~Mickael Bertolucci~ Une vie déjà entièrement tracée avant sa naissance ?

Vous pensiez connaître Mickael ? Vous pensiez tout savoir de lui et comprendre sa façon d'être ? Son état d'esprit actuel et sa façon d'agir et/ou de faire ?
Vous vous trompiez surement sur lui. Son histoire s'est forgée depuis sa première seconde en ce monde qui est le notre. Oui, pour tout les êtres humains, ou même les plantes dès la première seconde nous avons forgé notre histoire, mais ce qu'il l'attend.. Ce qui l'attendait et qui avait été préparé avant même sa naissance lui courrera après tout au long se son enfance, son adolescence ou encore même.. Peux être.. Sa vie entière!








Le 6 Mai 1985

6 HEURES 23 MINUTES :

Nous étions le 6 Mai de l'année 1985, une journée attendue depuis maintenant plusieurs mois par deux jeunes personnes, Gabrielle et Alesandro, alors âgés de 19 et 22 ans. Il était 6 heures du matin quand Gabrielle commençait à se sentir mal, elle était consciente de ce qui arrivait, elle essaya donc de ne pas trop se plaindre, rester calme. Alesandro, quant à lui, était toujours au près d'elle. Ce jeune couple d'origine italienne, encore assez jeune, cela ne faisait que 1 an et demi, était à la fois heureux et plein de bonheur. Cette nouvelle commençait à les travailler maintenant depuis ces 8 mois et 24 jours.
Alesandro se dépêcha alors de saisir ses clefs de voiture et d'aider sa jeune Gabrielle à son véhicule. Ils y arrivèrent avec quelques difficultés. Une fois arriver à l'Hôpital de Palermo, en Sicile, Gabrielle fût prise en charge par les médecins sur place, elle resta toute la journée là bas. Les médecins faisant de leur mieux, l'accouchement eu lieu dans les meilleures conditions possibles. C'était le plus beau jour de leur vie. Alesandro resta prêt d'elle, ne lâchant pas sa main, essayant de la rassurer. Toujours prêt d'elle, la connaissant depuis son plus jeune âge, il savait à peu près comment la rassurer.

19 HEURES 16 MINUTES :

Gabrielle sortie de l'hôpital, Mickael dans ses bras, Alesandro à sa droite, la tenant par la taille. Ils se dirigèrent vers le véhicule. Ils prirent leur temps pour rentrer chez eux. Ce fût avec le sourire, rempli de bonheur, qu'ils passèrent leur soirée ensemble. La maison déjà équipée de façon à ce que le jeune Mickael puisse grandir en sûreté.




Le 19 Juin 1985 :

3 HEURES 49 MINUTES :

Un bruit ayant pû se faire entendre dans le salon réveilla Alesandro en premier. Gabrielle fatiguée, passant toutes les heures, les minutes ou encore, les secondes avec Mickael, se reposait au mieux la nuit, avec son sommeil assez lourd. Alesandro se leva afin de saisir sa lampe torche dans sa table de chevet, sorti du lit se dirigeant en direction de la porte de la chambre.
Le jeune Mickael avait sa chambre à côté de celle de ses parents, leur maison ne comportait qu'un rez de chaussé, ils n'avaient pas les moyens de payer une demeure plus luxueuse.
Des bruits se firent maintenant entendre dans la cuisine. Alesandro, toujours plein de sang froid, essayait de garder celui-ci, évitant de réveiller sa jeune compagne et son enfant. Il parti en direction de la cuisine, sa lampe toujours éteinte, afin de rester le plus discret possible. Une fois arrivé en cette salle, rien ne pouvait être vu, ni même aucune odeur ne pouvait se faire ressentir. Que se passait il ? La fatigue lui montait t'elle à la tête ? Alesandro commençait à se poser quelques questions.
Plus aucun son ne se faisait entendre dans leur demeure. Qu'elle heure était il ?

4 HEURES 02 MINUTES :


Un bruit de moteur se fît alors entendre, Alesandro, encore dans la cuisine, se dirigea à la fenêtre qui donnait vue sur leur portail et la rue. En face de leur maison nous pouvions voir des arbres magnifiques, quelques fleurs rouges et jaunes au sol, leur maison était plutôt à l'écart des autres.
Un bruit de moteur à cette ci ? Des bruits dans la maison ? Alesandro pouvait maintenant être sur et certains de ce qu'il se passait. Quelqu'un était bien entré chez eux. Mais qui ? Qu'avait il fait ? Alesandro lâcha alors sa lampe torche. Elle tomba au sol, lui resta immobilisé à la fenêtre. Le regard posé droit en face de lui. On pouvait le comparer à une statue. Ceci dura quelques secondes. Mais qu'avait il vu ? Pourquoi avait il réagis comme cela ?
Il reprit ses esprits et accouru dans la chambre de son enfant. Le jeune Mickael dormait encore comme si rien n'avait eu lieu. Il alluma sa lampe et inspecta toute la chambre, essayant de rester le plus silencieux possible. Après quelques instants, il trouva, situé à côté de l'oreiller, une lettre. Il la saisie mais ne l'ouvra pas. Il la regarda, la lampe posée sur celle-ci.
Il sorti alors de la chambre, alla dans son salon, s'assied dans une vieille chaise et ouvra la lettre. Il la lu. Il faisait cela d'une telle façon que l'on aurait pu imaginer qu'il lisait un manuscrit ancien.
Une larme coula sur sa joue. Alesandro, pourtant connu pour son courage, toujours prêt à tout, il n'avait pas pleurer depuis longtemps. Mais à ce moment précis, ses émotions prirent le dessus, il perdu tout ses moyens. Qu'avait il écrit sur cette fameuse lettre ? Pourquoi avait elle été posé dans la chambre, prêt du jeune Mickael ?

Les années passèrent, rien se passa de bien important, ils continuèrent à vivre leur vie comme ils pouvaient le faire. Cette journée ne fût connue par personne, mais Alesandro ne l'oublia pas.
Cette nuit resta donc un mystère, nous pouvons imaginer toutes les possibilités que nous voulons.




Le 6 Mai 1990 :

9 HEURES 14 :


Gabrielle était avec son enfant comme tout les jours. Elle travaillait maintenant prêt de chez eux, dans un petit magasin nommé "Ideali'Vestiti" ce qui lui permettait d'être proche de son enfant, même si la nourrice était très souvent proche de lui, elle faisait bien rire le jeune Mickael, qui lui, de son côté, l'appréciait énormément.
Elle préparait alors de quoi faire manger son fils, qui était assied non loin d'elle, sur une chaise faites spécialement pour les enfants de son âge. Le jeune Mickael avait appris de nombreuses choses durant ses 5 ans.
C'est alors que son père, Alesandro, rentra à la maison, un sac à la main. Il le déposa sur la table puis le vida sur celle-ci. Il contenait alors de la nourriture, il rangea tout cela dans son frigidaire et le referma par la suite. Le petit Mickael tomba alors de sa chaise. Gabrielle accourra en sa direction mais Alesandro l'arrêta, l’empêchant de continuer son chemin.
- Ma cosa stai facendo! Cadde, ha bisogno di aiuto! (Mais que fais tu ! Il est tombé, il faut l'aider !)
Alesandro resta silencieux, puis dit quelques mots, gardant son regard en direction de Mickael :
- Lui può fare, oggi che sarà.(Il peut le faire, c'est aujourd'hui qu'il le fera).
Son regard se posa alors sur Gabrielle, alors inquiète jusqu'à présent, se calma. Alesandro avait un regard qui la rassurait. Elle compris alors là où il voulait en venir et resta là où elle était, regardant Alesandro puis Mickael.

Mickael, alors, commença à se lever et effectua ses quelques pas.

Gabrielle, n'en revenait pas, elle était perdue, heureuse comme jamais, elle resta silencieuse, essayant de parler en ouvrant sa bouche, mais aucun n'en sortie. Elle se mit à pleurer, Alesandro la prit dans ses bras et la serra fort contre lui.

Elle passa le reste de sa journée avec son enfant, essayant de le faire marcher encore un peu plus, cella l'avait rendue plus qu'heureuse.




5 Septembre 1991 :

7 HEURES 47 MINUTES :


Alesandro et Gabrielle, accompagné de leur fils, allaient en direction de l'école la plus proche. Misckael y avait été inscrit quelques semaines avant afin d'y faire son entrer comme tout les autres enfants de son âge. Il était assez confiant car son père, Alesandro, l'avait rassuré et lui avait appris quelques petites "choses" pour bien commencer. Il avait le don de son père, son sang froid. Il parlait beaucoup malgré son âge, mais ses parents étaient toujours à son écoute.
Ils arrivèrent devant l'école et le dépoussière. Ils restèrent tout les trois ensemble, durant cette journée de découverte, qui avait été organisé par les instituteurs pour permettre à ses jeunes élèves de connaitre les lieux et de se sentir plus en confiance avec cet endroit, là où ils allaient maintenant rester quelques années pour y finaliser leur études. C'était le début d'un apprentissage important et il fallait que Mickael le fasse.

La journée se déroula sans aucun soucis. Mickael était encore plus confiant et savait à quoi il devait s'attendre maintenant. Demain était donc le premier jour sans les parents, là où l'apprentissage commençait.

La journée du 6 septembre se déroula donc comme il se devait, sans rien de spécial. Ses journées se passaient, il rentrait le soir avec ses parents, une vie normal, menée dans une famille normale.




4 Juillet 1994 :

16 HEURES 38 MINUTES :


Alesandro et Gabrielle, comme tout les jours depuis que Mickael allait à l'école, l'attendaient. D'habitude ils 'étaient à une autre place, mais quelques fois, ils venaient à celle-ci du fait qu'ils ne pouvaient pas se garer à la place habituelle.
Les minutes passaient mais toujours pas de Mickael en vu. Où était il ? Gabrielle commença à s’inquiéter mais Alesandro la rassura. Mickael s'était surement attardé dans les couloirs de l'école avec ses amis, où peux être s'était il fait de nouveaux camarades. Rien ne devait être graves. Gabrielle se calma donc et resta assise dans son siège, plus sûre d'elle. Cela était quand même assez anormal, il ne l'avait jamais fait auparavant.

17 HEURES 03 MINUTES :


Gabrielle s'impatientait vraiment. L’inquiétude commençait à prendre place en elle, Alesandro n'arrivait plus vraiment à la calmer. Elle commençait à être prise de panique.
Alesandro regarda tout autour de lui, essayant d'inspecter tout les recoins possibles, le jeune Mickael n'était pas là.
Il sortit du véhicule, tout en précisant à Gabrielle qu'il revenait. Il allait chercher Mickael dans le bâtiment. Alesandro passa sa main alors sur sa poche droite. Il pouvait ressentir une légère feuille situé dans celle-ci. Il garda sa main dessus quelques secondes avant de l'enlever et de continuer son chemin confiant. Il fallait réellement retrouver Mickael et Alesandro était en accord avec Gabrielle sur un point, sans pour autant le montrant à sa jeune compagne, cela était anormal.
Il pénétra alors dans le lieu, et entrepris de chercher son jeune fils. Il rencontra alors, dans un des couloirs, un professeur. Il lui demanda alors si il n'avait pas vu Mickael. Il lui répondis négativement. C'est alors que Alesandro repassa sa main sur cette fameuse poche droite, serrant celle-ci contre cette feuille. Quelques minutes plus tard il sortit et se dirigea vers le véhicule, là où l'attendait Gabrielle.
Mickael était à ses côtés, tout les deux étaient assis à l'arrière. Tout était en ordre, mais cette fin de journée restait tout de même assez étrange.
Gabrielle annonça, durant le trajet, à Alesandro que leur jeune fils était arrivé par un autre chemin mais qu'il lui avait certifié que tout allait bien, qu'il ne fallait pas s’inquiéter.

La fin de journée se déroula comme toutes les autres, sans aucun autre problème.












Le 6 Mai 1996 :


14 HEURES 38 MINUTES :


C'était, pour Mickael, un grand jour. Il fêtait alors ses 16 ans. Son adolescence était arrivée à grand pas. Malgré les dfficultés financières rencontrés par ses deux parents, il arriva tout de même à organiser une sympathique et mémorable fête. Lui même, accompagné de ses 4/5 amis, passèrent la journée prêt sur la plage. Le lieu était assez paisible, des rochers s'étendaient tout au long de la plage, eux même assis sur des rochers. Ils étaient assez gris, plutôt foncés suite à l'eau qui venait passer sur ceux ci. Ils avaient donc décidé de passer cette journée en ce lieu afin de fêter l’anniversaire et, bien sûr, l'adolescence du jeune Mickael.
Toujours aussi bavard et amusant, il se mirent à déguster le déjeuné. Sandwichs, Coca-Cola, un peu d'alcools, diverses nourritures et boissons étaient également présentes.
Mickael se sentait heureux avec ses amis, sa joie se faisait ressentir auprès de ses parents, de sa famille, de ses amis et même de ses professeurs.
Ils s'amusaient et rigolaient tous ensemble lorsque Mickael leva les yeux au ciel, afin de le contempler. Il fût pris d'un moment d'hésitation, immobile comme une statue, les yeux en directions des hauteurs des rochers. Il regarda dans cette direction, sans dire un mot. Ses amis continuaient derrière lui à rigoler entres eux. Ce dernier restait fixé sur ses rochers, ne les lâchant pas des yeux. En effet, l'on pouvait remarqué une forme distincte. Une personne ? Un animal ? Ou simplement un ombre qui éveillait son imagination ?
Ses amis se rendirent compte de son inattention et l’interpellèrent afin de lui demander ce qu'il pouvait bien se passer.
Il réagit mais n'osa pas demandé à ses amis ce qu'il croyait avoir vu. Un bruit sourd de moteur se fût entendre, puis celui-ci s'estompa vers l'horizon, dérrière eux.


Ils finirent leur journée ensemble, Mickael resta comme s'il n'avait rien vu, oubliant au mieux cette scène. Malgré cela, ce moment resta tout de même gravé dans sa mémoire. Il n'en parla pas à quiconque, cela restait son secret.




Le 19 Juin 1996 :


3 HEURES 43 MINUTES :


Toute la famille dormait tranquillement. Un jour, ou plutôt, une nuit normale, comme toutes les autres qui s'écoulait, sans aucun ennuis. Alesandro s'était réveillé, se retrouvant aux toilettes, comme il pouvait le faire toutes les nuits depuis une ou deux années. Ses envies lui prenaient sans qu'ils ne le veuille. Se rhabillant, allant appuyer sur le bouton afin de nettoyer les toilettes, il s'arrêta brusquement. Il resta silencieux quelques instants.. Quand il entendu un léger bruit. Il réflechissat quelques secondes et se décida de rester aux toilettes afin de voir si le bruit allait se faire réentendre. Il ne fallait pas qu'il commence à s'imaginer des choses. Non! Il devait rester comme toujours, pleins de sang froid et de bon sens. Malgré ses efforts, il entendit à nouveau un bruit, mais cette fois-ci, celui d'une porte qui grinçait. Aaah! Cette fameuse porte de la chambre de Mickael qu'il n'avait toujours pas huilée alors que Gabrielle et son fils n'arrêtaient pas de lui rabâcher. Attendez.. La chambre de Mickael ? Son cœur se mit à battre, à s’accélérer, poussant au maximum contre son thorax. Il regarda l'heure sur sa montre.


3 HEURES 46 MINUTES :


Il sortit des toilettes en se dépêchant, n'appuyant pas sur le bouton afin de rester discret, continuant son chemin en direction de la chambre de son fils. Il s'arrêta, regarda autour de lui, rien n'était visible. Il continua donc son chemin et pénétra dans la chambre. La porte était ouverte. Mickael dormait, comme toujours. Il regarda la chambre, tenu d'un doute. Une seconde, deux secondes, trois secon-.. Un bruit de véhicule se fît entendre. Il s'arrêta d'inspecter la chambre et regarda vers l'oreiller. Mon dieu.. Ce fût pour Alesandro un moment de peur intense. Une peur qu'il avait déjà ressenti il y a maintenant.. Maintenant.. 16 ans jours pour jours, heur-.. heure pour heure.
Il saisit la lettre posée, la regardant. Son visage était expressif, on ne pouvait tout de même pas distinguer si cela était de la peur, de la panique, un moment de perte d'assurance. Peux être même les trois ensembles ?
Il alla dans son salon et s'assied sur cette chaise. Il ouvrit la lettre et la lu.




Le 7 Août 1996 :


10 HEURES 07 MINUTES :


Le penchant de Mickael c'était dès à présent déclaré. Il avait toujours hésité, ne sachant pas vraiment où s'orienter, où son corps voulait l'amener. Lorenzo.. Ce petit Lorenzo. Cet ami d'enfance. Où l'avait il rencontré ? C'était le 6 Septembre 1991 lors de son entré à l'école. Depuis ce jour là, ils passaient toutes leurs journées, tout leurs temps ensemble. Ils se partageaient tout, ce qu'ils avaient, tant les objets que leurs secrets. Enfin.. Mickael cachait une seule chose à Lorenzo, ce qu'il s'était passé ce 6 mai. À part cela, il lui avait tout dit. Mickael ne se sentait pas prêt à parler de ce jour à son ami,.. Il savait qu'il fallait qu'il lui en parle. Il savait pourtant, pour le 4 Juillet..
Mais cela l’inquiétait de plus en plus, le seul lieu où il se sentait en sécurité, c'était aux côtés de Lorenzo, enfin, également chez lui, mais ce n'était pas pareil.
Il n'osait pas vraiment parler, dire, avouer à son ami ce qu'il ressentait. Était il sûr de cela ? Savait il vraiment ce qu'il voulait ?
Mickael ressentait ce sentiment, ces frissons que l'on ne ressent que rarement, à la vue de celle.. Celui que l'on aime.
Il ne voulait pas perdre cet ami dont on ne rencontre qu'une seule fois dans une vie. Il ne ce décida pas à lui dire pour cette heure, mais il comptait bien lui en parler aujourd'hui. Il se sentait tout de même prêt à le lui dire, de toutes façon, il le fallait.


16 HEURES 35 MINUTES :


Après qu'ils eurent manger ensemble, passer la journée tout les deux, Mickael lui demanda de venir vers lui afin de lui parler. Une discussion importante les attendaient. Il sentait ses membres se raidir, ce n'était pas facile pour lui. Il passait ses doigts entre ses mains, commençant à paniquer. Ressaisit toi!, se disait il.
Après avoir trouvé un lieu adéquat, ils s’assirent tout les deux, l'un à côté de l'autre. Lorenzo semblait confiant. Il souriait et regardait un peu l'endroit où ils s'étaient assieds. Quelques secondes passèrent quand Lorenzo tourna sa tête en direction de Mickael, le regardant d'un air interrogatif.
- Volevi parlare con me, ma che cosa? (Tu voulais me parler, mais de quoi ?).
- Dovevo dirti una cosa importante, penso che si dovrebbe sapere. (Il fallait que je te dise quelque chose d'important, je pense que tu dois le savoir).
Sur ces mots, il s'engagea dans un léger monologue, exprimant ce qu'il pensait. Il hésitait quelques fois, ne sachant pas vraiment quoi dire. Tout au long de son monologue il regardait légèrement le sol, entre ses jambes. Quelques fois, il relevait la tête en direction de Lorenzo. Celui-ci était d'un calme dont il n'aurait jamais cru qu'il était doté. Mickael prenait de plus en plus de confiance, après tout, ils se connaissaient depuis maintenant 10 ans, presque.
Lorenzo, à la fin du discours de Mickael. Le regarda, hésitant. Il lui sourit et ils se mirent à discuter tout les deux. Mickael se sentait bien, il avait avoué ce qu'il pensait, ce qu'il ressentait et Lorenzo l'avait plutôt bien pris.


La journée se continua normalement, Mickael et Lorenzo passèrent comme il se devait, encore quelques heures ensemble avant de rentrer chez eux.

Mi piace questa storia. T'as déjà repris Ashley ?

Ouais. Mike c'était pour une PED mais bon.. Mon perso' n'aimait pas ce qu'il se passait là bas, puis ça m’intéressait pas plus que ça
Ashley me manquait  

Un peu tard, mais bien joué.