[PED] The European Relationship - La renaissance du crime organisé

Comme chaque mardi, je sais pas pourquoi d'ailleurs, y a plus rien dans le frigo. Et comme chaque mardi, c'est moi qui me tape les courses. Les autres sont bien trop intelligents pour ne pas me les laisser faire : ils seraient prêts à se laisser crever de faim pour ne pas y aller. Comme j'ai perdu ma moto et que ma voiture est au garage, j'ai dû emprunter la caisse de Vito qui me l'a « gentillement » prêtée.


Evidemment, il a fallu que le caissier soit en train de se toucher dans l'arrière-boutique ou je ne sais où pendant que je poireautais comme une conne avec mon caddy ; c'est bien ma veine.


Il a fini par se pointer au bout de 5 minutes, en s'excusant de m'avoir fait attendre.

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Finalement, après une sieste de 2h, j'ai décidé de sortir un peu pour respirer l'air pollué de notre belle ville. J'ai croisé Vito, qui m'a proposé de l'aider à gérer une session de recrutement dans son entreprise. Je lui ai fait la remarque (en rigolant au début) que je ferai une très bonne secrétaire, et visiblement il a pensé la même chose :

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Aujourd'hui s'annonce plus prometteur qu'hier. Roger nous fait visiter le club dans lequel je vais taffer avec plusieurs autres filles, notre club. Il y improvise une petite réunion pour la soirée de samedi, où il donne des directives.


Le mot de la fin :

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Tout devait bien se passer. On devait aligner les clients et les billets. Je sais pas ce qu'il s'est passé. Tout a dérapé. Personne ne veillait sur moi. PERSONNE.

Too late.