Background de Joey le Jamaiquain.
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Background de Joey le Jamaiquain.
Kingston , Citée de lumière, capitale de la Jamaique et ville aux milles merveilles. Quand on parle de ce lieu, on évoque surtout le dôme du soleil, les rues pavés et le grand palais. Mais on oublie souvent de parler de ses bas-fonds, de ses ruelles salles et de sa misère.
C’est là que j’ai grandit. Je n’ai jamais connu mon père et ma mère travaillait comme larbin dans une taverne minable des bas quartiers afin de nous nourrir. Elle est morte d’une maladie quelconque quand j’avais 12ans. A l’époque, ça m’avait laissé complètement indifférent, vu que je passait le plus clair de mon temps avec la « bande », une petite troupe de gamins de mon age qui hantaient les rues de la ville. Je n’était pas le plus agile du groupe, loin de là, mais déjà je brillait par ma ruse et mon intuition. C’était toujours moi qui dégottait les bons plans et les informations les plus précieuses. C’est ainsi que j’ai trouvé mon premier vrai boulot…
Quand j’avais quatorze ans, un type qui se prétendait ancien ménestrel est venu s’installer dans notre quartier. Comme tous ceux qui venaient vivre ici, il fuyait sans doute la justice d’un autre pays. Etrangement, il a réussi assez rapidement à ouvrir un petit commerce en tant que préteur sur gage. Et ça a fonctionné ! Le barde était plutôt bon négociateur et il s’est mis à faire de très bonnes affaires.
C’est là que ma géniale intuition s’est déclarée une nouvelle fois. Plutôt que d’aller lui chiper des trucs, ma bande et moi sommes aller le voir peu avant la fermeture de la boutique. Nous l’avons trouvé assis sur un sofa en train de fumer dans un appareil bizarre, il nous a appris plus tard qu’il s’agissait d’un narguilé venu d’un pays situé au-delà du désert.
Il nous à tout de suite demandé si nous pouvions lui rendre un « petit service ». Récupérer une potiche du peuple de la mer qu’un concurrent avait obtenu il y a peu de temps. Une fois le larcin terminé, le vieux marchant nous remis à chacun une belle pièce de monnaie.
Et ça a continué. De petits boulots en petits boulots, nous sommes passés au service du vieux ménestrel. Il nous envoyait faire du dégât dans la boutique d’un concurrent ou encore récupérer de la marchandise dans d’autres boutiques, voir même chez des nobles ou des bourgeois !
Il nous payait pour chaque service rendu. Mais la plus belle récompense qu’il m’ai faite, c’est de m’apprendre la lecture et les rudiments de l’écriture. Grâce à ça je pouvait lire les panneaux et les affiches ! C’était vraiment beaucoup pour un jeune homme des bas quartiers de Kingston.
Mais la roue en a décidé que mon destin était ailleurs. A seize ans, nous avions été chargés de cambrioler la maison d’un officier des blancs manteaux. Il avait dans sa cave une lpeinture extrêmement rare et très ancienne.
Nous sommes parvenus à entrer dans son manoir sans trop de difficulté. Nous avions l’habitude de visiter ainsi quelques grandes demeures la nuit, mais celle-ci était certainement la plus luxueuse que mes yeux de petit voleur n’ai jamais vu ! Une fois la cave atteinte, notre petite troupe se mis à fouiller les lieux à la recherche de la vieille peinture. Alors que mes doigts parcouraient les rayons d’une étagère à la recherche de cette maudite peinture, j’entendit soudain un bruit sourd : L’un de mes hommes avait trébuché sur le tapis et avait renversé une sorte de gros chandelier qui s’était écrasé sur le sol dans un terrible fracas. Quelques secondes plus tard, des pas sourds résonnaient dans l’escalier. Me saisissant de le livre que j’avait sous la main, moi et les miens coururent à toute vitesse dans les couloirs en direction de la sortie. Des blancs manteaux et des gardes de la maison surgissait de partout me semblait-il et nous dûmes nous séparer. Par chance, je parvint à sortir de la demeure et à sauter le muret sans être pris. Dans ma main serrée je tenait toujours le livre que j’avait dérobé chez le blanc manteau. A la lumière d’une bougie, je déchiffrait laborieusement le titre : La voie de la lumière par Lothair Mantelar.
En rentant chez moi, j’appris que cinq des miens sont restés sur le parvis. La bande était finie. Dépité, je décidait de mettre en pratique les leçons de notre maître ménestrel et de feuilleter l’ouvrage que j’avais dérobé. Au début, c’était surtout pour tromper mon malheur et j’avais beaucoup de mal à lire les minuscules caractères étalés sur les pages, mais rapidement, je me perdit dans ce récit de morale et de valeurs que chaque être humain devrait suivre. De chacune de ces règles qui font de l’homme un homme. J’appris au fil de ma lecture que la noblesse n’est pas qu’un titre obtenu par le hasard de la naissance mais un idéal qu’il faut mériter par ses actes.
Lorsque j’ai finis ce livre, j’étais un autre homme.
Je suis resté longtemps à méditer sur ce que j’avais appris. Pour la première fois, un autre chemin que celui de voleur se présentait à moi. J’avais l’impression qu’une partie du voile recouvrant le monde s’était soulevé pour moi. J’avais l’impression d’en savoir plus que tous les habitants des bas fonds.
J’ai pris une grande décision. Désormais, je tacherais de suivre les règles annoncées par Lothair Mantelar. Je me mettrais à travailler , que ce soit légalement ou illégalement , sa sera mieux que de voler.
Quelques instants plus tard, je couru jusqu’au palais de l’officier des Enfants de la Lumière et je me rendit aux gardes. Ceux ci furent si sidérer de mes aveux qu’il appelèrent leur maître. Quand j’expliquais à celui-ci toute mon histoire, il en fut abasourdi. Il me dit de garder le livre et de m’engager chez les enfants de la misére en guise de pénitence.
Durant cinq longues années, je fus un troufion parmi d’autres au sein de la grande famille des Enfants de la misére. Les épreuves et l’entraînement martial en vigueur à la caserne ont décuplé ma force et ma résistance ainsi que mes facultés martiales. J’ai appris à me battre et à me taire. J’ai acquis la discipline de fer propre aux Enfants de la misère ainsi que leur orgueil et leur fierté. J’ai pu voir de mes propres yeux la corruption et le malheur qu’apportent les amis du ténébreux et j’ai compris qu’avec ces gens là, l’honneur n’avait pas sa place.
Je fus assez rapidement remarqué par les supérieurs. D’abord par mes étranges manières et mon code d’honneur, puis par mes notions de commandement et mon intuition acquis lors de ma jeunesse aventureuse. Agé de vingt et un ans et après cinq ans de bons et loyaux services, on m’éleva au grade de lieutenant et on me confiât enfin une mission importante.
Je devais me rendre dans la ville de Los Santos et protéger les habitants d’une bande de voyous qui s'amusaient à braquer les petits commerces.
Dès mon arriver dans la ville , en visitant celle-ci un groupe de 6 jeunes viennent me dérober mon porte-feuille ainsi que touts son contenu , j'étais donc désormais sans identité , je m'aventurai dans la ville à la recherche du comissariat , ne connaissant pas l'amériquain je ne pu poser de questions aux gens , il n' m'aurait pas compris , je sonder les ruelles de longs en larges , quand tout à coup j'entend une de mes musiques préférées , Oerie de Lofia Elior une chanteuse jamaiquenne . Je m'aventure donc vers la provenance du son et je voit tout un quartier avec toutes les maisons recouverte d'un drapeau Jamaiquain , je leurs éxplique ma péripétie et ils m'ont accueilli , ils se sont occuper de moi , m'ont fourni une nouvelle identité et m'ont appris à vivre du deal , on appel sa là loi de la rue.
Désormais je vit du deal afin de faire vivre mon quartier et nourir ma famille.
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