par Samuel Groener Sam 4 Mar - 19:30
MESSAGE DU MAIRE AUX POLICES
Samuel Groener et son cabinet étudiant les ouvrages de loi.
Quatre mars deux mille dix-sept — Le Maire condamne avec grande sévérité la querelle enfantine à laquelle se livrent la police municipale et le département du Shérif. La vendetta, cette haine aveugle et funeste, n'est pas ce qui doit motiver chacune des actions de ces deux institutions. Le Maire exige des polices qui servent sa ville qu'elles soient irréprochables, professionnelles et capables de nouer d'excellentes relations inter-services. Aucune compromission à ces principes n'est envisageable.
Au Shérif, il est rappelé que la Loi ordonne et ne négocie pas. La Constitution de l'État de San Andreas, bien qu'imparfaite, dispose que la police municipale a toute autorité sur les effectifs du Shérif sur le territoire municipal.
Constitution, section 4, article I, alinéa C : Le Shérif peut agir dans les villes constituées par un département de police. Dans ce cas présent, le Shérif est placé sous la supervision de l'autorité locale, c'est-à-dire le Chef de la Police. Au Chef de la police municipale, il est rappelé que le Maire constitue son supérieur administratif et qu'aucune décision importante ne saurait être prise sans son assentiment.
CPP, chapitre 1, article 2, alinéa C : Le Procureur est le plus haut officier de police de sa juridiction. Il dirige les polices dans leurs missions judiciaires sur sa juridiction. Il dirige administrativement, conjointement avec le Maire, les services municipaux de police et d'inspection. L'interdiction au Shérif d'accéder au domaine municipal est nulle et non avenue. Cy veult le Maire, cy veult la Loi.
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Dernière édition par Samuel Groener le Sam 4 Mar - 20:09, édité 1 fois