il n’hésitait pas à nous rappeler chaque matin pourquoi on était là. Bref, revenons à nos moutons, comme je te disais, on avait pour habitude de tous nous retrouver après le travaille, si je me souviens bien, on allait tout le temps au bar de Bernie Gumps, The Mussel. Ce bar était plutôt attrayant à vrai dire, il y avait toujours les même gueules, je me voyais encore en train de discuter avec un des gars que j’avais l’habitude de retrouver, il était toujours placé à ma gauche, Joe Ashton. Ce type là, il n’y en avait pas deux comme lui, toujours en train de répéter de vieilles anecdotes de sa grand-mère, une sainte femme qu’il disait, je le considérais comme mon meilleur ami. A ma droite, il y avait Frank Fitzgerald, le type le moins bavard que je connaissais et c’était un avantage dans la vie de tous les jours, je peux te l’assurer, parce que quand il ouvrait sa bouche c’était rarement pour dire de la merde, d’ailleurs je n’avais jamais rencontré une personne qui avait eu les couilles de le couper ou le contredire, je n’arriverais pas à imaginer ce qui arriverait au pauvre type qui aurait eu l’audace de la ramener. A sa droite on pouvait voir Mikel Conny, ce type était un putain de bavard je vous jure, il y a des jours j’avais envie de lui dire de fermer sa gueule mais comment faire ça à l’homme qui venait d’épouser ma sœur et qui en plus entrait dans les plans du « chef » du groupe : James Red. C’était donc une belle petite équipe que j’avais là, je n’aurais jamais pu imaginer que le temps nous séparerait par la suite, d’ailleurs je pensais finir ma vie, moi, le jeune Irlandais de 25 ans, dans cette putain d’usine pour poisson mais bon apparemment le bon Dieu avait choisis autre chose pour Nate Greaney.

Si il y a bien une chose qui me revient à l’esprit chaque fois que je range se foutu poisson dans sa barquette, c’est bien évidemment l’embrouille qu’on a eu avec des gars des quartiers nord de Boston. On était pas du style à chercher les emmerdes mais on avait certaines habitudes que l’on aimait bien respecter, une sorte de rythme de vie inébranlable et frénétique, comme des robots dans les films de Science Fiction (malgré que je ne sois pas un grand amateur de ce genre de film). Comme je disais donc, des types étaient venus nous voir un jour pendant qu’on était entrain de livrer une cargaison importante de poisson moi et Joey (cf : Joe Ashton) pour essayer de prendre la marchandise à un prix plus bas, ayant une mission à accomplir on leur avait fait comprendre avec embarras que cela n’était pas possible, c’est là que les emmerdes ont commencés. Au début, je pensais qu’il allait partir sans demander leur reste mais je m’étais bien trompé, tout de suite après, un type avec une veste en cuir marron essayait de nous faire descendre de notre camion, Joey a alors donné un coup d’accélérateur et on a pu s’enfuir. Depuis ce jour là, j’avais l’impression d’être suivis dans la rue. Je ne pouvais pas marcher seul sans me sentir en sécurité, je sentais une ombre derrière moi, comme ci un type me suivait et attendait le bon moment pour me sauter dessus. Ce sentiment d’impuissance et de frustration, c’était bien ça que je ressentais.

Chaque début de mois, on recevait notre paye à l’usine et je peux te dire que ce n’était pas fameux tous les jours, on avait entre 700 et 900$ par mois en plus des revenus à côtés et malgré tout, il en fallait toujours plus. En fin de compte on aurait pu penser que nous étions cupides et radin mais non, nous voulions juste une chose : le respect. Ce mot là avait peu de valeur à mes yeux, jusqu’au jour ou Frankie (cf : Frank Fitzgerald) me le fit comprendre. On était tous les deux à l’église un Dimanche, priant comme à notre habitude pour notre Dieu tout puissant mais ce jour là n’était pas comme les autres. À la sortie de l’Eglise, un type bouscula Frankie sans même s’excuser, pour des personnes normaux, vous vous direz juste que c’est ça le manque de respect, mais pour un type comme Frankie ça aurait dut être peu si le type n’avait pas par la suite insulté mon ami de tous les noms d’oiseau alors qu’il n’était même pas en tord. A ce moment là, j’ai vu dans les yeux de mon ami celtes que l’homme avait fait une grosse erreur ce jour là, Frankie lui fit signe de venir dans un coin pour s’expliquer et ressortit seul de la ruelle. Ce jour là, je n’avais même pas dédaigné de lui demander ce qu’il s’était passé, mais j’avais appris une belle démonstration du mot respect. Mon père me répétait souvent qu’il valait mieux être craint qu’aimer, ce qui veut dire en quelques sortes qu’il vaut mieux que les gens te fassent paraître leurs admiration pour toi plutôt qu’elle soit réelle mais pas fidèle, l’être humain est cupide et traître mais quand il est effrayé, c’est tout autre chose. C’est donc de là que je m’étais enfin fixé un objectif stable pour ma vie futur, être respecté.


Spoiler:


Nate Greaney: Just one direction, hell. Irland10

Chapitre I: Welcome to Los Santos


Après quelques heures de trajet j’étais enfin arrive à Los Santos, l’avion était tranquillement en train d’arriver sur la piste que j’admirais le paysage à travers mon hublot, regardant les hauts gratte-ciel et la forme spécial que pouvait avoir cet aéroport. Sortis de l’avion, je me dirigeais vers la salle principal de cet aéroport afin d’aller récupérer ma valise, un simple sac de sport. Faut dire que ma salope d’ex-femme ne m’avait pas laissé plus que ça, j’avais juste eu l’occasion de ranger quelques habits, rien de plus mais bon: qui disait Los Santos disait nouvelle vie. J’étais donc enfin partis de Boston, 30 ans (Depuis que je suis tout petit) que j’habitais là-bas et je n’avais jamais connu d’autres villes que celle-ci, c’était l’heure du renouveau. Après avoir pris mon sac de sport, j’allais en direction des guichets pour les nouveaux arrivants, je fis tamponner mon passeport et sortis de l’aéroport. Gardant un certain style dans ma façon de marcher, j’introduis ma carte dans un distributeur de billet tout proche d’ici pour retirer quelques dollars, il fallait que j’appel un taxi pour aller en direction de mon nouvel appartement. Après quelques minutes d’attentes et quelques coups d’œil interminable à cette foutu horloge dessus l’entrée de l’aéroport, mon taxi arriva enfin ! Un taxi jaune avec écrit en gros dessus « LSTA », on pouvait voir un chauffeur de type caucasien avec un regard des mauvais jours, il se garda de m’imprégner de sa mauvaise humeur et m’invita à entrer dans le taxi. A partir de ce moment là, il bidouilla quelques secondes sur son compteur, me demanda l’adresse où je devais me rendre et partit sans dire un mot, écoutant une vieille musique à fond dans le taxi sans même me demander mon avis. De toute manière je ne lui aurais sûrement pas répondu, j’étais absorbé par le paysage. Jamais je n’avais vu une ville aussi grande, les maisons, les restaurants les voitures, même les nuages donnaient une impression de grandeur ! Je me sentais dans un nouveau monde, je ne croyais pas ce que j’étais entrain de voir, cette ville était la réincarnation même d’une nouvelle vie, c’est donc là que je compris pourquoi mon grand père voulu partir d’Irlande pour aller en Amérique: c’était donc ça le rêve américain. J’arrivais enfin à destination que le chauffeur se retourna rapidement vers moi, me regardant de haut en bas comme si il n’avait pas eu le temps de m’examiner sur trente minutes de trajet, tendant sa main droite et secouant la tête en direction du compteur pour me montrer le prix du trajet. Ce type là aurait pu recevoir un pourboire si il n’avait pas eu un caractère aussi goujat envers moi, je décidais donc avec lucidité de lui donner au dollar exact le prix du trajet avant de sortir du taxi avec mon sac de sport à la main gauche. C’était donc ça Green Alley, le quartier qu’y réunissait 85% de la population irlandaise de Los Santos. Il n’était pourtant pas très grand mais les affiches et les magasins donnaient une forme de vie particulièrement sympathique ici, je ne pouvais retenir mon sourire en voyant ce magnifique coin. Les gens étaient particulièrement souriant, ce qui était étrange pour des irlandais, je voyais bien que la vie ici devait être un réel plaisir. J’avais à peine eu le temps de déposer mes valises que la sonnette de mon appartement commençait à résonner. Ne voulant pas de visiteur pour le moment, j’avais juste à jouer le jeu du type absent et le tour était joué sauf qu’il en fallait plus au type derrière la porte, il continuait de sonner frénétiquement pendant une demi vingtaine de minutes, le temps qu’il fallait pour que je me mette en tête d’aller l’ouvrir. Attrapant la poignée de cette vieille porte d’hôtel moisis, je tournais lentement la poignée et ouvris la porte, m’arrêtant juste assez pour que la tête de l’homme puisse se voir.  Cet homme, il s’appelait Mickey O’Riley. Dans le quartier c’était un type assez admiré des gens mais pas trop fréquentable non plus, on avait plus tendance à le saluer de loin avec sa main plutôt que de lui faire la bise si tu me suis. Je ne savais pas ce qu’il me voulait, j’avais juste entendu parler de lui entre deux bars à mon arrivé. L’homme me regardait de haut en bas sans dire un mot, je n’osais pas ouvrir un dialogue... J’attendais qu’il commence à parler. Il caressait lentement sa moustache, me regarda d’un air supérieur et me fit signe de le laisser entrer. J’exécutais ses paroles sans dire un mot, il aurait pu me demander de me jeter du haut de l’Empire States Building que je l’aurais fait sans prononcer la moindre réclamation. On discutait tous les deux pendant, assis sur ma petite table de salon, l’homme était visiblement venu avec une idée bien précise en tête.


Mickey: C’est toi le nouveau qui vient d’arriver sur Green Alley ?                                                                
Nate: Ouai c’est moi-..  Et tu es le dénommé O’Riley non ?
Mickey: Yep’ mais dans l’coin on m’appel Blue, alors reste dans cette optique là.                                  
Nate: No soucis, en quoi puis je t’aider ?                                                                                                
Mickey: Oh tu sais, rien de spécial, je voulais juste voir la tête que tu avais et me présenter à toi, sache juste qu’on se reverra souvent si tu comptes vivre ici.


Il était calme et avait une certaine capacité à rester sérieux en toute situation. Il partit sans que je le raccompagnais, j’étais dans mes pensées essayant de comprendre ce qu’il voulait dire par « se revoir souvent ».  Au fond du salon se trouvait un bureau atypique aux années 80, il était marron avec quatre pieds en forme de « v » à l’envers. Je m’approchais de ce dernier lentement, pensant encore à Mickey avant de déposer mes fesses sur le vieux siège assortis au bureau. Mon corps était chez moi mais mon esprit était ailleurs, dans un autre monde. J’envisageais mille possibilités pour qu’un type peu fréquentable comme lui vienne m’adresser la parole et en même temps, il fallait que je me cherche un travail pour payer mon loyer. Me relevant de ma chaise de bureau, je partais en direction de la porte pour sortir et intégrer la ruelle peu éclairé, longeant Green Alley. Un kiosque de journaux n’était pas très loin, je partais en direction de celui-ci d’un pas à la fois lent et déterminé, je ne voulais qu’une chose, vite rentrer chez moi. Il faut dire qu’à ce moment de l’année le froid commençait à arrivait du côté de Los Santos, le magnifique soleil, les filles en bikini ou encore les soirées sur la plage étaient en train de se transformer en neige, pull et soirées PlayStation entre potes. Arrivait devant le kiosque, j’élançais ma main afin de prendre un journal bien précis, sans remarquer l’homme à ma droite contre le mur qui fumait une cigarette Marlboro. Il me fixait pendant tout le temps où j’étais devant le vendeur, il avait un regard perçant et savait l’utiliser à merveille visiblement. Après que j’eus acheté mon journal, il jetât sa cigarette sur la route et s’approcha de moi.


Dernière édition par Nate Greaney le Sam 12 Oct - 18:40, édité 6 fois
Edward Heldwey
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Message par Edward Heldwey Jeu 3 Oct - 18:39

Réservé
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Message par Aiden Gatens Jeu 3 Oct - 18:59

Pink Cap se met au old-school picture maintenant.. Beau gosse mon pote !
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Message par Faradji Ibraham Jeu 3 Oct - 22:06

J'ai tout d'abord une préférence pour la mise en page qui reste simple mais très originale, la lecture ce fait toute seule et l'envie d'en savoir plus est au rendez-vous, excellent Background.
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Message par Invité Jeu 3 Oct - 23:00

nul

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Message par Manolo Sandoval Ven 4 Oct - 7:57

Bien.
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Message par Edward Heldwey Ven 4 Oct - 19:11

Victor Ferrante a écrit:nul
Merci à tous pour vos commentaires encourageants qui me donnent envie de poursuivre mon background !!

@Victor : J'te croise IG, j'te DM !
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Message par John Defendis Ven 4 Oct - 20:15

Agréable à lire, je t'encourage à continuer.

______________________________
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Message par Edward Heldwey Ven 4 Oct - 22:02

Edit : Ajout de deux autres informations pour compléter ce "synopsis".
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Message par Robert Hackett Sam 5 Oct - 12:48

Ca se laisse lire, bien joué.

Robert Hackett

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Message par Edward Heldwey Sam 5 Oct - 14:19

Edit : Rajout du début du premier chapitre.

Merci pour vos messages, ça m'encourage vraiment à continuer cette histoire ! J'accepte toutes critiques me permettant d'améliorer mon travaille !
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Message par Edward Heldwey Sam 12 Oct - 18:41

Edit : Développement du 1er chapitre et correction générale du texte (principalement pour les fautes de temps).
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Message par Craig Massey Ven 18 Oct - 23:16

J'aime beaucoup.
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