OG'Lean, le dernier chef de N'EAST VARRIO.
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OG'Lean, le dernier chef de N'EAST VARRIO.
par Leandro Uruzel Lun 19 Oct - 0:22
Leandro "OG'LEAN" Uruzel - 16 CLIQUA NORTH-EAST CENTRAL BARRIO RIFAS.
1976 - Leandro Uruzel - 16 ans.
2012-2013 - Leandro "OG'LEAN" Uruzel - 51 ans.
OG'LEAN - LA VIDA LOCA.
"Haaaaa..." "Tiens sale enculé!" "Arr....arrêtez!!" "1..2...3....4...5..." "Ferme la pendejo!"... C'est le chant morbide de mon initiation mec, le jour ou j'suis devenu un G' de la Cliquà828. Ce jour là, c'était ce gros salopard d'OG'M'G, qui m'avait fait venir dans la baraque d'SJ'8, sur la Plazza d'North-East Central Barrio. Ils m'attendaient à 15, et ils m'ont niqués direct! Suite à sa, j'ai recu mon bandana brun, ma parôle, je l'attendais... J'allais pouvoir m'la péter avec toute ces salopes. Au début, j'prenais sa pour un jeux... Mais une fois la faucheuse passée à ras de moi, j'ai pris l'truc au sérieux...
Minuit et demi, un soir d'hiver mec, j'me caillais les figues, posé dans ma vieille Mercedes sur la Plazza, les autres discutaient à côté d'la ranflà, mais je sentait pas cette soirée, sa caillait trop, j'avais les couilles comme des raisins sec. Mais j'suis resté, pour tenir le varrio, eh. J'avais remarqué une décapotable bleue rodée au loin, mais j'croyais que c'était juste ces connards de Sureños qui faisait un tour pour faire chier... "TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA", une balle s'éclate dans mon épaule droite, toutes mes vitres explosent, je tombe sur le siège passager, je relève la tête, je vois tout mes carnàl du gang tombés un à un sous les balles des Kalachnikov, en me retournant, j'appercois la décapotable bleue, avec trois mecs par les fenêtres, bandana bleu remonté jusqu'à ras des yeux, les bras vers le ciel après le carnage, formant les cornes du diables. Une ambulance arrive... Tout mes carnàlito sont morts ou grièvement bléssé, à croire que la bible que je porte tout le temps dans ma poche m’a sauvé la vie...
Deux jours plus tard... "Eh yo, Lean! Pinchéééé, on à cru qu't'était mort...!" "Heh.." "Vasy carnàlito, t'inquiètes, monte dans la ranflà.", "KRIK KRIK" une balle est chambrée dans la culasse de ce UZI qui est sous mes yeux, le regard des OG'z veulent tout dire... "Oh Lean, tu t'venge maint'nant." "'Ralé.". Je choppe le pétard, la bagnole accelère, sa roule, sa roule, je matte le paysage comme si c'était moi qui allais crever, alors que sa allais être le contraire, et je le savais très bien... "LOS-FLORES BLV 45TH", un panneau s'affiche devant nous, rouillé, sa me 'révéille' immédiatement... "KRIK KRIK" "Eh yo, au 163 p'tit Lean.". La bagnole passe une première fois, les mecs sur les trottoirs forment les cornes du diables à nos vues, puis le conducteur fait demi-tour...Je reste figé..."163!", c'est comme si je sort de mon long songe, je passe la moitiée de mon corps par la fenêtre, et appuie sur la détente..."TA....TA....TA....TA....TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA!!", 4 types tombent sous mes balles, d'autres détalent en courant, des mères de familles hurles de tout leurs corps...J'était venger mec. Quatre 187 pour une balle de mon côté. J'ai vite capté que j'était né pour toute cette saloperie. "ORAAAAALE NORTH-EAST WARRIOR'Z PENDEJOS" "828 CLIQUA CABRONESITO!!", les OG'z crient tout ce qu'ils ont dans les tripes par la fenêtre, comme pour signé leurs acte. Qui irait signé un meurtre? Merde... J'ai compris qu'si je voulais jamais me faire enculer, fallait être plus discret que ces barbares.
Arrivée à N'EAST, je pose le flingue sans rien dire dans la bagnole, prenant soin, discrètement, d’effacer mes putains d'empreintes sur la crosse avec mon t-shirt.
Un mois plus tard..."Sonnerie de téléphone..." "Ouais Lean, yo, ramènes toi au térrain vagues, magnes toi." Bordel, qu'est c'qu'ils me veulent encore? Ils sont 15, silencieux, quand j'arrive. Ils forment un rond parfait... Un OG du nom d'L'M me choppe par le t-shirt et m'envois au centre du rond...Les coups de pieds fusent de tout les côtés, je tombe à terre, je me met en boule. Une question dans ma tête : "Mais yo, je suis déjà du gang, pourquoi ils font sa!". Les coups s'arrêtent au bout de quelques secondes...Les vatos du gang forment des signes d'appartenance à la cliquà. "Yo-yo, t'à passé ta deuzième initiation, t'es un vrai gangster d'NEAST barrio mec. T'es au d'ssus d'certains maint'nant, tu captes?!" "Yo-yo, oralé, oralé!". Deuzième initiation?! Eh ma parôle, ils se sont crû à l'armée ces enfoirés? Vasy yo, j'laisse couler...
Deux semaines plus tard...Sa fait maintenant plusieurs jours que je matte avec un intérêt spécial cette saloperie de rue...on dirait un putain de "no man's land"...Même les panneaux pour indiquer ou tu va sont criblés de balles ou de tags Norte ou Sureños. C'est une saloperie de champ de bataille, mais elle à quelques choses de spécial, cette rue... Ma vue s'arrête sur un panneaux "75th. North-East <. Los Flores >.". Soixante-quinzième rue, ah ouais, cette rue ou j'voyais tout le temps tout le monde s'éclater la gueule à coup de battes... Ma pensée s'arrête sur un point.. "Si tout le monde se tire dessus quitte à croupir en taule à vie sur cette rue, c'est qu'elle fait obligatoirement gagnée quelques choses..." ma parôle, j'était déterminé. Mais sa allait être long.
Une semaine plus tard, les gens viennent me parler, car ils remarquent des tags "LEAN" "LEANDRO SUR-K" "16VARRIO" sur la 75ème rue, et bizarrement, je n'ai aucune représailles...Ma bible dans la poche me suis... Les choses se font, petit à petit. Quelques petits mecs de N'EAST viennent sur ma rue, je les alimente en herbe, petit à petit on peut voir que les dealers deal à un certain point, puis une semaine après, descendent petit à petit, vers la 75th. Comme si je bouffais le terrain sans même être présent avec eux. Ils prenaient les risques pour moi, j'avais compris comment faire.
Un soir, vers une heure du matin... 5 vendeur d'herbe qui bossent pour moi sont postés sur la 75ème, je repère une vieille baraque insalubre... "KRIK KRIK" une balle est chambrée dans la culasse de mon calibre, mec. J'entre dans la baraque...personne. Oralé... Alors on va s'installer?
Les semaines passent...Les mecs du gang, même plus respectés que moi viennent sur -ma- rue. Ils me félicitent du boulot que j'ai fait.
Les semaines, et les mois passent, je rencontre aucun soucis, mis à part deux trois fusillades banales sur ma rue, personne me fait chier, moi même je n'en revient pas... Un Lundi de Mai, vers deux heures du matin, je rôde sur ma rue, une Corona à la main..."Psssssssht pssssssssssssht" bordel... qu'est c'que c'est?! Je fait le tour de la baraque bleue, et je vois une saloperie de Sureño entrain de taguer "424 VARRIO, SURENOSX3". Je rève, yo?
Un geste incontrôlable m'envahit, ma main se précipite sur mon Glock déposé entre mon ventre et ma ceinture...L'autre main tire sur la culasse de mon arme.."KRIK", le Sureño se retourne vers moi et lève les mains, avant de réciter des conneries de Jesus en Mexicain..."BANG-BANG-BANG"...Le jeune Sureño tombe à terre, j'ai presser la détente. Je suis là, arme à la main, mattant ce con gisant dans son sang, et je trouve encore le culot de ramasser sa bombe pour rayé son tag, et repasser dessus "16VARRIO-828CLIQUA". Je me barre, alors que j'entend déjà les sirènes de polices arrivée à fond vers moi... Je parviens à me barrer, et à me calfeutrer dans un buisson qui m’a d'ailleurs piqué une couille, 'chié! La libértée n'à pas de prix, mais merde, c'est quand même une de mes couilles!! J'avais défendu ma rue, et j'en était pas fier, mais content.
Depuis quelques temps déjà, des mecs du gang se rameutent pour dealer avec moi sur ma rue, j'hésite, je suis un peu radin sur les bords, mais j'en prend quelques-un. Mes putains d'accolytes, des vrai carnàlito, Alberto Cabrera AKA "Flipper", Crescencio Mayorga AKA "Grouchy", et "Zapper". Le street-gang "75th Norte Rifas" est né vato, eh ouais.
"Eh Lean, yo! Putain elle tue ta Mercedes, ma parôle!" "Ouais-ouais..." avec ma rue, je roulais sur l'or mec, c'est comme si j'avais parier sur un ch'val, et que j'avais gagner le gros lot, sur une longue durée. Sauf que cette fois-ci, j'avais parier sur une simple rue, et j'avais parier non pas de l'argent... Mais ma vie. C'est les risques à prendre...
J'me balade, un bel après-midi d'été...Quand une bande de Sureños se postent au loin, me regardant. "EH YO FILS DE PUTE TU NOUS VOIS ?!" "SUR-TRECE HASTA LA MUERTE SALOPE!" Eh merde... J'suis cérné. L'un deux sort son calibre, un 11-43. Il pointe le pétard en l'air, puis présse la détente "RATATATA". Mon coeur s'accélère, je vois un vélo qui traine, je le prend et me taille loin...Merde, j'avais perdu une bataille...Mais pas la guerre.
"Sonnerie de téléphone..." "Yo-yo, LEANDRO. C'est Eze, ramènes toi sur la 75ème." putain, ce bouffon d'Ezequiel, le flambeur qui roule en Cadillac, et qui DIT MON PRENOM EN ENTIER AU TELEPHONE A CHAQUES FOIS. Je l'aimais pas celui-là, ma parôle. J'arrive sur la 75ème rue, il m'attendais, tout seul, au côtés d'un vieux van Ford, noir. "Monte mon pote, monte." "Oralé, oralé!" "Vrooommmmpffff..." le vieux Ford commence à rouler, vers Los Flores, il crache une putain de fumée noir dérrière, à en percer la couche d'ozone, j'ai cru que ce con d'Eze avait piqué le Ford à l'agence tout-risques. "Matte dérrière mec, prend en une". Je me retourne, et vois deux Kalachnikov reluisante, à croire qu'elle venaient tout droit de Russie, ou de j'sais pas d'ou. J'en choppe une..."KRIK KRIK" la culasse se tire en arrière, elle est prête à tirée des pruneaux à n'en plus finir. "On va kidnapper un mec, car j'ai appris ce que t'à eu sur la 75ème." "Hm.." j'était pas sûr de l'idée de merde. Un mec tout seul apparait, près du tacos-bar de Los Flores.
"CLAK-CLAK!", les deux portes du van Ford claquent, devant le pauvre type seul. "MONTE DANS LA BAGNOLE VITE-VITE" "OKEY OKEY!"...Le mec monte sans faire d'histoire...Eze l'amène dans une vieille baraque en haut de North-East. "Descend.", le pauvre homme à deux fusils d'assaut pointés sur la tête, arh... Une fois arrivé dans la baraque, Ezequiel, qui était l'actuel patron de la Cliquà, sort dehors, me laissant seul avec l'homme. Puis il revient, claquant la porte, avec...quoi?! Une putain de tronconneuse dans les mains. "Tiens, prend" il me tend la machine, que je prend sans rien dire, malgrès que je m'imaginais la suite, et que j'en avait déjà envie de gerber, MERDE! "Oralé, si tu fais c'que j'te dit, à la fin, tu va d'venir un grand mec, oralé G'?!" "Humm..vasy-vasy, carnàl!". "TA-TA-TA-TA", le pauvre homme tombe par-terre, Eze lui avait flanqué une rafale d'AK-47 dans le bide, sans même me demander mon avis. "Coupe lui les deux jambes, et tu me le met dans un sac, on le largue à Los Flores". "Hein"?! Pinché, ce con m'à pris pour le boucher-charcutier du coin, ou bien?! Il m'à balancé un regard tellement froid, je savais ce que j'avais à faire...Je l'ai fait, j'épargne les détails, j'ai même larguer le corps sur Los Flores Boulevard, la nuit.
"Oralé, t'à fait c'que j't'ai dit, alors maint'nant, tu fais partit des mecs proches de moi, de nous." De nous?! Eze forme les lettres "B" "P" avec ses doigts, suivis d'un clin d’œil. Oralé, j'allais bosser avec les grands, j'était moi-même dans la haute sphère maintenant. "Tu va aller voir Hernandez, et tu va lui dire qu'il te tatoo une faucheuse dans tout le dos, et à partir de maintenant, tu crève le moindre connard qui te manque de respect vato"...Bordel, la faucheuse, que les OG'z et seuls eux portent. La faucheuse de la mort, j'ai entendu raconter dans l'varrio que les mecs qui portent ce tatouage c'est comme un message, comme si par ce tatoo exhibé au gens, ils disaient : Si vous me voyez, vous n'allez pas tarder à crever, j'ai pouvoir de mort ou de vie sur vous. On étaient les rois du barrio, ma parole...
Minuit et demi, un soir d'hiver mec, j'me caillais les figues, posé dans ma vieille Mercedes sur la Plazza, les autres discutaient à côté d'la ranflà, mais je sentait pas cette soirée, sa caillait trop, j'avais les couilles comme des raisins sec. Mais j'suis resté, pour tenir le varrio, eh. J'avais remarqué une décapotable bleue rodée au loin, mais j'croyais que c'était juste ces connards de Sureños qui faisait un tour pour faire chier... "TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA", une balle s'éclate dans mon épaule droite, toutes mes vitres explosent, je tombe sur le siège passager, je relève la tête, je vois tout mes carnàl du gang tombés un à un sous les balles des Kalachnikov, en me retournant, j'appercois la décapotable bleue, avec trois mecs par les fenêtres, bandana bleu remonté jusqu'à ras des yeux, les bras vers le ciel après le carnage, formant les cornes du diables. Une ambulance arrive... Tout mes carnàlito sont morts ou grièvement bléssé, à croire que la bible que je porte tout le temps dans ma poche m’a sauvé la vie...
Deux jours plus tard... "Eh yo, Lean! Pinchéééé, on à cru qu't'était mort...!" "Heh.." "Vasy carnàlito, t'inquiètes, monte dans la ranflà.", "KRIK KRIK" une balle est chambrée dans la culasse de ce UZI qui est sous mes yeux, le regard des OG'z veulent tout dire... "Oh Lean, tu t'venge maint'nant." "'Ralé.". Je choppe le pétard, la bagnole accelère, sa roule, sa roule, je matte le paysage comme si c'était moi qui allais crever, alors que sa allais être le contraire, et je le savais très bien... "LOS-FLORES BLV 45TH", un panneau s'affiche devant nous, rouillé, sa me 'révéille' immédiatement... "KRIK KRIK" "Eh yo, au 163 p'tit Lean.". La bagnole passe une première fois, les mecs sur les trottoirs forment les cornes du diables à nos vues, puis le conducteur fait demi-tour...Je reste figé..."163!", c'est comme si je sort de mon long songe, je passe la moitiée de mon corps par la fenêtre, et appuie sur la détente..."TA....TA....TA....TA....TA-TA-TA-TA-TA-TA-TA!!", 4 types tombent sous mes balles, d'autres détalent en courant, des mères de familles hurles de tout leurs corps...J'était venger mec. Quatre 187 pour une balle de mon côté. J'ai vite capté que j'était né pour toute cette saloperie. "ORAAAAALE NORTH-EAST WARRIOR'Z PENDEJOS" "828 CLIQUA CABRONESITO!!", les OG'z crient tout ce qu'ils ont dans les tripes par la fenêtre, comme pour signé leurs acte. Qui irait signé un meurtre? Merde... J'ai compris qu'si je voulais jamais me faire enculer, fallait être plus discret que ces barbares.
Arrivée à N'EAST, je pose le flingue sans rien dire dans la bagnole, prenant soin, discrètement, d’effacer mes putains d'empreintes sur la crosse avec mon t-shirt.
Un mois plus tard..."Sonnerie de téléphone..." "Ouais Lean, yo, ramènes toi au térrain vagues, magnes toi." Bordel, qu'est c'qu'ils me veulent encore? Ils sont 15, silencieux, quand j'arrive. Ils forment un rond parfait... Un OG du nom d'L'M me choppe par le t-shirt et m'envois au centre du rond...Les coups de pieds fusent de tout les côtés, je tombe à terre, je me met en boule. Une question dans ma tête : "Mais yo, je suis déjà du gang, pourquoi ils font sa!". Les coups s'arrêtent au bout de quelques secondes...Les vatos du gang forment des signes d'appartenance à la cliquà. "Yo-yo, t'à passé ta deuzième initiation, t'es un vrai gangster d'NEAST barrio mec. T'es au d'ssus d'certains maint'nant, tu captes?!" "Yo-yo, oralé, oralé!". Deuzième initiation?! Eh ma parôle, ils se sont crû à l'armée ces enfoirés? Vasy yo, j'laisse couler...
Deux semaines plus tard...Sa fait maintenant plusieurs jours que je matte avec un intérêt spécial cette saloperie de rue...on dirait un putain de "no man's land"...Même les panneaux pour indiquer ou tu va sont criblés de balles ou de tags Norte ou Sureños. C'est une saloperie de champ de bataille, mais elle à quelques choses de spécial, cette rue... Ma vue s'arrête sur un panneaux "75th. North-East <. Los Flores >.". Soixante-quinzième rue, ah ouais, cette rue ou j'voyais tout le temps tout le monde s'éclater la gueule à coup de battes... Ma pensée s'arrête sur un point.. "Si tout le monde se tire dessus quitte à croupir en taule à vie sur cette rue, c'est qu'elle fait obligatoirement gagnée quelques choses..." ma parôle, j'était déterminé. Mais sa allait être long.
Une semaine plus tard, les gens viennent me parler, car ils remarquent des tags "LEAN" "LEANDRO SUR-K" "16VARRIO" sur la 75ème rue, et bizarrement, je n'ai aucune représailles...Ma bible dans la poche me suis... Les choses se font, petit à petit. Quelques petits mecs de N'EAST viennent sur ma rue, je les alimente en herbe, petit à petit on peut voir que les dealers deal à un certain point, puis une semaine après, descendent petit à petit, vers la 75th. Comme si je bouffais le terrain sans même être présent avec eux. Ils prenaient les risques pour moi, j'avais compris comment faire.
Un soir, vers une heure du matin... 5 vendeur d'herbe qui bossent pour moi sont postés sur la 75ème, je repère une vieille baraque insalubre... "KRIK KRIK" une balle est chambrée dans la culasse de mon calibre, mec. J'entre dans la baraque...personne. Oralé... Alors on va s'installer?
Les semaines passent...Les mecs du gang, même plus respectés que moi viennent sur -ma- rue. Ils me félicitent du boulot que j'ai fait.
Les semaines, et les mois passent, je rencontre aucun soucis, mis à part deux trois fusillades banales sur ma rue, personne me fait chier, moi même je n'en revient pas... Un Lundi de Mai, vers deux heures du matin, je rôde sur ma rue, une Corona à la main..."Psssssssht pssssssssssssht" bordel... qu'est c'que c'est?! Je fait le tour de la baraque bleue, et je vois une saloperie de Sureño entrain de taguer "424 VARRIO, SURENOSX3". Je rève, yo?
Un geste incontrôlable m'envahit, ma main se précipite sur mon Glock déposé entre mon ventre et ma ceinture...L'autre main tire sur la culasse de mon arme.."KRIK", le Sureño se retourne vers moi et lève les mains, avant de réciter des conneries de Jesus en Mexicain..."BANG-BANG-BANG"...Le jeune Sureño tombe à terre, j'ai presser la détente. Je suis là, arme à la main, mattant ce con gisant dans son sang, et je trouve encore le culot de ramasser sa bombe pour rayé son tag, et repasser dessus "16VARRIO-828CLIQUA". Je me barre, alors que j'entend déjà les sirènes de polices arrivée à fond vers moi... Je parviens à me barrer, et à me calfeutrer dans un buisson qui m’a d'ailleurs piqué une couille, 'chié! La libértée n'à pas de prix, mais merde, c'est quand même une de mes couilles!! J'avais défendu ma rue, et j'en était pas fier, mais content.
Depuis quelques temps déjà, des mecs du gang se rameutent pour dealer avec moi sur ma rue, j'hésite, je suis un peu radin sur les bords, mais j'en prend quelques-un. Mes putains d'accolytes, des vrai carnàlito, Alberto Cabrera AKA "Flipper", Crescencio Mayorga AKA "Grouchy", et "Zapper". Le street-gang "75th Norte Rifas" est né vato, eh ouais.
"Eh Lean, yo! Putain elle tue ta Mercedes, ma parôle!" "Ouais-ouais..." avec ma rue, je roulais sur l'or mec, c'est comme si j'avais parier sur un ch'val, et que j'avais gagner le gros lot, sur une longue durée. Sauf que cette fois-ci, j'avais parier sur une simple rue, et j'avais parier non pas de l'argent... Mais ma vie. C'est les risques à prendre...
J'me balade, un bel après-midi d'été...Quand une bande de Sureños se postent au loin, me regardant. "EH YO FILS DE PUTE TU NOUS VOIS ?!" "SUR-TRECE HASTA LA MUERTE SALOPE!" Eh merde... J'suis cérné. L'un deux sort son calibre, un 11-43. Il pointe le pétard en l'air, puis présse la détente "RATATATA". Mon coeur s'accélère, je vois un vélo qui traine, je le prend et me taille loin...Merde, j'avais perdu une bataille...Mais pas la guerre.
"Sonnerie de téléphone..." "Yo-yo, LEANDRO. C'est Eze, ramènes toi sur la 75ème." putain, ce bouffon d'Ezequiel, le flambeur qui roule en Cadillac, et qui DIT MON PRENOM EN ENTIER AU TELEPHONE A CHAQUES FOIS. Je l'aimais pas celui-là, ma parôle. J'arrive sur la 75ème rue, il m'attendais, tout seul, au côtés d'un vieux van Ford, noir. "Monte mon pote, monte." "Oralé, oralé!" "Vrooommmmpffff..." le vieux Ford commence à rouler, vers Los Flores, il crache une putain de fumée noir dérrière, à en percer la couche d'ozone, j'ai cru que ce con d'Eze avait piqué le Ford à l'agence tout-risques. "Matte dérrière mec, prend en une". Je me retourne, et vois deux Kalachnikov reluisante, à croire qu'elle venaient tout droit de Russie, ou de j'sais pas d'ou. J'en choppe une..."KRIK KRIK" la culasse se tire en arrière, elle est prête à tirée des pruneaux à n'en plus finir. "On va kidnapper un mec, car j'ai appris ce que t'à eu sur la 75ème." "Hm.." j'était pas sûr de l'idée de merde. Un mec tout seul apparait, près du tacos-bar de Los Flores.
"CLAK-CLAK!", les deux portes du van Ford claquent, devant le pauvre type seul. "MONTE DANS LA BAGNOLE VITE-VITE" "OKEY OKEY!"...Le mec monte sans faire d'histoire...Eze l'amène dans une vieille baraque en haut de North-East. "Descend.", le pauvre homme à deux fusils d'assaut pointés sur la tête, arh... Une fois arrivé dans la baraque, Ezequiel, qui était l'actuel patron de la Cliquà, sort dehors, me laissant seul avec l'homme. Puis il revient, claquant la porte, avec...quoi?! Une putain de tronconneuse dans les mains. "Tiens, prend" il me tend la machine, que je prend sans rien dire, malgrès que je m'imaginais la suite, et que j'en avait déjà envie de gerber, MERDE! "Oralé, si tu fais c'que j'te dit, à la fin, tu va d'venir un grand mec, oralé G'?!" "Humm..vasy-vasy, carnàl!". "TA-TA-TA-TA", le pauvre homme tombe par-terre, Eze lui avait flanqué une rafale d'AK-47 dans le bide, sans même me demander mon avis. "Coupe lui les deux jambes, et tu me le met dans un sac, on le largue à Los Flores". "Hein"?! Pinché, ce con m'à pris pour le boucher-charcutier du coin, ou bien?! Il m'à balancé un regard tellement froid, je savais ce que j'avais à faire...Je l'ai fait, j'épargne les détails, j'ai même larguer le corps sur Los Flores Boulevard, la nuit.
"Oralé, t'à fait c'que j't'ai dit, alors maint'nant, tu fais partit des mecs proches de moi, de nous." De nous?! Eze forme les lettres "B" "P" avec ses doigts, suivis d'un clin d’œil. Oralé, j'allais bosser avec les grands, j'était moi-même dans la haute sphère maintenant. "Tu va aller voir Hernandez, et tu va lui dire qu'il te tatoo une faucheuse dans tout le dos, et à partir de maintenant, tu crève le moindre connard qui te manque de respect vato"...Bordel, la faucheuse, que les OG'z et seuls eux portent. La faucheuse de la mort, j'ai entendu raconter dans l'varrio que les mecs qui portent ce tatouage c'est comme un message, comme si par ce tatoo exhibé au gens, ils disaient : Si vous me voyez, vous n'allez pas tarder à crever, j'ai pouvoir de mort ou de vie sur vous. On étaient les rois du barrio, ma parole...
"Tik tak, tik tak, tik tak : 22h30" "Eh, envois moi le yoyo Lean, YO! J'ai plus d'tabac en céllule" "Chalé...je dort carnàl, ehh...oralé." La pintà mec. j'y suis tombé pour deux piges, pinché. Le yoyo, des draps penitencier déchiré en lamelle, rattaché entre eux, avec un savon au bout, le passe-plat d'la taule, tu pige? L'autre campe son balais par la fenêtre, et moi j'fais tourner le yoyo en rond par la fenêtre, et j'le lâche dès qu'il est à pleine puissance. Comme sa, l'autre recois le savon, et sa fait une sorte de tyrolienne, tu vois? Putain, faut être un macgyver ici, carnàles. "Oralé, je l'ai, je l'ai!" 'Tire, tire! T'à l'tabac accroché dessus mec!" "Je l'ai, je l'ai! On reste reliés mec." "Vasy bonne nuit cholo...".
"URUZEL promenade, il est sept heure." "Oralé oralé, j'y vais." la promenade, c'est le putain d'ghetto mec, d'un côté, les blacks, de l'autre, les blanc, et de l'autre côté encore, nous, les hispannique, les Brown Prider'z, et biensûr, y'à ces putains d'soldat d'la eMe, campé au banc du fond, près du ring de boxe, pinché. "Yo-yo-yo Lean l'OG, wassup, b'wahahah!" "Ouais yoyo, quoi d'neuf mec? La vida loca, krrkrrr!" "Oralé oralé, mec, t'es peut-être un des warrior'z d'N'E, mais t'es toujours pas dans l'moove d'la Brown, tu captes? Tu vois l'type là bas qui fait des tractions sur la barre? Yo-yo, à midi à la cantine, tu va t'en occuper..." "M'oralé, sa m'va mec." Pinché, il me file une saloperie de couteau artisanal, un truc mal fait, qui tiens à peine, mais j'vais l'faire, quitte à prendre 20 piges, j'serais un putain d'Brown Prider mec, les patrons des patrons. Arrivé midi, j'vois ce connard d'la eMe, un lieutenant, arrivé avec son plat près du recoin sans caméra, ma parôle j'me rue sur lui, il me met une patate, vif le bonhomme! J'tombe par-terre...J'me relève, et je lui plante direct le couteau dans la gorge, il tombe comme une merde. J'me barre, gardant le couteau sur moi, et j'remonte en cellule. Dieu m'à sauvé, personne à jamais sû que c'était moi. J'ai eu le droit deux jours après à mes premiers tatouages en céllule... Un "B" sous l'oeil droit, et un "P" sous l'oeil gauche, eh...
"URUZEL promenade, il est sept heure." "Oralé oralé, j'y vais." la promenade, c'est le putain d'ghetto mec, d'un côté, les blacks, de l'autre, les blanc, et de l'autre côté encore, nous, les hispannique, les Brown Prider'z, et biensûr, y'à ces putains d'soldat d'la eMe, campé au banc du fond, près du ring de boxe, pinché. "Yo-yo-yo Lean l'OG, wassup, b'wahahah!" "Ouais yoyo, quoi d'neuf mec? La vida loca, krrkrrr!" "Oralé oralé, mec, t'es peut-être un des warrior'z d'N'E, mais t'es toujours pas dans l'moove d'la Brown, tu captes? Tu vois l'type là bas qui fait des tractions sur la barre? Yo-yo, à midi à la cantine, tu va t'en occuper..." "M'oralé, sa m'va mec." Pinché, il me file une saloperie de couteau artisanal, un truc mal fait, qui tiens à peine, mais j'vais l'faire, quitte à prendre 20 piges, j'serais un putain d'Brown Prider mec, les patrons des patrons. Arrivé midi, j'vois ce connard d'la eMe, un lieutenant, arrivé avec son plat près du recoin sans caméra, ma parôle j'me rue sur lui, il me met une patate, vif le bonhomme! J'tombe par-terre...J'me relève, et je lui plante direct le couteau dans la gorge, il tombe comme une merde. J'me barre, gardant le couteau sur moi, et j'remonte en cellule. Dieu m'à sauvé, personne à jamais sû que c'était moi. J'ai eu le droit deux jours après à mes premiers tatouages en céllule... Un "B" sous l'oeil droit, et un "P" sous l'oeil gauche, eh...
Dix ans plus tard... Je retrouve le barrio, bordel... A peine sortit de taule, on m'à extrait vers mon pays, à Guadalupe au Mexique, pour une affaire de séquestration sur une famille, là-bas... Dix ans pour sa j'ai pris, quelle chiotte... N'EAST est devenue une saloperie de bidon-ville ravagé par des toxico-gangster'z qui tirent comme Lucky Lucke, plus personne dans l'varrio, j'suis l'seul de mon éspèce. "Eh yo, yo...C'est Lean mon placa.." "Yo-yo, OG'LEAN ?! Le mec qu'on entend parlé d'puis vingt piges, YO?" "Eh, on dirais bien!" Je m’acclimatais à cette nouvelle bande de peignes-culs.. Bon au début, ils étaient cool, mais à un moment, j'en ai eu marre, à l'époque, on roulais tous en Mercedes, on avait des billets plein les poches, on étaient les VATOS LOCOS d'LOS SANTOS, tu captes? Le gang le plus puissant mec! Maintenant, les nouveau soldats s'droguent, n'vendent plus d'came, tire sur les Sureños à longueur de journée, CHIOTTE. Le nouveau patron, Grumpy, et Sirius, deux mecs d'la BP... Eh.
Deux ans plus tard...La vie commençais à ma briser les figues, il fallait reprendre le gang en main mec... Un soir, j'amènes Killah avec moi, un bon type, un mec réspécté, mais bon..."Oralé Killah, j'te l'dit direct, j'veux flinguer Sirius et Grumpy..." "Ma parôle OG'Lean, j'te suiverais jusqu'à la fin, vatos-locos, hasta la muerte carnàl." "Je l'savais...". Ce soir là, Sirius était là, comme un con, devant sa baraque. J'lui ai dit d'monter dans la bagnole pour qu'on cause d'une histoire de flic, et il m'à cru. On c'est barré looooooiiiiiiiiinnn.... Et on l'à descendu, sans pitié. Killah l'à entérré au fond d'une grotte dans le desert, personne le retrouvera là-bas, ce connard. J'ai pris le téléphone d'Sirius, et j'ai envoyé un SMS à toute la Cliquà 828, pour dire qu'il ce barrais pour une mission en rapport à la Brown Pride, tout l'monde y à vu que du feu. Viens au tour de mon pote, Grumpy... Lui, sa m'à fait chier d'le flinguer, mais j'était obligé, ou tôt ou tard, il l'aurais fait sur moi...En pleine journée on l'croise dans l'barrio, j'voulais le descendre direct, sa aurait été réglé, mais l'autre con de LAG, un vato d'la 828 c'est ramené au même moment, MERDE! On à dû lui tourner un film et lui retourner l'cerveau, pour qu'on aille faire un tour en bagnole, le dernier tour en bagnole de sa vie, hehehe... Dans la ranflà, moi, Rosa, Killah... On est au port, et on parle tous ensemble, puis j'fais un signe à mes deux accolytes, les deux l'descendent... Pour faire croire à un putain d'187 des Sureños, j'crible ma ranflà, et j'met le corps de Grumpy en passager, pendant qu'j'SMS la cliquà avec son téléphone, un truc d'genre qu'on s'était fait pétardé par El Corona, lui et moi... Pour bien finaliser le tout, j'porte mes cojones, car je risque vraiment ma putain d'vie là, je dit à Killah d'me tiré dans l'épaule, que sa fasse crédible...Il le fait sans hésiter l'enfoiré! Sa y'est, le scénario était tourné, place au acteurs... "VRRROOOOOMMM..." on arrive devant la Cliquà 828, j'sort de la bagnole, je m'écroule, bordel, au même moment ou on arrive...Un drive-by des Sureños VENAIT DE SE PASSER. Comme si dieu était avec moi pour rendre mon scénario ultra-crédible...Personne n'y à vu que du feu...Par ce coup de renard, j'était l'nouveau patron d'North-East LS...
Deux ans plus tard...La vie commençais à ma briser les figues, il fallait reprendre le gang en main mec... Un soir, j'amènes Killah avec moi, un bon type, un mec réspécté, mais bon..."Oralé Killah, j'te l'dit direct, j'veux flinguer Sirius et Grumpy..." "Ma parôle OG'Lean, j'te suiverais jusqu'à la fin, vatos-locos, hasta la muerte carnàl." "Je l'savais...". Ce soir là, Sirius était là, comme un con, devant sa baraque. J'lui ai dit d'monter dans la bagnole pour qu'on cause d'une histoire de flic, et il m'à cru. On c'est barré looooooiiiiiiiiinnn.... Et on l'à descendu, sans pitié. Killah l'à entérré au fond d'une grotte dans le desert, personne le retrouvera là-bas, ce connard. J'ai pris le téléphone d'Sirius, et j'ai envoyé un SMS à toute la Cliquà 828, pour dire qu'il ce barrais pour une mission en rapport à la Brown Pride, tout l'monde y à vu que du feu. Viens au tour de mon pote, Grumpy... Lui, sa m'à fait chier d'le flinguer, mais j'était obligé, ou tôt ou tard, il l'aurais fait sur moi...En pleine journée on l'croise dans l'barrio, j'voulais le descendre direct, sa aurait été réglé, mais l'autre con de LAG, un vato d'la 828 c'est ramené au même moment, MERDE! On à dû lui tourner un film et lui retourner l'cerveau, pour qu'on aille faire un tour en bagnole, le dernier tour en bagnole de sa vie, hehehe... Dans la ranflà, moi, Rosa, Killah... On est au port, et on parle tous ensemble, puis j'fais un signe à mes deux accolytes, les deux l'descendent... Pour faire croire à un putain d'187 des Sureños, j'crible ma ranflà, et j'met le corps de Grumpy en passager, pendant qu'j'SMS la cliquà avec son téléphone, un truc d'genre qu'on s'était fait pétardé par El Corona, lui et moi... Pour bien finaliser le tout, j'porte mes cojones, car je risque vraiment ma putain d'vie là, je dit à Killah d'me tiré dans l'épaule, que sa fasse crédible...Il le fait sans hésiter l'enfoiré! Sa y'est, le scénario était tourné, place au acteurs... "VRRROOOOOMMM..." on arrive devant la Cliquà 828, j'sort de la bagnole, je m'écroule, bordel, au même moment ou on arrive...Un drive-by des Sureños VENAIT DE SE PASSER. Comme si dieu était avec moi pour rendre mon scénario ultra-crédible...Personne n'y à vu que du feu...Par ce coup de renard, j'était l'nouveau patron d'North-East LS...
La suite bientôt...Un an et demi avec le même personnage, trop de trucs à raconters, j'ai dû abréger à fond certain passage de la vie de Lean, et j'ai zapper énormément de PETITS trucs, car sinon, y'en aurais pour 2 pages...
Leandro Uruzel- Messages : 186
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Re: OG'Lean, le dernier chef de N'EAST VARRIO.
par Leandro Uruzel Lun 19 Oct - 0:23
-RESERVÉE SUITE IC-
Leandro Uruzel- Messages : 186
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Celestino Salgado- Messages : 1751
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Re: OG'Lean, le dernier chef de N'EAST VARRIO.
par Jones Benally Lun 19 Oct - 2:18
Super je suis cité dessus et en plus tu ma trahie ! lol 
#Grumpy
#Grumpy
Jones Benally- Messages : 5951
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Re: OG'Lean, le dernier chef de N'EAST VARRIO.
par Filipando Milciades Lun 19 Oct - 4:16
le passage des "ak reluisantes" ptdrrrrr trop de souvenirs
Filipando Milciades- Messages : 456
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Cristo- Messages : 1157
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Re: OG'Lean, le dernier chef de N'EAST VARRIO.
par Juan Bajaras Lun 19 Oct - 20:15
J'ai pris un peu de temps pour tout lire , c'est vraiment bien bravo.
Juan Bajaras- Messages : 43
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Re: OG'Lean, le dernier chef de N'EAST VARRIO.
par Leandro Uruzel Lun 19 Oct - 20:29
Au top vos com's les mecs, un grand merci.
Leandro est un perso vachement dûr a jouer étant donné qu'il est bipolaire, j'ai éssayé de retracer sa vie au mieux.
Leandro est un perso vachement dûr a jouer étant donné qu'il est bipolaire, j'ai éssayé de retracer sa vie au mieux.
Leandro Uruzel- Messages : 186
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Re: OG'Lean, le dernier chef de N'EAST VARRIO.
par Aaron Hodge Mar 20 Oct - 2:27
Vraiment cool le background! J'ai vraiment apprécier la lecture.
Aaron Hodge- VIP
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Leandro Uruzel- Messages : 186
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Re: OG'Lean, le dernier chef de N'EAST VARRIO.
par Yago Veracruz Mer 21 Oct - 1:50
"mais l'autre con de LAG, un vato d'la 828 c'est ramené au même moment, MERDE! On à dû lui tourner un film et lui retourner l'cerveau"
Ca fait plaisir de voir que je suis cité, pas mal, j'ai pas tout lu, mais je me reserve un moment demain aprem pour tout lire.
#Lag
Ca fait plaisir de voir que je suis cité, pas mal, j'ai pas tout lu, mais je me reserve un moment demain aprem pour tout lire.
#Lag
Yago Veracruz- Messages : 1187
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Re: OG'Lean, le dernier chef de N'EAST VARRIO.
par Pernell Khiem Mer 21 Oct - 2:20
Vivement le background sur Razvan
Pernell Khiem- Messages : 10
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