Erick Gagliardo : The wind turns my pages. [CHAPITRE 3]

par Faradji Ibraham Sam 12 Oct - 16:01

Chapitre 1 : La tentation du pêcheur.

Il était un monde où les hommes se servaient des femmes pour agrandirent leurs tribus.
Il était un monde où les hommes allaient à la chasse pour combler la faim de ces tribus.
Ce monde est définitivement clos.

Aujourd'hui, tout tourne autour des rêves, la richesse, la popularité, l'amour et la passion.
Pourquoi n'ai-je pas fait comme tout ces débiles sociaux travaillant à l'école pour terminer leurs vies gâchées dans des bureaux?
La vérité est dût au faite que je respect entièrement le passé de notre espèce, se battre pour vivre.
Nous devons aller chercher notre propre nourriture et pas se la faire importer par des esclaves en marges de la loi.
Si aujourd'hui je me retrouve sans manière rentable de me faire de l'argent grâce aux mensonges des études, c'est que je ne veux pas mourir en ayant rien accomplit d'un être humain, de mes gênes.
Tout débutera hier ou demain, mais ce jour arrivera, le jour où je trouverais assez de forces en moi pour détourner les voix du gouvernement et de me faire de l'argent.

Dieu et le Diable n'existes pas, ce sont les fruits de nos imaginations pour oublier la merde que nous avons créer.
Seul la vie et la mort existe, et ça vous ne pouvez pas le rater.

Chapitre 2 : Le détour d'une vie.

Le début d'une histoire commence toujours par "il était une fois" ou "tout commence" mais la mienne ne commencera pas comme cela, chaque choses doivent êtres tirées chacune à leurs tours.
Le faite que je ne suis pas une personne banale dans cette ville de Los Santos me permet de juger celles qui le sont sans trop de remords.
Gagliardo, la famille Italo-Américaine, travaillant à la chaîne comme tout les cas sociaux que nous pouvons trouver aujourd'hui, est-ce une blague? La réalité me joue des tours? Pourquoi devrais-je emprunter un chemin différant?
Les questions de la vie m’hypnotise à un point où je ne sais plus qui je suis et pourquoi suis-je là.

Entamons le sujet des guerres d'aujourd'hui, chaque peuples doivent montrer leurs puissances et ne résistent pas au fait d'être éblouis par d'autres peuples plus grands. C'est avec dégout que je regarde les informations sur la chaine 22 tout les matins en buvant mon café amer, le chauffage allumé, mon écharpe piqué de moisissures.
Je ressens parfois l'odeur de la liberté dans mon appartement surplombant ces poubelles au coin de la rue, les vitres givrées d'une brume épaisse et flatteuse, surement un message d'une résistance chimique.

En enfilant ma vielle veste en cuir, en sortant au rez de chaussé, en regardant toute les personnes défilants devant moi sans trop me prêter d'intention, cela m'énerve, j'aimerais que l'on me regarde comme je le mérite et pas du tout comme je ne le mérite pas.
Je suis un homme, j'ai un pénis et des testicules comme tout les autres, ma force fait mon avantage, je remercie encore les quelques combats de boxe que je faisais au coin du boulevard de Delfino Street.
Je me souviens encore du premier combat poids léger que j'ai fais, une victoire au second round, par ko.
Mon entraineur disait que j'avais un bon crochet du droit, c'était en ma faveur.

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Chapitre 3 : L'avantage du vainqueur.

C'est après avoir accomplit mon tout dernier combat de boxe que je fis la rencontre d'une personne aimante et joyeuse.
Cette femme d'origine Irlandaise, les yeux bleues avec une légère touche Algérienne me faisait penser que la vie valait la peine d'être vécue et qu'il ne fallait pas baisser les bras pour peu de choses.
Nous fîmes l'amour pendant toute une nuit comme des bêtes affamées, nous avons pris chacun de l'argent pour aller en voyage sur Las Venturas dans un hôtel 4 étoiles qui surplombait la mer.

Après avoir sorties de ce merveilleux endroit, ma copine fût monter dans un taxi, deux hommes sortant d'un braquage de banque cagoulés et armés de fusils à pompes firent monter dans ce même taxi et tuer ma complice de deux cartouches dans la poitrine, elle qui était inconsciente fît projeter sur le,trottoir via les coups de pieds de l'un des deux braqueurs.

Ma vie a changée en l'espace de 5 minutes, comment une belle histoire finie sans générique de fin? Pourquoi elle et pas une autre? J'avais les larmes aux yeux, la haine sur le visage, en courant derrière le taxi, je fis agripper la jambe de l'un des deux braqueurs qui lui, fût projeter sur le trottoir à son tour.
Après plusieurs coups de poings au visage de l'homme, ou plutôt sur sa cagoule, celui-ci fît lâcher son arme que je pris sans hésitation pour vider les deux cartouches le comportant dans sa poitrine.

La police fût arrivée sur les lieux, je pris une peine pour légitime défense et je suis sortis sous 48 heures avec la caution d'un ami.

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par Faradji Ibraham Sam 12 Oct - 16:04

Je garde cet emplacement pour la suite de l'histoire.

par Invité Sam 12 Oct - 17:18

C'est pas mal, je t'encourage à poursuivre.

par Prospero Morales Sam 12 Oct - 21:12

Vraiment bien.

par Marcus Rashard Sam 12 Oct - 23:42

Vraiment bien , Bonne continuation L'amis

par Faradji Ibraham Dim 13 Oct - 3:01

Vos messages me font plaisir, je rédigerais la suite quand l'inspiration me prendra, ce qui est au rendez-vous c'est temps-ci.

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