Ambición Espiritual - (Esperance) [26/01/2018]

La sève de l'ambition

La seule arme qui me restait pour déconfire enfin ce luciférien qui était en face de moi, la légende disait que son sobriquet était Humilitus, un monstre pas comme les autres, disant qu'il avait vaincus de grands guerriers, celui-ci a déjà été écrasé à plusieurs reprises, immortel qu'il était, chacun utiliser une manière personnelle pour l'anéantir.

J'étais dans une arène sombre enserrée par les spectateurs d'une tribu nommée la peuplade des « Dédains », ces dédains encouragé Humilitus, tout cela m'a machinalement inciter à me résigner, c'était ma dernière chance, cette arme déployée de mon propre sanctuaire aurait en premier lieu déjà anéantis l'obscurité omniprésente dans l'arène, je savais que cette rage spirituelle pouvait être la cause d'un cataclysme permanent, cette rage qui venait de l'idée que je voulais manifester l'étymologie de mon patronyme sacré, j'ai fini par devenir une protagoniste qui ouvre la grande porte et intègre donc l'histoire.

Calligraphier mes ambitions, mes sensations et sentiments dans de simples pages en papiers, tel était mon sabre, en reprenant ma vie et en rejoignant ma tribu natale, beaucoup d'entre eux m'ont dit que c'était seulement un lac illusoire qui se situait dans mon esprit. Dois-je justifier mon parcours ? Non, en vérité je n'ai jamais pu être comme les autres conquérants, Humilitus m'avait malheureusement maudit, l'incrédulité m'entourait telle était mon sort, je devais donc avaler cette vérité amère qui envahissait mon quotidien et mes souhaits, « Mea cupla » je me retrouve dans cette situation infernale, je ne pouvais être assez forte, au point de souhaiter me retrouver dans un gibet et commencer dans les procédures à faire dans un endroit pareil.

- Esperanza Morales -



Chapitre I : Orgullo de una salvadoreña

21 juin 2008, une journée fichtrement exaltée, je me situais au beau milieu de la piste aérienne de l'aéroport de Los Santos, inutile de relater et tatillonner encore plus, elle n'avait rien en rapport avec une solennité, mais j'avais en quelque sorte un sentiment de dignité et de fierté atavique, je sentais un mélange sanguinaire, une vraie généalogie, comme disait mon père « on aurait réellement cru que tu étais la réincarnation Christina Torres », c'était mon but en vrai, une sorte de mortification pour cette protagoniste qui aurait servis son pays pendant une quinzaine d'année.


Je devais dissimuler mes sentiments, ma destination n'avait aucun rapport avec des îles paradisiaques ou de grandes plaines ou un séjour à la tour Eiffel, ce n'était pas la peine de passer par le soute, de surcroit cette destination devait être sans remords et devoir s'emparer de ses lobbies et aussi bien lire son bréviaire, car on doit s'attendre à des obsèques dans un baraquement ou régiment, dans cet endroit on devait laisser notre humilité et notre pitié se balader dans les coins de notre ville natale, je décrirais tant cette destination et ça sera déficient encore, pourquoi donc ? Puisque chacun avait sa propre façon de décrire cet endroit et chacun d'ailleurs avait une manière de voir, les autres participants avec moi démentiront donc ma tribu natale citée tout en haut, ils finiront donc de prouver que je ne suis pas en train de fabuler comme ils songent et ils doivent savoir que je m'indigne à chaque fois où ils se mettent à confiner mon histoire et ma franchise.


Ce qui est navrant, c'est le fait que lorsque beaucoup d'être-humains prennent de l'âge, ils subissent une métamorphose un peu confus, mais on peut distinguer chacun d'entre eux par un certain caractère pernicieux et non par l'un des fructueux que possèdent ceux-ci. C'était le cas pour cette petite mistonne venue d'un quartier défavorisé de Los Santos qui avait le sobriquet d'El Corona, je ne sais pas si c'était une offrande du vénéré, mais dans chaque domaine que je convoitais, je finissais par en être le numéro un, n'en parlons pas de ma scolarité, j'étais tellement ambitieuse, je ne me retrouvais en aucun cas soumise à la routine, j'étais comme Kiara dans le « Roi Lion », je n'avais rien à craindre lorsque Simba était présent, mais malencontreusement on sait tout ce que Kiara pouvait devenir sans la présence de son père Simba, mon patronyme était prôné et brandissait à chaque rue d'El Corona, mais devais-je être satisfaite et fière ?


Non et non, encore non ! Comment pourrais-je me sentir majestueuse de faits sordides, mon nom était prôné par des rackets, des taxes, des menaces, de l'argent blanchit. Cher vénéré père je te dois tout mon respect et je t'offrirais même mon âme en guise de sacrifice, mais je ne pourrais jamais adhérer que mon patronyme à moi aussi se nourrir de déchets tel un chien morfal. Pour chaque résidant de Los Santos, d'El Corona et exceptionnellement « Azure's Field » savaient que cette jungle était en quelque sorte Gazéifiée par l'influence de la « Raza » et du gangstérisme et envahie par un bruissement de violence et de meurtre permanent, un gibet tout simplement. Pour une fois dans ma vie, j'aurais voulu me sentir dans le tégument de cette mythique Christina, c'est ce qui m'a poussée à suivre une autre voie et qui m'a permis de sortir de ce labyrinthe d'emprise et de domination.

C'est pour cela que ce vingt-et-un juin n'était pas uniquement qu'un jour de peur, mais l'escarmouche entre deux adversaires coriaces, la frayeur et la dignité voilà ce que c'était, ces sentiments qui me désemparer un peu, du jour au lendemain on se retrouve dans une piste aérienne, portant la tenue des US MARINS, en train d'attendre un hélicoptère, alignée avec les autres caporaux et dirigé par un sergent expérimenté.

J'aurais mis mes lunettes embarrassée par ce soleil matinal, en attendant cet hélicoptère, quelques minutes passèrent, on pouvait entendre son bruitage, plus il s'approchait plus je sentais mon cœur se déplacer, ce n'était pas facile, j'avais une face de cadavre, j'étais toute pâle, l'hélicoptère se pose, cet engin commençait à venter lors de son atterrissage, posant rapidement rapidement mon coude sur ma binette pour me préserver les yeux, ce n'était pas facile pour moi, la première fois que je vois en face de moi dans une piste aérienne, même si on avait été prévenu et dressés pour un combat bien beaucoup pluspire que cette défectueuse tatillonne.

(A SUIVRE)

Nouvelle brochure ICly qui vise la personnalité du personnage.

http://forum.cmlv-rp.com/t280534-origines-esperance-19-05-2015

En ce qui concerne cette story, je l'éditerai une fois avoir fini le quatrième chapitre, pour l'instant j'en suis à trois.

Impatient de connaitre la suite, gg

Première modification, ajout d'une partie du premier chapitre.

Voilà la suite comme tu convoitais, j'ai fais exprès de mettre le quart de la première partie, je te laisse vivre le suspense et spéculer sur la suite du premier paragraphe.

Esperanza Morales (c'est Selena Dwight / Josef Blake / etcetc)

edit : j'ai lu c'est bien écrit et c'est propre j'kiffe

background a écrit:je m'indigne à chaque fois où ils se mettent confiner mon histoire

Par contre ça a l'air d'une petite coquille du coup j'ai pas trop compris ça

Je t'ai plus sur skype, ça fait un bail que je te cherche, envois-le moi!

J'avais oublié le "à", s'indigner veut dire se contrarier normalement, est-je tord?

non le "où ils se mettent confiner mo histoir" je comprends pas le sens


je t'ai envoyé invite discord

Dans le sens qu'ils se mettent à enfermer mon histoire.

Encore, encore !

Ajout d'une autre partie.