The Ruggiero Mob : Part XII

Nicholas Corozzo a écrit:J'aime bien la réplique du dernier screen Donald, bien joué aux autres aussi.

Dans le bain depuis tout petit.

Salvatore "Sally" MEORINO.

C'est dans un petit village, non loin de Naples que nous avons rencontré Salvatore. Presque par hasard à vrai dire. Son histoire ressemble à celle de nombreux jeunes d'aujourd'hui. Une histoire de toxico.

Elle commence en 1999, à la mort du père de son meilleur ami. Savatore Jr MEORINO a alors quinze ans. « D'un coup, on s'est mis à traîner avec des gens qui consommaient de la coke. Nous, on savait même pas ce que c'était, la coke. On marchait au shit. ». Et c'est la descente, brutale, incontrôlée: « On est tombé parce qu'on était paumé. Tu penses pas aux conséquences. Pour toi, l'avenir, c'est maintenant. Et puis tu te perds. ».



Pour payer leur dose quotidienne, il faut acheter en demi-gros, revendre, alimenter le trafic, en un mot dealer. Bientôt le copain de Simon se fait attraper et part quelques mois en prison. Salvatore, qui a arrêté l'école, fait alors son service militaire dans la BTI. Dix mois de sevrage, dix mois de répit.

2002 annonce le retour au pays pour les deux garçons, à peine majeurs. Salvatore reprend contact avec la bande. Cette fois, ils goûtent à l'héroïne, moins chère. Alors le piège se referme sur les deux adolescents. « L'héro crée une grosse dépendance. Quand tu y as goûté, c'est fini, tu ne peux plus décrocher. Ton cerveau recherche toujours le même plaisir. Dès le réveil, tu penses qu'à ça. C'est le but ultime de ta vie. »

Les jours s'enchaînent avec la même obsession: trouver de l'argent. Les fix à répétition coûtent chers. Pas question de travailler: « Ça se voit très vite. T'es tout blanc, t'as aucune envie. Et puis comment expliquer les absences quotidiennes au patron? ».

A l'époque un gramme d'héroïne s'échange contre 300 $ sur la place de Naples. Simon et son copain s'injectent tous les jours environ deux grammes chacun de poison dans les veines.

« A la fin, tu voles tes amis, c'est le produit qui fait ça. »


« J'en avais marre d'acheter trop cher. ». C'est le début des voyages « organisés » aux States. « On partait à tour de rôle une semaine sur deux à LV avec tout l'argent qu'on avait. On faisait pas de business. La revente servait à payer notre propre conso... et le voyage suivant. ». Pas de tourisme. Les risques sont énormes. A peine arrivés sur le quai de la gare de "LV", les rabatteurs, souvent des clandestins, serrent les étrangers venus se ravitailler en drogue: « Ce sont des gens dangereux. Ils ont coupé l'oreille d'un copain au rasoir pour lui piquer ses thunes. ». Sally, lui, ne chôme pas, s'engouffre dans un taxi et file chez son contact qu'il dit réglo.

Le retour s'effectue tout aussi rapidement: l'avion jusqu'en Europe, changement puis prise du train pour Naples gare de la plazza pour espérer déjouer la vigilance des douanes. Les fouilles ne sont pas rares, les humiliations non plus...
Jusqu'au jour ou Sally c'est dit pourquoi pas me tirer ? Une soudaine envie de changement lui tripote l'esprit, depuis il ne pense qu'a ça le prochain voyage je me casse, il cherche sur le net une ville proche de LV ou les trafic flambent il ce dit qu'il pourra monter son affaire la bas, le jeune homme en cherchant tombera alors sur la ville de LOS SANTOS, les poches et l'estomac vide aucun rond en poche mais le cerveau plein d'idées tordus le jeune homme prends l'avion comme à son habitude direction LV et demande à ses contactes la procédure à suivre pour aller vers LS ou il décide de ce lancer dans le business.

ENFIN le dur voyage terminé, je suis belle et bien à LOS SANTOS la ville ou je vais vivre et crevé, la ville ou je vais monté tout mes projets, on cherchant sur internet j'ai vu qu'un célèbre garage sur Market street, recrutait activement un manager, mais le problème c'est que je n'avais pas le CV pour ça, je ne serais jamais pris si le boss savait que je suis qu'un gros branleur qui a quitter l'école, j'ai alors usé de mes contacts pour trouver un gars qui pourra m'arranger ça, un certains Reyes .. Logan.

Une fois mon FAUX CV en poche, rester plus qu'a avoir un rendez vous avec le directeur, d’après ce qu'on m'a dit un arabe, ça tomber bien j'ai de quoi le séduire, j'ai passé toute mon enfance en Italie avec des potes arabes et je peux vous dire qu'il sont loin d’être con. Mais croyez moi j'ai plus d'un tour dans mon sac pour le convaincre que je suis la bonne personne qu'il lui faut pour son garage.
Une fois sur Market je fis la connaissance d'un certains la fumette, Saly la fumette, un gars bien mais qui je devais éviter pour ne pas chuter car à encore son nom c'est un gros fumeur, mais tout de même j'ai fais sa connaissance et je lui est parlé de mon projet puis je lui est promis que si je suis pris au garage, je l’embauchera même si il s'y connais pas trop en mécanique je l'aiderai.

Voila mon plant a marcher comme sur des roulettes, et le directeur n'y a vu que du feu, je suis maintenant MANAGER, qui aurai crus un jour que ce bon a rien de Salvatore serrai un jour MANAGER d'un prestigieux garage avec comme paye 6000$ mon cul, ah si j'avais un téléphone j'aurai appeler tout ces fils de putes qui n'ont jamais crus en moi et je les auraient insulté de tout les noms.
Un avenir prometteur m'attends dans cette ville, qui m'a tout de suite bien accueilli.
Mais la tentation est la, je me sens faible et en manque surtout en rencontrant ses putains de fils de putes de latinos dans mon quartier qui me propose d'la bonne marchandise, je ne sais pas si j'ai la force de me retenir, un avenir heureux et prometteur s'ouvre à moi, vais je le briser ? Et retomber dans mes délires de jeunesse ?

Salvatore "Sally" MEORINO.

LES CURES, LES RECHUTES, LA PRISON... ET APRES
Déjà trois mois à Los Santos, Salvatore poursuit le train de sa déchéance, un train d'enfer. Les deux cures de désintoxication, suivies surtout pour « faire plaisir » aux potes n'y changeront rien. « Le fric et le produit ceinturent bien la personne. L'argent facile, ça tourne la tête, surtout quand t'es jeune. ».

HANTER PAR SES SOUVENIRS DOULOUREUX.
Hanté par ses souvenirs, ainsi que le trafic, dont il était esclave autant que partie prenante, aurait pu durer encore un certain temps si une dénonciation à la police ne l'avait envoyé quatorze mois à l'ombre. En fait, c'est toute la piste que cherchent à remonter les policiers. Les petits dealers toxicos n'intéressent pas grand monde. Le gros bonnet italien, pour lequel Salvatore et son copain « travaillent », ne se shoote pas, lui. Il roule en voiture de luxe, sur le dos de la misère humaine et sociale de gosses en perdition. Il se fera épingler et s'en tire avec quatre ans de prison. Le copain de Salvatore écope de sept années d'emprisonnement ferme.
Des années qui ont suivi sa sortie de prison, Salvatore ne parle pas. Le dernier « extra » remonte à Noël. Difficile de résister aux tentations.
- Aujourd'hui à Los Santos pour se forger un nouvelle avenir et ne pas retomber dans le trou « Il faut éviter les relations avec le milieu (« Tiens, prends ça, goûte-le. Ça t'engage à rien, je te le donne. ») ».
Sally sombre alors dans la solitude il n'arrive pas a avancer, il vie plongé dans ses souvenirs et cicatrises du passé ?
Une rencontre improbable arrivera elle a lui faire obliger ses séquelles du passé ? Ou le re-plongera elle dans l'enfer.

Amanda Sollecito a écrit:C'est génial ! Pourquoi tu fait pas un background dans la partie y étant réserver ? Ca ferait un super BackGround original ! (Si t'en as d'autre en réserve comme ça, ne nous fait pas trop patientez ! :B ).

Salvatore MEORINO a écrit:

Amanda Sollecito a écrit:C'est génial ! Pourquoi tu fait pas un background dans la partie y étant réserver ? Ca ferait un super BackGround original ! (Si t'en as d'autre en réserve comme ça, ne nous fait pas trop patientez ! :B ).

Merci ça me fait plaisir, pour le bg, j'y penserais.