[Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
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[Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Mardi 08 décembre 1962, une date remarquablement difficile mais en même temps, tant inoubliable.
A l'aurore, les cris de Julia résonnèrent dans notre modeste logement, ancien de plus d'un demi siècle. Il ne m'aurait pas étonné qu'un décibel de plus, pu faire s'ébouler la cloison et briser les vitres en milles éclats. Sous l'effroi, je fus incapable de réaliser la moindre action. Pourtant, c'était le moment. Rien ne pouvait empêcher cette sortie. C'est ainsi qu'une chose transcendante réussit à bouger mes mains. Je me retrouvais armé d'une serviette humide, de lingue, me voilà transformé en sage-femme. Jamais je n'ai su faire ces manœuvres auparavant. Mais ce pouvoir surpassais ma faible expérience en la matière, ce néant. En effet, j'en connaissais la théorie. Il m'est arrivé sans doute de lire quelques bouquins sur le sujet...
Mais je crois que les sentiments, la peur, l'amour, et cette précipitation... Formaient un rempart à la réflexion. Un jour, je crus comprendre dans un livre d'arme, dont l'auteur m'est oublié, que l'instinct était chez l'Homme, la chose la plus parfaite qu'il soit. Car contrairement à notre réflexion, l'instinct n'est pas réfléchit. C'est peut-être pour ça que l'animal ne se trompe que rarement.
Ici, je peux le dire. J'étais devenu une bête. Je représentais à moi seul, la bête en l'Homme. La sueur découlait sur mon tégument, parfois même sur le bassin de ma tendre. Mes mains moites fut-elles, ma respiration aussi bruyante que celle d'un buffle, le regard s'agitait là où il percevait une quelconque action, mes oreilles frémissaient à l'ouïe d'un son aussi faible qu'il était...
Sa douleur semblait si intense, et la propulsion éminente, qu'il ne fut que quelques secondes pour qu'un frêle petit être aux yeux si doux se retrouve dans mes mains. Remplaçant alors les cris de Julia, mais pourtant ce cri strident n'était point perçu de la même manière. Celui-ci m'adoucissais, estompant mon comportement instinctif. Ou alors, était-ce l'instinct paternel? La réponse m'échappe. Qu'importe, mon regard s'éblouissait face à cet enfant. Nous étions en symbiose, ma peau contre la sienne, si chaude. Je le berçais, me projetant déjà dans l'avenir.
Pourtant, là aussi je n'avais jamais su faire ça auparavant. Mais cela me paraissais naturel. L'Homme est parfois si complexe que nous ne nous connaissons jamais assez... En faisant sa rencontre, je découvrais une nouvelle page de moi même.
La longueur de mon doigt effleurais avec tant de bienveillance ses tendres joues. Et de ma bouche je prononçai un son: Ernesto.
Les hivers passèrent, plus d'une décennie ensemble. Je ne sais comment conter l'intégralité de ces années tant elles furent complexes.
J'ai apprit ce qu'était l'éducation, ses joies mais aussi ses tourments. J'ai apprit ce qu'était compter sur l'aide d'autrui, tout comme ne point recevoir cette bienfaisance. Julia était une femme appréciant la vie au plus haut point. Contrairement à moi, elle savait déceler la beauté d'un arbre, s'en satisfaire et encore plus, s'en rendre heureuse. La perception de certaines choses suffisaient à faire d'elle une femme épanouie. Néanmoins, elle manquait singulièrement de vaillance.
Au moindre échec, le vague à l'âme prenait le dessus. Ses capacités à se rendre si facilement heureuse s'envolaient aussi rapidement qu'elles apparaissaient. Je n'avais point les mots pour lui revêtir ce bonheur. Comment était-il possible pour moi de l’apaiser alors que je n'étais qu'un sombre lâche? M'enfuyant dans mes livres dès que les nuisances survenaient. Me bâfrant de mots, de tournures de phrases, de poésies, d'idées, de songes... Ma vie n'était qu'une chimère assez grosse pour cacher mes misères.
Cela ne m'a pas étonné de me lever un jour, les draps froissés suite à son départ. Notre chambre se vidait, mais de quoi? Notre antre n'était que soulagée de quelques mauvaises ondes, les miennes encore présentes. Seul un noyau subsistais: Ernesto. Mais je pense que la lumière n'était point suffisante pour qu'il puisse se développer convenablement. Ne sachant même pas ce que ce noyau pouvait contenir, moi, son père.
Les pensées fusèrent en moi, comment allais-je annoncer à ma progéniture que son autre n'était plus? Comment lui faire accepter un acte que moi-même ne comprenais qu'à moitié?
Cela fut un travail difficile, les premiers mois étaient remplit de silence. Nos dîners étaient vides, nous entendions que le bruit des couverts frappant nos assiettes bon marché.
Je n'ai eu que d'autres solutions que de me donner comme objectif: faire d'Ernesto ma copie. Là une grande erreur. Faire de son fils, l'homme que je suis? L'être malheureux qu'est Maximillian. Mais dans un quartier si malfamé que le notre où trois quart des enfants étaient fatalement destinés à s'introduire dans un gang local, ou bien se condamner à ingurgiter diverses substances, des méthamphétamines, pourquoi pas...
C'est pourquoi il se devait non pas d'ingurgiter des drogues, mais de se contenter à lire le plus de livres que possible. Toute ma bibliothèque lui était destinée. S'il n'avait pas lu au moins deux livres par semaine, c'est bien qu'il était malade.
Je projetais en lui tout mon malheur, alors que ma volonté était juste. Mon dessein disait de lui un homme heureux pour plus tard. L'éducation c'est se soucier du futur de sa progéniture. Je rêvais pour lui d'une carrière flamboyante d'avocat ou de juge, un chemin plein de victoires, remportant tout les mérites de notre société, se voyant décerné de titres l'embellissant.
Mais au présent, je ne constatais qu'un jeune être touchant l'adolescence du bout des doigts. Lisant des livres qui n'avaient que peu de sens à ses yeux, évidemment qu'elle est l'utilité de se faire des idées sans en avoir eu l’expérience?
Peut-être savait-il ce qu'était l'amour selon Shakespeare, mais savait-il réellement ce qu'elle était en notre conscience?
Peut-être était-il capable de me réciter les pensées de Socrate ou bien des passages de "La République" de Platon, mais était-il capable de comprendre ce qu'était réellement la justice? Celle rendue lorsqu'un meurtrier est condamné justement après avoir éteint la lumière d'un parent: son enfant? Non je ne crois pas.
Ce garçon ne connaissais pas la liberté. Aujourd'hui je n'ai pas de mal à me voir tortionnaire, j'ai emprisonné mon enfant derrière des pages et des liures, bien que le sens soit figuré, il pourrait se voir au sens propre. Il ne connaissais pas la beauté de la vie, ce que le monde lui réservait. Cela n'était pas impondérable, mais moi même je dédaignais la vie.
Une seconde fois, cela ne m'a pas étonné de voir mon second partir. Celui-ci me prétextais un voyage d'étude. Il avait décidé de s'installer le temps de son cheminement, sur Madison. C'est ainsi que plus de 4000km nous séparaient. Je n'aurai pas de mal à vous répondre que cette distance était similaire à celle entre moi et lui, intérieurement. Je n'ai jamais su lui donner l'amour qu'il méritait, la réponse fut réciproque.
Lundi 04 janvier 1985, déjà quatre années d'études en alternant la philosophie et l’ethnologie. Je ne saurai vous décrire ma stupeur ces années-ci. Penser qu'Ernesto se décide à balayer le chemin de son père était vain, lui qui pourtant considérait Aristote comment élément de torture, l'écartèlement n'étais qu'une peccadille à coté. Néanmoins il est important de vous souligner qu'Ernesto s'était familiarisé avec un vieil homme, un professeur de philosophie antique me disait-il. Cela ne m'étonnerait pas qu'il ait été un professeur de vie. L'homme lui donnant les clefs du bonheur et de la sagesse éternelle. A travers ses rares lettres, Ernesto me le décrivais comme un vaillant penseur. N'ayant crainte d'affronter quelconques argument, un homme arborant un sourire naturel, un sourire ne sachant disparaître face aux tourments. Un homme d'une simplicité extrême, j'ai d'ailleurs été étonné lorsqu'il prit l'image de Socrate pour insister sur sa simplicité.
En soi, il me le décrivait comme le père qu'il n'avait jamais eu. Plus je lisais de lignes, plus mes remords jaillissaient à nouveau. Je faisais preuve de jalousie, de dédain envers cet homme. Et tout aussi étrangement, de reconnaissance. Au fond de mon être, je voulais le remercier d'avoir fait ce qui n'était en mon pouvoir: rendre mon fils heureux.
Mais en cette date, contre mon grès, Thanatos était à mes cotés. Son épée colmatais ma vision, je savais la fin. En dehors de mon corps, j'apercevais les larmes de mon fils. Ces mêmes larmes qui s’effondraient sur l'acte de décès. A ce moment je compris l'amour enfouis chez ce gentil. Cet amour que je n'ai su percevoir dès le début, cet amour qui peut-être était obstrués par moi-même, cet amour qui de ce jour je regrette de n'avoir su profiter et lourd est mon regrets qui me rudoie d'un bruit sourd.
Sa convalescence nécessita plusieurs années. Tourmenté par les tâches qui lui étaient concédées de ma part...
[30/07/2014]
Dans un soir d'émoi, il m'arriva d'épancher dans de courtes épîtres la sève de mon acrimonie. Tel cet écrivain se réfugiant à travers l'encre et la belle littérature. Je me montrais parfois sibyllin, parfois ulcérant ou pire malséant. Ces missives véhiculaient des attentes aux allures de gageures. Mais au présent, cela drainait mon aversion, puis dois-je avouer que mes idées me semblaient raisonnables. Lorsque nous sommes sujets à la haine, la conscience de nos défuntes réflexions sur le sujet nous échappent ...
Soit, j'avais comme volonté dernière lors de ma mort: fait parvenir ces lettres à mon fils.
Plusieurs ordres apparaissaient, le plus important était celui du vice: de la vengeance. En effet, je m'étais vu "coupable" de divers faits avilissant ma réputation mais surtout ma dignité. De nombreuses querelles à travers la hiérarchie, histoires de corruption et divers...
Mais encore, j'eus appris la triste fin de mon fils de cœur répondant au nom de Juan, Juan Romero. Seulement je n'en connaissais pas l'histoire et ce fut pour moi un déchirement.
Peu de choses dans ma vie m'avaient rendues plus austère que ce drame. Pour vous dire, j'avais cette impression fatale de me sentir portefaix. C'est pourquoi il m'était obligé d'en savoir plus par le biais d'Ernesto. Aussi cynique que ce soit, j'aurai préféré qu'il meurt lors d'une saigné que dans un morne règlement de compte au paroxysme de la lâcheté.
L'autre: ouvrir ce que je n'ai su entreprendre. C'est-à-dire un centre, ou une quelconque infrastructure faisant preuve d'affabilité et de bonté, spécialisée dans ces lugubres ghettos où les galetas se multiplient, délaissés par la société. Mais à l'arcane de cette spécieuse demande, se cachait un orgueil si âpre qu'il m'était difficile de faire preuve d'assomption. Œuvrer dans la charité sans s’imprégner de ses plus profondes convictions.
Mais encore d'autres demandes triviales n'ayant que peu d'importances.
Esseulé sous le joug de ces vaniteuses volontés, Ernesto ne se montra pas comme ce vulgaire épigone. Non, ne faisant preuve de diligence, il préféra s'étioler dans une longue réflexion. Je m'en souviens encore, sous le reflet lactescent de la diane, seule source lumineuse dans ce modeste studio. Le regard de ma progéniture rivé sur le l'orée d'une de ces épîtres. Se rudoyant par cette réflexion, le bruit des dernières voitures affaissé par ses doubles vitrages ne le gênait guère. En pleine acribie, faisant face à un dilemme: se hâter d'accomplir les dernières volontés de son père, certainement en guise de pardon et seul geste d'amour qui pouvait lui rester. Ou alors garder raison et sagesse, rayant certaines de ces demandes à l’acmé de la vanité.
De mon regard omniscient, je réfutais dorénavant ces écrits, malgré ça je ne pouvais me repentir. Qu'est-ce qui nous arrive dans l'au delà? Très certainement un flux transcendant de bonté, en symbiose avec la vertu. Définitivement en paix, la haine et autre effets malséants s'en aillent pour un autre monde. Seulement les faits étaient là, je ne pouvais effacer cette encre. Et au grand dam de la bonté, Enesto cingla vers la vanité ou... Mais d'une autre manière. Celui-ci n'opta pas pour la vengeance à juste titre. Profitant de sa clairvoyance il préféra comprendre mes problèmes s'en allant dans quelques conciliabules avec les personnes en question.
[Nouveau: 31/07/2014]
Alors je suivis méticuleusement les événements et les actions de mon sang malgré l'altération de mes opinions. Ce garçon maintenant devenu grand Homme, à l'âge de se multiplier et fonder ce qu'il n'a cessé de demander: l'amour d'une femme. Mais ses désirs n'en faisaient pas pour autant sa geôle.
Mon sang était tant énigmatique, il arrivait à contrer mon omniscience, ou peut-être que dans l'au delà les sentiments perdurent et ceux-ci bloquaient mon objectivité lorsque Ernesto était le sujet de mon entière réflexion.
Soit, il lui fallut du temps pour daigné travailler ces demandes. Mais il ne me serait pas difficile de vous conter chacune de ces rencontres. J'opterai pour la plus délicate.
Lors d'une sortie sportive dans son modeste quartier, Ernesto se voyait hanté par certaines idées. Il ne manqua pas de se faire accidenter au milieu d'un croisement, ce qui lui valut quelques coups de klaxon, aussitôt il se réveilla et n’attenda pas une seconde de plus. S'armant de son mobile, fixant les touches numérotées pendant de longues secondes. Et lentement, comme si à chaque appuie il souhaitait revenir en arrière, il hésita encore. Pour autant, l'affre ne s’imprégnait pas en lui. Mais n'était-il pas normal de redouter cet appel qui pour fut imaginé et préparé tant de fois... C'était maintenant, moi même j'entendais ce bruitage téléphonique: "bip". Soudainement, une voix féminine fit son apparition, je soupçonnais le standard. "Je souhaite contacter le shérif Denver" prononça Ernesto sans gasconnade et maintenant aussi impavide qu'il soit. "Vous savez, il est difficile de joindre le shérif par téléphone, je vous conseil de prendre rendez-vous" Lui répond la standardiste de manière plutôt hautaine, comme si elle avait répéter cette réponse tant de fois, elle cohabitait avec la lassitude. "C'est de la part de monsieur Kueng, il répondra présent." Après quelques souffles, lui dit Ernesto d'une once de confiance mais sans trop d'outrecuidance. Hésitante, là aussi encore habituée. Mais pour une raison qui m'échappe, cette malheureuse femme accepta d'en parler au shérif. "Il va reprendre l'appel" soulagée de pouvoir raccrocher. Cela ne prit que quelques secondes mais cette attente était si âcre et lacérante qu'Ernesto avait déjà soustrait les quelques bouts de caoutchouc du guidon de son VTT, les battements de son cœur faisaient autant de bruit que ceux d'un tambour, il essayait de contrôler sa respiration mais en vain, il n'était plus aussi impavide. Là, nous entendions une autre respiration, probablement celle d'une personne d'âge. Encore aucun mot n'étaient prononcés et pourtant ce silence était aussi véhément que l'ire d'une personne irascible. Chacun savaient ce qu'il se passait. Enfin, le premier son usant de cordes vocales: "Kueng?" disait Denver, plein de doute et si étonné. Croyant presque avoir à faire à moi, pourtant celui-ci savait ma fin... "Oui, Ernesto Kueng, son fils." Oubliant l’effervescence du passé, il prononçait ces mots avant fierté et tant d'amour. Une larme m'échappa, une larme de tristesse, cette larme du repentir ou d'amour? Certainement les deux... C'était la deuxième fois que je ressentais l'amour de mon fils, ce fut si précieux, si seulement il m'était possible de le prendre dans mes bras, ne plus le lâcher pendant un siècle, déposer ma tête sur sa jeune épaule et fermer mes yeux, sentir le zéphyr de son souffle caresser ma vieille peau, l'âme pleine de réconfort et de repos. Comme une tâche accomplie, permettant de laisser ce monceau de harassement causé par mes tourments. Mais la mort m'avait spolié ce moment ou peut-être m'avait-elle permit de m'en rendre compte, n'est-ce pas là aussi le rôle de la mort? De voir ce qu'est la vie, l'amour et ces sentiments vains comme la haine, n’attisant que le malheur.
Denver n'était plus ce jeune garçon dont j'avais eu affaire, non il était devenu quelque peu catonien et répondit après trois souffles: "Que me voulez-vous?", aussitôt: "Vous voir. Je dois vous parler" de la part d'Ernesto. Voilà qu'un rendez-vous était fixé dans l'après-midi.
Ernesto n'était présent dans ce monde que physiquement, autrement il était dans ce monde "abstrait" des idées. Se demandant s'il n'avait pas été trop loin, s'il ne devait faire demi-tour. Il entra dans ce poste qui m'était si familier, lequel plus jeune, il avait eu l'occasion de visiter sous ma tutelle. Ce poste m'ayant vu prendre de l'âge, la séide du garçon que j'étais. Passant à travers les bureaux, voyant les plaques sur chaque portes défiler. Là: "Shérif Denver", ne clignant plus des yeux, statique il fixait cette porte boisée. Se parlant à lui même, agissant sans cesse dans la prudence. Un souffle et il cogna la porte...
Dernière édition par Ernesto KUENG le Jeu 31 Juil - 13:47, édité 7 fois
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
J'aime beaucoup, ça promet.
Don Spinosa- Messages : 2804
Date d'inscription : 16/03/2013
Ancien Prenom_Nom : Marko Saginowski
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Ce monsieur est habité par le Sheitan, que Dieu miséricordieux puisse sauver ton âme perverti.
PS: J'adore l'enterrement chrétien pour un père bouddhiste. Du grand art mon cher monsieur !
PS: J'adore l'enterrement chrétien pour un père bouddhiste. Du grand art mon cher monsieur !
Invité- Invité
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Chut fallait pas le dire.
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Parfait. J'ai hâte de suivre les prochaines vidéos, en même temps pour connaître l'évolution de ton personnage car Eliott commence à entendre qu'un certain kUENG est en ville.. Est-ce que ce sont des rumeurs.. ? A lui de le découvrir.
Eliott Denver- Retraité Staff
- Messages : 3521
Date d'inscription : 17/12/2011
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
J'aime bien, c'est agréable à lire, mais aussi à regarder.
Marzia Tessitore- Messages : 4651
Date d'inscription : 28/11/2011
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Agréable à lire, agréable à regarder, c'est tout bon, continues
______________________________
Ancien Gérant du pôle des factions légales
Admin 4 retraité
Admin 4 retraité
Vince Shawn- Retraité Staff - Hall Of Fame
- Messages : 11586
Date d'inscription : 09/06/2012
Age : 28
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Un très simple teaser (surtout parce que j'avais envie de ré-ouvrir Vegas) pour l'autre partie du biopic de ce personnage, un personnage qui a singulièrement évolué depuis.
La prochaine partie viendra lorsque je trouverai de sympathiques volontaires pour m'aider ou alors un serveurs avec des bots modulables.
Entre temps, certainement deux vidéos IC seront réalisées, très courtes. Une sur le personnage et une autre sur le projet IC: La Colombe.
La prochaine partie viendra lorsque je trouverai de sympathiques volontaires pour m'aider ou alors un serveurs avec des bots modulables.
Entre temps, certainement deux vidéos IC seront réalisées, très courtes. Une sur le personnage et une autre sur le projet IC: La Colombe.
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Magnifique la vidéo, ainsi que le background.
Invité- Invité
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
La fin du teaser est étrange mais j'adore ce lien avec kUENG's father
Eliott Denver- Retraité Staff
- Messages : 3521
Date d'inscription : 17/12/2011
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Pas si étrange que ça, tu vas voir .
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Juan Romero- Messages : 3185
Date d'inscription : 15/03/2013
Ancien Prenom_Nom : Lamont Hudpseth
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Good petite suceuse.
Rocco Clavani- Messages : 5713
Date d'inscription : 13/07/2011
Age : 29
Ancien Prenom_Nom : Scavuzzo
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Par ailleurs je recherche des gens cools pour m'aider sur les trois vidéos à venir. Je rassemble un peu tous ceux qui me proposent leur aide.
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
C'est bien mon capitaine, c'est bien. Je t'enverrais mes sbires pour tes vidéos.
Evio Moreno- Retraité Staff
- Messages : 15738
Date d'inscription : 14/03/2012
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Envois les maintenant j'ai besoin de figurants!
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Tu t'es amélioré en vidéomaking, je te congratule.
Mais vire cette putain d'croix damné, t'es bouddhiste puto !
Mais vire cette putain d'croix damné, t'es bouddhiste puto !
Invité- Invité
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Justement! C'est fait exprès, vas voir mon message youtube.
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
J'ai toujours apprécié la sensibilité poétique, et l'aspect très vrai, très crédible, qui se dégage de tes personnages, tes vidéos, ou tes screens. Même en n'ayant jamais RP avec toi, j'ai pu ressentir cet atypisme (atypisme dans la façon de jouer un personnage, tes personnages eux ne sont pas particulièrement atypiques ou borderlines, voire pas du tout, pourtant tu arrives à leur conférer une profondeur réelle).
Alors continue, c'est toujours bon de voir des rôlistes de cette trempe sur CMLV.
Alors continue, c'est toujours bon de voir des rôlistes de cette trempe sur CMLV.
Frank Ruggiero- Messages : 7023
Date d'inscription : 08/05/2011
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
J'aime bien et belle video .
John_Smity- Messages : 24
Date d'inscription : 13/04/2014
Ancien Prenom_Nom : Aucun / N.C.
Arthur Davenport- Messages : 28
Date d'inscription : 27/01/2014
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Frank Ruggiero a écrit:J'ai toujours apprécié la sensibilité poétique, et l'aspect très vrai, très crédible, qui se dégage de tes personnages, tes vidéos, ou tes screens. Même en n'ayant jamais RP avec toi, j'ai pu ressentir cet atypisme (atypisme dans la façon de jouer un personnage, tes personnages eux ne sont pas particulièrement atypiques ou borderlines, voire pas du tout, pourtant tu arrives à leur conférer une profondeur réelle).
Alors continue, c'est toujours bon de voir des rôlistes de cette trempe sur CMLV.
Merci ça fait vraiment plaisir les gars.
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Ernesto KUENG a écrit:Justement! C'est fait exprès, vas voir mon message youtube.
Je ne trouve pas le message youtube. Tu l'as supprimé ?
En tout cas je regrette de ne plus trop pouvoir RP, ça a toujours été un plaisir que d'être en ta compagnie. Nous frôlons les 5 ans mon ami, on se tiens toujours au courant pour le tour de France en Harley ?
Invité- Invité
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
Très bien le background! Et les vidéos magnifiques comme d'habitude.
Shaylene Kendle- Messages : 1711
Date d'inscription : 02/04/2011
Ancien Prenom_Nom : Serena Dashawn
Re: [Biopic] Le regard d'un père. (MAJ: 31/07/2014)
C'est pas un biopic mais je poste quand même, l'autre vidéo arrive bientôt.
Ernesto KUENG- Messages : 5513
Date d'inscription : 20/12/2009
Age : 28
Ancien Prenom_Nom : Jose Moreno
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