The Ruggiero Mob : Part XV

Entre temps j'ai enfin reçu mon nouvel ordi, donc j'ai perdu tout mes screens. Liez les deux derniers screens avec la série de Spinosa où il me cogne.













C'est souvent en cherchant une logique à ce genre de merde qu'on comprend qu'il n'y en a pas.
Ce connard était basé sur le dicton "œil pour œil dent pour dent", et c'est ce qui le mènera sans doute à sa fin un jour ou l'autre. En attendant, tout ce que j'avais à faire, eh bien, même moi je ne le savais pas. Croiser les doigts et espérer être présent à son "licenciement"? En tout cas, j'allais avoir une bonne gueule pour l'ouverture du night club. On me reproche souvent de voir quelque chose d'ironique à travers les choses qui ne le sont pas. Qui sait, je crèverais avec un sourire sur le visage dans mon lit de mort, une femme et des enfants à côté de la table de chevet. On m'a aussi dit que je rêvais beaucoup et que je dramatisais trop pour un rien. Certains m'auraient dit "Estime toi heureux qu'il ne t'a pas tué" ou encore "Merde, t'as une sale gueule!". Il est vrai que j'aurais dû lui dire merci de m'avoir casser la gueule. Ouais, je dramatise trop en fin de compte.