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Épidémie d’Ebola en Afrique de l'Ouest
L'épidémie d'Ebola qui se propage actuellement en Afrique de l'Ouest s'avère être la plus dévastatrice de l'histoire. Médecins Sans Frontières (MSF) fait tout son possible pour endiguer l'épidémie depuis les premiers signalements de son apparition. Toutefois, l'organisation a alerté qu’elle avait atteint les limites de son intervention et a demandé une intervention internationale coordonnée pour lutter contre cette épidémie.Malheureusement, de nombreuses personnes sont encore atteints de la maladie ou l'attrapent.Les pays occidentaux atteints ne se préoccupent pas des pays vraiment touchés et prèfèrent garder la cure pour eux.
L’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest a déjà causé la mort de 4 877 personnes depuis qu’elle a été déclarée officiellement le 22 mars dernier. Cette épidémie touche actuellement trois pays d’Afrique de l’Ouest : la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone. Étant donné que 42 jours se sont écoulés sans qu’il n’y ait de cas actif, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré la fin officielle de l’épidémie au Sénégal et au Nigéria. À l’heure actuelle, trois personnes aux États-Unis et une autre en Espagne sont pris en charge après avoir contracté le virus Ebola. Par ailleurs, une épidémie sans aucun lien avec celle qui sévit en Afrique de l’Ouest frappe actuellement la République démocratique du Congo. Un cas de fièvre de Marburg a été confirmé en Ouganda, bien qu’aucun nouveau cas de la maladie ne se soit déclaré au cours des 21 derniers jours.
À la suite des annonces faites ces dernières semaines, le déploiement de l’aide internationale s’amorce lentement dans les trois principaux pays touchés. Toutefois, rien n’indique réellement que les efforts actuels visant à accroître la capacité d’isoler et de traiter les cas suspects ou confirmés d’Ebola suffiront à répondre aux besoins.
Les équipes de MSF en Afrique de l’Ouest sont toujours témoins de lacunes importantes dans tous les aspects des interventions, que ce soit dans les soins médicaux, la formation du personnel soignant, la prévention de la transmission, le suivi des personnes-contacts, la surveillance épidémiologique, les systèmes d’alerte et de référence, l’éducation communautaire et la mobilisation.
MSF combat l’épidémie depuis mars et compte aujourd’hui 3 288 travailleurs humanitaires en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone, qui traitent un nombre de patients qui ne cesse d’augmenter. Depuis mars, 24 membres du personnel de MSF ont contracté Ebola, dont sept qui s’en sont remis. La grande majorité de ces contaminations ont eu lieu en dehors du milieu de travail.
C’est une maladie rare. Les épidémies sont limitées mais elles créent à chaque fois la panique. Cela tient au fait que l’issue est fatale dans 25 % à 90 % des cas. Après une incubation allant de deux à 21 jours, le virus d’Ebola provoque une fièvre brutale, des maux de tête, des douleurs musculaires, une conjonctivite, une faiblesse générale, puis dans un deuxième temps des vomissements, des diarrhées et parfois une éruption cutanée. Le virus se répand dans le sang et paralyse le système immunitaire. Ebola est d’autant plus redoutable que ses virus ne sont pas tout de suite repérés par l’organisme. Quand ce dernier réagit, il est souvent trop tard. Les virus ont déjà créé des caillots, bloquant les organes vitaux et provoquant d’importantes hémorragies. Les malades peuvent saigner abondamment, y compris par le nez ou via leur urine.
La maladie est transmise par un contact avec les fluides des personnes ou animaux infectés, comme l’urine, la sueur, le sang ou le lait maternel. Les proches ainsi que le personnel de santé s’occupant des malades courent de grands risques d’être contaminés. La forte mortalité et les signes hémorragiques sont tellement impressionnants qu’il est souvent arrivé que le personnel de santé s’enfuie en abandonnant les patients.
Les rites funéraires pendant lesquels les proches lavent le défunt sont également un moyen de transmission important dans les communautés africaines.
À la suite des annonces faites ces dernières semaines, le déploiement de l’aide internationale s’amorce lentement dans les trois principaux pays touchés. Toutefois, rien n’indique réellement que les efforts actuels visant à accroître la capacité d’isoler et de traiter les cas suspects ou confirmés d’Ebola suffiront à répondre aux besoins.
Les équipes de MSF en Afrique de l’Ouest sont toujours témoins de lacunes importantes dans tous les aspects des interventions, que ce soit dans les soins médicaux, la formation du personnel soignant, la prévention de la transmission, le suivi des personnes-contacts, la surveillance épidémiologique, les systèmes d’alerte et de référence, l’éducation communautaire et la mobilisation.
MSF combat l’épidémie depuis mars et compte aujourd’hui 3 288 travailleurs humanitaires en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone, qui traitent un nombre de patients qui ne cesse d’augmenter. Depuis mars, 24 membres du personnel de MSF ont contracté Ebola, dont sept qui s’en sont remis. La grande majorité de ces contaminations ont eu lieu en dehors du milieu de travail.
C’est une maladie rare. Les épidémies sont limitées mais elles créent à chaque fois la panique. Cela tient au fait que l’issue est fatale dans 25 % à 90 % des cas. Après une incubation allant de deux à 21 jours, le virus d’Ebola provoque une fièvre brutale, des maux de tête, des douleurs musculaires, une conjonctivite, une faiblesse générale, puis dans un deuxième temps des vomissements, des diarrhées et parfois une éruption cutanée. Le virus se répand dans le sang et paralyse le système immunitaire. Ebola est d’autant plus redoutable que ses virus ne sont pas tout de suite repérés par l’organisme. Quand ce dernier réagit, il est souvent trop tard. Les virus ont déjà créé des caillots, bloquant les organes vitaux et provoquant d’importantes hémorragies. Les malades peuvent saigner abondamment, y compris par le nez ou via leur urine.
La maladie est transmise par un contact avec les fluides des personnes ou animaux infectés, comme l’urine, la sueur, le sang ou le lait maternel. Les proches ainsi que le personnel de santé s’occupant des malades courent de grands risques d’être contaminés. La forte mortalité et les signes hémorragiques sont tellement impressionnants qu’il est souvent arrivé que le personnel de santé s’enfuie en abandonnant les patients.
Les rites funéraires pendant lesquels les proches lavent le défunt sont également un moyen de transmission important dans les communautés africaines.
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C'est grâce au soutien financier de personnes comme vous que nous sommes en mesure de combattre le virus Ebola. Merci.
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