Je suis Elena, on est aujourd’hui le 14.03.2005 ce bout de papier ne sera probablement jamais en la possession de quiconque, mais j’aime écrire, parler de ce qui m’intéresse et de ce qui me passionne, je me sentirais peut-être un peu plus à l’aise car les problèmes de LS, ça me gonfle, je prendrais du temps à écrire mon histoire, espérant que je sourirais une nouvelle fois après ces vingtaines d’années en regardant ces pages.
Nous sommes en Russie, Derbent pour être plus exacte, c’est apparemment, l’une des villes les plus anciennes du pays, mon père est un anglais, ses cheveux ont été brun mais la dernière image que j’ai de lui est celui d’un dictateur riche, il avait une entreprise de vin, l’une des premières au mondes, il m’offrait tous ce dont j’avais besoin, et passait ses nuits à lire des livres que je n’osais même pas prendre entre mes mains. Ma mère s’appelait Akkiz, une femme purement turque, papa lui offrait un tas de bijou de tous genre c’était parfois de l’or et parfois du diamant, sa maison était immense, il était indubitable que notre villa ait été la deuxième ou troisième plus grande habitation de la ville. C’était une résidence de trois étages avec un énorme portail d’entrée décoré en bois contemporain et un jardin que maman qualifiait d’ « Eden », c’est le petit peu de détails que ma mémoire garde en souvenir, enfaite je me rends compte maintenant après tous ces années que je vivais la vie dont rêvais plusieurs enfants de mon âge mais je comprends ça trop tard. Maman disait que la vie avant ma naissance n’était pas facile, elle était toujours seule face a mon père, il n’est pas nécessaire de faire la démonstration, il suffisait que papa soit énervé pour qu’il prenne du plaisir à la battre et l’insulter de tous les mots, elle espérait que cela allait changer un jour…
Je suis née le 18/12/1979, tout était beau ce jour-là, moi y compris selon ma mère, mon papa fou de joie avait laissé tomber ses discours durant presque une semaine et parlais à sa femme pour une fois, c’était je crois la dernière semaine qu’a connue notre « famille », car comme tout être, j’ai grandissais parmi eux, et je n’avais pas vu maman pleurer une fois, ni deux, ni trois, faudrait plutôt compter cela par centaines et milliers et à l’âge de sept ans, je ne me considérais plus dans une famille, car je ne voyais jamais de lueur d’amour qui donnait espoir de faire revivre notre foyer, pourtant, on en avait besoin car là, ce n’était rien que du carnage.
J’ai atteint mes dix ans ! Oui, j’avais de longs cheveux noir, mes yeux … Je ne sais pas, peut-être noires aussi et j’étais beaucoup plus mature par rapport à mon âge, c’était très clair, je ne passais plus mes journées à jouer mais je faisais des cours, papa me ramenait un certains Martin pour apprendre l’anglais, on disait que ça devenais utile mais je ne me suis jamais attaché à cette langue, ni à son professeur d’ailleurs, il était tellement moche, je me rappelle toujours de lui, il avait une barbichette et était toujours vêtu d’un costume avec une cravate à motifs bleus, et il était très sérieux, je me rappelle de cela comme si c’était hier. Je me disais que ça ne servait à rien et que je n’allais jamais avoir besoin d’utiliser la langue des anglais mais bon, je crois bien que j’étais en tort, le présent en est preuve.
Les années se poursuivaient, les unes après les autres, je grandissais et les activités que papa me forçaient à faire étaient innombrables, j’ai fait de la danse, j’ai appris du piano, du violon mais je n’avais jamais aimé, c’était ennuyeux et très lent, mais un jour vint ou papa m’avait ramené un professeur de philosophie, je me rappelle toujours de ce jour, j’avais exactement 16 ans et demi et c’était selon lui l’âge idéale pour apprendre la science et pour comprendre le fonctionnement de la vie, le professeur de la philosophie, m’avait appris quelque chose, dont je suis tombée amoureuse, je le suis toujours aujourd’hui, c'est la mythologie. Je n’ai jamais été croyante, mais la mythologie était quelque chose que j’adorais spécialement, j’avais appris le nom de tous les dieux avec leur spécialités en une journée ! J’avais surpris maman pour une fois, et cela m’a fait un plaisir indescriptible.
La vérité derrière tout ça, c’est que je n’ai jamais été vraiment heureuse, j’ai toujours les images de mon père qui bat sa femme et la traiter de pute. Je m’en souviendrais pour la vie, peut-être même que pour la mort, j’ai passé vingt-deux ans avec eux je crois que j’ai assisté chaque jour a un problème et fallait bien gueuler pour le résoudre. La tragédie devait arriver, un jour ou l’autre, maman devait le faire de toute façon, elle n’avait pas le choix, elle avait bu un truc empoisonné et s’est suicidé et c’était en 1998, papa pleurait ou faisait semblant, je ne sais pas mais après ce qu’il lui a fait subir ces larmes ne servait à rien, c’est même probablement de fausse larmes, je ne m’était jamais senti condamné à une vie de merde, jusqu’à ce jour-là ou maman nous quitta, c’était évident que j’allais être avec lui dans une seule maison, lui qui ne pouvait pas se tenir tranquille. Les semaines étaient tellement rapide, c’était surement à cause de ces cours ou je pensais sans cesse à maman, elle m’avait tellement manqué en très peu de temps et j’en pleurais sans limite, c’était je crois le moment le plus douloureux de ma vie.
Il n'est pas nécessaire d'être génie ou minutieux pour comprendre que la relation entre papa et moi était loin d'être celle d'un père et sa fille, car je ne me sentais plus à l'aise avec lui depuis le départ de maman, je le voyais devenir tyran, il me forçait parfois à faire des choses inutiles et incompréhensifs et me jetais de temps à autre des insultes qu'il avait l'habitude de réitérer aux croisements des yeux avec maman, mais moi je ne suis pas maman, je ne suis pas la personne qu'il croyait, j'ai suffisamment vu maman se soumettre je refuse de faire de même, c'est ce sentiment de rébellion et révolte qui a fait de moi la personne que j'évitais d'être.
Je n'aurais jamais voulu écrire ça dans un papier ou même de se rappeler de cette merde que j'ai faite mais j'ai tué papa, je ne suis pas une criminelle, loin de là mais c'était l'œuvre des mains d'une femme chargée d'énervement et de mélancolie... C'est ce gout d'amertume que je sens en permanence qui me pousse à ressusciter ces mémoires, et de regretter ce que j'ai fait encore plus. Je ne voulais en aucun cas le tuer, loin de là, je ne suis pas aussi sauvage, mais ses yeux étaient pleins de colère, il me frappait pour une raison minime, je sentais enfin ce que subissait maman, je ne comprends toujours pas comment a-t-elle réussi à le pardonner à chaque fois et continuer à coucher avec lui, être sa femme. J'étais en train de lisser mes cheveux, dans ma chambre, ils étaient vraiment longs à l'époque je m'en rappelle, la coiffeuse n'était pas venue chez nous depuis vraiment longtemps, j'entendis sa voiture s'arrêter, une voiture que je n'oublierais pas, je crois bien qu'il l'aimait bien plus que tout le monde, moi y compris.
Je ne sais pour quelle raison, il est entré dans ma chambre avec ses yeux rouges pointant sur moi je ne comprenais pas ce qu'il essayait de dire je répétais simplement le fait que je ne comprenais pas, c'est probablement cela qui a montré l'animal en lui. Ce n'était pas voulu mais j'en avais marre de subir les conséquences de la colère d'un homme cruel et agressif, je n'avais rien fait, pas plus que le pousser pour essayer de l'arrêter, mais inopportunément, c'était la tragédie. Mon bois de lit était super beau, du bois massif, bien cher selon ma mère, on n'aurait pas dit mais c'était à cause de ça qu'il est mort, je l'avais poussé pour me défendre, il a trébuché et par manque de change c'était sa tête qui avait touché le coin du lit et pas que toucher, car je voyais déjà le sang qui coulait et mon père aux yeux fermés au sol, mes larmes n'avait pas tarder à couler eux aussi par manque de connaissance, je ne savais pas ce qu'il avait subi, ni ce qui m'avait pris à le pousser, c'était une sorte de regret instantané malgré toute la haine que je lui portais, je voyais à ce moment la vérité qu'il était après tout mon père et qu'il avait fait tant pour moi, mais c'était trop tard, il perdait déjà du sang et pas qu'un peu.
Un réflexe que je regardais parfois les médecins faire, me venue a l'esprit, c'était de poser le doigt vers le cou et chercher des battements, à l'époque je ne connaissais ni pouls ni aucune autre méthode j'avais simplement posé ma main sur son cou je ne sentais plus rien, ma main était pleine de sang, celui de mon père que je pensais mort, mais je n'en étais pas sûre. Je pleurais à m'évanouir je ne savais pas quoi faire, je le regardais, sous le choc, espérant qu'il se relève ,mais non, il était absent, je m'assurais de plus en plus qu'il était mort jusqu'au moment où son téléphone commençait à sonner, je plongeais ma main en sang dans sa poche et le pris pour voir qui l'appelait, c'était son meilleur ami, il parlait beaucoup de lui c'était un Américain vivant en Russie, son prénom était Ethan, je ne l'avais jamais vu ,mais je croyais qu'il pouvait m'aider, je répondis donc et dis simplement : « Aidez-nous, papa est en train de mourir. »
J'ai dû attendre environ cinq ou dix minutes avant qu'il débarque, cet homme, Ethan, était grand de taille et son visage ressemblait beaucoup à celui de mon père, en entrant il était encore plus choqué que moi, après avoir connu le problème de près, il garda sa main sur la poignée de la porte quelques secondes en train de regarder le corps avant de se précipiter vers cela et poser son oreille sur son torse puis s'est relevé après un petit moment d'attente d'un air déçu et perturbé, il hochait sa tête négativement annonçant sa mort. Un bruit sourd s'empara de mes oreilles, je ne connaissais plus personne pendant un moment, même Ethan qui était devant moi, je n'écoutais que la voix d'une vie anxiété et de colère. Je ne savais pas quoi faire, les secondes pour moi à cet instant n'étaient plus, c'étaient des minutes qui passaient l'une après l'autre tel des engrenages une portant l'autre sur son dos, Ethan revint quelques minutes après, je ne savais même pas qu'il était parti j'étais restée avec mon père pour plus que vingt minutes selon lui, il m'avait suite à cela tiré de ma main droite et m'a ramené devant la douche je ne comprenais pas trop ce qu'il se passait, mais je faisais quand même ce qu'on me prodiguait comme ordre. J'avais tardé en douche je me demandais bien ce que j'avais fait, je ne comprenais plus rien je me sentais perdu, je m'évanouissais en douche et les cinq sens chez une personne normale se résumaient chez moi en une simple vue déjà brouillée.
Le fracas d'une porte cassée me réveilla de ma sieste dans la baignoire d'eau chaude malgré que je sois toute nue, mon cerveau était un peu trop lourd pour réagir face à la présence d'Ethan que je n'avais jamais vu auparavant et qui me voit désormais nue, il passe son regard sur moi et c'est mes yeux dormants et mon corps relâché qui le poussa à venir me récupérer, c'était ma première fois qu'on me toucha toute nue, ça m'a fait plutôt un bizarre, je n'avais pas senti cela auparavant, je sais que les jeunes de mon âge avaient déjà eu des relations plusieurs fois, mais pas moi, malgré mon âge à l'époque, qui était si je ne m'abuse presque dix-huit ans. Il me ramena des vêtements de je ne sais toujours pas où, que j'ai mis à la hâte, je ne savais même pas ce que je m'habillais, mais je l'ai quand même faite et vint me voir après quelques minutes un coffre argentée en main, je le suivais inconscience, je ne savais pas quoi faire à part. Quelques minutes plus tard je me suis retrouvée dans sa voiture, similaire à celle de mon père, il m'a donné quelques papiers que je devais garder en main, mes faibles yeux remarquaient un passeport soviétique avec ses couleurs rouges frappants.
Je me suis retrouvée à l'aéroport, toujours dans la voiture d'Ethan, ce dernier me donna un sac de voyage, je ne savais pas ce qu'il contenait exactement ,mais je l'avais vu mettre le coffre qu'il avait en main dedans, ainsi que des vêtements de tout type, je m'en foutais un peu ... Et là, était la première fois où j'ai entendu sa voix grave : « Bonne chance, Elena, oublie ce qu'il s'est passé ici et prends soin de toi, tu seras seule. »
Je sortis de la voiture une seconde après ses mots et me dirigeas directement vers l'aéroport, c'était un endroit beau, avec beaucoup de personnes autour, je distinguais à peine les visages, mais je devais partir, je me suis donc dirigée directement vers le garde de sécurité et lui poser un tas de questions. Après une énorme galère à connaitre comment monté à bord de l'avion qui était à plusieurs minutes de décoller, je me suis retrouvée devant la porte d'embarquement quelques minutes après avoir passé le test de sécurité, on me demanda : « Madame Aleksandrova, c'est bien cela ? » je ne savais quoi répondre,j'ai donc hoché la tête.
Le vol a été très long, du temps que j'ai consacré à pleurer et essayer d'oublier ce que j'ai fait, mais en vain, c'était pour moi un crime que je n'oublierais jamais de la vie, une hôtesse d'air vint me voir et me ramena un verre d'eau qu'elle déposa devant moi d'un geste machinal et répétitif, mes yeux abîmes de larmes ne pouvaient pas distinguer les traits de l'hôtesse, un simple mot de remerciement sortait difficilement de ma bouche suivie d'un hochement de tête. Elle se baissa à mon niveau et me demanda en quelques mots ce qui n'allait pas, je me rappelle toujours de cette scène où je me sentais bloquée et presque inconsciente, je ne pouvais pas répondre, je n'avais simplement pas répondu, sa présence me dérangeait, mais je n'osais pourtant pas poser les yeux sur elle, ni lui parler.
Je m'endormis profondément pour plusieurs heures, je n'ose les compter, je dirais même que c'est peut-être un jour, ou plus je ne sais plus, je me suis relevée avec le gorge sèche, on aurait dit que c'est dans un tombeau que je me suis levée mais non, ce n'était que mon siège d'avion, vingt minutes après mon réveil je sentais déjà les trains d'atterrissage toucher le sol. Je n'avais plus envie de dormir, je voyais la tour de contrôle de mon siège lorsque la même hôtesse me ramena de l'eau encore une deuxième fois, seulement cette fois, c'était suivant ma demande qu'elle le fit, elle me sourit et déposa le verre d'eau devant moi que j'ai bu instantanément tellement ma gorge en demandait.
Et c'est de cette manière comment me suis-je retrouvée à Los Santos, une grande ville de Californie située sur la côte ouest des États-Unis, une fois dans l'aéroport international de Los Santos qui lui déjà m'impressionnait avec sa grandeur et perfection. J'ai levé les yeux vers le panneau de vols, je me rappelle y avoir la date que je n'oublierais plus jamais, 15/11/1997 je suis passée par toutes les mesures de sécurité de l'aéroport jusqu'à poser le pied dehors, j'ai trouvé plein de taxis qui attendaient de prendre en charge un client. Je me suis approchée d'un entre eux et je lui avais simplement demandé de me ramener à un hôtel, c'était l'hôtel de Downtown où il me ramena.
C'est dans l'ascenseur de cet hôtel que fut ma première rencontre dans Los Santos, c'était un homme plutôt âgé qui me dis simplement bonsoir, je répondis de même. Je n'ai pas eu de soucis à réserver la chambre, je me suis précipitée vers celle-ci pour découvrir cet endroit que je croyais être mon refuge à Los Santos, c'était une belle et petite chambre simple au sixième étage, elle ne contenait que le nécessaire, une salle de bain, des toilettes, un grand lit et un petit frigo pour stocker sa bouffe.
Je me suis rappelée tout d'un coup le coffre qu'Ethan m'avait laissé dans mon sac, je me demandais bien ce qu'il contenait, je m'étais mise à chercher dans toutes les affaires qu'il m'avait chargés dans ce sac pour enfin trouver ce coffre argenté, j'hésitais à l'ouvrir, je ne savais aucunement ce qu'il contenant, je n'en avais pas la moindre idée, je l'ai ouvert et là était la surprise...
Je ne m'y attendais tellement pas, mais Ethan avait rassemblé pleins de souvenirs de chez moi et c'est de là que viens les photos que j'ai collés, ceux de maman, la voiture de papa, notre maison et tout, ça m'a fait énormément plaisir après avoir commis l'inoubliable. Je devais bien me trouver une manière de se faire de l'argent, malgré le fait que je n'avais pas un vrai diplôme qui m'aurait procuré de l'avance mais j'ai quand même combattu, je fouillais dans les vêtements que j'avais dans la valise pendant que je pensais à ce tas de problèmes qui me dansaient en tête. Une grosse liasse d'argent s'extirpa de la valise, je comprenais d'où sa venait, mais je n'avais eu tous ce tas d'argent en ma possession, cela m'avait vraiment fait bizarre.
Heureusement pour moi, j'avais Martin qui m'avais appris l'anglais, sinon je n'aurais jamais su me débrouiller seule à Los Santos, je m'étais dirigée vers le tabac et demandé qu'une pub comme quoi je cherchais du travail soit publiée dans leur tableau. Je n'ai eu besoin que d'environ une heure pour recevoir un appel où on me proposait de travailler en tant que secrétaire d'un bureau d'un avocat nommé McCarthy, je ne connaissais pas ce dont j'avais besoin mais, je l'ai pourtant accepté, je me rendais aux lieux qui se situaient au sud de Los Santos et je commençais à travailler là-bas contre un montant d'argent passable. La routine de Los Santos me contrôlait de plus en plus, je travaillais le matin et je faisais des formations par internet le soir, j'avais besoin de vraiment beaucoup plus d'expérience pour pouvoir améliorer mon salaire et pouvoir payer un loyer et peut-être une maison.
Une année avant aujourd'hui monsieur McCarthy étant vieux, est tombé malade, un homme est venu dans le cabinet et vint me parler directement, on aurait dit que la personne me voulait moi, et non l'avocat et enfaîte, c'était le cas, l'homme s'approcha de moi et s'assit, il me dit quelques phrases, qui m'ont choquée au début, il m'avoua que la personne avec qui je travaillais était l'avocat de l'un des plus grands cartel de la ville et me proposa par la suite de travailler avec eux. Ce n'est pas quelque chose de légal mais, on m'a proposé de s'occuper des affaires de l'organisation et j'ai accepté, ce qu'on m'a proposé m'arrangeait bien que ce soit illégal, je n'aime pas ce que je fais vraiment, mais je le fais pour de l'argent, personne ne sait cela et cela m'arrange. C'est ce travail qui m'a permis aujourd'hui de totalement changer de vie, j'ai une nouvelle location et une voiture que j'aime bien, une SUV qu'on m'a acheté pour me faciliter mon déplacement, pour ce qui est du rôle qu'on m'a assigné, je couvre plutôt le coté légal de la chose, je m'occupe des clubs de l'organisation, les entreprises légales et toute manière de blanchir l'argent, j'ai la main sur tous ce qui est légal. Je n'ai jamais posé ma main sur de la drogue ou armes, mais cela se passait devant mes yeux, même les braquages qu'ils préparaient, j'étais parfois présente.
Ma vie commençait à s'éclaircir et je me raffinais de plus en plus, je me sentais plus active et moins conne, dans l'organisation j'ai aussi rencontré un homme, c'était en quelque sorte l'intelligent de la bande, il s'occupe de tout ce qui avait une relation avec les ordinateurs, consacre son temps pour pirater des systèmes lorsqu'il le fallait, de préparer des logiciels en notre faveur et tout ce dont nous avions besoin et qui a relation avec l'ordinateur, notre relation qui était de base une relation de travail, est devenu une relation amoureuse.
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