Lucciano "Luchy le gros" Russo : I live like a drum.

Presentation a écrit:

The fucking story Luchy.

"Vaux mieux donner envie, que faire pitié." ; "Je trouve que t'es pas si gros." ; "T'es gentille, mais on ne sera qu'amis." ; "Hé le p'tit gros." ; "T'as pas perdu un peu de poids ?" ; "Y'a des filles qui aime bien les garçons avec un peu d'bide !" ; "Tu fera jamais rien d'autre de ta vie que de t'empaffée !" ; "T'es bon qu'à bouffer comme un porc." ; "Gros porc !" ; "Gros sac plein de soupe !" ; "Hé porcinet !"

Puis un jour.. Luchy partis. Adieux les moqueries de ses camarades, de son petit frère ou bien même des filles. Il partis sans même dire au revoir, sans dire un mot.

"Vaux mieux donner envie, que faire pitié.. Après tout, le ridicule ne tue pas, pourquoi ne pas faire pitié alors." ; "Si tu ne me trouvais pas si gros et que j'était si gentille, pourquoi tu voulais absolument qu'on reste amis ?" ; "J'ai jamais perdu un gramme de ma vie, je n'es fait qu'en prendre." ; "Ouais, avec un peu d'bide et beaucoup d'fric." ; "Je sais Micky, je sais."

Aujourd'hui, ils ont fait de lui ce qu'il est. Vous avez fait de moi ce que je suis. Vous êtes les programmeur, je suis programmer. Vous avez fait de moi un bon à rien, si ce n'es qu'être une raclure. Je le sais. Oui, je sais que je suis un bon un rien, un gros porc, le mec que tout le monde apprécie. L'idiot du village hein ? Je vais vous montrer de quoi je suis capable, vous verrez si vous m'apprécierez toujours autant. Les derniers à m'apprécier seront les putes et ceux qui auront contribué à mes poches pleines. Si aujourd'hui elles sont vide, demains une seule poche contiendra toute l'argent que tu n'aura jamais eu en toute une vie. Si aujourd'hui tu ne me respecte pas, estime toi heureux d'être en vie demain, lorsque tu devra me baiser les pieds.

Chapitre I : My fucking brother.

Mon petit frère, d'un ans de moins, il m'a souvent humilié. Je le déteste et je l'aime. Il m'a humilié tant qu'il le pouvais, il savais qu'il me faisais du mal, mais si le ridicule ne tue pas, il fait tout pour y échapper. Je crois que j'lui est toujours fait honte. Quand je pleurais, petit, il venait me voir a travers la porte entre ouverte. Je savais qu'il était là, mais je disais rien, j’espérais qu'il viennent s'excuser ou bien me serrer dans ses bras. Je crois qu'il le voulais aussi au fond de lui, il avais simplement honte de moi. Honte de mes kilo en trop. Lui il avais tout de parfait, notre mère l'adorais. Le matin, avant d'aller à l'école il me disais toujours de partir un peu en avance, qu'il me rejoindrais devant la grille. Chaque fois il passais devant moi, comme si il ne me connaissais pas. C'est mon petit frère Mike, Micky, j'aimerais lui refaire le portrait, pourtant.. Le premier qui oserais lever la main devant lui, je ferrais en sorte qu'il se retrouve entre quatre planches ! Je le déteste, je l'aime.