[PED] The European Relationship - La renaissance du crime organisé

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OUT OF CHARACTER

Les quelques phrases qui vont suivre expliqueront brièvement l’intérêt et le fonctionnement de ce projet qui n'a pas de rapport au fonctionnement des autres factions/projets. Tout d'abord vous pourrez constater qu'il n'y a aucune hiérarchie présentée. Malgré le fait que l'organisation paraît désorganisée à première vue, elle a tout de même une pyramide du pouvoir. Plus tu es près du sommet, plus tu es respecté.  Nous ne fonctionnerons pas sur un système de type cosa-nostra. La hiérarchie se créera dans l'avancement du temps mais restera principalement basée sur le respect apporté aux personnes ainsi que la réputation de ceux-ci en ville. Nous nous basons, comme le titre de notre projet l'indique, sur les relations que nous pouvons tisser. Pour donner une idée claire sur l'importance du respect, si un personnage respecté est leader d'un crew, et que dans ce crew un autre personnage est respecté (mais il est membre du crew). Si les deux ont le même respect, ils sont considérés comme au même niveau.

La faction est dite un réseau criminel pluriethnique puisqu'il fonctionne sur les relations, toutes les ethnies Européennes sont les bienvenues. Les autres ne sont pas prohibées, si votre personnage fait ses preuves et réussit à tisser des liens avec les membres, il sera le bienvenu (évidemment ceci pourra évoluer au fil du IC).

Nous essaierons d'apporter une faction neuve avec un système exclusif au serveur, nous surveillerons très régulièrement la partie "Rapport contre un joueur" et "Explications", tout les joueurs à problèmes se verront immédiatement exclus du projet.

Précisions sur les approches :

Pour une recrudescence d'immersion dans notre rôleplay, du rôleplay du projet et un tas d'autres avantages pour nous, nous vous demandons de monopoliser chaque scène exploitable, et ce à fond. Pour exemple, un approchant du projet a eu l'idée de vendre son poisson, de faire son approche de cette façon. Même si à vos yeux, les poissons sont invisibles et ne représentent aucune valeur, lorsque vous dépensez ne serai-ce que 200$ scriptement parlant pour lui acheter ce poisson et ça lui donnera envie de poursuivre son approches, de poursuivre le rôleplay. Cela vous permet également de tisser des liens avec ce dernier. Pour moi, et nous, les poissons représentent d’innombrables scènes à exploiter puisque ça peut déboucher sur des scènes où vous serez amenés à cuisiner, à inviter vos amis à se garnir l'estomac autour d'un bon repas et en même temps parler des affaires, etc.. Ce sont des scènes sympathiques à jouer, créant un réel aspect, réaliste et nous plongeant dans l'ambiance. Débuter son approche en se faisant connaitre pour le cireur de pompes du quartier, c'est une approche absolument banale mais elle est originale, et nous ne fermerons pas les yeux sur ce fait. Ne soyez pas gênés par le fait d'aller vers ces joueurs-là et gaspiller une misérable somme pour récupérer un numéro, attirer son attention et surtout offrir à ce dernier une bonne image du projet.
L'approche par les différents business légaux (serveur, etc) est une solution, mais vue et revue. Néanmoins ça reste un moyen rôleplay, mais trop peu original à nos yeux. Ce n'est pas prohibé, mais si vous voyez qu'il y a déjà 10 serveurs, essayez d'innover. Se torturer le cerveau quelques minutes pour en tirer une franche et belle approche, ou demander un recrutement en tant que serveur ne dépend que de vous, mais nous vous regardons. Si vous faites un effort, cela ne pourra-être que positif pour vous.
Cela dit, rien ne vous empêche de commencer dans l'illégal, seul ou en groupe. Rien ne sert de nous demander à nous des idées d'approches, c'est à vous d'en construire une. Nous ne cherchons pas d'assistés, innovez. Même si vous vous imaginez que votre approche n'a aucun sens, vous aurez pris la peine de chercher. Ce n'est pas facile et nous en sommes conscient, nous ne pénalisons pas les approches basiques, mais une approche originale sera un bonus.

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5 MAI 2002


Un grand merci à Pasha pour cette version audio de qualité.

Fred Vecchiali vient de mourir. Joss et Ferdinand sont seuls dans leur malheur. L'idiot de Fred, pas capable de tenir un flingue s'est lui même fait flinguer dans le dos, qui plus est par un autre idiot : Maurizius McDunaway, comment pouvait il espérer être pris au sérieux avec ce nom ?

Ferdinand, tombant lourdement dans leur canapé miteux : Il nous faut un nouveau coursier. Cet idiot de Fred, c'était prévisible depuis le début qu'il allait crever, t'as vu sa tête de con ?
Joss, accoudé au bar : Bordel, je t'avais dit d'arrêter de me pomper mon putain d'air avec ça ! T'as une putain de meilleure idée peut être ?
Ferdinand : Calme bordel ! Dit-il, abaissant ses mains pour calmer son confrère. On va trouver une solution.
Joss : Une solution ? Je te rappel qu'il nous faut le trouver avant dix-sept putain d'heure !
Joss fit alors valser sa canette à travers la baraque, se retournant ensuite vers Ferdinand, l'air de nouveau tout à fait calme.
Joss : Ce type là.. le gars qui s'en est prit à la gosse de Fred.
Ferdinand, se redressant : Le taré que Fred voulait saigner à vif ? Son nom c'était quoi déjà.. C'était un nom en o.
Joss, désormais complètement calme : Robert. Je sais quel bar il fréquente, je vais le voir.
Joss se dirigea aussitôt vers la sortie, saisissant son arme qu'il cala entre son jean et son dos, la masquant avec sa veste.
Ferdinand : Reste prud.. La porte se claqua avant qu'il ait eu le temps de finir sa phrase.

Issu du background de Roger Sterz.
Roger plaça sa main sous le comptoir, récupérant un verre qu'il remplit de ce délicieux nectar qu'est la vodka. Il le déposa sur le comptoir et adressa un signe de la tête au vieil homme qui le dévisageait depuis son entrée dans le bar. Le vieil homme se présenta, ne semblant pas réussir à détacher son regard de Roger.
-Moi c'est Joss .. (Il le dévisageait sans faillir.)
-Hm .. Ouais. (Il s'en battait clairement les couilles.)
-Tu ne te présentes pas ? (Il adressa un autre de ses typiques sourires gênés.)
-Ouais.. Moi c'est Roger. J'ai du boulot et j'vais pas pouvoir causer plus longtemps.
Le vieille homme plongea aussitôt sa main dans sa poche, il récupéra une photo qu'il fit glisser sur le comptoir. On pouvait distinguer très clairement Alicia, la première petite fille. 
-Tu as toujours du boulot.. ? Tu vas me suivre maintenant. (Il marqua un temps d'arrêt, dévisageant Roger qui semblait complètement paniquer et prêt à prendre la fuite.). Et avec le sourire s'il te plait, tu vas faire peur à la clientèle comme ça.
-Ouais.. Euh.. Ouais. (Il paniquait, il attendait le bon moment pour se jeter sur Joss.)

Les deux hommes sortirent à tour de rôle du bar, Joss fît un geste de la main à Roger, lui signalant de le suivre. Le vieille homme s'engagea dans une étroite ruelle et plongea sa main droite sous sa veste, récupérant son pétard qu'il pointa fièrement en direction de Roger.
-Oh ! Oh ! Vous faîtes quoi là ? J'ai rien fais ! (Il était affolé, il avait peur.)
-Calme-toi jeune-homme, tu vas faire ce que je te dis maintenant. Cette jeune fille, c'était la fille d'un de mes gars.. Mais il est mort hier, et c'est ton jour de chance à vrai dire. Si il était encore en vie, tu serais six pieds sous terre à l'heure qu'il est.
-J'ai rien fais ! JE LE JURE ! (Il était persuadé que ce n'était que du bluff.)
-Putain.. T'es pas si futé que ça. Je t’explique la situation, tu vas juste faire ce que je te dis et tout ira bien, c'est pas compliqué. (Le vieille homme était sérieux, il semblait tellement sûr de lui qu'il aurait pu bluffer le diable en personne.)
-Bon.. Écoute ! J'veux pas te causer de tort, si t'as besoin d'un coup de main pour un job ou quoi, c'est ok ! (Roger éprouvait de la peur, ça faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas éprouvé ça, depuis ses 15 ans à vrai dire.)
-Bien. Tu vas commencer par déposer ce colis au 20th Main Street Pavillon, c'est à coté de Pershing Square. Compris ? (Il plongea sa main dans sa poche, récupérant un petit colis qu'il tendit de sa main gauche à Roger.)
-Ouais, ok .. (Il attrapa le colis et le glissa à son tour dans sa poche.)
-Bon .. (Il claqua doucement à deux reprises la joue de Roger, semblant vouloir installer un climat de supériorité.) 
-Puis.. Si j'apprends que tu as retouché à un gosse, je te B-U-T-E. Les conneries c'est comme les impôts, on finit toujours par les payer. (Il était sérieux, il dévisageait Roger du plus profond de son être.)
Roger ne broncha pas, sûrement la peur qui le paralysa ou peut-être l'imposante personnalité du vieil homme.
-Plus jamais.. C'est compris ? (Il ne bougea pas d'un centimètre, fixant Roger avec autant d'ardeur qu'au début de la conversation.)
Roger hocha la tête positivement, il semblait ne pas vouloir contrarier le vieil homme.


18 AOUT 2002
Joss et Roger étaient les seuls à être présents en ce jour devant cette épicerie, il était très exactement 21h32, à cinq secondes de la fermeture, ils étaient postés là, comme deux pochtrons, deux gros ivrognes.
Victor, le propriétaire qui était en fait une propriétaire sort pour fermer boutique, clé à la main. Roger racle sa gorge et lui fonce dedans la tête la première, les bras en guise de pare buffle et comme un excrément dans les toilettes d'un fast food: PLOUK, elle tombe net !
Joss, malgré son stress énorme se jette sur la porte, empoignant les clés pour les ranger dans sa poche de jeans, puis ouvre la porte et se jette sur la caisse, les dollars en guise de cervelle.
Un coup, deux coups, trois coups secs de la part de Joss pour essayer d'ouvrir la caisse, en vain. Stressé et énervé de ne pas y arriver, il s'empare de la caisse, et court comme un dégénéré en direction de leur voiture, un troisième homme à l'intérieur: un complice, Ferdinand.
Pendant ce temps, Roger continuait de maîtriser la marchande à terre, dans cette ruelle perdue se trouvant dans un coin perdu, qui lui même se trouve dans une ville perdue: Los Santos.
Il est 21h36 et tout le monde est dans la voiture, la caisse avec. Une minute de retard par rapport à ce qui avait été dit, rien de grave et personne n'est dans la merde. Maintenant direction la banlieue de Los Santos, où se trouve l'hôtel miteux des trois hommes.
Ils s'étaient promis de pas finir en prison pour une merde comme ça, leur seul but maintenant était de se faire oublier tranquillement, des billets en poches.


24 SEPTEMBRE 2002
Fallait bien que ça arrive, c'était des ritals qui traînaient avec un irlandais et qui faisaient des trucs pas net, donc FORCEMENT un appel, et forcément pas de numéro de téléphone.
C'est Joss qui prend l'appel. Il se renseigne rapidement sur l'identité de l'homme qui appelait car il lui paraissait un peu suspect, à sa voix et à sa façon de parler. Au final il ne sait pas grand chose, mis à part le nom de l'homme : Patrick Ardizzone.
Stefanelly, ça disait quelque'chose à Roger. Si ils parlaient bien du même homme, c'est une connaissance de Roger, des anciens amis.
Joss et Roger savaient qu'ils ne pouvaient pas continuer à vivre comme ça, dans un pays aussi merdique pour les personnes comme eux : les États Unis. Ils vont donc tout faire pour avoir la richesse et la chance de leur côté, les filles et les travestis avec eux coquins comme ils sont.
Ils se mettent d'accord pour essayer de faire de l'argent comme ils peuvent ensemble et toujours rester ensemble, ils avaient tous les trois la tête pleine de plans, ils étaient vraiment déterminés.
Et ils vivaient maintenant chacun de leurs côtés, dans un petit appartement ou une chambre d'hôtel, malgré tout ils se voyaient quand même de temps à autre, pour deux trois coups de crasses.


11 JANVIER 2005
Vivant maintenant tous de leurs côtés, Ferdinand était le premier à ne plus avoir donné de nouvelles, il était retourné dans son pays: l'Italie. Il y pratiquait des trucs de mafieux. Il rackettait des commerçants, lui et sa petite bande d'Italiens à la con, qui se sentaient tellement puissant avec l'argent qu'ils se faisaient avec ces petits rackets de bas étage.
Roger, lui, s'était installé en Allemagne, son pays natal. Il avait décidé de continuer ses études là-bas, il souhaitait ouvrir un commerce. En parallèle, il recevait des visites de son camarade Joss, qui passait de temps à autre en Allemagne, entre deux voyages sans en dire d'avantage. Il faut quand même dire qu'ils (Joss et Roger) étaient devenus aussi soudés que des frères jumeaux, ils se faisaient plus que confiance.
Comme presque toutes les personnes qui essayent de reprendre les études après l'âge, Roger ne réussit pas forcément, malgré le fait qu'il s'y soit mis sérieusement. Il allait tous les samedis soirs dans un fast-food du coin rejoindre un homme qui comme eux -le groupe-, était revenu ici pour ses études. C'était un norvégien qui n'a jamais donné à personne sa nationalité: son nom était Lars Brenston.
Son père n'était pas souvent présent pour lui, c'était un "homme d'affaires", enfin c'était comme ça que Lars le désignait comme un homme qui n'avait le temps pour personne à part pour son argent, ces fameux billets.
Le destin de ces deux figures emblématiques depuis l’enfance est tout l’enjeu de leurs avenir. Une fois de plus on comprend qu’il n’est jamais facile de s'en sortir de la spirale infernale de la délinquance. Sans jamais se trahir, Joss et Roger vont voir leurs destins se séparer, définitivement pensaient-ils après leur première incarcération. Après avoir frôlé la mort plusieurs fois, Joss avait compris qu’il lui fallait se ranger s’il ne veut pas laisser Roger grandir dans la rue. Le vol de voitures dernièrement, une grave erreur à ne pas commettre car trop dangereuse. Malgré cet avertissement parfaitement intégré par les deux hommes, on assiste à la lente mais sûre marche vers cette issue fatale tant redoutée.


24 JUILLET 2007
Dans une soirée où les deux petites frappes liées étaient regroupées dans une chambre, le portable de Roger commence à vibrer. Il le sort de la poche de son pantalon et l'approche de son oreille, ne disant pas un mot pour laisser s'exprimer la personne qui tente de le joindre.

Lars arrive quarante cinq minutes plus tard au lieu de rendez-vous donné par Joss (comme à ses habitudes il arrive toujours en retard).
Après quelques minutes de discussions, de narration d'événements vécus entre les années qui ont défilées, Joss et Roger en viennent à la première raison de ce rendez-vous.

La nuit suivante, aucune présence humaine n'obstrua la discussion des différents esprits. Lars arriva accompagné de ses amis William Mulligan, , Piotr Markowicz ainsi que l'un de leurs associés, Edgar Humphrey dans une Cadillac noir. Arrivés sur les lieux, les individus descendent tous du véhicule en claquant les portes derrière eux puis se dirigent vers Joss et Roger qui eux étaient déjà présents avant même l'heure qu'ils avaient fixés ensemble la nuit dernière, posés contre la portière de leurs véhicule. Lars se dirige vers le duo avec un petit air vicieux, suivit de ses compagnons, a présent face à eux, les diffèrents individus s'échangent des salutations.
Le lendemain, Joss sortait d'un doux et profond sommeil. Des rêves plein la tête de conquête, de gloire, de pouvoir, de richesse. Tout ce dont il n'avait pas eu accès jusqu'à maintenant. Ils s'étaient donné rendez-vous à Los Flores, à l'Est de Los Santos. Un coin qu'ils commençaient à connaître tout particulièrement depuis leur retour. Pendant des heures, de nouveau, ils discutèrent, échangèrent, partagèrent leurs rêves d'enfants. Au bout de quelques journées, la décision était prise : c'est à Los Santos qu'ils s'installeront. Ils deviendront les Rois de ce royaume de la richesse et du tout-est-possible qu'est Los Santos.


13 SEPTEMBRE 2008
Le chiffre d'affaire cartonnait pour Joss grâce à sa nouvelle équipe, il avait du mal à leur faire confiance mais pour la plupart ils lui ont prouvé qu'ils pouvaient travailler tous ensemble sans se chier dessus pour quelques billets, les histoires ça arriverait un jour ou l'autre et il essayait de prévoir des choses pour éviter les emmerdes, au final c'était pas un petit con sans cervelle, il avait quand même fait des études.
Roger qui était tout le contraire de Joss était assez proche de l'équipe, il allait parfois avec eux pour des coups ou des bordels comme ça, il avait lui lié quelques affinités et avait confiance en tout le monde.
Joss avait toujours dans le fond de sa pensée son ancien ami. Ferdinand l'Italien, lui et Roger c'était un trio. Malgré tout ce qu'il avait fait, Joss décide de rechercher un moyen de contacter Ferdinand. Au bout de plusieurs heures devant son écran il obtient son numéro de téléphone actuel: il l'appel directement, et au final ils concluent avec une bonne affaire. Ferdinand se réjoui de parler avec un de ses amis, et accepte la proposition de Joss. Il rejoint donc toute leur équipe aux États Unis quelques jours plus tard. Mais Ferdinand voulait être bien plus malin que Roger et surtout plus malin que Joss qui avait été désigné comme le meneur de leur équipe, il appelait ses hommes les gars de l'European Relationship, un effet de style.

Un soir, Joss charge Ferdinand d'appeler tout le monde: un sit est organisé le soir même. Deux heures après les appels émis par Lars.
Arrivé le dernier au sit, Roger prend place, il commence la réunion par un geste : il pose un revolver sur la table. Donald suit: il pose un silencieux sur la table. Roger et Joss sont aux opposées. Joss se lève, prenant le silencieux avec lui, fait le tour de la table ramassant le pistolet au passage, il lie les deux et balance le tout devant Ferdinand. Jusque là personne n'avait dit un seul mot, puis d'un coup Joss se met à crier: "Bon maintenant que tu sais qui, c'est BUTE LE ! Butez le toi et tes couilles!"
Ferdinand attrape aussitôt le pistolet qui était posé devant lui, et, maladroitement, il commence à le lever au niveau des personnes présentes dans la pièce. Il vise chaque personne une par une. Puis, surprise, arrivé à Lars, une forte tête de l'équipe, il appuie sur la détente.
Entre les deux yeux, une seule balle entre les deux yeux de Lars, c'est pas rien. Ce type a des couilles, et c'est ce que se disaient alors toutes les personnes présentes dans la pièce.
Pendant que Lars, se vidant de son sang, était en train de finir sa vie sur sa chaise, les hommes essayent de reprendre ce qui devait à la base être une réunion, mais on voyait sur le visage de chacun une pitié et un dégoût de voir un homme, un collègue, mort, là à côté d'eux.
Roger s'exprime après un court silence: "Pourquoi tu as fait ça? Explique nous maintenant que c'est fait.". La réponse de Ferdinand ne se fut pas attendre : "Il vous, NOUS a siroté les couilles petit à petit pour nous vider de NOTRE argent et de VOTRE cervelle. Mais c'est pas tout !"
Il braque son arme sur un nouveau protagoniste, puis l'abat de sang froid : Theodore Montablan. Selon Ferdinand, il avait fait copain-copain avec Lars pour trafiquer l'argent que tous les membres de l'équipe devaient payer à Joss en fin de semaine. Apparemment ils auraient réussi à récolter une grosse somme, mais peu importe ça ne leur servira pas en enfer.
Après avoir éliminé les traîtres de l'équipe, Joss était enfin prêt à se lancer dans une vraie course contre l'argent, les escroqueries et la prostitution étaient des sujets intéressant pour une équipe sans moyens dans une ville comme Los Santos, ils vont donc principalement bosser sur ce côté.


17 AOUT 2010
Rien n'allait plus pour eux, ils commençaient à vouloir fournir quelques petits quartiers dominés par les toxicomans et les gangs en drogue, ils ont été avancés par des cubains qui faisaient passer de grosses quantités de drogue, connus dans le monde illégal pour leurs go-fast exceptionnels.
Joss collaborait avec un seul membre de leur organisation, il ne connaissait que son prénom, Alejandro: il était assez sympathique quand il savait qu'il aurait son argent deux semaines plus tard avec des intérêts, mais il-y-a eu un problème.
La forte tête du gang que fournissait Joss a été arrêtée. Donc le gang n'achetait plus chez eux et Joss se retrouvait avec des kilos sur les bras. Il appela de suite Alejandro pour lui expliquer la situation. Alejandro refusa la proposition de Joss qui était de leur rendre la drogue pour ne plus rien leur devoir. Il lui dit d'aller se faire foutre avec son accent de cubain merdique, raccrochant le téléphone.
Deux jours plus tard, Alejandro avait compris qu'il fallait essayer de trouver un terrain d'entente entre eux si il voulait au final récupérer son argent, il proposa à Joss un sit.

Une discussion de grosse tête s'ensuivit. Des chiffres sont dits à tout va pour qu'au final, Joss et les cubains trouvent un terrain d'entente. Enfin c'était plutôt les cubains qui étaient d'accord avec ça: Joss devra passer une partie de ce qu'il gagnera à Alejandro.
Joss ne voyait pas ça comme ça, continuait à réfléchir avec ses associés pour trouver une solution. Il fallait faire tomber ces putains de cubains, mais intelligemment bien-sûr.
Locaux brûlés, accidents de la route, les cubains perdent tout, petit à petit. Toujours la même explication "c'était des noirs, tous cagoulés!". Mais Alejandro n'était pas dupe, il savait que si ça continuait comme ça il ne toucherait plus un rond et il commençait à comprendre que Joss pouvait se montrer dangereux. Il l'appelle et lui demande des explications, mais Joss nie tout en bloc. Ils organisent un rendez-vous. Joss demande à Alejandro de venir seul à la condition qu'il vienne également seul.
Sur le lieu de rendez-vous, dans une ruelle derrière Market Station, Joss et Alejandro étaient face à face. C'est là qu'Alejandro se confia:
"Je sais ce que vous nous avez fait, je sais ce que vous pouvez me faire et c'est pour ça que pour moi mon chef, Nacho: c'est fini."
Joss, perplexe demanda à Alejandro d'appeler Nacho devant lui, et de tout lui dire, de tout plaquer. C'est d'ailleurs ce que Alejandro fit.


27 JUILLET 2013
Le réseau est lancé. Chaque jour de nouveaux membres arrivent, les affaires sont au summum, mais Joss sent que les difficultés approchent. Les petites frappes sont trop peu gérées. Il décide donc de réunir Ferdinand et Roger afin de discuter à l'intégration d'un éventuel nouveau membre, ayant fait ses preuves par le passé. Après maintes réflexions, les trois hommes arrivent à une conclusion : Patrick Ardizzone est l'homme de la situation. Rencontré par Roger dans des circonstances qu'il ne préfère pas communiquer, dans les années 90', Patrick a géré plusieurs petits street gangs, et Roger savait qu'il était de confiance. Joss le fait donc venir. Au 1er rendez-vous, Joss fut surpris par la carrure du nouveau venu : un gros lard d'1m90 se dressait face à lui. Quelques discussions en compagnie de Roger, et Patrick était briefé, prêt à être lancé sur le terrain.
Pris par le temps, Joss le plaça directement en tant que dirigeant d'un petit groupe de trafiquants opérant hors de la villa, à Dillimore.

29 AOÛT 2013
Il est 22h19, et derrière le bar du club de bikers de Dillimore, un petit groupe peut se faire apercevoir. Patrick au centre, désigne un des types.
Toi. Viens.
Le gars s'exécute, il avance.
Regardes les autres.
A peine le type se retourne-t-il que Patrick attrape sa tête, puis lui casse la nuque. Le groupe reste passif, et stupéfait face à cette scène.
Bon, vous voyez ce que je viens de faire ? Je n'ai pas idée de pourquoi je l'ai fait, mais je l'ai fait. On m'a demandé de le tuer, c'est un ordre qui vient d'en haut. Comprenez que c'est pas moi qui prend les décisions, mais ce qui est sûr c'est que je les exécutent sans poser de questions. C'est comme ça, et c'est pour tout le monde.
On m'a demandé aussi de rapporter a mon supérieur le nom de chaque type qui fout la merde, ensuite il prend les décisions. J'ai pas le choix, je donne les noms. Alors tâchez de rester cool, j'aime pas avoir à faire ça.. Dit-il en extirpant son vieux chiffon de sa poche, s'essuyant les mains comme si elles étaient sales.

7 SEPTEMBRE 2013
Joss donne rendez-vous à Patrick au bar de la grande roue de Santa Maria Beach.
Joss, déjà assis au comptoir : Approche.
Patrick s'approche, puis s'assoit à côté de Joss, sans dire un mot.
Joss : J'ai entendu dire que ta petite équipe marchait pas mal. Très bien même. Tu sais mener on dirait..
Patrick hausse les épaules.
Joss : Tu vas diriger autre chose de plus ambitieux, désormais tu marcheras aux côtés de Laventi, des petits gars t'attendent. Ils s'appellent Michael Penniman et Joshua Graham, tu les prendras sous ton aile et tu formeras ta petite équipe, le business. A part ça rien ne change.
Patrick s'apprête à prendre la parole, quand Joss le coupe dans sa lancée.
Joss : Tu peux disposer, Laventi t'expliquera les choses plus en détails. Dit-il, faisant signe à Laventi de s'approcher. Il chuchote quelque chose à l'oreille de Patrick, puis le duo s'en va vers la sortie, laissant Joss seul au comptoir.

ANNÉE 2014
La partie 2014 viendra une fois qu'on aura commencé les activités ingame, bonne chance à nous.

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Topic de screens :

https://gtasamp.meilleurforum.com/t271328-the-european-relationship-screenshots-videos

Leader (et anciens noms) : Claude McBurns; Roger Sterz; William Berisha
Membres (noms) : 25-30, MP panel pour les noms (nous tenons une liste en interne)
Territoire occupé : Los Flores
Création du projet : 13/06/2014

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Très très lourd mon pote, bonne chance !

Bgggggg

Bon courage.

PED crée par des gens bien, vraiment bon, très bon en RP, bonne chance pour la suite.

Continuez comme ça !

Bien joué!

Bonne chance à nous !

Merci tout le monde héhé.
Et bravo pour les montages, ils sont géniaux !

Et encore, on fais la redirection sur les recherches google là !

This shit is getting serious now.


Les montages sont énormes, bravo

Merci les gars. Normalement les bbcode sont installés, cliquez sur les recherches google et ça redirigera vers l'article en question. (Faut faire attention si vous êtes sur forum.cmlv-rp.com ou gtasamp...)

Bonne chance à vous.

Énormément de contenu, je vais voir ça en détail.

Amusez-vous bien, c'est le principal.

Merci gros, j'espère que l'on aura la chance de se croiser dans le game.

Une dinguerie la vidéo.

Bonne chance Messieurs, y'a du potentiel.