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IVARA JAVIER: BOHÈME AMÉRICAIN (background IC sous forme de livre achetable)

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Message par NICO VESARI Dim 16 Avr - 20:54

Spoiler:

Ivara Javier, passé de la romancière:

Ivara Javier eut vue ses premières images visuelles sur les côtes de Maiquetía, au nord de Caracas. S'exposant dès la naissance à la pauvreté des plus poussés, la jeune romancière eut pris d'idée et de passion pour la littérature américaine et française alors que celle-ci n'avait que sept années de vécu dans l'une des rues touchées par la crise et le monde de l'illégalité. Maiquetía, ville natale de la romancière, eut une énorme importance dans la vie de celle-ci, forgeant le caractère et les principes de sa propre personne. D'un père travaillant en tant que fonctionnaire et d'une mère au foyer sans emploi, il était devenu judicieux pour Ivara de forger également son esprit et son savoir-faire pour ce qui est de se débrouiller toute seule, ce qui n'était pas donné pour une personne de sa trempe. Considérée comme une élève surdouée, l'État de Vargas fit attribuer à la famille de la romancière « une certaine somme », dans le but d'étudier la littérature américaine et française au sein même de leurs pays respectifs, tout en accordant un accès à l'éducation supérieure à Ivara alors qu'elle n'était âgée que de la dizaine d'années. Définie comme une « femme de lettre » alors qu'elle n'avait que treize ans, la romancière prend alors conscience que son avenir serait dans l'écriture scientifique, s'intéressant de plus en plus à la littérature française, précisément au naturalisme. Traduisant à sa façon tout en imposant ses propres règles, Ivara s'impose une écriture presque scientifique et définit son vécu comme une « calomnieuse affaire », citation qui ne sera jamais expliqué par la jeune littéraire. Passant alors les deux dernières années en France dans le but d'en savoir un peu plus sur le naturalisme, la jeune romancière eut pris un certain parti pour l'auteur Émile Zola, auteur qu'elle admire beaucoup dans sa façon de s'exprimer, reprenant alors le même style d'écriture dans l'univers moderne que nous sommes. Après avoir eu l'occasion d'en savoir un peu plus, ce n'est qu'après sa quinzième année qu'Ivara se décide de retourner une dernière fois dans sa ville natale, pour finir à Los Angeles, pays aussi bien riche que pauvre. Son style d'écriture est pourtant unique, même si elle semble apprécier le naturalisme: voulant savoir le point de vue des autres selon le sien, elle souhaite « interpréter ses situations » à sa manière pour savoir comment les autres « humains » perçoivent ses dires.

Crédits: Juàn Veldez.


I.
« mais pourquoi fabriquer si ce n'est que pour détruire? »

Mes yeux s'agitent dans le crépuscule, ne voyant plus le jour pendant une éternité, pourrais-je savoir ce que je ne comprends pas dans cette situation qui m'est guère plaisante, par pitié? Un poids d'honneur me façonne, une partie de moi s'est extraite, je le ressens, je suis constamment dans le savoir le plus profond dans cette situation, ne maîtrisant plus ce qui m'était facile de maîtriser, mon savoir-faire m'échappe et je ne comprends pas pourquoi ce problème m'affecte autant. Souffrais-je de culpabilité? Ces histoires me concernent dans le plus haut point, le malheur de cette nuit me hante, les yeux grands ouverts, globuleux, larmes chaudes coulant sur ce qui me servait de joues. Ce n'est qu'un parcours de moins, une honte de plus, une défaite qui n'est pas admissible pour mon parcours de vie, pour ce qui me servait de test dans ce lapsus d'années, les rails sont défectueux dans cette situation, situation, situation... Ceci dit, je ne serais pas plus mieux dans ce qui est d'être dans cette position qui ne me dérange pas du tout, position qui me déplaît pas du tout même. Honteuse d'avoir appris ce qu'est la réalité, je fermais les yeux, pensive à ce qui pourrait être plus pire que ce que je viens d'apprendre à la seconde même ou mes oreilles se sont dressées, bruits d'humains à un volume sonore affaibli. Je sais où je suis, je sais ce que je fais, je suis maître de mes mots et je suis maître de mes faits et gestes. Aussi pensive que je sois, je reste dans cette position et je réfléchis à ce que mon avenir me réserve. Est-ce que le Seigneur m'a affectée d'un poids si lourd ? Ou bien serait-ce que naturel, que je sois dans cet endroit aussi sombre ? Tout est mérité, et je pense que mes actions ont eu les conséquences qu'elles méritaient. Manifestement, mes pensées sont aussi sombre que l'endroit où je me trouve, et je pense que tout est lié. Je n'ai même pas l'âge adulte, et je possède quelque chose que les adultes eux-mêmes peuvent avoir. Là est le problème: pourquoi ce serait moi qui serait touché par ce problème? Pourquoi pas quelqu'un d'autre? J'étais si bien lancée, que ma réussite se transforme en échec des plus totales. Je perds du temps, je perds des connaissances qui auraient pu être cruciales pour mon avenir le plus loin qu'il soit. Les rails sont hors-service, je subis un dysfonctionnement, je suis dans le néant le plus distordu, je suis dans un désert, n'importe quel endroit des plus démesurés et invivables serait un bon exemple, bordel. Cette hantise me met dans un état incontrôlable: mon âme se noircit de haine, je m'en prends au plus haut, je m'en prends à de ce qui pourrait m'être le plus cher dans des années futurs. Je foule l'espace autour de moi, mes espoirs partent en fumée, j'ai bel et bien perdu quelque chose, mais quoi? Pourquoi je me pose cette question, ce n'est que stupidités et bêtises, je m'en dissuade par ma propre pensée, cette pensée qui, noir, devient désormais rouge magenta. Mes pas frôlent désormais l'herbe et la fraîcheur de l'air, les montagnes en paysage ainsi que les nuages aussi dispatchés que de la fumée de locomotive d'antan. Ce n'est que dissolution du temps si je me faisais un film dans ma propre tête, l'expression de celle-ci ne plairait guère à quiconque dans n'importe qu'elle situation. Calle Miranda, et puis quoi encore. Si je suis dans cette situation, ce n'est qu'à cause des personnes qui font qu'aujourd'hui je suis présente ici, mais pourquoi fabriquer si ce n'est que pour détruire? Si la création de quelque chose ne pourrait être constitué que de sombres idées, ce ne serait stupide que lorsque celle-ci aurait eu une utilité à un ensemble de personnes, personnes qui pourraient alors être spécialement conçus pour être reconnu dans une des tâches que l'on assigne à ce fameux quelque chose. J'en fais les frais, et je pense en avoir assez fait, pour ruiner ce qui me sert de vie actuellement, hélas. Je n'ai pas eu la chance nécessaire, peut-être que j'ai usé de mes limites, peut-être que j'en ai trop fait? Pourquoi cette situation m'arrive aussi jeune? Pourquoi cette faute m'est lancée maintenant, et pourquoi l'être supérieur impose cette calomnieuse affaire sur ma propre personne? Ce sont des questions qui ne pourront pas être répondus par qui que ce soit, en tout cas, cette situation m'affecte et cette situation semble improbable pour une personne de mon gabarie. Ce ne sont pas les plus forts qui souffrent des situations les plus complexes, je suis faible d'esprit, et pourtant! Ce n'est qu'incompréhension, si je n'aurais pas fait tant, je n'aurais pas reçu la contrepartie de cette affaire en pleine figure. Ce n'est que problèmes qui me tombent également sur la tête, problèmes dont je souffre au quotidien à cause de cette malheureuse affaire. J'ai eu le fruit de la connaissance depuis toute petite, ce n'est que grâce à ces personnes que j'ai eu la chance et l'idée de continuer ce qui pouvait faire de ma vie un rêve. Ces personnes m'ont apporté beaucoup, et je tiens spécialement à les remercier au travers de ces écrits, qui sont pour moi des écrits que je ne regrettais jamais. Mais, sont-ils aussi à la cause de ce problème qui me hante et qui me cloue dans cette position aussi confortable comme je le disais plus haut? Je me hante le cerveau de par moi-même, ne serais-je pas entrain de délirer? D'être au final interné, dans le but de guérir dans cette situation qui me rend folle alliée ? Pourquoi suis-je si spéciale, faible d'esprit mais avec de grandes connaissances en la matière? Ce n'est pas logique, mais c'est bien réelle. Je serais même capable de voir des choses immatériels, irréels, que je penserais que ces choses existent réellement. Ce n'est qu'une addiction à l'autodestruction, cette même autodestruction qui m'a conçu, cette erreur faite, cette décision parti peut-être aussi vite que ce problème qui m'a atteint de la même manière. Je suis réelle, mais ce problème ne l'est pas. Je suis réelle, mes idées le sont, mes mouvements également, mais cette situation me dérange au plus haut point. Je n'arrive pas à faire face à cette situation, mais je me révolterais et ferais face à cette oppression qui me fait culpabiliser, depuis tant d'heures que je suis sur cette position confortable. De par ma décision la plus infime, l'idée m'est venue d'ouvrir les yeux juste après avoir pensé à l'horrible histoire qui pourrait se passer en ces lieux, ces lieux de terreur et d'incompréhension, ou bien ces lieux de bonheur et d'espoir chéri par le bonheur des autres. Horriblement bon, peut-être qu'il fallait que je me décide d'expliquer le problème qui m'entoure, cet endroit qui ne serait qu'incompréhension pour n'importe qui. Infâme pensée, mais bonheur totale. Je ne suis vêtue que d'un simple -objet- : si on l'ôterait, je pense que rien ne serait plus choquant de voir ma personne au vue de tous, mais cette zone aussi noir que la nuit elle-même pourrait très bien cacher le reste. La pénombre l'emporte sur ma vue, et cette gêne permanente qui me prend depuis tout à l'heure s'accentue de plus en plus, ce besoin est de plus en plus vitale. Je ne comprends pas ma situation, mais je décide d'emboîter le pas vers une zone un peu plus clair, comme si je m'aspirais moi-même dans un gouffre sans fin, avec une lueur d'espoir qui se balade au fin-fond de celui-ci. Cette imposition de peur m'envahit entièrement depuis que je me suis pris de résolution de comprendre la situation qu'on m'impose depuis quelques heures maintenant. Marchais-je en ligne droite, ne regardant pas ailleurs. Ce n'est qu'après une dizaine de secondes que je me bloquais sur place, arquant qu'un seul sourcil après avoir subi quelque chose de supplémentaire. Situation qui paraît encore plus improbable, mon être intérieur se détruit après cette découverte qui anéantissait absolument tout mes espoirs de vie, moi qui pensait que je pouvais exceller dans mon élément alors que je n'avais que le jeune âge que je méritais d'avoir. Mon avenir se décompose en mille morceaux, comme si cette situation m'affligeait du plus haut point. Cette honte et ce jugement m'assassine, mais je reste sur mes deux pieds, acceptant la réalité en face et ne reculant pas à cet obstacle. Je deviendrais ce que je souhaitais être, et personne ne s'opposera à mes souhaits, même cette situation dont je parle depuis tout à l'heure.


Dernière édition par クマ le Lun 29 Mai - 4:15, édité 7 fois
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Message par NICO VESARI Dim 16 Avr - 20:56

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Message par NICO VESARI Dim 16 Avr - 20:59

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Message par NICO VESARI Dim 16 Avr - 21:02

クマ a écrit:réservé
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Message par Darius Peralta Dim 16 Avr - 23:05

1er papyrus.
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Message par Jeremiah Villegas Dim 16 Avr - 23:05

premier g pas lu
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Message par NICO VESARI Lun 29 Mai - 4:11

Dernière édition par クマ le Lun 29 Mai - 4:09, édité 6 fois

Première scène rédigée, texte souvent mis à jour.
NICO VESARI
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