Luciana Heartfiller - Angel of Los Santos. (Final+1)

INTRODUCTION – INFORMATIONS GENERAL __________________________________ ADRESSE: 864 Temple Way,        Los Santos, San Andreas __________________________________ Nom: De Heartfiller. Prénom: Luciana. Origine du nom : Britannique. Nationalité : Anglo-américaine. Sexe: Féminin. Age: 30. Date de naissance: 05/09/1993 Lieu de naissance: Philadelphie général hospital, USA. Groupe sanguin : O- Race : Caucasienne. Orientation Sexuelle : Homosexuelle. Parti politique : Républicain. Langues parlées: Anglais. Taille: 172 Cm. Poids: 68 Kg. Relation marital: Concubinage. Occupation : N/A. Titre/rang : N/A. Passe-temps : Les jeux-vidéo. Niveau socio-économique étant enfant : Classe moyenne. Niveau socio-économique étant adulte : Classe moyenne. __________________________________

CHAPITRE 1 - NAISSANCE Nous sommes le 5 septembre 1993 dans le paisible État de la Pennsylvanie, sur la côte sont des États-Unis, au Pennsylvania Hospital, vers 14H26, il fait actuellement -3 C° à l'extérieur, ainsi, il faut dire que nous sommes en plein hiver, la neige sur les arbres, les routes bloquées, les choses qui rendent les enfants heureux quand ils sont jeunes et insouciants globalement, qu'elle est meilleure cadre pour naître, c'est vers 14H37 que je l'étais officiellement, je ne me souviens de rien, mais des récits de m'est parent, j'ai retenu que c'est ma grande sœur, Morgane, qui ma porter la première après l'accouchement, c'est étrange de ce dire que nos parents avaient plus confiance en elle qu'en mon père pour me garder les premiers instants, c'est peut-être pour ceci que je la considère comme ma seconde mère aujourd'hui, je ne devais rien comprendre à tous les gens qui me regardaient, bien que les nouvelles vies sont fascinantes à regarder, je venais de naître, effort sûrement très grand à mon avis, je ne pouvais pas être tranquille 10 minutes ? Mais j'étais donc une jeune Américaine sans vraie prétention à ce moment, dans une famille de la classe moyenne dans ce pays si grand et plein d'individus différent à découvrir, de quoi serait fait le monde dans lequelle je vais évoluer, serait-ce un monde de guerre ou de paix ? Que deviendrais-je ? P.-D.G. d'une multinationale ? Ou encore grande chercheuse en biologie ? C'était le début d'une vie que j'espérais bonne, mais on ne choisit pas toujours celle-ci, et vous allez le découvrir bientôt. CHAPITRE 2 – LE REFUS Papa a toujours eu une grande foi en la religion, et il tentait de me l'inculquer pendant plus de... Trop longtemps pour que je m'en souvienne, je ne sais pas comment il est possible de croire à de pareilles conneries, Morgane elle, était bien plus influencée que moi sur ce plan, mais bon Dieu Morgane, réveilles-toi, tu ne vois pas qu'il t'apprend des choses totalement fausses ? Je lui dis, re-dit, et re-re-dit, elle m'ignorait totalement, pourtant Morgane était la meilleure grande sœur possible à avoir, souriante et affectueuse, mais parfois totalement abrutie et trop bornée pour entendre la vérité, papa m'apprit à lire, écrire, compter et comprendre, mais c'est peut-être à cause de mon rejet de la religion qu'il ne me parlait que peu, voire pas du tout en fait, de ce manque d'affection naquit une haine intérieure, une certaine jalousie, de la malveillance ? Je l'ignorais, mais je la gardais en moi, restant seul avec des jeux vidéo qui étaient pour moi un moyen d'échapper à cette situation (seuls les jeux PC, les consoles, c'est horrible), je devenais lointaine, mais dans le fond, je n'étais qu'une petite fille blessée qui ne demandait qu'un peu plus d'attention, maman était toujours trop occupée pour moi, et Morgane faisait déjà ce qu'elle pouvait pour moi. CHAPITRE 3 – L'ECOLE J'entrais au neuvième grade scolaire, vous, en France, vous nommeriez sa « seconde », pas aux États-Unis, contrairement à ma sœur, m'est parents avait accepté que j'entre en école publique laïque, et non en école religieuse, alors je m'en sortais mieux qu'elle pour ce qui est du « relationnel », je haïssais l'école, comme toutes les jeunes de mon âge, j'imagine, mon niveau scolaire était excellent, ma moyenne étant de B+, mais j'étais parfois contradictoire, parlant comme Morgane d'une façon riche et raffinée, mais les bêtises en plus, le directeur était presque un habitué pour moi, je ne sais pas dans le fond s'il comprenait que j'externalisais un manque d'affection ancien, ou s'il était juste sympathique de nature, c'était un ami pour moi, ce qui est d'ailleurs fort pratique quand les professeurs en avaient contre moi, à vrai dire, je me fichais de leur avis, je savais que grâce à mon travail, et non le leur, j'aurai mon High School Diploma, un jour, ils ont tenté leurs dernières chances de se débarrasser de moi : Professeur : nous sommes donc aujourd'hui présents pour le conseil de discipline de mademoiselle Luciana Heartfiller, celle-ci a, à plusieurs reprises, manqué de respect à des membres de l'équipe éducative, eu un comportement non-scolaire et, bien que les résultats soient présents, manqué plusieurs cours sans motifs valables, qu'avez-vous à dire pour ceci ? Moi : Le système démocratique américain se base sur la réussite personnelle, plusieurs professeurs ont tenté de l'entraver, nourrissant un d'égouts grandissant vis-à-vis de moi, ainsi, si défendre un point de vue démocratique et institutionnellement juste, devants une classe entière est un manque de respect, et que ce professeur pour se défendre ne fait que me sanctionner, alors j'en suis coupable, coupable d'avoir défendu un des droits les plus élémentaires de l'humain moderne, celui à une éducation sans discrimination entre les élèves, ce conseil et aujourd'hui juge de notre système éducatif, est-il plus important de sauvegarder des professeurs corrompues, ou de sauvegarder une éducation de qualité ? Pour le comportement non-scolaire, croyez-vous vraiment, qu'un professeur insultant une élève par un comportement déplacé, ne justifie pas de tels actes ? Le troisième amendement nous autorise une réponse proportionnée à une agression, j'ai été agressé moralement, j'ai donc répondu à mesure égale, et finalement, une fois tout recours utiliser, croyez-vous normal qu'une élève continue d'aller en cours ? J'ai manqué des cours, oui, mais uniquement dans le but de ne plus me confronter à ce professeur, si ceci est un délit pour vous, alors nous devons tous aller avec nos bourreaux, gardant la peur avec nous. - J'en ai terminé. Ils n'ont jamais réussi à me faire partir, j'ai gardé-la tête haute pendant trois ans, j'ai reçu finalement mon High School Diploma avec une note d'A-, l'heure était au départ, je saluais une dernière fois des amies fidèle, leur promettant de garder contact tout le long des futurs études, puis je partis en direction d'une université, dans la continuation de la vie comme elle ce doit, cadre plutôt correct n'est-il pas ? CHAPITRE 4 – ETUDE SUPERIEUR, SAN FRANCISCO. « San Francisco, officiellement City and County of San Francisco, est une ville des États-Unis située dans l'État de Californie. Son nom est couramment abrégé en SF et la ville est surnommée The City by the Bay. La ville est située à l'extrémité nord de la péninsule de San Francisco, entre l'océan Pacifique à l'ouest et la baie de San Francisco à l'est. » N'ayant pas grand moyen, sauf une bourse de l'état fédéral, j'ai choisi de faire un parcours à l'université de San Francisco, je n'avais aucune idée de quoi faire à vrai dire, comme je sais que Morgane était allée sur la côte ouest, j'y suis allé aussi, mais elle, était partie à Los Santos par mutation au shérif département, j'ai donc débuté un « computer Science degree » de deux ans, pourquoi deux ans uniquement ? Car je ne voulais pas continuer plus loin, c'était inutile et je ne supportais plus l'école et le système éducatif en général, bien trop inefficace par les multiples corruptions des professeurs, je développais parfois de l'agressivité, voire du sadisme, je l'ignore... Mais les gens me craignaient et j'éprouvais un certain plaisir à voir leur souffrance face à moi, d'avoir et de pouvoir. Je ne savais pas quoi faire suite à ceci, je ne trouvais que peu, voir pas de travail, un jour comme un autre, Morgane, qui ne m'avait pas oublié après tout ce qui s'était passé, m'a appelé : - Morgane : bonjour. Moi : oui, bonjour... - Morgane : comment va-tu depuis... Que tu es à San Francisco ? Moi : comme si ça t'intéressais, mais si tu veux savoir, mal. - Morgane : mal ? Moi : ne fais pas comme si tu ne comprenais pas, tu es plus intelligente que ceci, j'ai un diplôme ne servant a rien, aucun travail, et une situation financière a ras de pâquerette. - Morgane : pourquoi tu ne viendrais pas à Los Santos ? Tu trouverais sûrement, et tu pourrais venir avec moi. Moi : je ne... Euh... Je ne sais pas, je peux et dire ça a un autre moment ? Et tu n'es plus avec Marshall ? - Morgane : je vais te laisser réfléchir, et non, je ne suis plus avec elle. Moi : ah, hey bien... ok, je vais te dire a bientôt alors. - Morgane : à bientôt, je suis présente, si tu as besoin. Moi : oui... Merci. Je sais que je suis normalement pleine des principes que je défends, mais je ne pouvais plus matériellement, j'ai accepté l'offre de Morgane deux jours plus tard, l'heure était encore au départ, qui sais, la chance me sera peut-être offerte là bas. CHAPITRE 5 – LOS SANTOS « Bonjour et bienvenu a bord de notre avion USA Airways, nous sommes heureux de vous compter parmi nos clients, il est 8H47, la température extérieure est de 27° degrés, elle atteindra 34° degrés cette après-midi, merci d'avoir voyagé a bord de notre avion, nous vous souhaitons une journée agréable et productive. » Los Santos est la deuxième plus grande ville des États-Unis après New York. Elle est située dans le sud de l'État de Californie, sur la côte pacifique. Les Américains l'appellent souvent par son diminutif, L.A. Cette ville est le siège du comté portant le même nom. Los Santos signifie « les saints » en espagnol et ses habitants sont appelés Santanos (quelquefois Santalianos) – les Santolins. Son nom complet est El Pueblo de Nuestra Señora la Reina de Los Santos del Río de Porciúncula, c'est-à-dire « le village de Notre-Dame la Reine des Saints du fleuve de Porciuncula », nom donné au cours d'eau par les Indiens. Selon le bureau du recensement des États-Unis, la population de la commune est de 3 884 307 habitants en 20133, alors qu'elle n'était que de 11 500 en 18874. Le comté rassemble 10 179 716 habitants alors que l'aire urbaine de Los Santos compte environ 18,5 millions d'habitants, ce qui en fait la deuxième agglomération des États-Unis après celle de New York. Mais la commune de Los Santos est relativement restreinte face à son agglomération, même si elle est plus grande que New York et Chicago. Los Santos est une ville olympique : elle a accueilli les Jeux deux fois (en 1932 et 1984). Mondialement connue pour son activité culturelle (Vinewood), elle entend conserver son statut de ville-région mondiale (world city-region). L. S. est cosmopolite et demeure l'un des points d'entrée d'immigrants les plus importants aux États-Unis. Bon dieu, qu'elle sensation étrange que de changer encore une fois de lieu de vie, je m'installais donc avec Morgane sur la rue de Temple, elle avais perdu sont travail, ce qui est étrange de sa part, elle qui aimais tant le shérif, elle a postulé à la LSPD d'ailleurs, mais a été refusée, je ne sais pas ce qu'elle va faire, moi bah... Pour l'instant, je travaille dans une entreprise de m.. Comme assistante technicienne informatique, payer à peine 1500 $, je ne supporte pas ceci, peut-être, devrais-je moi aussi postuler a la LSPD ? Qui sais, peut-être que j'y trouverais une vocation a vivre au jour le jour, ce sera toujours mieux que ce que je fais actuellement, n'y une, n'y deux, je commençais à écrire un CV pour le LSPD. CHAPITRE 6 – LA LOS SANTOS POLICE ? La réussite: L'eau est un symbole de purification présent dans de nombreuses grandes religions, mais dans notre métier, cette purification ce fait par la mort et par les armes, en effet, en appliquant la mort sur un individu, vous le lavez des crimes qu'il a commis d'une certaine façon, notre justice ne fonctionnant pas a titre posthume. Notre département de police, le plus grand des États-Unis d'Amérique, a pour but la protection de nos concitoyens dans la vie de tous les jours, une population doit être informée de nos actions pour gagner une confiance et une image des protecteurs qu'elle détient vers le positif, c'est une grande tache que d'avoir à charge les relations au plus proche de notre population et d'être garante de notre blason, notre histoire et notre devise "To protect and to serve". Cette relation passe notamment par les médias ou la presse, aujourd'hui au vingt et unième siècle, a l'ère de l'information, cette tache a besoin de force et charisme, choses que je détiens, et qui, je l'espère, pourra satisfaire. Nous sommes une équipe, nous ne sommes jamais seuls, ainsi, il est important de garder des relations saines avec les différents services publics de la ville, y compris, et surtout, les autres départements comme le Los Santos Shérif Département, ou encore le fédéral Bureau of Investigation, ils partagent notre territoire, une passion et un but commun de l'application de la loi, ils seront là pour nous, comme nous devons être là pour eux, et tout ceci grâce à une des taches dont je veux être chargées, les relations, garante de nos relations amicales avec eux, je m'assurerais toujours que nous sommes un mur face à la criminalité. Ensuite, car un département n'est rien sans un commandement ferme et juste, ma tache sera la protection de celui-ci, en tout lieu, en tout temps, et ce, à tout prix, que justice prévale, le monde du il s'effondrer. Mais également la tenue interne de notre département, nos agents doivent voir une image positive leur donnante envie de s'investir dans leur travail, dans leurs actions, pour que par son image paternelle, il nous guide tous vers l'application la plus juste de la philosophie du département. CHAPITRE 7 – [IC] REQUIEM TO A DREAM. Je suis Luciana De Heartfiller, je suis officier, et ceci est l'histoire de ma probation. Tout ici est fruit de ma plume, cet écrit restera pour moi, du moins, pour le moment. Après l'académie et l'entrée en tant qu'officier probatoire, ayant été seconde de ma promotion avec 170/200 points (la première a eu 171 points cette garce), j'ai rencontré le sergent Spencer, caractère assez froid, travail correct, assez sympathique quand il le veut, il serait mignon dans la définition que j'ai de ce terme s'il était plus jeune, mais malheureusement, ce n'était pas le cas, de plus qu'il est marié à Denna Hodge, jeune femme plein de vie qui le mérite de plein droit. Du sergent Spencer : Je suis en Tom-14 avec le sergent, je suis la plupart du temps avec lui, étant le seul disponible pour prendre un officier probatoire de première phase, il m'apprend et je retiens, je découvre le département dans sa globalité, il a fait des erreurs, que je ne puis citer ici, tout ce que je peux dire, c'est que se concernaient des rapports, sa femme, Dena ou encore des actes assez flous. Je l'ai couvert, nous étions plutôt proches quoi, du moins, jusqu'à ce que des rumeurs se déclarent comme quoi nous couchions ensemble, ce qui était bien sur faux, moi qui suis aussi vierge que la sainte marie, nous nous sommes éloignés l'un de l'autre d'un tacite commun accord. Vers les premières amies : De fil en aiguille, suite à mon envol vis-à-vis de Spencer, j'ai rencontré tous les officiers que je connais, dont Schäfer, femme assez étrange, libertine, mais pourtant avec des principes, Gomez, mon meilleur ami à l'heure actuelle, Finlayson, femme du SWAT de Rodéo, Obrady, le mec sympas du SWAT de Pershing, Lanfredi, le seul à m'avoir insulté de pute à la première patrouille ou encore Phoenix, le meilleur gars que j'ai trouvé dans ce poste actuellement.J'en oublie sûrement, mais seul le vrais sont ceux que je porte dans mon cœur. À la première vie retirée : Je suis en UPS, le lieutenant Mills en train de conduire, gyrophare et sirène allumer, nous traversons la ville vers un appel de détresse de deux officiers, j'aperçois un homme au loin, tirant sur nos officiers, Mills s'approche encore et toujours, je prends la MP5 NAVY de sous le siège de l'UPS par réflexe, l'homme continue son œuvre, j'ai sorti la MP5 par la fenêtre de l'UPS, j'ai tiré, et une seconde plus tard, je venais de retirer ma première vie humaine.Je suis dégoûtée, de moi, de la vie, de la réaction des officiers qui ont vidé leur chargeur sur un corps sans vie, je me demande si ce que j'ai fait et juste, tout va si vite, Mills me rassure par un long discours, j'imagine que ça ira mieux, je lui dis, intérieurement, je sais que ce n'ira pas mieux avant deux bons jours, la nuit, je n'y manquai pas, cauchemars à répétition, mais je ne le montrais pas, les gens l'ignorent, ils ignorent tout mon état mental. Comme promis par moi-même, cette action ne me semblait qu'un lointain rêve deux jours après. A la passion première : J'adore les aéronefs, l'Air Support Division m'a toujours attirée, mais c'est un rêve sans fin, la licence coûte plus de 15.000 USD $, je n'ai pas de moyens aussi haut, il faut 4 ans d'expérience en vol, c'est à peine si je saurais décoller, de plus que le seul hélicoptère que j'ai touché sont sur un jeu vidéo, bien des agents mon conseiller à demander au capitaine Tessitores, mais j'hésite, je ne sais pas pourquoi, la peur ? À cause de sa mauvaise réputation, j'imagine, j'en ai passé du temps sur le toit, à contempler les hélicoptères allés et venir comme de grandes libellules.C'était avec ma sœur que j'avais eu mon premier vol... Dommage qu'elle a disparu, elle m'aurait appris. Aux premières blessures : Je suis en train de courir, dans ma course, j'aperçois l'horreur des quartiers de gang, ici Jefferson, les rues sont pleines de déchets, les droguées fuient à la vue de ma plaque, les dealers se cachent à la vue de mon uniforme et le suspect que je poursuis à la vue de mon arme dans ma main, mon fidèle Glock 28, je croyais que c'était encore un civil perdu dans les méandres de la vie, mais celui-ci m'apprit bien vite ce qu'était le mal dans cette ville. Il se retourna, pointa une arme vers moi, et effectua un tir sur mon côté gauche, je suis tombé, je ne sentais plus rien, j'ai expérimenté la mort imminente par ailleurs, mais je n'en ai parlée à aucun du département à l'heure actuelle.Pour citer une blessure tout aussi importante pour moi, ce fut celle de Schäfer, mon officier formateur à ce moment-là, elle fut blessée un autre soir par un tir de Remington, je paniquais et ne savais pas du tout quoi faire face à cette blessure, j'étais allé à l'hôpital avec elle, elle me fit tellement de peine que je n'ai pas résisté à sa demande, ainsi, je dormis la nuit entière avec elle, seul elle, sa femme et moi en avons connaissance actuellement. Aux premiers plaisirs sans amours : C'était un soir de cérémonie, j'étais affaiblie suite aux épreuves de la journée, je parlais normalement avec Schäfer, une femme que je respecte, bien qu'elle ait un mode de vie étrange sur le plan sexuel. Le plan sexuel, c'est là-dessus que je veux en venir, Schäfer à profiter de moi en me séduisant dans un moment de faiblesse, j'ai accepté, je le regrette maintenant, je me suis sentie sale de cette action avec une femme mariée, de plus que je ne suis pas lesbienne bon Dieu, je ne rentrerais pas dans les détails, désolée. Aux honneurs : Au terme de bien des patrouilles, je passais en seconder phase par le capitaine Wentworth, après deux jours fidèles de service, j'ai rencontré le chef de la police James Armanetti, nous avons parlé du département en général, je ne peux vous citer ce que j'ai fait, mais grâce à ceci, je suis aujourd'hui officier deux, et membre du bureau du chef, je ne crois pas avoir à me plaindre, j'ai une place stable, une paye, des amies et un département que j'aime. TO PROTECT AND TO SERVE. CHAPITRE 8 – [IC] HOW TO BEGIN A JOURNEY. Le réveil sonne, c'est les cheveux totalement en bataille que je sors de mon lit, celui-ci est grand et vide, l'absence d'une tierce personne me traverse l'esprit de temps en temps, peut être le mal du célibat, ou ma sœur qui me manque, je l'ignore. Vous voulez savoir ce qui m'arrive depuis un certain temps, j'imagine, je n'ai pas écrit depuis un moment à cause du travail, j'en ai trop, ou j'en fais trop, allez savoir, je ne fais que ce qu'il est nécessaire pour que notre département tourne bien, notamment par le biais du chef de la police, ou encore dernièrement par ma promotion au bureau des inspecteurs, j'ai vraiment de la chance pour moi, il n'y a qu'un mois, j'étais simple probatoire, certaines sont jalouses de moi, je tairais leur nom malgré tout. Ma promotion chez les inspecteurs, je m'en souviendrais, l'air dépité du capitaine rongé par la fatigue me donnant des galons avec un losange, puis ma première affaire avec le lieutenant Mills, une affaire d'homicide, vous voulez savoir le meilleur ? Le suspect est une exploratrice, Maeva Anderson, elle a tué un homme, car « Elle en avais envies », j'avais mal au cœur, j'aimais bien cette petite gamine avec du caractère a qui il fallait apprendre le respect, mais je ne faisais qu'aider, le destin de la petite était entre les mains de Mills et du sergent Spencer, non les miennes. J'ai terminé cette semaine avec une plainte d'un magistrat, assez basique. C'est aussi là que j'ai appris que le sergent Spencer avait une rancœur contre moi, mais il a tenté de s'excuser, je ne lui en veux pas, c'est normal quand on a fait ce que j'ai fait, si l'on peut le dire comme ceci, quand vous êtes fixé par le chef de la police, celui-ci vous demandant ce que vous savez... Il y a des choses que je cache volontiers pour des agents, des amies, mais quand il s'agit de l'honneur de la police de Los Santos, la réponse est maintenant immédiate. J'ai parfois peur de ce que je deviens. Le bureau du chef, ceci est une passion maintenant, peu d'officiers peuvent dire avoir négocié un contrat à 45.000 dollars pour le département, d'avoir fait déplacer tous les agents pour un enterrement ou encore d'être en compagnie du chef et proche de lui comme nous le sommes, pourquoi nous ? Car ma meilleure amie Mariella est avec moi, toujours souriante, elle me conforte et je crois qu'elle a une place importante pour moi, elle me rassure et me fait positiver, loin des autres agents qui sont immatures, bien loin. Dernièrement, j'ai compris que j'allais sûrement recevoir une promotion au grade de Senior Lead Officer, le travail que j'ai effectué paye, les multiples inspections d'entreprises, toutes les taxes sur les véhicules spéciaux, toutes les heures pour la gestion administrative du département, je commence a aller vers le pouvoir de commandement opérationnel, et ça, j'en ai peur. PAX Y VERISITAS CHAPITRE 9 – [IC] OFFICIER OF THE ANGEL. Je me souviens être en train d'attendre devant une porte, sur Century, nous attendions le Special Weapon And Tactic, pour un homme retranché suite a une tentative de meurtre, c'est à ce moment qu'arriva la destruction humaine, des Molotov fusèrent vers nous, inhibant le feu de joie des membres des Virus, le gang local de Century, le feu est la pire chose que l'homme connaisse, tout comme la nature, il est a la fois mort, naissance et créateur intermédiaire, inexorablement, vous le voyez venir vers vous comme un loup cherchant la moindre faille pour vous mordre, il débute alors a vous ronger de l'extérieur, vous avez peur, vraiment peur, et c'est un des moments où j'ai failli a ma tache, j'ai préférée sauver ma vie en me cachant dans une patrouilleuse, me protégeant des flammes, plutôt que d'aider les collègues, je ne sais pas ce qui leur arrivais, mais il y avais des appels en radio, des hurlements a glacer le sang, puis le silence. Ce silence, ce silence, ce silence... Que vous seul pouvez entendre, survivant. C'est à ce moment que je vis Phoenix, il me prit avec lui, moi encore sonner, et il m'emmena avec lui, loin de ce désordre, après avoir surveillé rapidement les officiers a terre, nous sommes rentrées au poste, a ce moment, je ne savais pas encore l'affection que Phoenix avait pour moi, mais si vous voulez savoir sur cette parenthèse, sont amour n'est pas réciproque, Phoenix est trop immature dans sa vie de tous les jours pour que je ne désire vouloir commencer une relation avec lui, j'ai tenté de lui faire comprendre, mais il ne comprend pas les sous-entendus, je crois que je ne vais pas tarder a lui dire directement, je crois aussi que j'ai jamais été aussi contente de prendre ma fin de service pour aller manger, encore en vie, que cette matinée sur Century, le Vietnam a cotée, c'est rien. J'enchaîne les tâches, je commence les ordres, j'enquête sur des choses nouvelles, ne vous avais-je pas dit ? Je suis maintenant officier supérieur, toute ma passion a eu sont retour quand Wentworth me donna les galons, peut-importe ce que peuvent dire les officier, les sergents et lieutenants savent qui je suis, ce grade, je le mérite, et j'en suis fière, j'ai maintenant deux nouvelles options, la garderie, et là... Garderies, je n'aime pas trop la supervision, mais je m'y fais doucement et sûrement, pourtant me direz-vous encore, j'ai choisi la voie des inspecteurs, c'est ce que je veux, mais je veux aussi profiter de pouvoir rester un minimum officier, tout ceci, car à peine promu, j'ai déjà des propositions d'évolutions faites par les gradées, la réussite, ce paye t'elle trop cher ? La rançon de la réussite, elle existe, j'ai récemment obtenu une médaille à une cérémonie où j'avais, avec Gomez et Liam, tout organiser, j'ai eu l'étoile de police, les agents n'ont rien trouver de mieux a faire que de m'insulter, d'être jaloux ou encore de croire que j'envoyais nos agents aux affaires internes, le seul point positif a été le lieutenant Donnely ayant souris un minimum de sa médaille, ce qui fait que j'ai une plainte avec des faits faux aux fesses, avec en plus Lanfredi qui a tenté de me faire chanter, qu'il continue, et je crois vraiment que je vais prendre des mesures plus drastique, honnêtement, qui les affaires internes, les gradées, et le chef de la police croiront ils entre un gangster des cyclones, un agent violent assez con pour m'insulter a cotée d'une UPS ou moi, la grande et merveilleuse Heartfiller, gardienne de la limite philosophique du bien et du mal, gardienne de notre direction, partisane du travail parfaitement réalisé. Pour changer, un petit paragraphe sur une bonne nouvelle, du moins, bonne pour lui, Phoenix a finalement dit qu'il m'aimai, sans réponse de ma part, je ne sais quoi faire, ou comment lui dire ce que je peux avoir comme craintes, j'ai toujours eu peur de moi-même, de devenir faible par le sentiment, dépendante, les réactions physiques vous semblant normal seront pour moi une torture, je ne sais pas comment l'expliquer. Franchement, j'ai de la chance d'avoir des amies comme Mills, Gomez, McKnight et Phoenix, qui sont toujours là pour moi, comme je suis toujours la pour eux. « La magnanimité consiste à rendre justice et à ne pas demander justice. » CHAPITRE 10 – [IC] BLACK ANGEL. Ça va faire longtemps que je n'avais pas écrit, je vais tenter de remédier a ceci, raconter ce que je vis depuis un certain temps. Premièrement, toutes les plaintes aux affaires internes contre moi ont été classées, qu'elle bonheur de le savoir, malgré que les inspecteurs sont assez étranges et froids, je me demande comment il est possible de perdre le cœur de notre métier, la franche camaraderie, le code de l'uniforme, je ne le dis forcément pour moi, n'étant pas la plus forte a ce jeu, mais plutôt pour tous les agents que je côtoie au quotidien, je fais le maximum pour m’intégrer et ne pas faire d'histoire dans le groupe, dans tous les cas, l'un des principaux obstacles a été éliminé, Lanfredi a été viré, et je n'en suis que plus heureuse encore, une double victoire, la chance revient petit à petit, je devrais sourire, et pourtant, je reste pareille, une femme dévoué corps et âme a sont travail, sûrement trop d’ailleurs, je me souviens de Schafer qui me disais qu'il fallait suivre les plaisirs simples de la vie, et c'est maintenant que je doute, est-ce que je rate un pan de ma vie ? Où peut être que mon plaisir est le travail, j'ai peur, peur de ce que je suis et de ce que je continue inexorablement de devenir. Il n'y a pas longtemps, j'ai reçu le test théorique pour le passage au grade d'inspecteur, les résultats, soixante-huit sur cent, c'est assez bon, et je suis heureuse de ce résultat, j'ai également reçu les galons qui accompagnent cette nouvelle fonction, seule ombre au tableau, devoir quitter l'uniforme, a ce moment, je me souviens de tout ce que j'ai fait, de la probation a la titularisation, ma promotion officier trois, vous n'imaginez pas le choc que j'ai eu quand j'ai appris devoir quitter le bureau du chef de la police, je suis sur le point de pleurer, intérieurement, mais a l'extérieur, je n'étais qu'une femme neutre et froide, qui suivait ce que sa carrière lui disait, une partie de moi pleurait donc… de joie, joie de détruire le passé et construire le futur, je veux continuer, je veux devenir indispensable, je serais une des meilleurs, comme je le suis depuis toujours, j'honorerais la mémoire de ma sœur qui étais, comme moi, chez les inspecteurs de l'anti-gang du shérif, servir nos citoyens d'une nouvelle façon, résoudre les divers homicides et vols sur notre ville, car j'ai toujours eu comme idée la peine des familles, de ceux qui perdais un proche, ou qui se faisais voler une partie de leur patrimoine qui représente parfois leur vie, sans jamais savoir pourquoi, qui et comment, avec l'assistance de nos unités en uniformes, je veux pouvoir être capable de leur répondre et de poursuivre en justice les ombres des tueurs, que ce soit en quartier chaud, comme en quartier aisée, tout ceci en gardant un pied sur les missions que j'avais en charges précédemment, comme distribuer les plaintes aux officiers, les guider pour les inspections d'entreprises ou encore faire en sorte d'avoir une élite, que j'aspire à être, pour montrer l'exemple a nos aspirants inspecteurs grâce a une forte proximité avec eux que je m'efforcerais de garder. Depuis un certain temps, donc, je suis dans la Robbery et Homicide Division, quand vous voyez un corps, que ressentez-vous, un dégoût, une rapide envie de vomir, une déchéance, énormément d'aspect négatif nourris par la peur humaine de la mort, mais pour moi, voir un corps ne me fait plus aucune peine, comme si la présence de la mort étais devenus familière, comme si je devenais la mort, un officier probatoire, voir un officier en général déteste tuer, a contrario, je tue sans en ressentir le remord, j'ai une raison logique a ceci, quand je retire une vie, je me dit que j'en sauve bien d'autres, cet homme que je n'aurais pas abattu aurais pris une famille en otage, aurais peut-être fait un acte fou et tuer énormément de monde, ou encore, peut-être aurais-il atteint à la vie d'un collègue, et ceci, dans notre métier, c'est une des pires choses au monde. Dans le fond de mon cœur, je saigne de certaines vies retirées, je suis non seulement un ange protecteur, mais surtout un ange noir, recherchant une chose qu'elle ignore et qui fuit face a elle même. CHAPITRE 11 – [IC] GANTON CYCLONES. Le temps passe, rien de particulier a signaler coter vie, je m'approche un peu des cyclones, amicalement, mais j'ai un souci, un assez gros souci, l'original gangster, Orlando Gomez, est tomber amoureux de moi, comme quoi l'amour n'est pas toujours là ou vous le chercher, surtout que j'avais traîné Orlando devant les tribunaux pour de multiples faits, dont une perquisition chez lui, mais bon, le capitaine Blake m'a dit de m'éloigner d'impérial quand je lui ai fait savoir, ce que j'ai fait, et ce que je fais toujours, malgré tout, j'avais une bonne entente avec les jeunes d'impérial avenus, j'en étais au stade de pouvoir rester avec eux sans me faire tirer dessus ou insulter, jusqu'au jour ou ils m'ont trahis, vous voulez savoir comment ? C'est assez simple. Le sergent Parks a demandé du renfort pour un contrôle banale, du moins, ce qui me semblait banale, et comme je traînais dans le coin, je me suis placé devant la premier qu'il contrôlait, pour qu'il ne parte pas, ce que j'ai vues m'a sembler être le diable avec un bandana vert, sortant par la fenêtre du véhicule en furie avec une arme M4A1, ce diable a tirer sur l'unité du sergent Parks, fuyant, j'ai commencé à suivre, suivre, suivre… Et là, ils sont sortis, ont tirer tellement de balles dans ma banalisé que le moteur étais mort, puis sont partis, mais il n'y avais pas que le moteur de mort, j'étais moi, sur le trottoir, en train de ramper vers une unité que j’apercevais au loin, j'avais mal, dans c'est moment, vous vous dites que vous êtes foutus, mais heureusement, des agents mon trouver, et All Saints ma rapidement pris en charge, je ne me souviens plus du reste. Les tireurs sont tous morts, mais ma peine restais la même, un changement allais survenir, ma confiance a été détruire, ils ont lancer la guerre, ils vont l'avoir. Pendant un moment, j'ai ennuyé impérial comme je le pouvais, sans buts et impacts, a un moment, Orlando m'a téléphoner, j'étais encore sous le coup du choc des tirs, et c'est là qu'il m'a dit que la mort de c'est ami étais bénéfique pour lui, qu'il gagnait en pouvoir, en force, en argent et en hommes, j'avais été trahis, il se servais de moi pour couvrir c'est arrière, j’étais en rage intérieurement, je lui donnais mon projet de démantèlement d'impérial, mais… « Vous ne ferez rien, vous savez pourquoi aussi bien que moi. » Cette phrase sonnait comme le glas, je le savais, cette phrase avait un sens : Capitaine Blake. Des semaines plus tard, j'oubliais, je travaillai simplement sur les différents dossiers que j'avais a traiter, j'avais vraiment quasiment oublié toutes les conneries d'impérial, la semaine de répression sur Ganton sonnais creux, l'officier mort a Ganton sur le quelle j’enquêtai me semblais être comme un autre, et un jour, pendant que j'étais en tank anti-émeute pour de la répression, mon tourment est revenus, il s’appelait Orlando, et trois autres IAC, ils lancèrent un Molotov sur le tank, puis ce placèrent devant celui-ci, sortirent, tous armés, pour tirer tellement de balles que la structure du tank allais tomber, je sortis et répliqua, que dieu loue l'arbre m'ayant sauvé d'une centaine de balles d'AK-47, a ce moment, le capitaine Blake changea d'attitude, je devais retirer Orlando de la circulation, ainsi, pendant des jours, j'ai récolté assez de preuves, ai inviter un juge et le premier substitut du procureur, tout ceci pour un dossier qui enfermera Orlando pendant deux cent ans, l'arrestation fut lancer, elle réussis, j'avais gagner, j'ai détruit un des tourments de ma vie. Une chose également, j'avais perdu Mariella, mais je l'ai retrouver, je n'en parlerais pas plus, mais je l'adorai, elle aussi étais partis et... elle est une de m'est raisons de vivre. CHAPITRE 12 – [OOC] FINAL. Je ne finirais pas ce background, pourquoi ? Car les trois-quarts des gens, finalement, ne désirent plus découvrir de personnages intéressants via écrit, tout comme en jeu, et de plus, je n’écrirais pas indéfiniment une histoire d'une vie, je ne souhaite pas rédiger un livre complet des actes que Luciana fait, ainsi, si vous êtes vraiment intéresser par ce personnage, allez plus loin qu'a la surface quand vous me rencontrer en jeu, et peut-être trouverez vous la suite de cette histoire. CHAPITRE 13 – [IC] POST-FINAL Le temps me semble lourd, à peine 8h30 et il fait déjà 32 dégrées. Je n’aime pas cette période estivale qui manque de fraîcheur à mon goût. Le réveil sonne. Comme la majorité des gens, je déteste cet objet ! Bon aller Luciana, debout, pas une minute à perdre : la chemise noire, le maillot de corps blanc, sous-vêtement, la jupe crayon noire, les collants, les ballerines, mon café, et on est partis, C'est ainsi que je prends m'a banalisé, ma fidèle King-90 pour un énième jour de travail dans le département de la police, après le traitement de dossiers pendant un petit couple d'heures, je décide d'aller finalement sur le terrain, la proposition de venir avec moi est faite à ma petite Camelia Holson, future maman d’ailleurs, femme jeune, elle vit seule dans un appartement sur le quartier d'El Corona Elle est une femme très sociable, joyeuse et pleine de vie, mais qui cache une grande timidité dans le fond. Après une petit moment de patrouille, à parler avec Holson de tout et rien en étudiant les gangs et divers crimes de notre ville, nous sommes demandées sur une prise d'otages, une fois sur place, le preneur d'otages ne tentera pas de fuir ou de braquer l'otage, non, trop basique, il tentera simplement de nous abattre avec un fusil a pompe, mais, merci a mon entraînement, je l’abats bien plus rapidement, j'ai encore retiré une vie, bof, c'est une habitude, et il le méritait, il ne manquera à personne, les premiers soins seront faits a l'otage qui n'étais autre qu'une LSCTS, le FBI arrivera, oui, eux, vous savez, les raseurs qui prennent toute la gloire qu'ils ne devraient pas avoir, sauf que cette agente du FBI était Mandy Howard, la fiancée de mon capitaine, donc je me taisais et me contentais de faire mon travail, elle me remarqua, et me fixa un moment, je me sentais un peu mal a l'aise, Blake lui avais parler de moi ? C'est là qu'elle me parla, me demandant mon numéro de téléphone, pour « en apprendre plus sur moi », je ne sais qu'elle folie mon fait lui donner, mais c’était fait, elle l'avait maintenant, et j'avais le siens, je retournais en patrouille, sans vrai but à ce moment, je finissais de l'administratif puis, je retournais le soir chez moi dans mon grand lit vide, puis dormais, du moins, tentais de dormir, la peur de l’échec me hante, pourquoi ne suis pas encore inspecteur trois, je l'ignore… Encore une journée, j'étais simplement dans le couloir avec mon téléphone, quand un officier fraîchement réintégré, Phoenix Lawford, était présent. J’observais du coin de l’œil celle-ci, je l'avais déjà rencontré auparavant. C’est une jeune femme d’une trentaine d’années, élancée, un peu masculine sur les bords (beaucoup?), blonde avec les cheveux attacher. Elle pouvait sembler froide au premier abord, peut-être à cause de son regard perçant ou de son attitude, mais pour moi, elle me semblait particulièrement charismatique. Elle me dit simplement bonjour, a lequel je répondis normalement, après une rapide présentation, j'en apprenais un peu plus sur elle, et lui proposai de venir avec moi en patrouille, dans ma banalisé, on parlais de tout et de rien, et finalement, elle étais assez attentive contrairement a d'autres, sur mon histoire, sur qui je suis, elle voulais en savoir plus, toujours plus, me disant que « la couverture du livre ne montre pas toujours le contenu », comment pouvais elle vouloir savoir mon histoire, qui n'est qu'un mélange de joie, douleur, déception, trahison et honneur, je l'ignorais, mais ceci m'inspirait, et je me confiait plus qua d'autres, a la fin de la patrouille, comme avec Mandy Howard, j'échangeais mon numéro de téléphone avec elle, pour discuter, on le fis pendant des heures, a parler de tout, mais vraiment de tout, il y avais une chose en elle qui faisais que je pouvais lui faire confiance, ce soir la, je dormis un peu plus légèrement, ayant, pour la première fois, fait part d'une partie de mes soucis. C'est un jour plus tard que Mandy Howard me proposa de patrouiller avec elle, j'acceptais par convenance vis-à-vis des relations inter-services, mais celle-ci commençait a… Me faire peur, oui, c'est le sentiment que j'avais a l'intérieur, j'ignorais sont intention, mais elle me prenait pour... Sa sœur ?! Ma sœur de sang est loin, mais tout de même, elle me faisait des avances qu'elle qualifiait par sa gestuelle de platonique, mais sérieusement Luciana, tu laisses une femme t'enlacer ainsi sans rien dire ? Te faire des compliments ? Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive ce soir-là, par ailleurs, la soirée aura finit dans mon lit… Au sens amical du terme, bien entendu, comme des amies et sœurs, je crois que c’était un manque d'affection, je l'ignore toujours. A contrario, Phoenix Lawford devenait une amie également, toujours par nos discutions par SMS, et nos rencontres, quand Howard ne me harcelait pas elle aussi de SMS, j'appris bien des choses, comme elle en appris sur moi, je savais qu'elle n'était pas heureuse, elle disait ne jamais pouvoir rencontrer l'amour, qu'elle ne rendait pas les gens heureux, en gros, qu'elle vivait dans un mensonge pour ne pas être triste de sa situation, elle est rapidement devenue une amie proche, et j'appréciais nos échanges, nos contacts, comme pour Mariella Gomez à l'époque. Pendant la coexistante de c'est deux relations, j'ai flirté un peu, comme j'en avais l'habitude en étant officier, attirer, être apprécié, puis aimer, sans le rendre, c'était un jeu, et non une relation sérieuse de long terme, cette relation rendais pourtant Howard abusivement jalouse, pendant que Phoenix l'ignorait, dans tous les cas, sur le moment, ça ne l'intéressait pas, c'est là que j'ai compris, c'est là que le pire a commencé, un enfer, Howard m'aimais, non plus comme une sœur, mais belle et bien comme sa petite amie, elle trahissait Blake, mon capitaine (et ami?), elle devenait de plus en plus étrange, menaçant de partir définitivement, je tentais d'arranger par principe, mais… Elle me demande trop. Pendant ce temps, je suis tombé amoureuse, non pas de l'officier, non pas de Howard, mais de Phoenix, elle m'attirait par sa complémentarité avec moi, pour qui elle est, sont physique et sont mental, comment nous en sommes arriver là ? Depuis que je l'avais aidé, seule, a l'hôpital d'All Saints, depuis que nos discutions ressemblais à celle d'un couple, et depuis qu'un infirmier nous l'avait d’ailleurs fait remarquer « vous faites un joli couple », c'est dans cette histoire sordide de plusieurs relations que j'ai embrassé pour la première fois une personne, et une femme, que j'aime, je le savais, j'avais prévus que ceci arriverait, car il n'y avait que deux réponses à cette relation proche que j'avais avec elle, « sois-nous sommes faites pour être en couple, sois amies proches », et c'est elle qui a choisis sous mon impulsion, nous commencions sur les compliments ouvert, Phoenix étais avec moi a la maison, quand Howard vint et me demanda si j'aimai Phoenix, je lui répondis que oui, elle partit. C'est le jour suivant que Howard se décida, Phoenix ou elle, elle m'embrassa de force, bien entendu, avant de partir et de me laisser cinq minutes pour répondre, j'ai répondu que je resterais avec Phoenix, car elle, Howard, a briser une relation entre nous deux en agissant comme ma violeuse, quand j'étais probatoire, Schafer, mais elle a brisé une vie, elle a brisé Blake, qui l'aimai, qui étais fiancé avec ! C'était la fin de cette relation, je ne la revins plus jamais. Une fois close dans mon bureau, c'est là que Phoenix vint me réconforter pour la première fois, puis notre relation a continué depuis, elle a déménagé avec moi, nous vivons ensemble et heureuses, Phoenix est ma future femme, je veut l'épouser, j’attends juste le bon moment pour ceci.

Permis de Port d'Armes (Documents divers 01):

Certificat du Permis de Conduire (Documents divers 02):

Certificat Médical (LSPD) (Documents divers 03):

Spoiler:

Esralda Balderas a écrit:J'adore.

Beaux textes, très belle présentation, bravo à toi.
J'attends le chapitre 10 avec impatience, continue comme ça, et encore bravo à toi Luciana !